Pays extraordinaire en extrême-orient !
Une culture et son histoire qui mélange facilement le train-train quotidien difficile des habitants avec sa tradition qui s'étale et s'ancre depuis... quelques millénaires !
Prenons un temps d'arrêt hors de leur relation matérielle et immatérielle, pour explorer quelques sites antiques, notamment le complexe d'Angkor situé principalement au Nord de ce pays, dans une région nommée "Krong Siem Reap" :
ANGKOR WAT
Rappelons d'abord que, tout comme la distance entre la grande Pyramide de Gizeh et Rapanui (île de Pâques), la distance entre Angkor Wat et Rapanui est la même, à savoir de Phi X 10 000 ! (Encore et toujours la présence "constante" du nombre d'or !)
Une seconde fois ce Phi X 10 000 en situant un autre site archéologique !
Nous ne pouvons pas résister à devoir observer de plus près une cité unique avec son plus grand temple : Angkor Wat !
Le "temple", situé au centre du complexe avec ses petites tours en quinconce (le gopura central étant la plus haute des 5), est le mot choisi aujourd'hui pour désigné cet exceptionnel endroit, car notamment dédié au Dieu Vishnu (hindouisme).
Mais en était-il de même il y a quelques milliers d'années (Milliers d'années ? Oui, à considérer que cette cité existe depuis plus longtemps que la doxa officielle nous le prétend)... car ce mot ne signifie pas forcément "lieu de culte" ou "lieu impliquant de l'ésotérisme" !
Le terme "temple" peut vouloir dire plus simplement. L'art et la beauté est à un tel "haut rang" de qualité, de quantité, de particularité spécifique ornementale... que cela en devient "extraordinaire", au point de désigné ce lieu comme une merveille de magnificence, renvoyant un éclat sublime à qui le regarde attentivement... prodigieuse profondeur spirituelle dont la transcendance amène à s'interroger sur le "réel" de soi, un ésotérisme qui ne dit plus son nom... pour un lieu d'un tel raffinement !
Une vue du haut nous séduit aussi facilement de par sa forme, et de par la curiosité qu'il nous soulève quant à son architecture d'ensemble :
Nous exhumons d'autres "secrets" révélés récemment, par une télédétection sophistiquée mise en place il y a peu et révolutionnant d'ailleurs l'archéologie :
Nous ne pouvons pas perdre un instant de plus pour mesurer ce site :
En constatant ces dimensions, à savoir les valeurs de 1,57 (moitié de Pi) et 1,27 (racine carrée de Phi) exprimées en kilomètres, nous ne pouvons que nous documenter pour s'apercevoir qu'une même relation mathématique existe entre un pyramidion, la grande pyramide et Angkor Wat :
En effet, si Angkor Wat fait 1,57 km de longueur et 1,27 km de largeur, nous pouvons calculer un hypoténuse qui sépare ce site en deux formant ainsi un triangle !
Nous constatons alors que l'hypoténuse est égale à 2 km !
Formons ensuite un cercle en prenant pour diamètre cet hypoténuse, et nous obtenons alors un périmètre de... 6,28 km !
De là, nous constatons que cela correspond exactement au schéma présenté sur l'illustration qui fait la relation entre le cercle de 1 de rayon, et le périmètre de 6,28 !
Un triangle qui n'est pas sans rappeler celui de la chambre haute de la grande pyramide de Gizeh :
Est-ce un hasard ou inexacte ?
Pourtant mesure du site à l'appui, lorsque nous calculons l'aire de ce triangle, à savoir la moitié de Pi multiplié par la racine carré de Phi et divisé par 2 (1,57 X 1,27 / 2), nous obtenons pour ce triangle... 0,9986 km², soit 1 km² à un millième près, encore les mêmes valeurs comme une des deux illustrations présentées, mais avec des unités de valeurs différents !
Ce diamètre de 2, ou le rayon de 1 avec un périmètre de Pi X 2 enseigné ici qui se retranscris sous la forme d'un pyramidion avec une hauteur de 1, se retrouve également sur ce fameux "tour du monde à 30°" souvent nommé l'équateur penché :
... par ce fait, nous constatons que tous les sites ont un unique axe pointant le pôle magnétique en Alaska (59° 42' N 139° 17'), et qui ont tous par conséquent une distance de 10 000 km (6215 miles) jusqu'à ce point magnétique !
Cela signifie qu'il y a 20 000 km de Rapanui (Ile de Pâques) jusqu'à Mohenjo Daro (en Inde) passant par ce pôle magnétique formant ainsi le diamètre proportionnellement équivalent ; où par ailleurs, le film "La révélation des pyramides" de Patrice Pooyard démontre, rappelons-le, de grande similitude d'écritures entre ces sites si "justement" éloignés...
"Quelle coïncidence !" ...pourront dire les détracteurs qui psychotent et qui cautionnent encore et toujours, des dimensions "autres" que ceux-ci... car si le rayon fait 10 000 km et le diamètre 20 000 km, alors les sites sont sur un "équateur penché" de format circulaire ayant un périmètre de... 62832 km ! (Pi X 20 000)
Tout comme le pyramidion de Daschour qui se voit dans ce cas "multiplié" par 10 000, n'en déplaise aux dénigreurs et autres souteneurs de calomnies qui devraient revoir les dimensions, au lieu d'insister par orgueil, et qui pourtant, utilisent d'extraordinaires logiciels, notamment "3D" et autres programmes web "sophistiqués" ...au nom d'une soi-disante démystification de "La révélation des pyramides" !
Cohérence désordonnée ou raison aliénée... ?
Intérêt que pour du commérage d'insultes, et indifférence à la vérité factuelle... ! C'est celui qui dit, qui y est ?
Canular et charlatan, certes, inepte et inapte !!
Alors qu'il faudrait d'abord considérer le "coeur" et la "raison" comme autre chose que de simples outils de mesure... Et prendre acte, entre autres, qu'ils peuvent être déréglés et non disciplinés dans leur mesure harmonique, de soi à autrui... malheureusement trop complexe et inaccessible pour les mauvais esprits qui les utilisent en oubliant leur fonctionnement logiquement éthique et maîtrisée...
Arrivé à ce stade, nous pouvons prendre un peu de recul pour mieux saisir d'autres détails, avant de poursuivre vers d'autres investigations... Comme Preah Vihear (Nord du Cambodge), un des sites situés à 10 000 km du point en Alaska, qui dénote une architecture d'une longueur d'1 km orienté exactement Nord-Sud :
Et ainsi, nous pouvons d'ors et déjà constater une vraisemblance de plus en plus flagrante : il y a homothétie entre Angkor Wat, le pyramidion de Daschour, "l'équateur penché" et la grande pyramide de Gizeh !
Et oui ! Car nous constatons que la partie rectangulaire d'Angkor Wat, entourée d'eau, à un périmètre de 4 km !
Une longueur de cette partie interne fait 1,10 km, qui multiplié par 4 donne 440, chiffre faisant rappeler à un côté de la grande pyramide de Gizeh qui est de 440 coudées !
Et dans ces 4 km (4 000 m), en additionnant 2 longueurs (1,10 km X 2 = 2,20 km) avec 1 largeur (0,94 km), nous trouvons 6000 coudées, soit Pi kilomètres !
De plus, l'aire de cette partie interne fait 1 km² !
L'aire totale (1,57 km X 1,27 km = 2 km²) moins l'aire de la partie interne (1 km²), donne une aire de 1 km² pour l'eau autour de cette partie interne, communément appelé douve !
Constatons aussi les mesures de la muraille externe à l'intérieur de ces 4 km, entourant le site :
Soit, 1 km de muraille pour la longueur, et la moitié de Phi (1,618 / 2 = 0,809) pour chaque largeur, donnant un périmètre de 3,62 km (1 + 1 + 0,809 + 0,809), et qui semble vouloir désigner l'Ouest, car comme la grande pyramide de Gizeh, Angkor Wat est parfaitement orienté !
En nous rapprochant un peu plus encore du centre de ce site, constatons également que les trois chambres de la grande pyramide peuvent être mises en parallèle avec les trois galeries formant trois enceintes qui enserrent le temple central :
... ou nous observons une aire de Phi km² pour la moitié de la petite enceinte (triangle noir),
une aire de 10 km² pour l'enceinte centrale (rectangle rouge),
et une aire de Phi X 10 km² pour la moitié de la plus grande enceinte ! (triangle violet).
Des dimensions que nous pouvons retrouver sur celle de la grande pyramide de Gizeh sous d'autres angles...
ANGKOR THOM
Une incroyable architecture se révèle aussi sur la structure d'Angkor Thom, et qui n'est pas sans rappeler, là aussi, une "mise en place de terrain" avant d'élaborer les temples...
...tout comme pour les pyramides de Gizeh et les quelques 60 000 m² de blocs/puzzle pour socle de maintien :
Angkor Thom se manifeste également par ses dimensions, comme par exemple : un carré de Pi kilomètre de côté ! (3,14 km)
On s'aperçoit en toute logique que la longueur d'Angkor Wat correspond à la moitié d'un côté d'Angkor Thom :
De plus, nous nous apercevons qu'il y a une "canalisation" par l'eau entre eux, et même "relié" sur d'autres sites et temples !
Peut-on y voir un circuit laissant penser à une importante connexion ?
Peut-être un appareillage pour obtenir de l'eau facilement pour les besoins primaires, et peut-être aussi pour se "brancher" sur un réseau de communication ?
Plusieurs fonctions et dispositifs semblent opérer, tout comme la grande pyramide sur le plateau de Gizeh, car Angkor Wat avec sa longueur (1,57 km) et sa largeur (1,27 km) est entouré d'eau tout comme notre planète Terre qui, comme on le sait, n'est pas tout à fait ronde, mais ovale...
Les équinoxes n'ont-ils pas un rôle important dans tous ces éléments, du fait d'avoir tous ces sites axés exactement Nord/Sud/Est/Ouest visant la constellation du Dragon ?
Car à priori, la constellation du Dragon qui correspond à quelques emplacements sur Angkor ne semble pas être la seule, car elle serait chevauché par la constellation de Persée (allégorie de la mythologie grecque ?) :
Des "sourires" aussi sont exactement positionnés sur la latitude et longitude, comme pour pointer des constellations au loin, dessinant une croix, précisant un endroit peut-être bien stratégique... Quels sourires ?
Les "sourires" sont un choix qui semble anodin sur le visage des statues de pierre du "Bayon", temple au centre du complexe d'Angkor Thom.
Lorsque l'on s'interroge sur la décision de tailler des "zigomatiques", on va devoir se dire en vérité qu'ils ne sont pas si insignifiant...
L'effet voulu sur ceux qui les regarde se veut donc dans un intérêt utile, notamment de pacifier, de tranquilliser, voir de rassurer... et cela pour répondre à toutes les questions que l'on peut se poser !
Religieusement, philosophiquement, matériellement, spirituellement, ...tout semble être résolu dans un simple sourire qui répond quelque part que... oui, ce n'est pas problématique, quoi qu'il en est, quoi qu'il en soit, ce n'est qu'une question de... connaissance, donc de lucidité, de "savoir vivre", de conscience et de... sourire !
Un sourire donne à l'âme un éclat de lumière qui mène au chemin de la sérénité !
Tels sont ce que proposent tous ces "différents" sourires qui ne sont pas moqueurs, lorsque l'on se trouve à l'entrée des différents endroits du "temple de la quiétude", en réponse au monde terrible que l'on peut connaître tous plus ou moins, chacun dans la considération de sa "vie"...
Avec attention, on voit que tel ou tel sourire propose un "entrain" que l'on doit "réceptionner" selon ce qu'il présente, mais aussi dans la façon dont on perçoit les expressions...
La perfection de l'expression ne peut que nous éveiller sur les "traits" que veut signifier l'éloquence de l'attitude faciale si artistiquement façonnée...
Pour s'apercevoir s'il y a perfection ou non, il faut se rappeler des questionnements de Patrice Pooyard quant à la conception de ces "portraits" !
En effet, rappelons-nous du livre-film "Gizeh 2005" qui en parle, et de la question que Patrice Pooyard pose : "comment" et "grâce à quel outil" ? Qu'il illustre et qu'il appuie par une étude faîte par Chris Dunn sur la "symétrie" du visage d'une grande statue égyptienne, accordée à Ramsès II :
Alors que par ailleurs, les visages de Rapanui (Ile de Pâques) semblent être tous les mêmes, que ceux accordés à "Ramsès II" semblent aussi être les mêmes, nous constatons que les différents faciès au "Bayon" sont discordant, sauf... si on s'arrête sur une tête à 4 facettes !
En effet, cela se distingue d'une tête à l'autre lorsque que c'est d'un statuaire à l'autre, mais un visage sur une même statue est refait 4 fois vers 4 directions parfaitement orientées, et tout en gardant la "même apparence" et les "mêmes configurations physiques", avec sa "même influence esthétique" !
Répétons clairement : une tête à 4 faces tout à fait identiques !
Par exemple celui-ci :
...où nous voyons un "tracé" qui épouse bien le contour des lèvres sur un large sourire où la ressemblance est évidente, où il faut comparer également l'ensemble expressif "si souriant" pour ces deux faces d'une même pièce :
La suivante montre bien sur les mêmes deux visages, une lèvre inférieure qui semble plus proéminente et plus "en avant", que sur les autres statuaires :
Sur les deux illustrations qui suivent, nous remarquons un trait de visage plus "négroïde" avec des lèvres plus larges (voir sur la première photo, les deux visages côté droit, puis sur la seconde photo, les deux visages côté gauche), un nez plus épais, laissant une "beauté de caractère" qui se remarque encore plus facilement sur trois côtés de ce même "ensemble" :
Après ses remarquables "parallèles", on peut s'interroger sur la "découpe" et la "mise en place" de ces statues.
Remarquons que cette découpe est similaire aux murs que l'on peut trouver sur différents sites antiques aux 4 coins du monde (abordé dans le film et le livre-CD), "taille" permettant d'après quelques scientifiques d'ailleurs, une meilleure résistance aux secousses, notamment aux séismes...
Faisons une petite conclusion correspondant donc à celle de Patrice Pooyard sur l'évocation de la tête de Ramsès II et de sa symétrie, à savoir que la "technologie" permettant de "façonner" les statues du "Bayon", reste "de même" belle et bien inconnue !
Il faut bien voir comme par exemple sur ce "masque" au sourire placide, que chaque "roc" du visage sont différents, tel un puzzle en trois dimensions !
Est-ce qu'il y a eu un "ciselage" après le "façonnage" si extraordinairement précis du visage ?
Dans ce cas, n'aurait-il pas été plus aisé de couper bien droit pour faciliter l'assemblage ?
Observons aussi que l'assemblage ne nécessite d'aucun ciment !
Dans l'autre cas, s'il n'y a pas eu de découpe "après" avoir fait le visage, mais un modelage "avant", comment le façonne-t-on avec un assemblage de blocs prédécoupé en puzzle 3D ?
A-t-on pensé au poids même de chaques "morceaux" ?
Car remarquons que, de toutes ces suppositions, il n'y a pas d'outils à notre époque pour "reproduire une ou plusieurs fois", une seule de ces statues telles quelles en puzzle ! Logiciels 3D compris !
Au mieux, un "géopolymère", dont le spécialiste professeur Davidovits ayant la meilleure thèse en la matière, se ferait en autant de "moule" que de différents visages ? Et de quelle matière seraient-elles alors modelées ?
Le mystère est bien profond !
Alors que l'illustration suivante est déjà effroyable de "conception" par la symétrie ET la reproduction d'un même visage "sans expression" :
Et vraiment, au-delà d'une fantastique et grande technologie "inconnue" au vu de ces "bâtis" reproduit en "plusieurs modèles, et multipliés plusieurs fois", il y a dans l'expression de ces visages une lueur encore plus extraordinaire...
Un tel travail ne peut pas passer inaperçu pour l'oeil qui aime la beauté et la sincérité de l'être humain et donc, ne peut pas rater cette éloquence incarnée, principalement concernant les visages de ce temple nommé "Bayon", au centre d'Angkor Thom !
Parce que l'expression est si "humaine", si "consciente", tout en étant volontairement "spécifique" dans son archétype, avec une telle sérénité, accompagnée de joie contenue dans un sourire aux lèvres clos, de vie ferme dans une simple mimique... de bonheur en somme, que cela résulte d'un paradoxe... parce qu'inouï et suffocant de réalisation sur une roche si "marquée", et accompli pour l'éternité... !
En clair, reproduire un même "trait" ou une même forme, est une chose, mais y rajouter un "état d'esprit caractérisé d'humanité et d'éveil" d'ailleurs rarement si significatif, en est une autre !
Un jet d'éloquence sur sculpture, ailleurs guère si brillant dans les yeux, jamais si éclatant dans un sourire...
Une vigueur qui se retrouve pourtant, dans tous les différents visages...
Une telle béatitude sur "pièce" est un acquis qui n'est pas vraiment étonnant de remarquer, dans un pays tel que le Cambodge dont la majorité des habitants sont adepte du bouddhisme, un peu moins d'hindouisme et autres pratiques religieuses...
Pas étonnante certes, mais si finement "exulté" que cela, nous laisse sans voix... et discrètement gravé sur de la "pierre", avec au front un losange symbolisant le... diamant ! Un emplacement indiquant l'importance de la pensée, de la prise de conscience, de l'intuition, de la lucidité, d'une sagesse profonde... joyau dont la nécessité est également une exigence de clarté, limpidité, précision, beauté... proprement : d'une belle âme !
On peut légitimement se demander s'il n'y aurait pas un héritage antique d'une "gnose universelle", fondée sur ce souffle divin qui habite en chaque être humain, un hermétisme qui ne se dit, ni ne se fait, qu'artistiquement ouvragé, une nature en oeuvre d'art donnant vie... évidemment apuré de toute psychologie moribonde à caractère déviant ou sectaire !
Voir que cette "générosité" s'offre, via ces "candides estampes", à qui veut le voir, et au-delà encore, en se proposant d'être exemplaire !
En effet, de telles "maîtrises" pas seulement dans la "technique" mais aussi dans la "mystique" permet de lier "harmonieusement", la "science" d'avec la "croyance" fondée sur de la réalité !
Simplement en considérant que l'un comme l'autre, ne peuvent pas se contredire dans les faits, puisqu'en exemple, le "sourire" est autant en une forme "caractéristique" que dans le fond de la "psyché" !
En clair, toute matière a son esprit ! Mais si la matière change et diffère, l'esprit reste le même ! Un sourire quel qu'il soit, garde son sourire !
Car certaines attitudes sont à l'exact contraire du "don" qu'est le simple sourire en Angkor...
Parce que ces "sculptures" au Bayon d'Angkor Thom donne l'exemple d'une science "offerte" à l'humanité, qui en plus, apporte le progrès comme cela se doit d'être !
Car le rôle de la science n'est-elle pas justement d'être ouverte, et de permettre aux recherches d'évoluer à travers un objectif noble, qui est le bien de l'être humain, de sa nature, et de la nature même de tout ce qui est vivant, sans être enfermé dans un cadre qui "police" les directions à prendre, en les arrêtant dans leur élan, tout en forçant cette soumission d'un certain ordre à être mortifère !
Une "contribution" par gravure de "l'Histoire" comme ici à Angkor, ne doit-elle pas apporter précisément une "expérience" pour de meilleurs lendemains ?
Une "géopolitique" ne doit-elle pas se fonder sur la réalité des faits, pour s'orienter et adopter le bon comportement, selon le besoin d'ici et/ou de là-bas ?
Il faut pour cela "déjà" prendre la mesure et la signification du "sourire", cette seule satisfaction que l'on doit attendre suite à notre offrande, car il traduit le "partage" dans une solidarité, d'un ensemble ne faisant qu'un, d'une communauté du "vivre ensemble", d'une société à géométrie maîtrisée, équilibrée selon les possibilités naturelles, la puissance de l'union du vivant, pour ne donner que le "sourire" à ceux qui n'en ont pas encore...
Car y a-t-il de plus grand, plus beau et noble objectif dans la vie d'un être humain, que de donner vie à soi ET aux autres dans de justes et méritoires proportions, avec "sourire", sachant le "peu de vie" qui nous est destinée sur terre ?
Ou "vivre" signifie-t-il "chacun pour soi" et "Dieu pour tous" ?
Un "égoïsme", qui ne dit pas son nom, est pourtant facilement identifiable ! En prenant connaissance de l'existence des groupes existants et organisés selon leurs intérêts politiques, idéologiques, religieux, économiques, impérialistes ...nous pouvons savoir qu'est-ce qui est fait, comment, à quel degré, et à qui profite le crime ! Une méthodologie sélective des accords ou schismes permet de préciser les nuances possibles et les relations impossibles... auxquelles il faut répondre respectueusement, avec une intelligence qui voit et qui agit, rétablissant l'ici et maintenant, comme pour là-bas et après...
Ceux qui cautionnent et profitent d'un establishment autoritaire déjà en place, ne peuvent connaître que la douleur de l'enfer, car la justice vient toujours tôt ou tard, d'une manière ou d'une autre, rétrocéder les mérites à qui de droit !
Les solutions se dessinent donc sans naïveté, sur le visage de celui qui s'épanouit dans le "sourire", et qui ne s'entend pas seulement en apparence, car un sourire, c'est aussi un geste, une caresse, tendre la main aux nécessiteux, donner un peu de son temps...
C'est l'entrée d'un temple, dont le coeur ne se retrouve en "félicité" que par l'engagement utile, par la quête du vrai, dirigé vers un juste et bon firmament, orienté par un ciel cristalisé d'idéaux absolus, ... !
"Soi" est le temple dans lequel se trouve une des portes qui laisse entrevoir un sombre rayon de lumière ! La traverser, c'est déjà découvrir une perfection insoupçonnée, une aspiration providentielle, réalisant qu'il faille aller là où il faut pour se ré-équilibrer, pour obéir et agréer un sublime sentiment d'éternel qui ne se laisse pas voir dans l'extrême ou dans le laxisme...
"Etre ou ne pas être, telle est la question" nous dit Shakespeare, mais suite aux éléments ici, il serait envisageable plutôt de formuler : "apparaître, faire et disparaître, telle est la chanson !"... !
Forcément, qui ne souhaite pas y rester et y participer Angkor, pour découvrir d'autres secrets de notre propre Histoire !
D'accord pour élucider un dernier truc, mais alors un "tour" abracadabrant : un "sommet pyramidal" dont les parfums s'échappent des parois par l'effet de tous nos brillants sourires intérieurs, et ainsi montant vers des nuées, à la découverte d'inconnues réalités d'extases indicibles :
Epilogue : Lors de sa 2ème interview sur LGCTV, Patrice Pooyard nous dit bien que la culture en général est importante avec pour exemple la lecture, car l'on n'est jamais suffisament "averti" pour apprendre et comprendre, se réformer et se développer...
Donc, après ces "quelques confidences" plus ou moins bien exposés, que nous réserve Patrice Pooyard pour la future mise en forme cinématographique, et comment saisissons-nous l'importance de l'alchimie pédagogique qu'il met en oeuvre, de par sa modestie, son incomparable expérience et de sa sagesse...
Comme nous le dit Patrice Pooyard, nous ne regarderons plus les choses de la même manière !
Maintenant, c'est certain ! En plus, avec "sourire" !
...oo0O / Δ \ O0oo...
(Cette composition n'est qu'une ébauche qui se veut évolutive vis à vis des "découvertes" et autres "mises à jour".)