Différences entre versions de « Momies de Nazca »

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Voici donc un résumé des informations présentes afin de se faire son propre avis.
 
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== Résumé en vidéo ==
  
== Chronologie de l'affaire des momies de Nazca ==
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<youtube>https://www.youtube.com/watch?v=gO5sFF19n_w</youtube>
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=== Vidéo en bref ===
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* Des momies intrigantes ont été découvertes au Pérou, près de la ville de Nasca, par des pilleurs archéologiques, les huaqueros, et dévoilées au grand jour par l'explorateur français Thierry Jamin.
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* Contrairement aux momies égyptiennes, les momies de Nasca sont des restes biologiques entiers, comprenant leurs organes internes, y compris le cerveau, et même des empreintes digitales.
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* Les momies présentent des caractéristiques physiques inhabituelles, telles que des membres tridactyles, l'absence de glandes mammaires, de poils et de cheveux, ainsi qu'un volume crânien plus important que chez l'Homo sapiens.
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* Différents types de restes momifiés ont été découverts, notamment des êtres humanoïdes de très petite et de grande taille, des crânes momifiés de petite taille, et des mains de grande taille.
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* Des hypothèses ont été avancées concernant l'origine des momies, notamment qu'il s'agisse de contrefaçons contemporaines, de restes biologiques authentiques d'espèces humanoïdes inconnues, ou de contrefaçons précolombiennes réalisées par les peuples locaux antiques.
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* Des analyses approfondies, telles que des datations au carbone 14, des analyses ADN, des scanners et IRM, ont été réalisées pour déterminer la véracité des momies.
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* Les résultats des analyses ont confirmé que les momies de Nasca sont authentiques, bien que certaines aient été sujettes à des manipulations post mortem, et qu'elles sont des êtres humanoïdes d'espèces encore inconnues, avec des caractéristiques génétiques et anatomiques inhabituelles.
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C'est en 2015 qu'est ce que fut découvert au Pérou, au nord de la ville de Nasca, des momies particulièrement intrigantes. Ces découvertes ne furent pas le résultat de recherches archéologiques officielles réalisées par les officines d'État, mais le fruit de pilleurs archéologiques, les huaqueros, des chasseurs de trésors précolombiens originaires de la région et donc connaissant parfaitement les lieux.
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C'est au hasard qu'un dénommé Mario qui permettra de faire éclater au grand jour cette découverte. C'est par l'intermédiaire de Thierry Jamin, un explorateur français spécialiste de la culture précolombienne du Pérou, que ces monuments normes vont être dévoilées au grand jour. Surnommés les reliques du Pérou ou encore les momies tridactyles de Nasca, ces découvertes archéologiques furent toutefois mal interprétées, puisque contrairement à ce que leur dénomination laisse penser, il ne s'agit pas de modifications des corps, comme cela est constaté pour les momies égyptiennes, où les corps étaient vidés de leurs organes internes avant d'être embaumés et protégés afin de traverser les époques.
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Les momies de Nasca sont en réalité des restes biologiques entiers, desséchés, comprenant leurs organes et, dans certains cas, des zones toujours intactes à l'intérieur même de l'organe reproducteur de l'individu. Ces momies possèdent donc leur peau, leurs organes internes, y compris le cerveau, et même des empreintes digitales. L'hypothèse d'êtres humanoïdes reptiliens fut rapidement avancée, compte tenu des premières observations.
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En effet, l'apparence physique générale, les membres tridactyles, l'absence de glandes mammaires, de poils et de cheveux, le volume crânien 19% plus important que chez l'Homo sapiens, associés à la présence d'ovoïdes dans l'abdomen d'une de ces momies, ont directement orienté les observateurs vers cette hypothèse.
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Parmi les différentes parties de ces découvertes qui furent mises à disposition de Thierry Jamin, on dénote quatre types différents de restes momifiés : premièrement, des êtres humanoïdes de très petite taille, mesurant jusqu'à 25 cm de hauteur ; deuxièmement, des êtres humanoïdes de grande taille, pouvant atteindre près d'un mètre soixante-dix ; troisièmement, des crânes momifiés de petite taille ; et enfin, quatrièmement, des mains prises de grande taille, pouvant mesurer jusqu'à 40 cm de long. La présence d'un plan métallique fut également démontrée sur certaines momies, tout comme sur certaines des grandes mains tridactyles.
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Thierry Jamin décida donc de dévoiler ses découvertes au grand jour et de ne pas les laisser disparaître sur le marché noir, afin que ces vestiges archéologiques ne finissent pas dissimulés dans des collections privées, et que, dans l'éventualité où il s'agirait bien de restes biologiques authentiques, les différentes disciplines scientifiques puissent étudier ces spécimens afin d'en découvrir toute la vérité.
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Trois hypothèses se présentaient alors concernant les momies de Nasca :
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* soit il s'agissait de contrefaçons contemporaines fabriquées par les acquéreurs afin de s'enrichir frauduleusement,
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* soit nous étions face à des restes biologiques authentiques d'espèces humanoïdes inconnues exogènes au terrestre,
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* soit les momies de Nasca sont des contrefaçons précolombiennes réalisées par les peuples locaux antiques dans le cadre de rituels religieux, par exemple.
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Mais l'intégralité de la communauté scientifique, tout comme les organismes d'État, rejetèrent le sujet sans même l'avoir étudié, proclamant haut et fort que ces découvertes ne pouvaient pas être authentiques et qu'il s'agissait de fausse nouvelles, de canulars et de fraude visant à faire le buzz et à l'enrichissement personnel de Thierry Jamin.
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Les innombrables détracteurs mirent en avant toutes sortes de théories afin d'expliquer ce qu'ils considéraient d'ores et déjà comme une imposture. Il fut par exemple expliqué que les petits crânes momifiés furent créés à partir de crânes de chats modifiés pour leur donner l'apparence de crânes exogènes momifiés, ou bien que les différenciations digitales de ces momies n'étaient que le résultat de mutilation et de chirurgie visant à produire artificiellement des membres tridactyles.
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En 2017, un financement participatif fut donc mis en place afin de permettre l'analyse approfondie de ces momies. Le but était de pouvoir réaliser, par des laboratoires indépendants, des datations au carbone 14, des analyses ADN, mais également des scanners et IRM de ces différents restes biologiques afin d'en déterminer la véracité. Ces recherches et analyses étaient indispensables afin de déterminer si les momies de Nasca étaient de simples contrefaçons réalisées par des fraudeurs, ou bien s'il s'agissait de réels restes biologiques d'entités humanoïdes ne correspondant pas aux critères que nous connaissons aujourd'hui.
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L'engouement du public et des personnes passionnées par le sujet permit de recueillir une grande partie de la somme nécessaire, et le 19 novembre 2018, les résultats furent officiels : les momies de Nasca sont authentiques.
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Les radiographies, scanners et analyses ADN de ces restes biologiques sont formels : il s'agit bel et bien de créatures biologiques humanoïdes inconnues. Il faut toutefois noter certains bémols. En effet, si une partie de ces restes biologiques fut authentifiée, une autre partie put aussi être mise sur le compte de la manipulation. Il fut donc démontré que certaines des momies avaient été mutilées afin d'obtenir des membres tridactyles, par exemple. C'est le cas de la momie nommée Wawita, correspondant à un enfant de 6 à 8 mois, qui arbore des mains et pieds tridactyles, mais vraisemblablement issus de mutilation post mortem.
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Ce procédé pourrait s'expliquer par un rituel visant à faire ressembler le défunt à une entité divinisée, par exemple. On notera quand même que le volume crânien de Wawita est toutefois 19% plus développé que celui d'un Homo sapiens du même âge. Si les multiples analyses réalisées entre 2017 et 2018 ont permis de mettre au jour les manipulations extérieures et éventuelles amputations réalisées sur les corps momifiés, elles ont également permis d'authentifier ces entités comme étant des êtres humanoïdes d'espèces encore inconnues. On notera que dans le cas de la momie nommée Josefina, les scanners HD et les IRM ont démontré non seulement la présence d'organes reproducteurs complets toujours présents dans le corps, mais également la présence de quatre œufs toujours situés à l'intérieur, ce qui appuie l'hypothèse que ces individus soient issus de la lignée des reptiles et non des mammifères.
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Les datations au carbone 14 sont certainement les résultats les moins enrichissants de ce dossier, puisque très variables. Il s'étend de moins 1700 à -7 millions, et ferait donc partir ces reliques de l'époque précolombienne pour les plus récents, jusqu'à une époque précise méconnue pour les plus anciens.
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Les scanners HD et IRM ont également démontré l'authenticité de certaines des momies de Nasca, en apportant la preuve par l'image qu'aucune cicatrice ni aucune opération n'avaient eu lieu sur les corps examinés. De plus, la présence de peau, de muscles, de tendons, de cartilage et d'os parfaitement placés, étant soumis aux effets physiques de l'assèchement des tissus lors de la momification, rend impossible la fabrication de certains de ces corps. De plus, les scanners HD ont dévoilé la présence d'appareils reproducteurs complets abritant même, dans le cas de la momie nommée Josefina, quatre œufs.
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Les analyses des implants métalliques retrouvés sur les mains tridactyles, ainsi que sur certaines des momies, ont démontré la présence d'alliage de métaux précieux, notamment de l'or, de l'argent et du cuivre, mais aucun minerai inconnu ne fut détecté. La nature, tout comme la fonction de ces différents implants métalliques, n'ont pas non plus trouvé d'explication.
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Mais le plus attendu et le plus parlant des résultats est bien évidemment celui des analyses ADN de ces reliques du Pérou. Trois analyses distinctes ont été réalisées par trois laboratoires indépendants, et leurs résultats sont sans appel. Si les valeurs des résultats varient légèrement d'une entité à l'autre, une moyenne peut toutefois être mise en avant.
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Si nous prenons l'exemple de la momie nommée Maria, le spécimen le plus grand, mesurant près d'un mètre soixante-dix, les analyses ADN ont démontré que près de 30% de son génome était semblable à celui de notre espèce, l'homme Homo sapiens sapiens. Par comparaison, il est important de rappeler que nous avons, par exemple, plus de 98% de gènes en commun avec le chimpanzé. Concernant les 70% du génome restant de Maria, près de 20% correspond à de la contamination.
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Il faut comprendre par là que 20% de l'ADN présent et analysé correspond à des bactéries, des virus ou des micro-organismes, soit présents lors de la décomposition et de l'assèchement des corps, soit propres et la nature vivante des individus tout comme nos intestins regorgent de bactéries nous permettant d'assimiler les nutriments de notre alimentation.
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Ces 20 pour cent du génome qui ne sont pas lié directement à l'individu est assez caractéristique de son environnement.
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Concernant les 50% d'adr restants les analyses ont été menées en les comparant avec l'intégralité du génome référencés à ce jour pour ce faire les scientifiques ont utilisé le blast une banque de données internationale comprenant plus d'un million d'espèces référencées et le résultat fut que les 50% des ADN restants sont tout simplement inconnu cela ne signifie pas forcément que ces entités souhaite extraterrestre mais juste que par rapport aux données actuellement enregistrées dans le blast – la banque de données génétiques mondialement utilisé - aucun gènes correspond à une espèce terrestre connue
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Il serait parfaitement possible que dans quelques années quand d'autres espèces auront été répertoriés dans le blast tous partie des 50% d'ADN restant de maria et des autres momies dans ce cas soit reconnue, mais avec les connaissances actuelles nous ne sommes pas en mesure de proclamer son origine ou une quelconque ressemblance quoi qu'il en soit.
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Depuis le 19 novembre 2018, il est officiellement admis que les momies donné ce cas ne sont ni des contrefaçons ni des impostures. Il s'agit bel et bien d'entités biologiques non humaines relevant d'espèces inconnues et compte tenu de leur volume crânien il est parfaitement admis que ces espèces étaient très intelligentes et donc potentiellement avancées.
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Mais attention il n'a jamais été démontré que ces momies du Pérou soit la preuve de présence sur terre d' entité extraterrestre.
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En effet, si cela reste une possibilité, il est toutefois loin aussi probable que ces espèces inconnues d'humanoïdes non humains soient des espèces originaires de notre planète, au même titre que Cro-Magnon, Néandertal, par exemple.
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En attendant de nouveaux résultats venant appuyer ceux qui ont déjà été publiés, il est désormais certain que les momies de Nasca sont authentiques et que nous avons désormais la preuve scientifique que d'autres espèces d'humanoïdes ont été présentes sur notre planète dans le passé.
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== Chronologie ==
  
 
Petit résumé de la chronologie des événements:
 
Petit résumé de la chronologie des événements:
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* En octobre 2016, Thierry Jamin est contacté par des pilleurs de tombes de la côte sud du Pérou, révélant la découverte d'étranges objets momifiés dans le désert de Nazca.
 
* En octobre 2016, Thierry Jamin est contacté par des pilleurs de tombes de la côte sud du Pérou, révélant la découverte d'étranges objets momifiés dans le désert de Nazca.
* En mars 2018, le magazine Ikaris publie un article complet sur les momies de Nazca.
 
* Le 28 janvier 2018, l'émission "66 Minutes" sur la chaîne M6 présente pour la première fois l'affaire des momies de Nazca.
 
 
* Fin décembre 2017, les analyses ADN, C14, etc. du matériel biologique et des matériaux non biologiques se poursuivent.
 
* Fin décembre 2017, les analyses ADN, C14, etc. du matériel biologique et des matériaux non biologiques se poursuivent.
 
* Le 29 novembre 2017, une radiographie du nouveau matériel biologique est réalisée avec le Dr Edson Salazar Vivanco.
 
* Le 29 novembre 2017, une radiographie du nouveau matériel biologique est réalisée avec le Dr Edson Salazar Vivanco.
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* Le 28 janvier 2018, l'émission "66 Minutes" sur la chaîne M6 présente pour la première fois l'affaire des momies de Nazca.
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* En mars 2018, le magazine Ikaris publie un article complet sur les momies de Nazca.
 
* Le 11 juillet 2018, une proposition de loi est faite pour la déclaration d'intérêt historique et culturel et l'étude des momies humanoïdes de Nazca.
 
* Le 11 juillet 2018, une proposition de loi est faite pour la déclaration d'intérêt historique et culturel et l'étude des momies humanoïdes de Nazca.
 
* Le 7 août 2018, des CT-Scans HD sont réalisés sur Maria, Josefina et Wawita.
 
* Le 7 août 2018, des CT-Scans HD sont réalisés sur Maria, Josefina et Wawita.
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* En décembre 2018, les résultats d'analyses sont présentés au Congrès de la République du Pérou sous l'égide du congressiste Armando Villanueva Mercado.
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* En novembre 2019, une conférence de presse exceptionnelle est organisée à l'Université Nationale San Luis Gonzaga de Ica, officialisant la récupération de quatre des "momies tridactyles de Nasca".
 
* Le 13 septembre 2023, des radiographies et des scanners sont réalisés en direct dans un hôpital de Mexico, confirmant l'authenticité de 2 spécimens.
 
* Le 13 septembre 2023, des radiographies et des scanners sont réalisés en direct dans un hôpital de Mexico, confirmant l'authenticité de 2 spécimens.
 
* Le 7 novembre 2023, lors de la deuxième audience au Congrès de la République du Mexique, l'UNICA rend son rapport préliminaire entérinant l'authenticité des corps desséchés, signé par 11 experts ayant participé aux recherches.
 
* Le 7 novembre 2023, lors de la deuxième audience au Congrès de la République du Mexique, l'UNICA rend son rapport préliminaire entérinant l'authenticité des corps desséchés, signé par 11 experts ayant participé aux recherches.
 
*  Le 14 novembre 2023, Thierry Jamin participe à une émission sur NureaTV pour faire le point sur les résultats des recherches sur les momies de Nazca au Congrès de la République du Mexique.
 
*  Le 14 novembre 2023, Thierry Jamin participe à une émission sur NureaTV pour faire le point sur les résultats des recherches sur les momies de Nazca au Congrès de la République du Mexique.
*  En novembre 2019, une conférence de presse exceptionnelle est organisée à l'Université Nationale San Luis Gonzaga de Ica, officialisant la récupération de quatre des "momies tridactyles de Nasca".
 
*  En décembre 2018, les résultats d'analyses sont présentés au Congrès de la République du Pérou sous l'égide du congressiste Armando Villanueva Mercado.
 
  
  
=== Financement participatif ===
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=== Financement participatif de mars 2017 ===
  
 
https://fr.ulule.com/alien-project/
 
https://fr.ulule.com/alien-project/

Version actuelle datée du 20 novembre 2023 à 22:05

La momie nommée "Maria" agée de ~1700 ans

En 2012, de mystérieuses momies non humaines ont été découvertes par des "huaqueros", des pilleurs de tombes, des personnes qui se livrent à des fouilles archéologiques clandestines.

En octobre 2016, Thierry Jamin, chercheur et explorateur français vivant au Pérou, est contacté par des pilleurs de tombes, ou "huaqueros", de la côte sud du Pérou. Ces derniers lui révèlent les étranges objets momifiés découverts dans un lieu secret du désert de Nazca.

L'affaire prend à ce moment une grande ampleur médiatique. Convaincus de la réalité des faits, Thierry Jamin et son groupe lancent un financement participatif pour financer les études de ces momies.

"La famille" 3 momies d'environ 40cm


Ce sont d'étranges momies humanoïdes, aux têtes allongées et aux mains à trois doigts. La datation au C14 donne un âge qui varie entre 1700 ans et 1100 suivant les momies.

Les passionnés d'Ufologie voient là une preuve de l'existence d'extra-terrestre, les détracteurs y voient là une imposture, des "poupées" créée à partir de pièces biologiques.

Et les sceptiques ouvert d'esprit y voient peut être là une nouvelle espèces non connue. (la découvertes des dinosaures a été très controversée en son temps)

Voici donc un résumé des informations présentes afin de se faire son propre avis.

Résumé en vidéo

Vidéo en bref

  • Des momies intrigantes ont été découvertes au Pérou, près de la ville de Nasca, par des pilleurs archéologiques, les huaqueros, et dévoilées au grand jour par l'explorateur français Thierry Jamin.
  • Contrairement aux momies égyptiennes, les momies de Nasca sont des restes biologiques entiers, comprenant leurs organes internes, y compris le cerveau, et même des empreintes digitales.
  • Les momies présentent des caractéristiques physiques inhabituelles, telles que des membres tridactyles, l'absence de glandes mammaires, de poils et de cheveux, ainsi qu'un volume crânien plus important que chez l'Homo sapiens.
  • Différents types de restes momifiés ont été découverts, notamment des êtres humanoïdes de très petite et de grande taille, des crânes momifiés de petite taille, et des mains de grande taille.
  • Des hypothèses ont été avancées concernant l'origine des momies, notamment qu'il s'agisse de contrefaçons contemporaines, de restes biologiques authentiques d'espèces humanoïdes inconnues, ou de contrefaçons précolombiennes réalisées par les peuples locaux antiques.
  • Des analyses approfondies, telles que des datations au carbone 14, des analyses ADN, des scanners et IRM, ont été réalisées pour déterminer la véracité des momies.
  • Les résultats des analyses ont confirmé que les momies de Nasca sont authentiques, bien que certaines aient été sujettes à des manipulations post mortem, et qu'elles sont des êtres humanoïdes d'espèces encore inconnues, avec des caractéristiques génétiques et anatomiques inhabituelles.


Transcription automatique de la vidéo

C'est en 2015 qu'est ce que fut découvert au Pérou, au nord de la ville de Nasca, des momies particulièrement intrigantes. Ces découvertes ne furent pas le résultat de recherches archéologiques officielles réalisées par les officines d'État, mais le fruit de pilleurs archéologiques, les huaqueros, des chasseurs de trésors précolombiens originaires de la région et donc connaissant parfaitement les lieux.

C'est au hasard qu'un dénommé Mario qui permettra de faire éclater au grand jour cette découverte. C'est par l'intermédiaire de Thierry Jamin, un explorateur français spécialiste de la culture précolombienne du Pérou, que ces monuments normes vont être dévoilées au grand jour. Surnommés les reliques du Pérou ou encore les momies tridactyles de Nasca, ces découvertes archéologiques furent toutefois mal interprétées, puisque contrairement à ce que leur dénomination laisse penser, il ne s'agit pas de modifications des corps, comme cela est constaté pour les momies égyptiennes, où les corps étaient vidés de leurs organes internes avant d'être embaumés et protégés afin de traverser les époques.

Les momies de Nasca sont en réalité des restes biologiques entiers, desséchés, comprenant leurs organes et, dans certains cas, des zones toujours intactes à l'intérieur même de l'organe reproducteur de l'individu. Ces momies possèdent donc leur peau, leurs organes internes, y compris le cerveau, et même des empreintes digitales. L'hypothèse d'êtres humanoïdes reptiliens fut rapidement avancée, compte tenu des premières observations.

En effet, l'apparence physique générale, les membres tridactyles, l'absence de glandes mammaires, de poils et de cheveux, le volume crânien 19% plus important que chez l'Homo sapiens, associés à la présence d'ovoïdes dans l'abdomen d'une de ces momies, ont directement orienté les observateurs vers cette hypothèse.

Parmi les différentes parties de ces découvertes qui furent mises à disposition de Thierry Jamin, on dénote quatre types différents de restes momifiés : premièrement, des êtres humanoïdes de très petite taille, mesurant jusqu'à 25 cm de hauteur ; deuxièmement, des êtres humanoïdes de grande taille, pouvant atteindre près d'un mètre soixante-dix ; troisièmement, des crânes momifiés de petite taille ; et enfin, quatrièmement, des mains prises de grande taille, pouvant mesurer jusqu'à 40 cm de long. La présence d'un plan métallique fut également démontrée sur certaines momies, tout comme sur certaines des grandes mains tridactyles.

Thierry Jamin décida donc de dévoiler ses découvertes au grand jour et de ne pas les laisser disparaître sur le marché noir, afin que ces vestiges archéologiques ne finissent pas dissimulés dans des collections privées, et que, dans l'éventualité où il s'agirait bien de restes biologiques authentiques, les différentes disciplines scientifiques puissent étudier ces spécimens afin d'en découvrir toute la vérité.

Trois hypothèses se présentaient alors concernant les momies de Nasca :

  • soit il s'agissait de contrefaçons contemporaines fabriquées par les acquéreurs afin de s'enrichir frauduleusement,
  • soit nous étions face à des restes biologiques authentiques d'espèces humanoïdes inconnues exogènes au terrestre,
  • soit les momies de Nasca sont des contrefaçons précolombiennes réalisées par les peuples locaux antiques dans le cadre de rituels religieux, par exemple.


Mais l'intégralité de la communauté scientifique, tout comme les organismes d'État, rejetèrent le sujet sans même l'avoir étudié, proclamant haut et fort que ces découvertes ne pouvaient pas être authentiques et qu'il s'agissait de fausse nouvelles, de canulars et de fraude visant à faire le buzz et à l'enrichissement personnel de Thierry Jamin.

Les innombrables détracteurs mirent en avant toutes sortes de théories afin d'expliquer ce qu'ils considéraient d'ores et déjà comme une imposture. Il fut par exemple expliqué que les petits crânes momifiés furent créés à partir de crânes de chats modifiés pour leur donner l'apparence de crânes exogènes momifiés, ou bien que les différenciations digitales de ces momies n'étaient que le résultat de mutilation et de chirurgie visant à produire artificiellement des membres tridactyles.

En 2017, un financement participatif fut donc mis en place afin de permettre l'analyse approfondie de ces momies. Le but était de pouvoir réaliser, par des laboratoires indépendants, des datations au carbone 14, des analyses ADN, mais également des scanners et IRM de ces différents restes biologiques afin d'en déterminer la véracité. Ces recherches et analyses étaient indispensables afin de déterminer si les momies de Nasca étaient de simples contrefaçons réalisées par des fraudeurs, ou bien s'il s'agissait de réels restes biologiques d'entités humanoïdes ne correspondant pas aux critères que nous connaissons aujourd'hui.

L'engouement du public et des personnes passionnées par le sujet permit de recueillir une grande partie de la somme nécessaire, et le 19 novembre 2018, les résultats furent officiels : les momies de Nasca sont authentiques.

Les radiographies, scanners et analyses ADN de ces restes biologiques sont formels : il s'agit bel et bien de créatures biologiques humanoïdes inconnues. Il faut toutefois noter certains bémols. En effet, si une partie de ces restes biologiques fut authentifiée, une autre partie put aussi être mise sur le compte de la manipulation. Il fut donc démontré que certaines des momies avaient été mutilées afin d'obtenir des membres tridactyles, par exemple. C'est le cas de la momie nommée Wawita, correspondant à un enfant de 6 à 8 mois, qui arbore des mains et pieds tridactyles, mais vraisemblablement issus de mutilation post mortem.

Ce procédé pourrait s'expliquer par un rituel visant à faire ressembler le défunt à une entité divinisée, par exemple. On notera quand même que le volume crânien de Wawita est toutefois 19% plus développé que celui d'un Homo sapiens du même âge. Si les multiples analyses réalisées entre 2017 et 2018 ont permis de mettre au jour les manipulations extérieures et éventuelles amputations réalisées sur les corps momifiés, elles ont également permis d'authentifier ces entités comme étant des êtres humanoïdes d'espèces encore inconnues. On notera que dans le cas de la momie nommée Josefina, les scanners HD et les IRM ont démontré non seulement la présence d'organes reproducteurs complets toujours présents dans le corps, mais également la présence de quatre œufs toujours situés à l'intérieur, ce qui appuie l'hypothèse que ces individus soient issus de la lignée des reptiles et non des mammifères.

Les datations au carbone 14 sont certainement les résultats les moins enrichissants de ce dossier, puisque très variables. Il s'étend de moins 1700 à -7 millions, et ferait donc partir ces reliques de l'époque précolombienne pour les plus récents, jusqu'à une époque précise méconnue pour les plus anciens.

Les scanners HD et IRM ont également démontré l'authenticité de certaines des momies de Nasca, en apportant la preuve par l'image qu'aucune cicatrice ni aucune opération n'avaient eu lieu sur les corps examinés. De plus, la présence de peau, de muscles, de tendons, de cartilage et d'os parfaitement placés, étant soumis aux effets physiques de l'assèchement des tissus lors de la momification, rend impossible la fabrication de certains de ces corps. De plus, les scanners HD ont dévoilé la présence d'appareils reproducteurs complets abritant même, dans le cas de la momie nommée Josefina, quatre œufs.

Les analyses des implants métalliques retrouvés sur les mains tridactyles, ainsi que sur certaines des momies, ont démontré la présence d'alliage de métaux précieux, notamment de l'or, de l'argent et du cuivre, mais aucun minerai inconnu ne fut détecté. La nature, tout comme la fonction de ces différents implants métalliques, n'ont pas non plus trouvé d'explication.

Mais le plus attendu et le plus parlant des résultats est bien évidemment celui des analyses ADN de ces reliques du Pérou. Trois analyses distinctes ont été réalisées par trois laboratoires indépendants, et leurs résultats sont sans appel. Si les valeurs des résultats varient légèrement d'une entité à l'autre, une moyenne peut toutefois être mise en avant.

Si nous prenons l'exemple de la momie nommée Maria, le spécimen le plus grand, mesurant près d'un mètre soixante-dix, les analyses ADN ont démontré que près de 30% de son génome était semblable à celui de notre espèce, l'homme Homo sapiens sapiens. Par comparaison, il est important de rappeler que nous avons, par exemple, plus de 98% de gènes en commun avec le chimpanzé. Concernant les 70% du génome restant de Maria, près de 20% correspond à de la contamination.

Il faut comprendre par là que 20% de l'ADN présent et analysé correspond à des bactéries, des virus ou des micro-organismes, soit présents lors de la décomposition et de l'assèchement des corps, soit propres et la nature vivante des individus tout comme nos intestins regorgent de bactéries nous permettant d'assimiler les nutriments de notre alimentation.

Ces 20 pour cent du génome qui ne sont pas lié directement à l'individu est assez caractéristique de son environnement.

Concernant les 50% d'adr restants les analyses ont été menées en les comparant avec l'intégralité du génome référencés à ce jour pour ce faire les scientifiques ont utilisé le blast une banque de données internationale comprenant plus d'un million d'espèces référencées et le résultat fut que les 50% des ADN restants sont tout simplement inconnu cela ne signifie pas forcément que ces entités souhaite extraterrestre mais juste que par rapport aux données actuellement enregistrées dans le blast – la banque de données génétiques mondialement utilisé - aucun gènes correspond à une espèce terrestre connue

Il serait parfaitement possible que dans quelques années quand d'autres espèces auront été répertoriés dans le blast tous partie des 50% d'ADN restant de maria et des autres momies dans ce cas soit reconnue, mais avec les connaissances actuelles nous ne sommes pas en mesure de proclamer son origine ou une quelconque ressemblance quoi qu'il en soit.

Depuis le 19 novembre 2018, il est officiellement admis que les momies donné ce cas ne sont ni des contrefaçons ni des impostures. Il s'agit bel et bien d'entités biologiques non humaines relevant d'espèces inconnues et compte tenu de leur volume crânien il est parfaitement admis que ces espèces étaient très intelligentes et donc potentiellement avancées.

Mais attention il n'a jamais été démontré que ces momies du Pérou soit la preuve de présence sur terre d' entité extraterrestre.

En effet, si cela reste une possibilité, il est toutefois loin aussi probable que ces espèces inconnues d'humanoïdes non humains soient des espèces originaires de notre planète, au même titre que Cro-Magnon, Néandertal, par exemple.

En attendant de nouveaux résultats venant appuyer ceux qui ont déjà été publiés, il est désormais certain que les momies de Nasca sont authentiques et que nous avons désormais la preuve scientifique que d'autres espèces d'humanoïdes ont été présentes sur notre planète dans le passé.

Chronologie

Petit résumé de la chronologie des événements: https://www.the-alien-project.com/chronologie/

Voici un résumé en ordre chronologique des événements liés à l'affaire des "Momies de Nazca" :

  • En octobre 2016, Thierry Jamin est contacté par des pilleurs de tombes de la côte sud du Pérou, révélant la découverte d'étranges objets momifiés dans le désert de Nazca.
  • Fin décembre 2017, les analyses ADN, C14, etc. du matériel biologique et des matériaux non biologiques se poursuivent.
  • Le 29 novembre 2017, une radiographie du nouveau matériel biologique est réalisée avec le Dr Edson Salazar Vivanco.
  • Le 28 janvier 2018, l'émission "66 Minutes" sur la chaîne M6 présente pour la première fois l'affaire des momies de Nazca.
  • En mars 2018, le magazine Ikaris publie un article complet sur les momies de Nazca.
  • Le 11 juillet 2018, une proposition de loi est faite pour la déclaration d'intérêt historique et culturel et l'étude des momies humanoïdes de Nazca.
  • Le 7 août 2018, des CT-Scans HD sont réalisés sur Maria, Josefina et Wawita.
  • En décembre 2018, les résultats d'analyses sont présentés au Congrès de la République du Pérou sous l'égide du congressiste Armando Villanueva Mercado.
  • En novembre 2019, une conférence de presse exceptionnelle est organisée à l'Université Nationale San Luis Gonzaga de Ica, officialisant la récupération de quatre des "momies tridactyles de Nasca".
  • Le 13 septembre 2023, des radiographies et des scanners sont réalisés en direct dans un hôpital de Mexico, confirmant l'authenticité de 2 spécimens.
  • Le 7 novembre 2023, lors de la deuxième audience au Congrès de la République du Mexique, l'UNICA rend son rapport préliminaire entérinant l'authenticité des corps desséchés, signé par 11 experts ayant participé aux recherches.
  • Le 14 novembre 2023, Thierry Jamin participe à une émission sur NureaTV pour faire le point sur les résultats des recherches sur les momies de Nazca au Congrès de la République du Mexique.


Financement participatif de mars 2017

https://fr.ulule.com/alien-project/

"Pourquoi des analyses ADN et de datation ?

Les analyses auxquelles nous vous proposons de participer permettront de déterminer :

  • S’il s’agit bien de matériels biologiques, ou non.
  • S’il s’agit d’espèces animales connues, inconnues, ou non identifiées. A moins qu’il ne s’agisse de toute autre chose…

S’il s’agit bien d’une imposture, 100 % des composants de ces corps et organes momifiés devraient, selon toute logique, être identifiés par les analyses.

Mais si ces mêmes reliques appartiennent à un groupe animal inconnu ou à une espèce extérieure à notre planète, les analyses devraient tout aussi logiquement mettre en évidence des « éléments inconnus » pouvant aller de plus de 0% à 100 %."

2018

Tous ces résultats ont été présentés le 19 novembre 2018 au Congrès de la République du Pérou lors d’une réunion de travail conduite par le congressiste Armando Villanueva suivie d’une conférence de presse.

https://www.the-alien-project.com/momies-de-nasca-resultats/#c14

2022

5 oct. 2022 Mirko Tello, traumatologue avec 20 ans d’expérience, expert en chirurgie reconstructrice des mains, confirme l’authenticité des articulations de mains et des pieds de Maria. Cliquer sur l’image pour voir la vidéo (seulement en espagnol avec sous-titrage automatique) Janv. 2022 L’équipe de l’Institut Inkarri étudie un nouveau spécimen humanoïde reptilien baptisé Artémis. Cette entité extraordinaire contient 3 œufs et 7 plaques métalliques dont certaines contiennent probablement de l’Osmium

Congrès au Mexique de septembre 2023

En bref:

  • les chercheurs au CV fourni confirme l'authenticité des momies.
  • Il y a des hybrides d'au moins 4 espèces. Bonobo, homo sapiens, gorille et indéterminé.
  • il y a des plaques en Osmium sur les momies. Un métal du groupe platine, qui est rare. (prix en octobre 2023: 1300€/g)
  • un oeuf a été ouvert.
  • la localisation du site est probablement faites. (alors que les huaqueros le cachent) Il y a des légendes qui indiquent ce lieu comme étant un "laboratoire d'hybridation"

https://fr.wikipedia.org/wiki/Osmium

https://nurea.tv/momies-de-nazca-leur-authenticite-enfin-validee-avec-thierry-jamin/

Sites web en vrac... info ou intox..

Le financement participatif terminé en mars 2017: https://fr.ulule.com/alien-project/


Les articles des détracteurs:

https://irna.fr/-Thierry-Jamin-et-l-affaire-des-momies-de-Nazca-.html

Liste des momies


Livres

Le livre de Thierry Jamin: "Les momies non humaines de Nazca: Un événement historique"

https://amzn.to/3QGVMN8

Voir aussi