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Sauvegarde
Le but de cette méthode de sauvegarde sera de créer une image contenant tous les fichiers du Raspberry Pi
Cela vous permettra de la remettre un jour sur une nouvelle carte SD afin de récupérer votre Raspberry Pi à l’identique
Linux
Si vous avez un PC sous Linux, vous pouvez utiliser la commande « dd » pour créer une image de la carte SD
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Éteignez le Raspberry Pi et récupérez la carte SD
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Insérez-la sur votre ordinateur
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Identifiez le nom de la carte SD :
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sudo fdisk -l
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Cette commande va afficher l’ensemble des périphériques de stockage sur votre ordinateur
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Vous devriez voir votre disque dur, et quelque part à la fin de la liste votre carte SD
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Notez le nom indiqué (en général /dev/sdX ou /dev/mmcblk0)
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Créer l’image de cette manière :
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sudo dd bs=4M if=/dev/mmcblk0 of=backup.img
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N’oubliez pas de remplacer le nom du périphérique et du fichier de destination si nécessaire
Après quelques minutes, vous aurez le backup complet de votre Raspberry Pi dans ce fichier (backup.img dans mon cas)
Cette commande fonctionne aussi sur MacOS, remplacez juste 4M par 4m
=> et pour la liste il faut aussi une autre commande !!! => diskutil list
https://superuser.com/questions/671725/what-is-the-equivalent-of-the-linux-command-sudo-fdisk-l-in-macos
Les ingénieurs de la poste britannique inspectent l'équipement de télégraphie sans fil (radio) de Guglielmo Marconi, lors d'une manifestation sur l'île de Flat Holm, le 13 mai 1897. C'était la première démonstration au monde de la transmission de signaux radio en pleine mer, entre Lavernock Point et Flat Holm Île, une distance de 3 miles. À l'arrière-plan se trouve l'émetteur d'éclateur, une bobine d'induction (à droite) qui génère des impulsions haute tension qui créent des étincelles entre les billes de l'éclateur de Righi (à gauche), qui excite des courants oscillants dans une antenne fil suspendue en haut par le pôle vu au centre, ratifiant les ondes radio. Les informations sont transmises en allumant et éteignant l'émetteur rapidement à l'aide d'un interrupteur appelé clé télégraphique (non visible), épelant les messages texte en code Morse. Au premier plan se trouve le récepteur. Lors de la réception de la station Lavernock, la tension oscillante de l'antenne est appliquée à un cohéreur; un détecteur d'ondes radio primitif constitué d'un petit tube contenant deux électrodes avec de la limaille métallique entre elles. Lorsqu'une onde radio d'un émetteur éloigné frappe l'antenne et est appliquée au cohéreur, les dépôts s'agglutinent et conduisent l'électricité. Un deuxième circuit est attaché au cohéreur constitué d'une batterie qui actionne un relais (objets cylindriques sur les côtés), qui à son tour envoie une impulsion de courant à un magnétophone en papier Morse (au centre). Lorsqu'une onde radio active le cohéreur, elle envoie une impulsion à l'enregistreur, qui fait une marque sur une bande de papier. Le message de code Morse de l'émetteur à distance peut être lu sur la bande, comme le fait l'homme assis. Les relais sont contenus dans des blindages métalliques cylindriques pour empêcher leurs étincelles d'interférer avec le cohéreur sensible. Informations tirées de la rétrospective: ondes radio sur l'eau, TheFreeLibrary.com
https://fr.wikipedia.org/wiki/Patate_douce
La voie « kumara », d'après le terme désignant la patate douce en quechua et dans les langues polynésiennes et maories, est un transfert de la patate douce entre le nord de l'Amérique du Sud et l'est de la Polynésie (îles Marquises) datant de l'époque précolombienne probablement entre 1000 et 1100 après J.-C.12. Ce transfert a pu être effectué par des voyageurs péruviens ou plus probablement polynésiens. De la Polynésie, la plante a ensuite été répandue dans les îles du Pacifique jusqu'à Hawaï, l'île de Pâques et la Nouvelle-Zélande.
https://en.wikipedia.org/wiki/Sweet_potato
Au Pérou et en Bolivie, le terme général en quechua pour désigner la patate douce est apichu, mais il existe des variantes telles que khumara, kumar (quechua d'Ayacucho) et kumara (quechua de Bolivie)[16], qui ressemblent de manière frappante au nom polynésien kumara et à ses équivalents océaniques régionaux (kumala, umala, ʻuala, etc.)[17], ce qui a conduit certains chercheurs à soupçonner un contact transocéanique précolombien[18]. Cette théorie est également étayée par des preuves génétiques[19].
In Peru and [[Bolivia]], the general word in Quechua for the sweet potato is {{lang|qu|apichu}}, but there are variants used such as {{lang|quy|khumara}}, {{lang|quy|kumar}} ([[Ayacucho Quechua]]), and {{lang|quh|kumara}} (Bolivian Quechua),<ref>{{Cite web|last=Diccionario Quechua Simi Taqe AMLQ|date=|title=Quechua: apichu|url=https://www.runa-simi.org/simitaqe/id-327-apichu.html|access-date=2 February 2021|website=www.runa-simi.org|language=Spanish}}</ref> strikingly similar to the Polynesian name {{Lang|mis|kumara}} and its regional Oceanic cognates ({{lang|to|kumala}}, {{lang|sm|umala}}, {{lang|haw|ʻuala}}, etc.<ref>{{Cite web |title=Ipomoea batatas |url=http://www.hear.org/pier/species/ipomoea_batatas.htm |access-date=2023-07-01 |website=Hawaiian Ecosystems at Risk: Pacific Island Ecosystems at Risk}}</ref>), which has led some scholars to suspect an instance of [[Pre-Columbian trans-oceanic contact#Words related to axes|pre-Columbian trans-oceanic contact]].<ref>{{Cite news|last=Doucleff|first=Michaeleen|date=23 January 2013|title=How The Sweet Potato Crossed The Pacific Way Before The Europeans Did|language=en|work=[[NPR]]|url=https://www.npr.org/sections/thesalt/2013/01/22/169980441/how-the-sweet-potato-crossed-the-pacific-before-columbus|access-date=15 October 2021}}</ref> This theory is also supported by genetic evidence.<ref>{{cite web |url=https://arstechnica.com/science/2013/01/polynesians-reached-south-america-picked-up-sweet-potatoes-went-home |title=Polynesians reached South America, picked up sweet potatoes, went home |last=Timmer |first=John |date=21 January 2013 |website=[[Ars Technica]]|access-date=8 July 2020}}</ref>
0:06:53 ... oui depuis le 19ème siècle il y a des chercheurs qui s'intéressent au système métrique des anciens égyptiens et même largement avant en fait ! (Newton par exemple) .. Edmée Jomard en 1821 dans son livre "description de l'égypte..." le compte rendu de l'expédition napoléonienne dit dans l'intro:
"Il est donc naturel de pense que l'étude des monnumens laissés par les Égyptiens y fera retrouver leur système métrique: c'est là la fin essentielle de notre travail". https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k28004p/f10.image
Par contre, sur quoi Alexis se base pour dire que c'est une justification que "notre système d'unité de mesure est le meilleur car le plus ancien" ?? C'est une interprétation abusive. Faudrait lui demander sa source !
0:07:52 "Le papyrus de Rhind nous montre que π n'existe pas"... cette formulation montre bien les biais qui habitent Alexis Seydoux. π existe dans tous les cas !! C'est n'est pas par ce qu'un texte n'en parle pas que le rapport entre la circonférence d'un cercle et son diamètre n'existe pas !!
Le papyrus de Rhind est juste le reflet de la pensée qu'on les égyptiens de la seconde période intermédiaire, (sous le terrible roi anti-égypte Apophis qui plus est) sur les math sensée être connue au moyen empire... (vu que le papyrus dit être une copie d'un papyrus plus ancien, ce qui reste à prouver).
Donc c'est très ténu comme argument pour juger des connaissances mathématiques d'un peuple entier sur plusieurs millénaires d'histoire !! C'est un peu comme choisir un document écrit dans les années 1930 en Allemagne pour extrapoler la pensée allemande sur 3000 ans !! Il risque d'y avoir des biais idéologiques majeurs !!
Pourquoi diviser le cercle par 6 et pas par un autre nombre ? On dirait qu'Alexis n'a jamais eu l'occasion de jouer avec un compas !! Tous les gosses font ça.. "diviser par 6" revient à dire qu'on garde le même écartement que le rayon du cercle. Donc je fais un cercle et je découpe la circonférence avec le même écartement et hop... ça me donne une fleur de vie !! Voilà pourquoi diviser par 6. C'est par ce que c'est le plus simple !
La coudée royale a une valeur qui varie entre 52,2 et 52,7... là Alexis fait vraiment le grand écart. Lui aussi sélectionne ses valeurs pour confirmer ce qu'il pense. Il entretient la confusion. Alors que statistiquement on a clairement une coudée qui est mesurée par la majorité des chercheurs à 52,3.
52,36 ou 52.35 étant largement accepté par les mesures récentes déduites de la pyramide de Khéops et sa chambre en granite stable dans le temps (Dormion et Dash).
Voici une liste de valeurs admises: (qui montre bien qu'il faut vérifier les propos d'alexis)
https://martouf.ch/crac/index.php?title=Coud%C3%A9e_royale_%C3%A9gyptienne#Des_statistiques_pour_prouver_la_valeur_de_la_coud.C3.A9eshttps://martouf.ch/crac/index.php?title=Coud%C3%A9e_royale_%C3%A9gyptienne#Des_statistiques_pour_prouver_la_valeur_de_la_coud.C3.A9es
Même si Alexis ne le croit pas, toujours est-il que mathématiquement il y a un lien clair entre la coudée de 52,36cm et le mètre. Ceci même si on ne l'explique pas chronologiquement et historiquement.
C'est totalement exclu
43°57'28.9"N 3°56'23.6"E
43.958028, 3.939889
Bouteille enterrée ici avec un message...
Av Du Mail Neuchâtel parking - Parkings publics, places de stationnement dans la rue, garages privés
Prix
Lun-Sam 07:00 - 21:00 (gratuit hors de ces heures)
- 30 Min → Gratuit
- 1 Heure → CHF1,00
- Heure Supplémentaire → CHF1,00
- Jour Férié → Gratuit