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https://archive.ph/4vZYl#selection-1585.0-1621.283
ZEIT: Man kann aber doch plausibel finden, wie man in früheren Umständen gehandelt hat, und es angesichts der Ergebnisse trotzdem heute für falsch halten.
Merkel: Das setzt aber voraus, auch zu sagen, was genau die Alternativen damals waren. Die 2008 diskutierte Einleitung eines Nato-Beitritts der Ukraine und Georgiens hielt ich für falsch. Weder brachten die Länder die nötigen Voraussetzungen dafür mit, noch war zu Ende gedacht, welche Folgen ein solcher Beschluss gehabt hätte, sowohl mit Blick auf Russlands Handeln gegen Georgien und die Ukraine als auch auf die Nato und ihre Beistandsregeln. Und das Minsker Abkommen 2014 war der Versuch, der Ukraine Zeit zu geben.
Anm. d. Red.: Unter dem Minsker Abkommen versteht man eine Reihe von Vereinbarungen für die selbst ernannten Republiken Donezk und Luhansk, die sich unter russischem Einfluss von der Ukraine losgesagt hatten. Ziel war, über einen Waffenstillstand Zeit zu gewinnen, um später zu einem Frieden zwischen Russland und der Ukraine zu kommen.
Sie hat diese Zeit hat auch genutzt, um stärker zu werden, wie man heute sieht. Die Ukraine von 2014/15 ist nicht die Ukraine von heute. Wie man am Kampf um Debalzewe (Eisenbahnerstadt im Donbass, Oblast Donezk, d. Red.) Anfang 2015 gesehen hat, hätte Putin sie damals leicht überrennen können. Und ich bezweifle sehr, dass die Nato-Staaten damals so viel hätten tun können wie heute, um der Ukraine zu helfen.
ZEIT: Beim ersten öffentlichen Auftritt nach dem Ende Ihrer Kanzlerschaft haben Sie erklärt, Sie hätten schon 2007 erkannt, wie Putin über Europa denkt, und dass die einzige Sprache, die er versteht, Härte sei. Wenn diese Erkenntnis so früh da war, warum haben Sie eine Energiepolitik betrieben, die uns von Russland so abhängig gemacht hat?
Merkel: Es war uns allen klar, dass das ein eingefrorener Konflikt war, dass das Problem nicht gelöst war, aber genau das hat der Ukraine wertvolle Zeit gegeben. Natürlich kann man jetzt die Frage stellen: Warum hat man in einer solchen Situation noch dem Bau von Nord Stream 2 zugestimmt?
ZEIT: Ja, warum? Zumal es schon damals sehr heftige Kritik am Bau der Pipeline gab, zum Beispiel von Polen und den USA.
Merkel: Ja, man konnte da zu einer unterschiedlichen Meinung kommen. Worum ging es? Zum einen legte die Ukraine sehr viel Wert darauf, auch weiter Transitland für russisches Gas zu bleiben. Sie wollte Gas durch ihr Gebiet und nicht durch die Ostsee leiten. Heute wird ja manchmal so getan, als ob jedes russische Gas-Molekül des Teufels war. So war das nicht, das Gas war umkämpft. Zum anderen war es auch nicht so, dass die Bundesregierung die Genehmigung von Nord Stream 2 beantragt hatte, das haben die Firmen getan. Für die Bundesregierung und für mich ging es also im Ergebnis darum, zu entscheiden, ob wir als politischen Akt ein neues Gesetz machen, um die Genehmigung von Nord Stream 2 ausdrücklich zu versagen.
ZEIT: Was hat Sie daran gehindert?
Merkel: Zum einen hätte eine solche Versagung in Kombination mit dem Minsker Abkommen aus meiner Sicht das Klima mit Russland gefährlich verschlechtert. Zum anderen ist die energiepolitische Abhängigkeit entstanden, weil es weniger Gas aus den Niederlanden, aus Großbritannien und begrenzte Fördermengen in Norwegen gab.
ZEIT: Und es gab den vorgezogenen Ausstieg aus der Kernenergie. Auch von Ihnen initiiert.
Merkel: Richtig, und dazu parteiübergreifend die Entscheidung, auch in Deutschland weniger Gas zu fördern. Man hätte sich entscheiden müssen, teureres LNG aus Katar oder Saudi-Arabien zu kaufen, die USA standen erst später als Exportnation zur Verfügung. Das hätte unsere Wettbewerbsfähigkeit deutlich verschlechtert. Heute wird unter dem Druck des Krieges so gehandelt, was ich unterstütze, aber damals wäre das eine viel massivere politische Entscheidung gewesen.
ZEIT: Hätten Sie diese Entscheidung dennoch treffen sollen?
Merkel: Nein, zumal es dafür überhaupt keine Akzeptanz gegeben hätte. Wenn Sie mich um Selbstkritik bitten, gebe ich Ihnen ein anderes Beispiel.
ZEIT : Mais on peut trouver plausible la manière dont on a agi dans des circonstances antérieures et considérer malgré tout que c'est faux aujourd'hui au vu des résultats.
Merkel : Mais cela suppose aussi de dire quelles étaient exactement les alternatives à l'époque. J'ai considéré que la discussion de 2008 sur l'adhésion de l'Ukraine et de la Géorgie à l'OTAN était une erreur. Ces pays n'avaient pas les conditions nécessaires pour cela, et les conséquences d'une telle décision n'avaient pas été pensées jusqu'au bout, aussi bien en ce qui concerne les actions de la Russie contre la Géorgie et l'Ukraine que pour l'OTAN et ses règles d'assistance.
Et l'accord de Minsk de 2014 était une tentative de donner du temps à l'Ukraine.
NDLR : les accords de Minsk sont une série d'accords pour les républiques autoproclamées de Donetsk et de Louhansk, qui se sont détachées de l'Ukraine sous l'influence de la Russie. L'objectif était de gagner du temps via un cessez-le-feu afin de parvenir ultérieurement à une paix entre la Russie et l'Ukraine.
Cette dernière a également profité de ce temps pour devenir plus forte, comme on le voit aujourd'hui. L'Ukraine de 2014/15 n'est pas l'Ukraine d'aujourd'hui. Comme on l'a vu avec la bataille pour Debaltseve (ville de cheminots dans le Donbass, oblast de Donetsk, ndlr) début 2015, Poutine aurait pu facilement la déborder à l'époque. Et je doute fort que les pays de l'OTAN auraient alors pu faire autant qu'aujourd'hui pour aider l'Ukraine.
ZEIT : Lors de votre première apparition publique après la fin de votre mandat de chancelier, vous avez déclaré que vous aviez compris dès 2007 comment Poutine pensait de l'Europe et que le seul langage qu'il comprenait était la dureté. Si cette prise de conscience a eu lieu si tôt, pourquoi avez-vous mené une politique énergétique qui nous a rendus si dépendants de la Russie ?
Merkel : Nous savions tous qu'il s'agissait d'un conflit gelé, que le problème n'était pas résolu, mais c'est précisément ce qui a donné à l'Ukraine un temps précieux. Bien sûr, on peut maintenant se poser la question : Pourquoi a-t-on encore approuvé la construction de Nord Stream 2 dans une telle situation ?
ZEIT : Oui, pourquoi ? D'autant plus qu'il y avait déjà à l'époque de très vives critiques sur la construction du gazoduc, par exemple de la part de la Pologne et des Etats-Unis.
Merkel : Oui, on pouvait avoir des avis différents sur la question. De quoi s'agissait-il ? D'une part, l'Ukraine tenait beaucoup à rester un pays de transit pour le gaz russe. Elle voulait faire passer le gaz par son territoire et non par la mer Baltique. Aujourd'hui, on fait parfois comme si chaque molécule de gaz russe était le diable. Ce n'était pas le cas, le gaz était disputé. D'autre part, ce n'est pas le gouvernement fédéral qui a demandé l'autorisation du Nord Stream 2, ce sont les entreprises qui l'ont fait. Pour le gouvernement fédéral et pour moi, il s'agissait donc en fin de compte de décider si nous allions faire une nouvelle loi comme acte politique pour refuser explicitement l'autorisation de Nord Stream 2.
ZEIT : Qu'est-ce qui vous a empêché de le faire ?
Merkel : D'une part, un tel refus, combiné aux accords de Minsk, aurait selon moi dangereusement détérioré le climat avec la Russie. D'autre part, la dépendance énergétique est apparue parce qu'il y avait moins de gaz en provenance des Pays-Bas, de la Grande-Bretagne et des quantités limitées de production en Norvège.
ZEIT : Et il y a eu l'abandon anticipé de l'énergie nucléaire. Vous l'avez également initié.
Merkel : C'est vrai, et en plus la décision, prise par tous les partis, de produire moins de gaz en Allemagne également. Il aurait fallu se décider à acheter du GNL plus cher au Qatar ou en Arabie saoudite, les Etats-Unis n'étant disponibles que plus tard comme pays exportateur. Cela aurait considérablement dégradé notre compétitivité. Aujourd'hui, sous la pression de la guerre, on agit ainsi, ce que je soutiens, mais à l'époque, cela aurait été une décision politique beaucoup plus massive.
ZEIT : Auriez-vous quand même dû prendre cette décision ?
Merkel : Non, d'autant plus que cela n'aurait pas du tout été accepté. Si vous me demandez de faire mon autocritique, je vais vous donner un autre exemple.
...
Une ex-chancelière ne devrait pas dire ça… Dans une interview au journal « Die Zeit », l’ancienne dirigeante allemande explique que les accords de Minsk n’étaient qu’un moyen pour l’Ukraine de se renforcer militairement afin de se préparer à un conflit inévitable.
Le lancement récent de constellations de satellites en orbite basse crée une menace croissante pour les observations astronomiques effectuées à l'aide de télescopes terrestres1,2,3,4,5,6,7,8,9,10 qui a alarmé la communauté astronomique 11,12,13,14,15,16. Les observations affectées par les satellites artificiels peuvent devenir inutilisables pour la recherche scientifique, ce qui entraîne le gaspillage d'une fraction croissante du budget de la recherche en infrastructures coûteuses et en efforts d'atténuation. Nous rapportons ici les premières mesures, à notre connaissance, de la contamination par des satellites artificiels sur des observations faites à partir d'une orbite terrestre basse avec le télescope spatial Hubble. Avec l'aide de volontaires d'un projet de science citoyenne (www.asteroidhunter.org) et d'un algorithme d'apprentissage profond, nous avons analysé les archives des images du télescope spatial Hubble prises entre 2002 et 2021. Nous avons constaté qu'une fraction de 2,7% des expositions individuelles avec un temps d'exposition typique de 11 minutes sont traversées par des satellites et que la fraction des traînées de satellites dans les images augmente avec le temps. Cette fraction dépend de la taille du champ de vision, du temps d'exposition, du filtre utilisé et du pointage. Avec le nombre croissant de satellites artificiels actuellement prévus, la fraction des images du télescope spatial Hubble traversées par des satellites augmentera au cours de la prochaine décennie et nécessitera une étude et une surveillance plus approfondies.
La monnaie et les systèmes économique est un thème qui me passionne comme la spirale...... chouette les deux ensembles 🙂
Alors j'observe un angle particulier pour cette question: comment je rémunère ?
- Beige... pas d'identité.. donc tout est moi... La notion d'argent est pas trop pertinente vu que c'est surtout un outil de lien entre individus, si pas trop d'individu.. pas de monnaie.
- Violet. Chacun travail en famille. Le pater familia du clan redistribue, ou comme chez les hurons, les femmes redistribuent les ressources de la tribu en fonction des besoins. L'ancienneté compte pour un plus.
- Rouge. Le chef de gang partage le butin à la tête du "client": beaucoup pour moi, un peu pour mes lieutenants favoris.. les miettes pour les autres.
- Bleu. La rémunération se fait en fonction des classes de la hiérarchie sociale. L'administration d'Etat donne un salaire en fonction du niveau d'étude.
- Orange. Le salaire au mérite. Tu réalises les objectifs tu as un salaire et même un bonus si c'est bien. Si tu réalise pas les objectifs, tu mérites pas. T'as rien.
- Vert. On est tous égaux, peu importe le travail réalisé dans l'organisation, on a tous le même salaire.
- Jaune. D'abord, j'assure seul mon autonomie, nourriture, logement. Puis je fonctionne en réseau avec d'autres pour les surplus, vente, troc, don, tout est possible, j'adapte le moyen en fonction de la vision du monde de la personne avec qui j'effectue des transactions.
- Turquoise. La rémunération est une communauté de travail qui donne à ceux qui s'y trouvent la sécurité nécessaire pour exprimer pleinement leur potentiel et réaliser ce qu'ils ont d'unique. La communauté n'est pas exclusive. Un individu peut oeuvrer dans plusieurs communautés.
=> On peut imaginer un revenu de base complété par mille autres critères, mérite, ancienneté, besoins accru, diplôme... etc..
Les DAO qui créent leur propre monnaie pour rémunérer leur membres sont une piste intéressante d'évolution en ce sens.
Art. 10a Dérogations à la loi sur la fusion
1 Concernant les transactions selon la loi du 3 octobre 2003 sur la fusion (LFus)2 entre
des banques surveillées par la FINMA qui sont d’importance systémique ou font par-
tie d’un groupe financier d’importance systémique au sens de l’art. 7 LB et qui sont
actives sur le plan international ou leurs sociétés de groupe, dans la mesure où cela est
nécessaire à la protection de l’économie suisse et du système financier suisse, les
règles suivantes s’appliquent:
a. l’exécution de telles transactions ne nécessite pas de décision de la part des
assemblées générales des sociétés concernées si les transactions s’effectuent
avec l’accord de la FINMA;
b. les art. 11, 14, 15 et 16 LFus ne s’appliquent pas si les transactions s’effec-
tuent avec l’accord de la FINMA;
c. il est possible, avec l’accord de la FINMA, de déroger à d’autres exigences en
matière de transactions fixées dans la LFus si les circonstances particulières
l’exigent; en pareil cas, la FINMA consulte au préalable les autorités canto-
nales du registre de commerce concernées ainsi que l’Office fédéral du re-
gistre du commerce.
2 Les décisions de la FINMA sont contraignantes pour les autorités du registre du
commerce.
Le Dr François Lallier y a consacré sa thèse de médecine générale en réalisant une étude rétrospective dont il a tiré un ouvrage (voir encadré). Nous avons interrogé ce jeune médecin généraliste sur le pourquoi de ce choix original, voire « osé » pour un interne – ni religieux, ni mystique –, et sur les résultats de son enquête réalisée selon des critères scientifiques auprès de 120 personnes réanimées d’un arrêt cardiaque de la région rémoise.
Le 23 septembre dernier, un chômeur a remporté un jackpot de 6 millions d'euros, en jouant une grille supplémentaire au Loto, alors qu'il avait l'habitude de toujours jouer les mêmes numéros.
Ce demandeur d'emploi cochait depuis des années les mêmes cases, chaque samedi, sur une modeste grille à 2,20 euros. Mais ce samedi 23 septembre, il s'est senti en veine. L'homme venait ainsi de recevoir un SMS d'une agence d'intérim qui lui réclamait son CV, et qui lui confirme qu'elle était intéressée par son profil. Il décide alors de s'offrir une deuxième grille, et coche cette fois les numéros correspondant au numéro de téléphone de l'agence. En guise de numéro chance, le futur gagnant avait choisi la date de naissance de son enfant.
Résultat du tirage, le chanceux a obtenu la coquette somme de 6 millions d'euros. Pas sûr que l'heureux gagnant accepte la mission proposée par l'agence d'intérim, mais il a d'ores et déjà indiqué qu'il ne comptait pas s'acheter de Ferrari, de yacht ou autre villa de luxe. Il compte simplement "profiter de la vie et investir dans dans l'immobilier", a-t-il confié à la Française des Jeux.
Quels sont les numéros les plus tirés au loto ?
Selon les données de la Française des Jeux, les numéros 7, 30, 48, 10, 29 et 26 ont été les plus souvent tirés au loto entre novembre 2019 et mai 2020. Ils ont tous été tirés au sort entre 13 et 15 fois sur ces 7 mois consécutifs. Des statistiques plus globales font également état d’une sélection de 10 chiffres dits « porte-bonheur » qui auraient tendance à sortir plus souvent que les autres. Il s’agit du 41, du 22, du 13, 23, 33, 1, 15, 27, 16 et 32. La boule 41 serait ainsi la plus souvent tirée depuis l’année 2008, avec un taux de sortie de 12,38 %. En ce qui concerne le numéro Chance, le 9, le 8 et le 4 sont les trois chiffres les plus souvent tirés au sort en 2020.
Jean-Marc Hauth nous explique le cycle de l'eau en 7 minutes, pourquoi et comment favoriser une meilleure infiltration de l'eau dans les sous-sols, avant de vouloir la remonter par des pompages/forages
Les constructeurs de la Grande Pyramide de Khéops ont aligné le grand monument sur les points cardinaux avec une précision de plus de quatre minutes d'arc, soit un quinzième de degré.1 La voisine de la Grande Pyramide, la Pyramide de Khéphren, est alignée avec une erreur d'environ 6 minutes, soit un dixième de degré.2 Les constructeurs de la pyramide rouge de Snéfrou à Dahchour ont atteint une précision de 8,7 minutes.3 Ces trois pyramides présentent le même type d'erreur : elles sont tournées légèrement dans le sens inverse des aiguilles d'une montre par rapport aux points cardinaux.
La manière dont les Égyptiens sont parvenus à atteindre une telle précision a longtemps été débattue. Ces dernières années, quatre des méthodes candidates ont été testées et jugées viables.4 Il s'agit de la méthode de l'étoile polaire proposée par Flinders Petrie,5 de la méthode de l'étoile circumpolaire testée par Joseph Dorner,6 de la méthode du transit simultané proposée par Kate Spence,7 et de la méthode de l'ombre du gnomon solaire suggérée par Martin Isler.8 Pourtant, il existe une méthode simple que les chercheurs ont largement ignorée, peut-être parce qu'ils pensaient qu'elle ne permettait pas d'atteindre la précision requise.9 Il s'agit de la méthode du gnomon solaire ʽequinoctialʼ. Elle utilise une tige verticale pour suivre le mouvement du soleil à l'équinoxe.10
La banque californienne a annoncé mercredi 8 mars sa liquidation et la restitution de tous les dépôts. Après le scandale FTX en novembre 2022, c’est la première institution bancaire emportée par la déroute des cryptomonnaies.