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La croissance de la productivité de ces dernières décennies a permis une augmentation des salaires et une réduction du temps de travail de la population active. En parallèle, le temps passé à la retraite s’est considérablement allongé.
Depuis 1950, la productivité de l’économie suisse a progressé d’environ 1,9% par an. Une plus grande efficacité dans la production des biens et des services a permis de générer davantage de richesse et d’avoir ainsi «un plus gros gâteau à partager». Dans le cadre d’un modèle économique durable, qui repose sur une certaine équité sociale, la population active devrait aussi profiter, à terme, de ces gains de prospérité. Dans les faits, c’est généralement une augmentation du salaire qui le lui permet, mais il existe une autre possibilité, bien qu’elle soit souvent ignorée: la réduction du temps de travail.
Quelle a été l’évolution à long terme du travail, du temps libre et de la productivité en Suisse? Dans quelle mesure les gains de prospérité se traduisent-ils aussi par une diminution du temps de travail, et comment celle-ci est-elle mise à profit par les ménages qui en bénéficient? Dans le cadre de son programme de recherche sectorielle 2023/2024, le Secrétariat d’État à l’économie (Seco) a chargé la société de conseil bâloise BSS d’étudier ces questions, en collaboration avec le Centre de recherches conjoncturelles de l’EPF Zurich (KOF) et l’Université de Saint-Gall (voir encadré).[1]
Une productivité multipliée par quatre depuis 1950
Entre 1950 et 2022, la productivité du travail – soit le produit intérieur brut réel par heure travaillée – a augmenté d’environ 300% en Suisse (voir illustration 1), selon les données de l’Office fédéral de la statistique (OFS) et celles d’un projet de recherche mené par Michael Siegenthaler soutenu par le Fonds national[2]. Concrètement, ce gain de productivité signifie qu’à durée de travail égale, on peut aujourd’hui générer un PIB quatre fois plus élevé qu’en 1950, ce qui se reflète aussi dans la paie des employés: les analyses réalisées montrent que leur salaire, calculé sur la base de leur rémunération horaire réelle[3], a même augmenté de 400% au cours de la période concernée, leur part dans le PIB («part des salaires») étant passée de 45% à 56% entre 1950 et 2022.
Durant cette même période, le temps de travail annuel par actif occupé a diminué de 37%. Au fil des ans, la croissance de la productivité a donc entraîné à la fois une augmentation des salaires et une réduction de la durée du travail. Même si la progression des salaires a été nettement plus marquée, le gain de temps libre résultant de la diminution du temps de travail n’en reste pas moins significatif.
Jacques Ravatin nous a quitté en Mars 2011. C’est par cet entretien de 1978 – ci-dessous – que nous l’avons découvert. Il était la continuation et la synthèse d’une longue lignée de chercheurs et de scientifiques d’avant-garde qui, à la fois, pratiquement et théoriquement étudiaient les liens du visible et de l’invisible, de leurs implications et de la possibilité de changer de conscience. Son œuvre reste relativement méconnu et il est dommage que plusieurs farfelus s’en inspirent. Ravatin continua ses travaux avec sa fondation Ark’all et publia de nombreuses études, parfois sous le pseudonyme de Vladimir Rosgnilk. Ses thèses restent à être vérifier par une communauté plus large de chercheurs…
(Revue Psi International. No 7. Octobre-Novembre-Décembre 1978)
Une nouvelle approche de l’Univers… Un reportage de Joël André
Si les mathématiques, l’architecture et l’esthétique apportent d’innombrables données descriptives et analytiques concernant les Formes, aucune science actuelle ne semble pourtant poser le problème fondamental : « Que sont les Formes ? ». Et surtout : « Que font les Formes ? ».
Dès 1930, André de Bélizal et les ingénieurs Chaumery et Morel abordaient néanmoins la question et aboutissaient, dans une sorte de tentative de conciliation entre la radiesthésie et l’électromagnétisme, à la notion d’Ondes de Forme.
Une seconde génération de chercheurs, entre autres l’archéologue Enel, puis Jean de la Foye et Roger de Lafforest, reprenaient les résultats des pionniers et accumulaient les vérifications expérimentales. On ignorait toujours la nature exacte de ces « Ondes de Forme », mais l’influence de ces mystérieuses émanations sur le végétal et le vivant pouvait être reproduite à partir d’émetteurs artificiels, décelée par des détecteurs et utilisée à des fins précises.
L’entretien qui va suivre évoque, bien entendu, ces étapes préliminaires sans lesquelles les recherches actuelles resteraient incompréhensibles. Sans s’y attarder, toutefois, et ceci pour deux raisons.
Il n’est pas souhaitable de donner trop de précisions pratiques sur les dispositifs expérimentaux utilisés dans ce domaine. Leur simplicité apparente dissimule des potentialités redoutables que le débutant enthousiaste (comme parfois le chercheur confirmé) risque de découvrir à ses dépens et… à ceux des autres !
Mais surtout, les travaux menés actuellement par le Groupe ARK’ALL constituent une sorte de révolution par rapport au passé. On ne parle plus d’Ondes de Forme mais d’Émissions dues aux Formes. Pourquoi ? Parce que l’on n’a pas à faire à des ondes, ni celles du spectre électromagnétique, ni celles de tout autre système vibratoire connu. En bref : les Émissions dues aux Formes n’appartiennent pas à notre Univers physique…
On trouvera bien d’autres propos « insoutenables » tout au long de cet entretien avec Jacques Ravatin. Les Initiés de l’Antiquité conversaient-ils avec les Dieux ? L’alphabet hébreu recèle-t-il l’état latent de toute réalité ? Les Pyramides, les statues de l’île de Pâques et les Cathédrales sont-elles autant de gigantesques Émetteurs ? Et par-là même des véhicules vers ce que le diagramme relativiste du Temps désigne comme « Ailleurs » ? Encore s’agirait-il d’un Ailleurs… autre que celui des physiciens. Notre univers physique ne serait qu’une restriction de l’univers réel, du Global.
On ne saurait rester insensible aux propos de Jacques Ravatin en tant qu’ils concernent les aspects les plus fondamentaux de. la connaissance. Et des questions plus immédiates telles que l’habitat, l’environnement, la médecine et la technologie du Futur. Même sur ces thèmes de civilisation, on verra que les formulations défient toutes nos habitudes de pensée.
Mais alors, fallait-il publier ces propos, ou encore n’était-il pas trop tôt pour le faire ?
De deux choses l’une : ou bien les affirmations de Jacques Ravatin sont exactes et les recherches de son groupe sont en passe de révolutionner la science actuelle. Il serait alors impardonnable de faire obstacle à leur diffusion et à leur libre appréciation par tous. Ou bien elles relèvent d’un enthousiasme exagéré et d’un manque total de prudence scientifique, auquel cas, selon la formule consacrée, elles n’engagent que leur auteur, sa bonne foi et ses compétences universitaires.
Dans un cas comme dans l’autre, Jacques Ravatin nous a paru capable de prendre ses responsabilités. Sa carrière universitaire (après un doctorat en physique mathématique, il enseigne aujourd’hui cette discipline à l’Université d’Amiens) ne le laisse pas sans répondant sur le plan polémique. Sa pratique expérimentale (il fut également ingénieur-chimiste au C.N.R.S.) laisse espérer qu’il a su garder les yeux ouverts lors de ses investigations. L’assurance avec laquelle il se propose d’opérer les principales transformations physico-chimiques connues par des voies entièrement ignorées de nos laboratoires serait insensée si elle ne reposait sur un acquis vérifiable. Les thèses et brevets se multiplient d’ailleurs autour des travaux du Groupe Ark’All et l’industrie privée leur accorde déjà un soutien non négligeable.
Mais supposons que les propos qui vont suivre ne relèvent que d’extrapolations sans fondement ou encore d’observations réelles mais hâtivement généralisées, bref d’un abus d’interprétation. Il n’en serait pas moins nécessaire de les lire et de les relire. Einstein ne disait-il pas avoir recueilli certaines idées majeures de ses théories à la lecture… d’ouvrages de science-fiction !
En mars 2025, après un traitement intensif des données à l'aide de méthodes traditionnelles et d'une IA avancée, l'équipe avait dressé ce qu'elle affirme être une carte détaillée d'un vaste complexe souterrain s'étendant sur le plateau de Gizeh. En résumé, une combinaison avancée d'interférométrie radar, d'analyse des vibrations Doppler et de tomographie sismique a permis à Malanga, Biondi et à leurs collègues d'accomplir ce qui était auparavant considéré comme impossible, à savoir l'imagerie d'un vaste réseau de structures situées à près d'un demi-mille sous un site archéologique, le tout à partir d'observations par satellite.
Vidéo conférence de presse:
https://x.com/BrianRoemmele/status/1903469276050469093?t=NBf4cp-U0DB7G-zBBii2aQ
Le 16 mars 2025, une équipe interdisciplinaire de chercheurs a annoncé une découverte révolutionnaire sous le plateau égyptien de Gizeh : un vaste complexe de chambres et de puits souterrains s'étendant sur près de deux kilomètres sous les célèbres pyramides. L'équipe, composée du professeur Corrado Malanga, du docteur Filippo Biondi et du docteur Armando Mei, a utilisé une technologie avancée d'imagerie radar pour "voir" près de 3 km sous terre sans excavation. Dans le communiqué de presse, Malanga, Biondi et Mei dévoilent des scans radar 3D à haute résolution qui montreraient plusieurs niveaux de structures inconnues cachées dans les profondeurs des grandes pyramides. Ces découvertes pourraient révolutionner notre compréhension de l'ingénierie de l'Égypte ancienne et donner du crédit aux vieilles légendes de chambres cachées à Gizeh.
NextGenerationEU: bien plus qu’un plan de relance. Il s’agit d’une occasion unique de sortir plus forts de la pandémie, de transformer nos économies et de créer des possibilités et des emplois pour l’Europe dans laquelle nous voulons vivre. Nous avons tout ce qui est nécessaire pour y parvenir.
Nous avons la vision, nous avons le plan et nous avons convenu d’investir 806,9 milliards d’euros ensemble*.
Il est temps à présent de se mettre au travail pour rendre l’Europe plus verte, plus numérique et plus résiliente.
*Ce chiffre est en prix courants. Il s’élève à 750 milliards d’euros aux prix de 2018.
Beaucoup d’interrogations demeurent sur les origines du SARS-CoV-2, deux ans et demi après le début de la pandémie. Les experts de l'OMS viennent de remettre un nouveau rapport : ils estiment que toutes les hypothèses doivent être étudiées, y compris celle d'une fuite d'un laboratoire.
Avec Étienne Decroly, virologue spécialiste du VIH. Directeur de recherche au CNRS dans le laboratoire Architecture et Fonction des Macromolécules Biologiques (AFMB) de l’Université d’Aix-Marseille
L’origine du SARS-CoV-2 reste une énigme. Deux ans et demi après le début de la pandémie, l’OMS a rendu il y a quelques jours un nouveau rapport, dans lequel l'hypothèse d'un accident de laboratoire n’est plus exclue. Selon les experts, cette piste nécessite "des investigations supplémentaires". Dans le même temps, l’influent économiste américain Jeffrey Sachs a demandé une enquête approfondie sur l’origine du virus, aux Etats-Unis et non en Chine. Pourquoi ? En un mot, toutes les hypothèses doivent encore être mises sur la table.
Guillaume Erner reçoit Etienne Decroly, virologue, directeur de recherche au CNRS dans le laboratoire Architecture et Fonction des Macromolécules Biologiques (AFMB) de l’Université d’Aix-Marseille.
Vous pouvez écouter l'interview en intégralité en cliquant sur le player en haut à gauche de cette page.
Le parent du virus, encore introuvable aujourd’hui
Etienne Decroly explique que ce dont on est certain aujourd'hui sur l'origine du Sars cov 2, c'est que : "il y a des virus cousins éloignés qui circulent dans les populations de chauves souris, en particulier en Chine, dans les provinces au Sud de la ville Wuhan. Par contre, ces virus sont génétiquement assez éloignés du SarsCov2 et ne sont pas les parents directs". Le réservoir, la famille de virus, est clairement identifié, par contre "ce qui nous manque, ce sont les éléments qui sous-tendent la transmission et l'évolution de ces virus du réservoir jusque dans les populations humaines".
Le parent du virus existe mais où existe-t-il et quelles sont les chaînes de transmission ? Etienne Decroly rappelle qu’il n’a toujours pas été trouvé. “La question c’est de savoir où il existe et quelles sont les chaînes de transmission qui ont conduit le parent à se retrouver dans une population humaine. L'hypothèse préliminaire était que c'était une zoonose (on sait que les franchissements de barrière d'espèces se font par des hôtes intermédiaires en général) et que le virus, de proche en proche s'adapte pour devenir infectieux dans une nouvelle espèce. Donc ce qu'on s'attend à retrouver dans un virus d'origine naturelle c'est, quelque part, dans un hôte intermédiaire, un virus qui est le virus qui a généré l'épidémie."
Or plus de deux ans après, malgré un échantillonnage très important, ce virus (parent) n'a pas été trouvé à ce jour. Etienne Decroly revient sur l'hypothèse un temps avancée du pangolin : "Le pangolin a été exclu il y a plus d'un an et demi mais c'est un hôte du type pangolin qu'on cherche pour trouver ce virus parent, dans un animal, par exemple, vendu sur le marché de Wuhan... on cherche un virus génétiquement très proche du Sars cov 2 et malheureusement, il y a eu plus de 120 000 échantillons prélevés pour essayer de trouver ce progéniteur, ce parent de l'épidémie et aujourd'hui, ces échantillonnages n'ont pas abouti à trouver le virus à l'origine de l'épidémie."
La possibilité d’un accident de laboratoire ne peut être totalement exclue
Dans son nouveau rapport, l'OMS explique qu'il faut aussi étudier cette hypothèse - au même titre que les autres. Pourquoi ?
Etienne Decroly indique que les laboratoires de la ville de Wuhan travaillent sur les coronavirus afin de comprendre les mécanismes de franchissement de la barrière des espèces. “Leur travail consistait à collecter dans la nature des virus naturels de manière à les séquencer, parfois d’arriver à les cultiver et éventuellement les étudier dans des systèmes cellulaires ou dans des animaux modèles. Ceci est fait pour comprendre comment ces virus sont capables de franchir la barrière d’espèces et donc capables de devenir infectieux dans une autre espèce, comme l'espèce humaine."
Selon Etienne Decroly, l'hypothèse de l'origine du virus provenant d'un laboratoire suppose un possible accident lors d'une de ces expériences. "Un expérimentateur aurait pu être infecté ou des effluents du laboratoires auraient pu être contaminés par ce virus, avec un retour accidentel dans les populations humaines à partir du laboratoire."
"Des accidents de laboratoires existent, ils sont rares, mais se sont déjà produits et des accidents ont déjà été répertoriés", rappelle Etienne Decroly.
L’hypothèse de l’économiste Jeffrey Sachs
Etienne Decroly revient sur l'hypothèse avancée par Jeffrey Sachs. L'économiste américain a rappelé ceci, comme le raconte Etienne Decroly : "Une association caritative appelée EcoHealth Alliance financée en grande partie par le gouvernement américain, avait pour objectif de mener des expériences de collectes de virus et des expériences pour comprendre le franchissement de la barrière d'espèces. Cette association a été financée par l'Etat américain pour réaliser des expériences en partie aux Etats-Unis et en partie dans différents laboratoires du monde, dont celui de Wuhan. L’hypothèse est que certains des travaux financés par cette association auraient pu éventuellement conduire à la collecte d’échantillons en Chine. Ce qui aurait pu conduire par exemple à l’émergence du SARS-CoV-2 ou à des expériences sur ces virus qui ont été faites, peut-être certaines aux Etats-Unis, mais principalement en Chine. Ces expériences auraient pu conduire à l’obtention dans un laboratoire du virus parent de l’épidémie.”
Le média fondé par Rudy Reichstadt s’attache depuis une dizaine d’années à épingler les « conspirationnistes » sur son site internet. Mais que cache cette ambition de vouloir ficher toutes sortes de personnalités au motif d’une expertise pseudo-scientifique autoproclamée ? Entre subventions publiques injustifiées et propagande macroniste, Rechecking a mené l’enquête.
Par Amélie Ismaïli
Nos amis de Tocsin ont été contactés par Conspiracy Watch pour leur poser des questions sur leur financement et leur ligne éditoriale prétendument « d’extrême-droite ». C’est un vrai progrès de la part de nos complotologues qui jusqu’ici, ne faisaient jamais l’effort d’aller chercher le contradictoire pour composer leurs articles incendiaires. Informée par Clémence Houdiakova (rédactrice en chef de Tocsin) de cette étonnante précaution, nous en avons profité pour envoyer nous-même une série de questions en espérant qu’elles puissent nous aider à comprendre leurs méthodes éditoriales et leurs moyens de financement. Hélas, le journaliste Victor Mottin, contributeur du média anti-complotiste, n’a pas souhaité faire preuve de réciprocité. Si nos questions resteront donc sans réponse, notre enquête démontre que Conspiracy Watch prend souvent quelques arrangements avec la vérité.
- Une influence disproportionnée au prétexte d’une « expertise » pseudo-scientifique
À lire nos médias de grands chemins où il intervient souvent, « l’expertise » de Rudy Reichstadt pour lutter contre le « fléau » du « complotisme » ne ferait aucun doute. Lui-même s’est félicité devant le Sénat que son association bénéficie d’une légitimité « unanimement reconnue pour le sérieux de son action et la solidité de son travail ». Rudy Reichstadt n’a pourtant aucune qualification pour prétendre à cette autorité. Son expérience se limite à un diplôme de l’Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence, ainsi qu’une modeste carrière à la Mairie de Paris. D’autant que le thème dont il se dit « expert » n’existe pas en tant que discipline académique et suscite plutôt des réserves parmi les chercheurs. Le politologue Julien Giry, spécialiste des phénomènes de fausses rumeurs en ligne et maître de conférences à l’Université de Tours, estime que les « complotologues » médiatiques comme Rudy Reichstadt ont « confisqué l’expertise avec un discours de catastrophisation fondé sur du prêt-à-penser, sans aucune base empirique, alors que leurs positions sont marginales dans le champ universitaire » (Marianne, 2021). Les chercheurs Coralie Le Caroff et Mathieu Foulot soulignent que « la littérature scientifique concernant le complotisme est assez limitée et ne permet pas d’accéder aux modalités concrètes de production et de réception des discours conspirationnistes », se révélant « rapidement (…) une catégorie fourre-tout » (1). Même du côté des scientifiques partisans de la lutte contre le « complotisme », à l’instar de Sébastien Dieguez et Sylvain Delouvée, on admet qu’on « ne sait pas exactement en quoi il consiste, ce que peut bien être sa “structure monologique” (…). Il n’existe pas à ce jour de “théorie” psychologique définitive et consensuelle du complotiste » (2).
Autrement dit, « l’expertise » dont se réclame Rudy Reichstadt a tous les aspects d’une pseudo-science, c’est-à-dire une doctrine utilisée comme argument d’autorité sans reposer sur aucun critère de scientificité. Chose assez ironique pour quelqu’un qui se dit être un disciple de Karl Popper. D’ailleurs, lorsque Conspiracy Watch s’est exercé à produire un sondage pour la Fondation Jean-Jaurès, sondage qui affirmait que « huit Français sur dix [seraient] complotistes », même la presse n’a pas pu ignorer les énormes biais méthodologiques ayant permis d’arriver à ce résultat délirant. Et pour cause : beaucoup de sondés ne connaissaient même pas la « théorie » sur laquelle on leur a demandé de se prononcer !
Conférence de Rudy Reichstadft au Conservatoire des Arts et Métiers (CNAM), Paris, 29 octobre 2019.
Mais l’avantage de s’autoproclamer « expert » d’une discipline qu’on invente, c’est de s’offrir les garanties d’en avoir le monopole. Un monopole qui a permis à Rudy Reichstadt d’être très souvent sollicité au sommet de l’Etat. Comme l’a rapporté le journaliste Laurent Dauré pour Blast, Rudy Reichstadt apparait comme « conseiller » dans pas moins d’une dizaine d’institutions publiques (Service d’information du gouvernement (SIG), le ministère de l’Éducation nationale, le ministère de l’Intérieur, Conseil national du numérique, la Miviludes, la Dilcrah, le Cnam…). Outre sa participation au rapport de la Commission Bronner sur les « Lumières à l’ère numérique » rédigé à la demande du Président Macron, il prodigue également depuis 2020 des formations auprès des agents de l’Unité de contre-discours républicain (UCDR) intégrée au SG-CIPDR (Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation, à l’origine de l’appel à projet « Fonds Marianne ») et fait partie des membres de l’Observatoire de la haine en ligne de l’ARCOM. On sait aussi que Conspiracy Watch intervient dans les politiques de régulation directement auprès des plateformes des réseaux sociaux. En 2019, la directrice des affaires publiques de Twitter France (avant le rachat d’Elon Musk) témoignait devant une commission d’enquête à l’Assemblée Nationale que ses équipes travaillaient « avec des associations comme celle de Rudy Reichstadt », leur faisant bénéficier en échange de « publicité à titre gracieux ». Même témoignage de la part du Directeur de Tik Tok France, qui reconnait lors d’une réunion de débat public que Conspiracy Watch les aide à « débusquer les conspirations et supprimer les contenus afférents ». Au vue de la manière très subjective qu’ont nos complotologues pour désigner un « discours conspirationniste », marquée d’un biais politique manifeste (nous le verrons plus loin), on ne peut écarter qu’une telle influence ait pu conduire à la censure d’opinions diffusées en ligne qui n’avaient strictement rien d’illégales.
- Une perfusion d’argent public pour des motifs parfois inexistant
Mais cette influence, au-delà d’être problématique, semble aussi être un formidable moyen de profiter des largesses de l’État et de ses deniers publics. D’après les données disponibles jusqu’en 2022 sur le site budget.gouv.fr (3), l’Observatoire du conspirationnisme perçoit une diversité de subventions annuelles pour des motifs qui suscitent l’interrogation. 30 000 euros leur sont versés chaque année depuis 2017 par la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH) pour la production de leur émission sur YouTube « Les Déconspirateurs », dont l’audience dépasse rarement quelques milliers de vues. Le SG-CIPDR participe aussi au financement de Conspiracy Watch à hauteur de 30 000 euros en moyenne dès 2019, subvention qui sera doublée à l’occasion du Fonds Marianne pour s’élever à plus de 60 000 euros versés tous les ans depuis 2021. L’association a également reçu à au moins deux reprises (2019 et 2021) une subvention de 20 000 euros au titre des « politiques d’EAC » (Éducation artistique et culturelle) pilotées par le ministère de la Culture.
Plus étrange encore, Conspiracy Watch a bénéficié de subventions de 15 000 € en 2020, de 30 000 € en 2021 et en 2022 (soit un total de 75 000 €), toutes versées au seul motif d’« accompagner l’organisation d’un concours international de dessin de presse contre le conspirationnisme et le négationnisme ». Problème : si un tel concours semble avoir été organisé en 2020, on n’en retrouve pas la moindre trace les deux années suivantes, alors que la dotation versée ces années-là a été le double du montant initial. D’autant plus que les lauréats de cet unique concours en 2020 ont reçu des prix pour un montant total de 7 000 €, remis discrètement lors d’un événement à huis clos dans le contexte des restrictions sanitaires.
A ces subventions régulières s’ajoutent une panoplie de « prestations » facturées par l’association et d’autres « soutiens » à des projets sur lesquels nous n’aurons aucun détail, pour des montants qui varient entre 400 et 4700 euros. Au total, si on s’appuie sur les dernières données disponibles pour l’année 2022, l’association de Rudy Reichstadt bénéficie d’au moins 130 000 euros chaque année de financement public, dans la plus totale opacité. Une somme légèrement supérieure à ce que Rudy Reichstadt déclarait lors de la commission d’enquête du Sénat sur le Fonds Marianne : devant les rapporteurs, il assurait ainsi que la part de financement public se limitait à 50% du budget général de l’association, budget qu’il évalue à « 230 000 euros environ ». Or 130 000 sur 230 000, c’est un peu plus que la moitié. À moins que le budget général de Conspiracy Watch soit plus important que l’estimation donnée… Il faut dire que ce ne serait pas la première fois que Rudy Reichstadt mente sur les financements qu’il reçoit du contribuable. En 2019, dans une intervention sur Europe 1, un présentateur radio lui demandait sur un ton d’humour s’il « n’était pas payé par le gouvernement pour affirmer que les français adhèrent de plus en plus aux théories complotistes » ; réponse de l’intéressé : « il est pas sûr que ce soit dans l’intérêt du gouvernement d’abord… et ensuite c’est pas le cas ». On imagine pourtant très bien l’intérêt qu’aurait le gouvernement à financer un média qui discrédite ses opposants politiques (comme Jean-Luc Mélenchon ou Marine Le Pen) en prenant la défense du Président.
Mais surtout, jusqu’en 2022, la page « Soutenez-nous » de Conspiracy Watch présentait faussement ne bénéficier « d’aucune subvention de l’Etat ». Un mensonge grossier démontré par notre confrère Greg Tabibian, qui a contraint la rédaction à modifier cette page pour intégrer un paragraphe qui fait la part belle aux circonvolutions : « si l’association éditrice de Conspiracy Watch bénéficie de co-financements publics sur certaines actions revêtant une dimension d’intérêt général […] elle ne bénéficie pas de co-financement concernant l’essentiel de son fonctionnement courant ou son activité de service de presse en ligne […]. Ces aides financières ne sont en outre sollicitées qu’au cas par cas et sans garantie de régularité dans le temps ». On serait bien curieux de connaître quelles sont précisément ces « actions » pour lesquelles Conspiracy Watch bénéficie de ces aides financières qui sont pour l’essentiel renouvelées chaque année.
Archive de la page de « Soutien » de Conspiracy Watch avant modification.
- Une impunité surprenante dans le scandale du « Fonds Marianne ».
Le plus étonnant reste qu’en dépit de toutes ces subventions injustifiées au prétexte d’une « expertise » plus que contestable, Conspiracy Watch semble être totalement épargné d’une quelconque remise en cause par les autorités. Le scandale du Fonds Marianne en est probablement l’exemple le plus criant. En effet, ni la presse, ni les rapports menés par la Commission d’enquête du Sénat et l’Inspection générale de l’administration n’ont émis de charges explicites contre l’association de Rudy Reichstadt. Ce que ce dernier répète allègrement dès qu’il s’agit de questionner son rôle dans cette affaire. Pourtant, ce blanc-seing mériterait de soulever quelques doutes. En effet, comme nous l’avions montré dans notre précédente enquête, les principaux contributeurs de Conspiracy Watch (Rudy Reichstadt, Tristan Mendès France et Valérie Igounet) interviennent dans les contenus produits par au moins trois autres bénéficiaires du Fonds Marianne : la LICRA (95 000 € du Fonds Marianne), 2P2L (20 000 €) et SPICEE (70 000 €). En supposant que ces prestations aient été payées avec l’argent perçu par chacune de ces autres associations lauréates, la part du budget issu du Fonds Marianne dont a bénéficié Rudy Reichstadt et ses associés serait donc bien supérieure aux 60 000 € annoncés pour Conspiracy Watch. De plus, d’autres bénéficiaires ont également fait la promotion du média dans leurs propres contenus, à l’instar de Fraternité Générale, Génération Numérique et Bibliothèques Sans Frontières. Enfin, l’Institute for Strategic Dialogue (80 000€ du Fonds Marianne) figurait comme co-financeur du projet « Ripost », porté par Rudy Reichstadt et Tristan Mendès France, un an avant d’avoir été sélectionné dans l’appel à projets du Fonds Marianne. Un partenariat tellement solide que Sacha Morinière, analyste pour ce think tank qui s’avère être un énième représentant du soft power américain, est devenue rédactrice permanente pour la version anglophone de Conspiracy Watch. Ainsi, si l’on additionne les subventions versées à des organismes collaborant de manière avérée avec Rudy Reichstadt, on arrive à un total de 325 000 € de projets financés par le Fonds Marianne. Et ce, alors même que Conspiracy Watch n’a publié aucun contenu original qui traite du thème du radicalisme islamique à l’origine de l’assassinat barbare de Samuel Paty.
Page de présentation du projet « SAPIO » porté par la LICRA, financé par le Fonds Marianne pour 95000€.
Et ce n’est pas tout. Il est très surprenant que Conspiracy Watch n’ait nullement été inquiété par les accusations entourant le Fonds Marianne sur le financement de contenu politique qui critique des opposants à Emmanuel Macron en période électorale, accusation portée spécifiquement par Mediapart contre l’association Reconstruire le commun.
Or pour ce qui concerne Reconstruire le commun, cette accusation se révèlera pour partie mensongère : aucun contenu critiquant des personnalités politiques n’a été publié par cette association pendant la période des élections présidentielles, contrairement aux allégations de Mediapart. Allégations d’autant plus fallacieuses que l’administration du CIPDR lui avait reproché, non pas d’avoir publié des « contenus à l’encontre d’opposants d’Emmanuel Macron », mais au contraire d’avoir diffusé des critiques particulièrement acerbes envers des membres du Gouvernement (qualifié « d’autoritaire », de « parti unique » ou « d’extrême-centre ») notamment une vidéo qui fustige la politique sanitaire d’Emmanuel Macron, ou encore une tirade humoristique dans laquelle Olivier Véran est comparé à « la poupée de Jeff Panacloc [qui n’a pas] de volonté propre ni l’initiative de ses paroles ». Le journal de Edwy Plenel a donc ouvertement menti en prétendant que ces contenus ont « égratigné à peine le chef de l’Etat ».
Mais a contrario, cette accusation aurait été parfaitement justifiée dans le cas de Conspiracy Watch. Le média « anti-complotiste » a publié de nombreux contenus critiquant des adversaires d’Emmanuel Macron tout en prenant la défense du Président pendant la période éléctorale, présidentielle et législative. Dans une vidéo des Déconspirateurs datant du 27 mars 2022 (deux semaines avant le scrutin présidentielle), le complotologue s’insurgeait d’un soi-disant « procès en illégitimité » fait à Emmanuel Macron par plusieurs candidats, phénomène qu’il qualifie « d’inquiétant » car le président serait selon lui « le mieux élu de toute la cinquième république ». Le même jour, un sondage de Conspiracy Watch présentait que les « complotistes » seraient « surreprésentés chez les sympathisants de Marine Le Pen et de Jean-Luc Mélenchon ». Le 3 avril (soit une semaine avant le premier tour des présidentielles), une édition de Conspiracy News présente l’affaire McKinsey comme une « fausse » affaire instrumentalisée par des « complotistes » car le cabinet serait, selon eux, le « coupable idéal […] des ennemis de la démocratie occidentale ». Le 5 avril 2022 encore, à cinq jours du scrutin, Conspiracy Watch publie un article affirmant que les « amis russes » de Jean-Luc Mélenchon se seraient « compromis, à des degrés divers, avec la rhétorique nationaliste et complotiste du Kremlin », faisant soupçonner le candidat de la France Insoumise d’être un sympathisant du régime de Vladimir Poutine. Enfin le 14 juin 2022, entre les deux tours des élections législatives, Conspiracy Watch publie un long article qui associe plusieurs députés du RN et de la NUPES, dont certains sont encore dans la course électorale, à des figures complotistes, antisémites, voire négationnistes. Sous le titre « Législatives 2022 : ces députés auxquels vous avez échappé… et les autres ! », ce pamphlet est une véritable croisade contre les principaux partis de l’opposition au parti présidentiel, sans émettre la moindre critique envers un candidat LREM.
Ces contenus contrastent pourtant fortement avec ceux publiés par Reconstruire le commun à la même période, qui leur a valu d’être la cible de la presse et de l’enquête de la Commission sénatoriale. Le mensonge du journal d’investigation est d’autant moins pardonnable qu’à l’époque de la campagne présidentielle de 2017, Conspiracy Watch avait lancé une lourde charge contre Mediapart pour avoir produit une vidéo « aux relents complotistes » qui « entonnait les sirènes de la démagogie populiste la plus crasse » en critiquant Emmanuel Macron !
Si commme les journalistes l’affirmaient , « utiliser des moyens publics pour influencer le résultat d’un scrutin est, en théorie, rigoureusement interdit »comment expliquer qu’ils aient pu ignorer les contenus davantage problématiques d’une autre association qui les avait rudement attaqués, en ayant eu accès à la liste de l’ensemble des lauréats du Fonds Marianne ? Pourquoi calomnier Reconstruire le commun quand il n’était pas nécessaire de mentir dans le cas de Conspiracy Watch ? Se pourrait-il qu’il y ait eu une « consigne » pour n’enquêter que sur deux bénéficiaires, protégeant Monsieur Reichstadt de toute polémique en lien avec ses services rendus au sommet de l’État ? On se doute qu’une telle question sera aussitôt qualifiée de « complotiste » à défaut d’en obtenir une réponse.
- Une mission de propagande politique au service d’Emmanuel Macron.
Ces exemples de contenus produits par Conspiracy Watch pendant la campagne électorale sont cependant loin d’être les seuls à refléter un biais partisan manifeste envers Emmanuel Macron. Rudy Reichstadt d’ailleurs, ne s’en cache pas vraiment : il a voté pour lui aux deux dernières présidentielles. Au point qu’on en vient à se demander si la dénonciation de « complotisme » n’aurait pas d’abord pour but de dénigrer les opinions qui s’opposent à la politique du gouvernement. C’est manifestement le seul trait commun aux personnalités dénoncées sur son blog. En dehors des partis du centre Macron-compatible, tout le spectre politique y passe : de Jean-Luc Mélenchon aux leaders du Rassemblement National, des Gilets Jaunes aux souverainistes (Florian Philippot, François Asselineau, ou encore Georges Kuzmanovic), de Usul à Fdesouche en passant par Aude Lancelin… Il n’est pas bien difficile d’en conclure que le « complotisme » réside avant-tout dans la contestation du pouvoir en place.
Ainsi, les personnes qui soupçonnent la corruption au sein de l’exécutif se retrouvent disqualifiées au même titre que les antisémites. Rudy Reichstadt l’assume : il considère qu’il n’y a pas de « bon complotisme » car « les théories du complot qui mettent en accusation les puissants, les multinationales, les services secrets, ect » relèveraient du même « glissement » que les croyances « platistes », « racistes ou antisémites » (Conférence au CNAM). Pourtant, le complotologue se révèle pour le moins indulgent lorsqu’une théorie du complot émana directement du chef de l’État : dans l’affaire Benalla, Emmanuel Macron avait en effet accusé ses opposants d’avoir organisé un « coup monté » contre lui sans la moindre preuve, ce que Rudy Reichstadt estima être une « hypothèse moins absurde que d’autres ». Une indulgence qu’il ne réserve curieusement pas à ses opposants, comme lorsque Jean-Luc Mélenchon qualifiait « d’opération de police politique » la perquisition de son domicile en 2018 ; là, Conspiracy Watch n’hésitait pas à parler d’ « accusations aventureuses nimbées de complotisme ». Je m’étonne aussi personnellement que l’utilisation de la formule « Etat profond » dans certains de mes tweets passés ait pu faire de moi une « figure montante de la complosphère » selon le blog de Rudy Reichstadt, quand la même formule prononcée par le chef de l’Etat ne fasse l’objet d’aucune mention sur Conspiracy Watch…
Ce parti-pris manifeste n’est toutefois pas sans risque. Le fait que le Ministère de l’intérieur se mette à recruter des « responsables complotisme » témoigne de l’influence grandissante de Rudy Reichstadt sur les politiques publiques. De quoi inquiéter que ce qu’il désigne comme une « menace » ne finisse par convaincre de prendre des mesures contre des opinions qui ont pourtant pleinement leur place dans un débat démocratique.
- Mensonges, contradictions et victimisation
Tous ces éléments sont de nature à contredire la promesse de Conspiracy Watch de travailler dans un « esprit de totale indépendance » qui ferait toujours preuve de « rigueur, délicatesse et sens de la nuance ». Pour la « rigueur » scientifique, on repassera, tant Rudy Reichstadt peine à définir le « conspirationnisme » sans se noyer dans ses propres contradictions. Lorsque, dans un séminaire de la Règle du Jeu en 2012, on lui demande ce qui distingue un discours « conspirationniste » d’une saine « vigilance citoyenne », le complotologue répondait que c’est une « question de méthode » qui consiste à « toujours se poser la question de la vraisemblance de ce qu’on nous propose ». Or quelques années plus tard sur France Inter, il dit tout l’inverse : « il n’y a pas de lien entre la vérité et le fait qu’une information soit convaincante » expliquait-il pour interpréter le « succès » du « complotisme » .
Le principe de vérité ne semble toutefois pas davantage guider la ligne éditoriale de Conspiracy Watch. En mars 2020, le média avait fait grand bruit en publiant un autre de leur sondage qui alléguait qu’un quart des Français « pensent (à tort) que le Covid-19 est provoqué par un virus fabriqué en laboratoire, soit intentionnellement, soit accidentellement », les deux thèses (intentionnelle ou accidentelle) étant alors indifféremment qualifiées sur le site de « théorie du complot » infondée. Tous les fact-checkers, notamment Julien Pain, avaient relayé cette statistique sur ce qui était alors présenté comme une « fausse information ». Evidemment, il était aussi question de montrer que ce sont les partisans des « extrêmes » (RN et LFI) qui seraient les plus sensibles à cette thèse – ou plutôt « cette croyance complotiste » comme le prétendait Conspiracy Watch. Mais voilà qu’au bout d’un certains temps, cette hypothèse est finalement prise au sérieux par la communauté scientifique, y compris l’OMS. Loin de s’excuser d’avoir jeté le discrédit sur une opinion tout à fait recevable, Rudy Reichstadt plonge de nouveau dans le mensonge avec une bonne dose de mauvaise foi : « l’idée que le Covid-19 aurait été le fruit d’expériences de gains de fonction menées en laboratoire sur un coronavirus naturel et s’en serait échappé accidentellement ne me paraît ni complotiste ni absurde » déclara-t-il en 2021, en contradiction complète avec le sondage auquel il avait participé 1 an plus tôt.
Reste qu’en disant tout et son contraire sur ce qui conviendrait de ranger derrière le mot « complotisme », Rudy Reichstadt échoue à démontrer une quelconque « autorité » qui justifierait son influence au sein de l’État, pas plus que n’est justifié tous ces financements publics en pleine crise budgétaire. Contre ceux qui s’indignent de son entreprise de fichage politique fondée sur un parti-pris évident et une scientificité absente, le fondateur de Conspiracy Watch ne semble avoir d’autre réponse qu’un discours de victimisation. Il en d’ailleurs consacré un livre (4) et se plaint du « harcèlement » qu’il dit subir à chaque fois qu’il lui en est donné l’occasion de parler dans les médias, c’est à dire très souvent. La moindre critique fondée sur des faits lui provoque une réaction outrée comme si elle participait d’une menace de mort. Il reprocha même à Check-news d’avoir osé respecter la Charte de Munich (chose assez rare pour être soulignée) en corroborant certains éléments qui suscitent l’interrogation sur son rôle dans l’affaire du Fonds Marianne. En s’abstenant de répondre à la question de savoir s’il en aurait « indument bénéficié », les fact-checkers de Libération se voient reprocher d’avoir donné raison à « des gens qui rêvent littéralement de danser sur [sa] tombe », rien de moins.
Finalement, on serait tenté de croire que le statut de victime « d’un lynchage ignoble » figure un joker bien pratique quand on préfère éviter de répondre aux questions qui dérangent.
(1) C. Le Caroff, M. Foulot, « L’adhésion au « complotisme » saisie à partir du commentaire sur Facebook », Question de communication, 35, 2019. -> https://doi.org/10.4000/questionsdecommunication.19405
(2) Sébastien Dieguez, Sylvain Delouvée, Le complotisme. Cognition, culture société, Bruxelles, Mardaga, 2021, pages 184 et 244.
(3) Les données sont issues des dossiers « Jaunes Budgétaire » / « Effort financier de l’Etat en faveur des associations » (exercice 2020, 2021, 2022 et 2023)
(4) Rudy Reichstadt, Au coeur du complot, Grasset, 2023.
*Mise à jour au 13.03.2025 : modification du texte de la 3ème section (contenus de Reconstruire le commun / contenus de Conspiracy Watch), modifications de la mise en page, ajout de caractères gras, ajouts et modifications d’image (+légende), correction stylistique.
Testatika
Le ML suisse Testatika/Testatica
Testatika
Remarque : Cet article sur l'étonnante technologie Testatika (parfois orthographiée Testatica) n'est qu'un exemple des nouvelles technologies énergétiques prometteuses qui sont actuellement sous pression. Pour un excellent résumé de deux pages sur l'histoire et l'espoir des nouvelles sources d'énergie, cliquez ici .
Cette machine Testatika a été construite il y a environ 15 ans dans une commune près de Berne en Suisse nommée Methernitha et pourrait avoir les réponses à nos besoins énergétiques.
Malheureusement, les membres de la communauté ont exprimé le désir de garder les détails de l'appareil secrets pour le grand public, car ils pensent qu'il pourrait être utilisé par les autorités militaires pour nuire à l'humanité.
Bien que les visiteurs aient été les bienvenus, la plupart ont été déçus par le fait que la communauté ne présente plus l’appareil au public.
Le peu que l’on sait est présenté ici.
J'ai une vidéo en version PAL montrant cet appareil en fonctionnement. Plus d'informations sur notre encyclopédie gratuite de l'énergie disponible via le lien « Gratuit » : Gratuité et autres merveilles
L'unité Testatika est démarrée manuellement en faisant tourner les deux disques en sens inverse et continue de se déplacer sans intervention supplémentaire.
Cet appareil ne comporte que deux pièces mobiles : les bagues de roulement au centre du disque.
Les disques sont en plastique transparent et sont posés à plat sur une série de cinquante sections en acier ou en aluminium de type lame, régulièrement espacées autour de la partie centrale de chaque disque.
La vitesse de rotation des disques est d'environ 50 à 60 tr/min, limitée par les impulsions magnétiques de la section magnétique sur la jante.
Ceux qui ont vu cette centrale électrique en fonctionnement savent qu'une énergie exploitable est extraite de l'environnement et qu'une partie est utilisée pour faire fonctionner la machine.
Ce système énergétique repose sur le générateur électrostatique Wimhurst automoteur pour la haute tension. Les membres de cette communauté ont trouvé un moyen d'extraire, d'amplifier et de convertir cette énergie en énergie puissante et utile.
Le convertisseur Swiss M/L est basé sur une machine électrostatique Wimhurst modifiée.
La ML suisse Testakica
Cette machine existe aujourd'hui dans une commune près de Berne en Suisse et pourrait avoir les réponses à nos besoins énergétiques.
L'unité est mise en marche manuellement en faisant tourner les deux disques dans des directions opposées et continue à se déplacer sans autre intervention. Ce dispositif n'a que deux pièces mobiles, à savoir les roulements au centre du disque.
Les disques sont fabriqués en plastique acyclique sur lequel sont placées à plat une série de cinquante sections en acier ou en aluminium de type lame, également espacées autour des sections centrales de chaque disque.
La vitesse de rotation des disques est d'environ 50 à 60 tours par minute, limitée par les impulsions magnétiques provenant de la section magnétique située sur le bord du disque.
Pour ceux qui ont vu cette centrale en fonctionnement, il est certain que de l'énergie utilisable est extraite de l'environnement et qu'une partie est utilisée pour faire fonctionner la machine.
Il s'agit d'un système énergétique qui s'appuie sur le générateur électrostatique wimhurst auto-mobile pour la haute tension et, d'une manière ou d'une autre, les membres de cette commune ont trouvé un moyen d'extraire, d'amplifier et de convertir cette énergie à des niveaux utiles et puissants.
Le convertisseur M/l suisse est basé sur une machine électrostatique wimhurst modifiée.
Mes collaborateurs ont vu le convertisseur suisse en fonctionnement, mais à ce jour, personne n'a été en mesure de comprendre ou de reproduire avec succès les résultats obtenus par le groupe de la commune suisse Methernith à Linden.
expérience de linden
Mais une personne chanceuse a reçu la visite de Paul B. qui lui aurait dit que si elle pouvait comprendre l'expérience suivante, elle serait sur le point de comprendre comment l'appareil pouvait fonctionner (comme illustré ci-dessus).
Il se compose de deux plaques de métal, l'une en aluminium, l'autre en cuivre, séparées par un isolant d'un matériau inconnu, qui pourrait être du papier ou du plastique (inconnu).
Il comprend également un aimant en forme de fer à cheval entouré d'une bobine de fil et dont les deux extrémités sont soudées ensemble.
Paul B a placé ce condensateur composé des différents métaux entre les pôles d'un aimant en forme de fer à cheval et a ensuite demandé à un témoin de connecter les plaques à deux sondes d'un voltmètre à chaque plaque et, à leur grande surprise, ils ont trouvé une tension de 700 volts qui diminuait de temps en temps.
J'ai communiqué avec des personnes qui ont réalisé l'expérience ci-dessus avec peu de résultats.
CE QUE JE PENSE QU'IL S'EST PASSÉ, BIEN QUE JE N'EN SOIS PAS CERTAIN
PB a peut-être conditionné l'isolateur en perspex ou un autre isolateur similaire par les moyens suivants sans révéler ce qu'il avait fait.
Il est connu que si l'on chauffe le perspex jusqu'à ce qu'il devienne mou au toucher et collant, on soumet ensuite la masse chauffée à un champ de haute tension au moyen de plaques métalliques placées de chaque côté de la masse de perspex et on la laisse là jusqu'à ce que le perspex soit refroidi.
Si l'on retire la charge haute tension appliquée (l'effet électret), une charge électrostatique haute tension peut encore être prélevée en continu sur ces plaques métalliques, ce qui se produit également avec les microphones électrostatiques des magnétophones modernes.
Le rôle de l'aimant, de la bobine et des plaques métalliques à face différente en plus de la charge électrostatique reste à déterminer par votre serviteur.
Si l'on examine d'autres parties de l'appareil, les champs de captation qui ne touchent pas les disques en rotation sont également constitués d'aluminium perforé, séparé par une isolation en plexiglas et du cuivre.
J'aimerais savoir si quelqu'un a réalisé l'expérience ci-dessus et a obtenu un résultat positif.
Manifestation de Testatika (4 août 1999)
Traduction par Stefan Hartmann < harti@harti.com > & Hans Holzherr
De la part de : Hans Holzherr
A : Stefan Hartmann
Récemment, plus de 30 techniciens et ingénieurs (la plupart à la retraite) ont été autorisés à visiter le groupe Methernitha à Linden, en Suisse, où ils ont assisté à une démonstration des différentes machines Testatika.
Voici un rapport de Hans Holzherr de Suisse qui était présent :
Bonjour M. Hartmann,
Pour répondre à vos questions : > Avez-vous vu en direct une machine avec une charge ? Si oui, quelle charge ?
Dans ce qui suit, je fais référence au modèle avec les disques de 50 cm de diamètre. Cette machine était déjà en marche lorsque les visiteurs sont entrés dans la pièce et n'a pas été arrêtée pendant toute la durée de notre présence, soit environ une heure et demie. Comme première charge, une lampe de 1000 watts a été branchée pendant environ 10 secondes, dont la luminosité n'a PAS diminué - la séquence correspondante sur le film Testatika n'est qu'un effet de l'ajustement automatique de l'ouverture de l'appareil photo à la luminosité soudaine ! La deuxième charge était un élément chauffant en forme de U, que M. Baumann m'a remis. Il est devenu si chaud en une seconde que j'ai dû le poser immédiatement ! Ce qui était particulièrement impressionnant, c'est que lorsqu'il a tiré l'un des fils de contact (celui de la lampe, je crois), un arc de 1 cm de long est apparu entre l'électrode de sortie et le fil de connexion pendant environ une seconde. L'appareil était placé sous un capot en plexiglas. Près de la base, il y avait deux trous que Baumann utilisait pour insérer les fils de contact afin de toucher les électrodes de sortie.
Comment pensez-vous que la puissance élevée est produite ?
Bonne question ! J'aimerais bien connaître la réponse, moi aussi !
Les disques ont-ils ralenti lorsqu'une charge a été placée sur les électrodes de sortie ?
Je ne l'ai pas remarqué (personne d'autre ne l'a fait), mais bien sûr vous avez tendance à regarder "là où il y a de l'action" (la lampe, etc.) Les disques tournaient à 15 tours par minute, ce qui est assez lent. La vitesse de rotation était réglée magnétiquement.
Quelle impression générale avez-vous eue ?
C'était vraiment impressionnant ! On a du mal à y croire, avec cette rotation lente. En tout cas, cela ne s'explique pas par une simple électrostatique au sens de la machine de Wimshurst. Les tôles perforées semblent avoir une fonction clé... À côté des électrodes d'entraînement et de prise de vue, il y a un certain nombre de petits blocs de plexiglas avec des tôles perforées collées, dont la fonction est inconnue.
Comme Adolf Schneider l'a déjà mentionné, mon collègue Bernhard XXX et moi-même voulons essayer de copier l'expérience de principe montrée par Baumann - sans grand espoir de trouver quelque chose d'extraordinaire, cependant.
L'appareil se compose d'un bras en plexiglas pivotant horizontalement et d'une petite plaque rectangulaire en plexiglas collée aux deux extrémités de la partie inférieure du bras. La face inférieure du bras est recouverte de tôles d'aluminium perforées (trous carrés), tandis que le bas des plaques est recouvert d'un treillis métallique en laiton. Sous chaque plaque, cinq autres plaques sont collées sur la plaque de base. Il y a également un treillis métallique entre chaque paire de plaques dans les deux blocs. De la couche de treillis entre la plaque la plus basse et la base, un fil est relié aux deux condensateurs, qui sont connectés en parallèle. Baumann a saisi le bras à deux mains et l'a fait tourner une dizaine de fois d'avant en arrière (une rotation complète n'était pas possible, car les condensateurs gênaient), puis a mesuré la tension continue à l'aide d'un instrument de mesure numérique : 60 volts. Ensuite, lorsqu'il a court-circuité les condensateurs, un fort craquement s'est fait entendre. Je ne sais pas si c'est déjà un résultat anormal...
À ma question, Baumann a répondu qu'avec une feuille métallique (au lieu d'un treillis métallique), l'appareil ne produirait pas cet effet.
Pour de plus amples informations, veuillez contacter : leo@zelator.in-berlin.de
Baumann, Paul / Testatika :
De : http://www.free-energy.ws/baumann.htm
Dans les années 1970, Paul Baumann était membre de la communauté chrétienne Methernitha à Linden, en Suisse. Avec un groupe d'autres membres de la communauté, il s'est lancé dans un projet de recherche visant à rendre la communauté autosuffisante sur le plan énergétique
Après avoir étudié la plupart des méthodes ordinaires, M. Baumann a découvert un moyen d'exploiter une puissance latente dans l'électricité statique atmosphérique. Il affirme avoir découvert cette technique en étudiant la foudre. Dans les années 1980, M. Baumann a commencé à construire des modèles de ce que l'on appelle la "machine Testatika".
Une fois mis en marche, ces appareils génèrent une forme froide d'électricité et se mettent eux-mêmes en marche. Bien que M. Baumann n'ait jamais officiellement divulgué la technique, des centaines de témoins oculaires ont déclaré avoir vu ce simple générateur électrostatique, qui tourne sur lui-même et produit des milliers de watts d'une forme froide d'électricité.
Actuellement, la communauté Methernitha dispose de 5 ou 6 modèles d'appareils sans combustible qui fonctionnent selon ces principes. Paul Baumann est décédé au cours de l'hiver 2001.
Tiré de : http://energy21.freeservers.com/testatika.htm
Petite version : L'unité suisse à disque unique de 300 watts Il semble qu'il y ait aussi une version à disque unique de 4 pouces qui produisait 300 watts.
Paul Baumann : Testatika Generator, Methernitha Group : CH-3517 Linden, Suisse, de : http://www.rexresearch.com/testatik/testart.htm
Démonstration de Testatika (4 août 1999). Traduction par Stefan Hartmann - harti@harti.com - & Hans Holzherr
Récemment, plus de 30 techniciens et ingénieurs (la plupart à la retraite) ont été autorisés à visiter le groupe Methernitha à Linden, en Suisse, où ils ont assisté à une démonstration des différentes machines Testatika.
Voici un rapport de Hans Holzherr, de Suisse, qui était présent :
Bonjour M. Hartmann, Pour répondre à vos questions : Avez-vous vu en direct une machine avec une charge ? Si oui, quelle charge ?
Je me réfère dans ce qui suit au modèle avec les disques de 50 cm de diamètre. Cette machine était déjà en marche lorsque les visiteurs sont entrés dans la salle et n'a pas été arrêtée pendant toute la durée de la visite, qui a duré environ une heure et demie.
Comme première charge, une lampe de 1000 watts a été branchée pendant environ 10 secondes, dont la luminosité n'a PAS diminué - la séquence correspondante sur le film Testatika n'est qu'un effet de l'ajustement automatique de l'ouverture de l'appareil photo à la luminosité soudaine !
La deuxième charge était un élément chauffant en forme de U, que M. Baumann m'a tendu. Il est devenu si chaud en une seconde que j'ai dû le poser immédiatement !
Ce qui était particulièrement impressionnant, c'est que lorsqu'il a tiré l'un des fils de contact (celui de la lampe, je crois), un arc de 1 cm de long est apparu entre l'électrode de sortie et le fil de connexion pendant environ une seconde. L'appareil était placé sous un capot en plexiglas. Près de la base, il y avait deux trous que Baumann utilisait pour insérer les fils de contact afin de toucher les électrodes de sortie.
- Les disques ont-ils ralenti lorsqu'une charge a été placée sur les électrodes de sortie ?
- Je ne l'ai pas remarqué (personne d'autre ne l'a fait), mais bien sûr, vous avez tendance à regarder "là où il y a de l'action" (la lampe, etc.) Les disques tournaient à 15 tours par minute, ce qui est assez lent. La vitesse de rotation était réglée magnétiquement.
Quelle impression générale avez-vous eue ?
- C'était vraiment impressionnant ! On a du mal à y croire, avec cette lenteur de rotation. En tout cas, cela ne s'explique pas par une simple électrostatique au sens de la machine de Wimshurst. Les tôles perforées semblent avoir une fonction clé... À côté des électrodes de prise et d'entraînement, il y a un certain nombre de petits blocs de plexiglas avec des tôles perforées collées, dont la fonction est inconnue.
Comme Adolf Schneider l'a déjà mentionné, mon collègue Bernhard XXX et moi-même voulons essayer de copier l'expérience de principe montrée par Baumann - sans grand espoir de trouver quelque chose d'extraordinaire, cependant.
L'appareil se compose d'un bras en plexiglas pivotant horizontalement et d'une petite plaque rectangulaire en plexiglas collée aux deux extrémités de la partie inférieure du bras. La face inférieure du bras est recouverte de tôles d'aluminium perforées (trous carrés), tandis que le bas des plaques est recouvert d'un treillis métallique en laiton. Sous chaque plaque, cinq autres plaques sont collées sur la plaque de base.
Il y a également un treillis métallique entre chaque paire de plaques dans les deux blocs. De la couche de treillis entre la plaque la plus basse et la base, un fil est relié aux deux condensateurs, qui sont connectés en parallèle. Baumann a saisi le bras à deux mains et l'a fait tourner une dizaine de fois d'avant en arrière (une rotation complète n'était pas possible, car les condensateurs gênaient), puis a mesuré la tension continue à l'aide d'un instrument de mesure numérique : 60 volts. Ensuite, lorsqu'il a court-circuité les condensateurs, un fort craquement s'est fait entendre. Je ne sais pas si c'est déjà un résultat anormal...
À ma question, Baumann a répondu qu'avec une feuille métallique (au lieu d'un treillis métallique), l'appareil ne produirait pas cet effet. Pour de plus amples informations, veuillez contacter :
leo @ zelator.in-berlin.de
Expérience de Linden
Le seul schéma disponible de l'expérience de Linden (voir diag 2) montre un aimant en fer à cheval couplé à ce qui semble être un fil fermé. On peut également voir sur ce schéma que les bobines de fil autour de l'aimant sont suffisamment espacées pour fournir une capacité (entre chaque bobine du fil) dans le circuit.
Ainsi, avec la capacité, les bobines (pour l'induction) et le flux magnétique, vous avez tous les ingrédients nécessaires pour créer un circuit oscillant - à condition qu'il y ait une alimentation en tension et une sorte de mécanisme d'interruption - vous avez alors un circuit qui résonnera. Cela nous ramène à cette question souvent répétée : le bloc utilisé dans l'expérience Linden est-il un électret ?
La première personne à PUBLIER comment elle a reproduit cette expérience sera celle qui répondra à cette question...
Mais il y a quelque chose qui cloche dans ce diagramme - la fréquence de résonance de ce simple circuit - qui ne dépend que des valeurs d'inductance et de capacité incluses dans le circuit - ne lui permettrait d'osciller qu'à quelques kilohertz dans le meilleur des cas.
Aucun circuit de capacité/inductance ne peut être amené à résonner à une fréquence aussi élevée que celle revendiquée, même s'il comprenait une forme quelconque de cristal de quartz. Si, comme l'indique le diagramme, il résonne à 140 MHz, il doit y avoir un système de fils de Lecher (deux fils conducteurs en ligne parallèle, à environ un pied de distance ou moins, sur plusieurs pieds) pour le faire résonner à une fréquence aussi élevée.
Il me semble également qu'une modification nécessaire du diagramme de l'expérience de Linden consisterait à introduire un métal différent dans ce circuit où le fil est dit "fermé", par exemple une plaque de zinc, ce qui permettrait d'établir une tension de contact entre le fil de cuivre et la plaque de zinc. Une telle tension ferait entrer le circuit en résonance, pour les raisons mentionnées ci-dessus.
Et comme dans le cas de l'installation Tini, si un bloc composé de deux plaques métalliques séparées par un matériau diélectrique approprié (tel que le plexiglas) est placé dans un champ électrique oscillant, la charge électrique des plaques métalliques s'infiltrera dans le diélectrique et, pour les mêmes raisons que celles exposées plus haut dans l'expérience du principe, accumulera temporairement une tension en raison de l'absorption diélectrique.
Comme je l'ai déjà dit ailleurs, il existe une grande similitude entre le phénomène des blocs en fer à cheval de Testatika (et le montage Tini) et le principe du générateur de champ d'électrons de Patrick Flanagan, qui alimente un mécanisme de cascade d'électrons dans tout l'environnement immédiat.
Circuit de redressement
Jean L. Naudin Labs (4 février 1998) - "Testatika Generator and Over-Unity" par Cyril Smith
Après avoir lu l'article de Nelson Camus qui prétend "expliquer" le générateur de surunité Testatika (http://members.aol.com/overunity2/nelson/testatic.htm), je suis d'avis que la véritable explication est cachée dans le charabia électrique du 19ème siècle qui constitue une grande partie de la machine (jarres de Leyde, aimants en fer à cheval, générateur de Wimshurst, etc...). D'après la description des condensateurs à feuilles enroulées en spirale contenant des matériaux radioactifs et placés dans des bobines porteuses de courant, il me semble que la véritable énergie provient peut-être des particules bêta (électrons rapides) absorbées dans le circuit électrique.
Pour extraire l'énergie des particules bêta, il ne suffit pas de les capturer. Il est clair qu'il en résultera un flux de courant en fonction du taux de capture, mais le courant en lui-même n'est pas une source d'énergie. L'énergie cinétique de la particule doit être capturée, ce qui se traduira par une différence de potentiel ou une tension.
Si une particule bêta pénètre dans une fine feuille conductrice normale à sa surface et est capturée, on peut s'attendre à ce que la différence de potentiel associée à l'abandon de son énergie cinétique se produise sur les faces opposées de la feuille. Toutefois, si la particule bêta est tournée de manière à pénétrer à un angle rasant par rapport à la surface, non seulement la probabilité de capture sera accrue (puisque la particule se déplacera plus loin dans le matériau), mais la différence de potentiel se produira sur toute la longueur de la feuille.
Les particules bêta se déplaçant même à des vitesses relatives peuvent être retournées sur de courtes distances par des champs magnétiques relativement faibles, de sorte que le concept illustré dans la figure suivante s'impose de lui-même.
VERSION MODIFIEE D'UNE PRESENTATION DONNEE A LA CONFERENCE DE RECHERCHE ATEXOTIQUE DE MESA ARIZONA 1998 de : http://www.nuenergy.org/alt/PowerWheel.htm
PAR CALVIN BAHLMANN PROPRIETAIRE ET DIRECTEUR DE RECHERCHE CHEZINTERNATIONAL HIGH TECHNOLOGYSHINER, TEXAS
L'ENERGIE DES MACHINES A DISQUES ROTATIFS - WIMHURST THESTA-DISTATICA POWER WHEEL
CET ARTICLE TRAITE DU DÉVELOPPEMENT DES MACHINES À DISQUE ROTATIF PRODUCTRICES D'ÉNERGIE. LES MACHINES À INFLUENCE WIMHURST, LA MACHINE SUISSE THESTA-DISTATICA (TD) ET LA ROUE MOTRICE BAHLMANN (PW) SONT DES MACHINES PRODUCTRICES D'ÉNERGIE. LE PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT DE CES DEUX DERNIÈRES MACHINES N'EST PAS BIEN CONNU.
L'INTRODUCTION DE L'ÉNERGIE BON MARCHÉ OU GRATUITE (PAS VRAIMENT GRATUITE) EST LE RÊVE DE TOUS CEUX QUI PAIENT DES FACTURES D'ÉLECTRICITÉ. LES TROIS QUARTS DE LA PLANÈTE N'ONT MÊME PAS D'ÉLECTRICITÉ, DE SORTE QUE CEUX QUI NE DISPOSENT D'AUCUNE ÉNERGIE ÉLECTRIQUE ACCUEILLERONT AVEC PLAISIR LA ROUE MOTRICE, UNE VERSION HYBRIDE DE LA THESTA-DISTATICA. LES DISQUES ROTATIFS ÉQUIPÉS DE CONDENSATEURS DE CAPTURE À BASE D'EAU (C-CAPS) PEUVENT-ILS ÊTRE UTILISÉS POUR RÉALISER CE RÊVE ?
LES CHERCHEURS EN ÉNERGIES ALTERNATIVES DE L'INTERNATIONAL HIGH TECHNOLOGY AND NU ENERGY HORIZONS ONT MIS AU POINT DES DISPOSITIFS ET DES MACHINES DE PRODUCTION D'ÉNERGIE POUR L'HUMANITÉ QUI CHANGERONT LA FAÇON DONT LES GENS ALIMENTENT EN ÉNERGIE LES APPAREILS ET AUTRES DISPOSITIFS QUI NÉCESSITENT DE L'ÉNERGIE ÉLECTRIQUE.
DEUX GRANDES CATÉGORIES DE MACHINES PRODUCTRICES D'ÉNERGIE SONT NÉCESSAIRES, L'UNE POUR LES CHARGES SOLIDES OU NON INDUCTIVES ET L'AUTRE POUR LES CHARGES INDUCTIVES. L'ÉCLAIRAGE NÉCESSITE UNE UNITÉ D'ALIMENTATION MOINS COÛTEUSE QUE LES CHARGES INDUCTIVES TELLES QUE LES MOTEURS, MAIS LES UNITÉS CONÇUES POUR S'ADAPTER À TOUTES LES CHARGES SERONT LES PLUS UTILISÉES.
LES MACHINES DE WIMHURST SONT PRINCIPALEMENT UTILISÉES À DES FINS DE DÉMONSTRATION ET DE RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET NE SONT PAS ADAPTÉES POUR RÉPONDRE AUX BESOINS ÉNERGÉTIQUES D'UNE MAISON OU D'UNE ENTREPRISE.
LES CHERCHEURS ACTUELS QUI TENTENT DE RECONSTITUER LA THESTA-DISTATICA ONT EMPRUNTÉ DES VOIES LONGUES, COMPLIQUÉES ET IMPRODUCTIVES, MAIS N'ONT PAS OBTENU DE RÉPONSES. CES QUESTIONS DEMEURENT : "COMMENT LE THESTA-DISTATICA PRODUIT-IL AUTANT D'ÉNERGIE PAR RAPPORT À SA TAILLE ? COMMENT LA HAUTE TENSION EST-ELLE ABAISSÉE ?"
LA ROUE DE PUISSANCE ET D'AUTRES DISPOSITIFS DE PRODUCTION D'ÉNERGIE À L'ÉTAT SOLIDE SONT DÉSORMAIS UNE RÉALITÉ DANS LES LABORATOIRES DE LA HAUTE TECHNOLOGIE INTERNATIONALE ET DE NU ENERGY HORIZONS. CES MACHINES EFFICACES SERONT LES PLUS MAGNIFIQUES QUE LE MONDE AIT JAMAIS VUES. LA PHASE DE PRÉPRODUCTION DU PROCESSUS DE FABRICATION EST PRESQUE ACHEVÉE.
MACHINE D'INFLUENCE WHIMHURST
CARACTÉRISTIQUES DE CONCEPTIONLA DESCRIPTION SUIVANTE D'UNE MACHINE WIMHURST EST ÉLÉMENTAIRE. POUR UNE DESCRIPTION DÉTAILLÉE, VOIR "HOMEMADE LIGHTNING" PAR R.A. FORD, UNE PUBLICATION DE McGRAW-HILL PUBLISHING CO. ET DISPONIBLE AUPRÈS DE LINDSAY BOOKS.
LA MACHINE WIMHURST UTILISE DES DISQUES CONTRAROTATIFS QUI TOURNENT À UNE VITESSE COMPRISE ENTRE 2 000 ET 3 000 TOURS PAR MINUTE POUR OBTENIR LE MEILLEUR RENDEMENT. LE RENDEMENT D'UNE MACHINE WIMHURST DE PETITE OU MOYENNE TAILLE PEUT ALLER DE 10 KV À 75 KV, VOIRE PLUS. LA CONSTRUCTION DE LA MACHINE, LES CONDITIONS MÉTÉOROLOGIQUES, LE DIAMÈTRE DE CHAQUE DISQUE ET LA VITESSE DE ROTATION DÉTERMINENT LE RENDEMENT.
LES MACHINES WIMHURST D'ORIGINE ÉTAIENT TOURNÉES À LA MAIN. QUATRE POULIES ET DEUX COURROIES RELIÉES À UNE MANIVELLE COMMUNE FAISAIENT TOURNER LES DISQUES. LES DEUX COURROIES ÉTAIENT RELIÉES À LA MÊME MANIVELLE, MAIS L'UNE D'ELLES ÉTAIT TORDUE À 180 DEGRÉS POUR FAIRE TOURNER UN DISQUE DANS LA DIRECTION OPPOSÉE À L'AUTRE. LA CHARGE ÉLECTRIQUE DES DISQUES ÉTAIT RECUEILLIE PAR DES PEIGNES ET STOCKÉE DANS DES ACCUMULATEURS (JARRES DE LEYDEN, CONDENSATEURS).
LA MACHINE DE WIMHURST N'A EU QUE PEU D'UTILITÉ, SI CE N'EST POUR LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET LES APPLICATIONS MÉDICALES ÉLECTROTHÉRAPEUTIQUES. LA FIGURE 1 MONTRE UNE MACHINE DE BASE DE WIMHURST.
Replication Claim of the Swiss ML http://utenti.lycos.it/testatikmachine/prototypes/index.htm (en anglais)
Voir aussi http://www.methernitha.com/index.html
Expériences Testatika http://www.rimstar.org/sdenergy/testa/index.htm
L'objectif de ces expériences est d'essayer de construire une testatika ou au moins quelque chose qui fonctionne (qui exploite une source d'énergie pour produire un résultat utile) en essayant de reproduire la testatika.
La testatika est un dispositif à énergie libre souvent soupçonné d'être similaire à une machine de Wimshurst ou à une sorte de machine électrostatique. Voir la page de présentation pour une description plus complète.
Nouveautés : 18 avril 2006 : Ajout d'un lien en bas de page vers le travail effectué par Sven Bosnich.
voir aussi :
- Testatika Nachbau von Jorge Resines http://home.arcor.de/freie.energie/testatika_galerie01/testatika_galerie01.htm
- Der AFM-SG Statik-Generator (sur la page qui s'affiche, cliquer sur le bouton "AFM intem", "Projekte", puis cliquer sur "Statikgenerator") http://www.intelegente.at/start.htm
- Transformation de l'énergie par décharge électrostatique - Une approche pour comprendre le fonctionnement du dispositif d'énergie libre 'Thestitika'". (fichier PDF) http://www.hmi.de/people/boenisch/articles/esd_transformation_for_web.pdf Sven Bosnich, ELEKTRIE, No. 5-8, 2003, Berlin, ISSN 0013-5399
Back-Engineered Methernitha par Paul E Potter, href="http://www.alienpropulsion.com
Le fait que la machine Testatika du groupe suisse Methernitha soit considérée comme étant basée sur un générateur électrostatique de Wimshurst n'est qu'une faible approximation de la vérité de la grande multitude de machines à influence électrostatique développées autour des années 1900. Elle suit de plus près le système de séparation et de collecte des charges utilisé par la machine Pidgeon de 1898 [note 1] pour son circuit électrique.
Ses grilles en acier (50 par disque) sont manifestement uniques à la Methernitha (voir fig.1), mais elles s'inspirent en principe de recherches et de brevets antérieurs concernant des secteurs ondulés qui se sont avérés être des porteurs de charge plus efficaces [note 2] que les secteurs plats, et d'un exemple similaire plus récent de tiges en aluminium s'étendant comme des rayons de roue à partir d'un moyeu isolant en plexiglas [note 3].
Une autre fonction unique de ces grilles perforées attachées aux disques est la manière dont elles induisent la charge des disques rotatifs vers les tampons collecteurs spéciaux, ou touches antennes "tasten" (qui sont également perforées de manière à capter plus facilement la charge) ; Dans un Wimshurst, des brosses conductrices ou des rails à pointes acérées touchaient les disques ou étaient placés très près d'eux, alors que dans le Methernitha, la charge doit traverser un espace d'air parallèle jusqu'aux tampons et, à cette fin, les grilles métalliques sont conçues de manière à créer des courants de Foucault miniatures d'air chargé qui circulent à l'intérieur et à l'extérieur des charges de surface du métal perforé et qui sont plus facilement renvoyées vers les tampons collecteurs. Ce processus est qualifié de génération électrostatique à CAPACITÉ VARIABLE.
Il convient de noter avec soin la façon dont le Methernitha utilise sa configuration de base de Pidgeon en ce qui concerne ses tiges de neutralisation (qui égalisent et stabilisent les charges opposées - voir fig.2), et la façon dont les charges sont captées à un endroit et accumulées à d'autres, de sorte que les polarités de charge sont correctement distribuées à des endroits spécifiques sur les deux disques [note 4].
Et bien qu'il y ait eu des affirmations fantaisistes, ou des informations erronées, selon lesquelles il utilise toutes sortes de matériaux radioactifs pour obtenir sa sortie pulsée, je crois fermement que le circuit électromagnétique auxiliaire, qui s'enroule autour des disques rotatifs, représente une approche électronique simple ; après tout, qui utiliserait des émissions radioactives de radium à côté de condensateurs à jarre de Leyde !
En effet, plus on examine certains éléments de sa construction, plus ils renvoient à trois grandes époques du développement de l'électronique, les années 1900, les années 1920 et les années 1950/60.
L'authentique Methernitha a été conçu et développé par des puristes qui pensaient avoir découvert un phénomène électronique inconnu jusqu'alors, mais qui voulaient conserver l'intégrité des premiers jours de pionniers des machines électrostatiques de Pidgeon, Wimshurst et Holtz ; ils n'auraient pas utilisé des dispositifs modernes tels que des transistors ou des puces électroniques (ce qui est plus dommage), mais ils ont utilisé une ingénierie électronique assez inhabituelle dans leur circuit [note 5].
De toute évidence, l'électronique se compose de deux parties : d'une part, le générateur électrostatique et ses technologies particulières permettant de diriger une charge à un endroit donné et, d'autre part, le circuit électromagnétique auxiliaire très particulier composé d'inductances, de capacités et de redressements qui mobilise l'électricité "statique".
Pour comprendre comment ils convertissent l'énergie statique en force électromotrice, il faut remonter aux premières années de la radio. En lisant les pages consacrées à la radio à étincelles, on se rend vite compte de l'importance des circuits d'oscillation et de leurs redresseurs à soupape, ainsi que de la difficulté de les mettre au point.
En effet, bien que les émetteurs et récepteurs radio des années 1900 aient utilisé des circuits de résonance, leurs oscillations étaient contrôlées par des étincelles entre deux contacts et, bien sûr, elles étaient relativement inefficaces.
Ce n'est que dans les années 1920 que les premières oscillations du courant électrique sont devenues un phénomène contrôlé observable, lorsque quelqu'un a couplé une vanne de redressement, un condensateur et une résistance [note 6]. C'est dans un brevet de 1921 que le physicien allemand Hermann Plauson décrit en détail ses méthodes pour convertir l'énergie statique, non seulement à partir de machines à influence rotative, mais aussi à partir de ballons collectant l'électricité atmosphérique dans le ciel.
En utilisant des redresseurs thermioniques, des condensateurs à jarre de Leyden et des bobines d'induction, il propose un réseau d'énergie libre destiné à alimenter toute l'Allemagne [note 7] !
La vanne de redressement thermionique a ouvert une nouvelle ère pour la radio et la physique des hautes tensions, et comme elle a ensuite fait l'objet d'un large éventail d'expériences et de modifications pour améliorer son efficacité, elle a ouvert la voie à toutes sortes de nouvelles voies dans le domaine de l'électronique.
En effet, avec un tel catalogue de similitudes techniques avec ce que nous voyons sur les photographies disponibles de Testatika, on peut supposer sans aucun doute que le tube de verre horizontal qui se trouve au sommet des machines Methernitha est exactement ce à quoi ressemblerait une vanne de redressement thermionique sous vide fabriquée à la maison ; avec sa plaque de maille anodique interne, entourée d'une grille de cuivre enroulée, alimentée par un fil cathodique incandescent (chauffé) traversant horizontalement son centre et coiffée de deux embouts noirs, qui sont trop grands et trop bombés pour être de simples embouts et qui doivent certainement être des joints d'étanchéité en caoutchouc noir pour sceller le tube de verre et les fils d'entrée/sortie [note 8].
Avec un tel redresseur, quelques bobines d'induction et quelques condensateurs à jarre de Leyden, on obtient un circuit qui oscille, et c'est ce qui doit se passer avec une Methernitha, le circuit électromagnétique doit osciller pour qu'elle fonctionne, puis les oscillations doivent être redressées (ou même modulées) pour que les impulsions unipolaires qui en résultent puissent être acheminées à travers les grosses boîtes, qui sont essentiellement des transformateurs à haut rendement, et émises sous forme d'impulsions de courant continu à tension réduite et à courant plus élevé (voir fig.3).
Les composants précis utilisés pour faire osciller le circuit primaire ne sont, je crois, visibles sur aucune des photographies disponibles, mais il y a plusieurs indications sur leur emplacement approximatif sur la machine. Tout d'abord, selon la conception électronique, il devrait y avoir un condensateur et une configuration de bobine à proximité du redresseur.
Sur la photo "3KWREAR", on peut voir les deux longs tubes verticaux qui, selon ceux qui les ont vus de près, comprennent une bande d'aluminium tournée en spirale (ce qui indique qu'il s'agit de selfs [note 9]) à l'intérieur d'un tube de verre, à l'intérieur du même type de blindage extérieur que les grosses boîtes de conserve (ce qui indique qu'il s'agit de blindages électrostatiques), à l'intérieur d'un autre tube de verre, et se terminent au sommet par une tige de connexion en laiton qui fait un virage à angle droit et passe sur le côté de la tour, mais seulement aux deux tiers de la hauteur de la tour.
Ces deux assemblages doivent former une connexion avec le redresseur, car le redresseur se trouve au sommet de la tour, alors pourquoi ces tubes sensibles à l'électricité statique ne s'étendent-ils pas jusqu'à lui ? Une fois de plus, les photographies de l'arrière et de l'avant du Methernithas montrent qu'un fil sort de la paroi latérale de la tour à environ 4 pouces au-dessus des bornes en laiton du montant et que ce fil passe ensuite par un court tube noir pour atteindre la valve du redresseur. Ceci, bien sûr, se produit des deux côtés de la tour, ce qui permet une connexion aux deux extrémités du redresseur. Mais pourquoi cet espace de 4 pouces entre les connexions au sommet de la tour ?
Quelque chose est placé à l'intérieur du sommet de la tour dans cet espace intermédiaire qui est très nécessaire au circuit, et je pense qu'il doit s'agir de l'emplacement de la configuration condensateur/inducteur pour faire osciller le circuit. Voici (fig.4) comment je verrais l'intérieur du sommet de la tour [note 10].
J'ai vu certaines des inventions brevetées qui font tourner des disques - en utilisant des aimants (par exemple la machine rotative excitée par un aimant permanent de H. Rosenberg, brevet américain 3,411,027), et en utilisant des disques métallisés inscrits (brevet américain 3,239,705 par exemple), mais il n'y a tout simplement pas assez de place pour les placer dans la configuration du disque de Methernitha ; de plus, vous ne voulez pas interférer avec les champs électromagnétiques qui tournent autour des disques en rotation : D'après les rapports de ceux qui ont vu les petites machines http://www.geocities.com/ResearchTriangle/Lab/1135/swiss.
Mais j'ai aussi vu comment deux disques pouvaient continuer à tourner simplement en plaçant soigneusement des électrodes incurvées [note 11] qui agiraient sur les charges des disques comme les générateurs Testatica Distatica de 3 kw.
Après avoir lu les nombreux comptes-rendus des premières machines électrostatiques rotatives, et certains des plus récents, on ne peut s'empêcher d'être intrigué par la vitesse de rotation incroyablement faible de la Methernitha, qui n'est que de 60 tours par minute (et même de 15 tours par minute dans le rapport des ingénieurs de 1999).
La plupart des autres expérimentateurs de la première heure se targuaient d'atteindre 3000 tours/minute. J.G. Trump, dans ses travaux sur la production de haute tension dans l'espace [note 12], a fait tourner sa machine rotative à 10 000 tours par minute (pour produire 433 watts à 24 KV, rien de moins). L'une des raisons de cette faible vitesse pourrait être liée à la proximité des 50 lamelles (gitter-grilles) sur les disques à leurs extrémités internes, elles sont très proches les unes des autres, trop proches à mon avis.
L'air, qui est normalement un isolant, se décompose et conduit à environ 25-35 KV (ce chiffre est relativement constant depuis le premier jour des expériences sur les machines électrostatiques jusqu'à aujourd'hui, car l'air a un champ de claquage de 3×106 volts/mètre) et court-circuite le circuit. J'ai l'impression qu'étant donné que cette conception de grilles est sujette à des courts-circuits à des tensions élevées, les gens de Methernitha ont limité leur vitesse de rotation afin de garantir une faible tension de fonctionnement, que j'estimerais à seulement 12 à 24 KV.
Mais s'agit-il d'un gaspillage de potentiel supplémentaire ? Pas nécessairement, car je ne pense pas que la principale source d'énergie provienne uniquement de ce que les deux disques en rotation opposée fournissent.
Il existe, je crois, un générateur d'énergie bien plus important, le générateur à cascade d'électrons, et le Methernitha en possède deux, maintenus à l'intérieur des deux aimants en fer à cheval, et si les circuits vers les aimants sont conçus pour osciller à la bonne fréquence à une tension suffisamment élevée, alors ces blocs stratifiés en perspex métallisé peuvent produire une quantité d'électricité bien plus importante que celle qui y est injectée.
C'est peut-être là le phénomène électronique inconnu jusqu'à présent que le groupe Methernitha s'efforce avec tant de zèle de protéger contre les entrepreneurs sans scrupules. Mais je dirais que cette abondante réserve d'énergie gratuite est déjà connue du monde - elle n'est pas facilement disponible - et que ses principes ne sont pas encore totalement compris, mais qu'elle est connue.
Comme l'indiquent les descriptions (sur le site Web de Testatika http://utenti.tripod.it/~testatikmachine/real.htm ), entre les pattes de l'aimant en fer à cheval se trouvent quatre blocs de matériau transparent de type "plexiglas" alternant avec des plaques de cuivre et d'aluminium (qui peuvent être perforées ou non), dans la séquence c-p-a-c-p-a-c-p-a-c-a-c-p-a (voir également la figure 6). Et selon l'expérience de Linden, où Paul Baumann induit une résonance d'environ 80-140 MHz dans un fer à cheval enroulé et fait ensuite déplacer un bloc d'aluminium-isolant-cuivre entre les jambes du fer à cheval, une tension a pu être prélevée sur les plaques du bloc qui mesurait 700 volts (DC vraisemblablement) [note 13].
Ce phénomène incroyable n'a jamais été reproduit par un "chercheur extérieur" et serait la base qui permettrait de comprendre le fonctionnement de la machine Methernitha [l'indice de cette expérience de principe pourrait être la capacité variable et l'absorption diélectrique].
Mais qu'est-ce qu'une cascade d'électrons ? Eh bien, c'est par hasard, très récemment, que j'ai écouté une cassette audio du Dr Flanagan sur l'eau cristalline ; lorsque j'ai changé de cassette après la fin de la première face, le Dr Flanagan a commencé à parler d'une configuration électronique qui appliquait un champ alternatif à haute fréquence et à haute tension sur un isolant qui créait ce qu'il appelait un effet de cascade d'électrons Oui, j'ai pensé, voici la réponse à la machine de Methernitha.
L'effet de cascade ou d'avalanche d'électrons se produit lorsque les molécules d'air sont accélérées vers l'appareil à une vitesse si élevée qu'elles entrent en collision avec d'autres molécules et atomes de l'air pour libérer de nouveaux électrons qui, à leur tour, entrent en collision et libèrent encore plus d'"électrons libres" d'autres molécules d'air (voir fig.5), qui sont tous accélérés par le champ électrique, et une avalanche de multiplications d'électrons progresse dans l'ensemble de l'environnement immédiat [note 14].
Il s'agit d'une réaction en chaîne, tout à fait sûre, qui se produit de manière plus féroce dans les coups de foudre, et qui est un phénomène naturel. Et, comme dans ce cas, l'environnement devient en fait une partie du circuit [note 15] parce que le processus ionise négativement l'air entourant les machines Methernitha, et c'est pourquoi ceux qui ont été près de ces générateurs lorsqu'ils fonctionnaient disent que l'air autour d'eux est frais [note 16].
Étant donné que ses concepteurs ont choisi d'enrouler un fil isolé (qui peut ou non être bifilaire) autour du métal du fer à cheval, il est probable que les fers à cheval soient utilisés pour une certaine forme d'induction [note 17].
Il serait également très possible de tirer directement de cette partie du circuit le courant électrique supplémentaire produit par les blocs de la cascade d'électrons, avec des connexions appropriées qui pourraient conduire vers le bas dans la base en bois (où l'on pense qu'une superposition alternée de plaques métalliques perforées et de plaques isolantes - constituant un grand condensateur de stockage à haute tension - est située). Cette puissance pourrait alors être déchargée sous forme d'une sortie pulsée d'une puissance élevée, en particulier si la partie finale du circuit électronique est configurée comme un réseau de formation d'impulsions composé de multiples sections de combinaisons d'inductances et de condensateurs [note 18].
Les deux gros bidons sur le côté, les gros condensateurs, ne sont probablement pas très techniques (voir fig.7), une fois que la formule fondamentale a été décidée, tous les modèles d'un générateur Testatika suivraient un processus de construction similaire.
Les descriptions écrites sont un peu contradictoires, mais elles semblent suggérer une tige ou un tube d'entrée central, relié au fond des boîtes à une pile de bobines de crêpe reliées entre elles, qui sont enroulées secondaire-extérieur primaire-intérieur, autour d'un noyau de 6 aimants creux en forme d'anneau de beignet, empilés de telle manière avec des entretoises en plastique pour permettre des intervalles d'air entre eux.
Enfin, la sortie de chaque boîte est une connexion de la bobine supérieure des secondaires des bobines de pancake à un anneau en laiton autour du centre du couvercle supérieur en plastique noir et, d'après les photographies, on peut voir un fil ou un tube de grand diamètre [note 19] reliant la borne de sortie de cette polarité à l'anneau en laiton du couvercle supérieur par l'intermédiaire d'une borne à vis en laiton.
Je suggérerais que les aimants annulaires (en ferrite anistropique peut-être) sont écartés de cette manière pour empêcher les champs de flux magnétiques des primaires des crêpes de se rejoindre en un champ tentaculaire, car il serait plus avantageux et plus sûr que le flux magnétique de chaque crêpe coupe sa propre bobine secondaire adjacente et divise la tension de sortie secondaire en plus petites quantités de potentiel, dépendant ainsi moins des procédures d'isolation compliquées qui accompagnent les transformateurs haute tension à un seul primaire / un seul secondaire.
L'utilisation de mailles d'aluminium et de feuilles de cuivre solides est courante dans la construction électronique ; le cylindre extérieur en mailles d'aluminium servirait à protéger les charges électrostatiques parasites, et le cylindre en cuivre solide servirait à protéger la grande quantité de champs électromagnétiques parasites produits par le processus de transformation d'une haute tension/faible courant en une tension plus faible/un courant plus élevé [note 20]. Il est évident que l'on ne veut pas qu'il y ait de contamination de champ entre le générateur électrostatique sensible et les transformateurs.
À l'intérieur de ces deux cylindres de protection extérieurs se trouvent des "condensateurs de grille" qui, d'après le rapport de 1999 des 30 ingénieurs, peuvent comporter jusqu'à 20 couches de tôle perforée (vraisemblablement sous forme de cylindres concentriques) - que j'ai indiquées (à la figure 7, par exemple) comme étant reliées électriquement entre elles, ce qui n'est pas le cas des condensateurs de grille. par exemple) comme étant connectées électriquement ENTRE chaque enroulement secondaire séparé - à la manière d'une vieille découverte datant des débuts de la télégraphie sans fil et basée sur la "bobine à décharge disruptive" conçue par Nikola Tesla, selon laquelle un tel condensateur connecté au centre d'une bobine secondaire recueille la quantité maximale de tension créée par cette bobine secondaire. Cette configuration d'un condensateur à l'intérieur d'un autre à l'intérieur d'un autre, etc., présente une similitude frappante avec la disposition d'un réseau de formation d'impulsions [voir note 18].
Dans la boîte câblée rouge, le transformateur est câblé pour produire une tension négative, et dans la boîte câblée bleue, le transformateur est câblé pour produire une tension positive. Il convient de noter une disposition similaire pour les enroulements primaires et secondaires divisés, conçue par Van de Graaff dans son "High Voltage Electromagnetic Charged-Particle Accelerator Apparatus Having an Insulating Magnetic Core" [note 21] en ce qui concerne les écarts de réluctance magnétique.
Bien qu'il ait été dit que le disque de plexiglas transparent était désigné comme le disque "nuage" et le disque sombre (à l'arrière) comme le disque "masse", je pense que cela se rapporte à différents types d'acryliques ou de plastiques qui peuvent se charger à des polarités différentes, comme dans la série triboélectrique, où la charge par friction de différents plastiques - et ensuite leur rapprochement, peut provoquer le don ou l'acceptation de l'un à l'autre ; je pense, d'après ce qui précède, que le nuage représente un donneur (charge positive) et que la masse doit signifier un accepteur (charge négative). Quelqu'un a-t-il essayé la combinaison d'un disque en téflon (charge extrêmement négative) avec un disque en verre (charge extrêmement positive) ?
Ou des disques dopés avec des particules paramagnétiques [note 22] ?
La conception de Testatika basée sur la machine de Pidgeon/Wimshurst n'est bien sûr qu'un type de générateur électrostatique autour duquel ce système pourrait être construit. Depuis le début des années 1900, ces générateurs d'énergie ont beaucoup progressé en termes de sophistication et de puissance - des machines récemment mises au point produisent 300 000 volts qui peuvent ensuite être transformés et utilisés [note 23].
BLOCS D'ABSORPTION DIELECTRIQUE contre BLOCS D'ÉLECTRICITÉ
http://energy21.freeservers.com/electrets.htm
La raison pour laquelle je pense que les blocs en fer à cheval de la Testatika ne sont pas des ÉLECTRES est que lorsque vous regardez une configuration similaire de blocs utilisés dans chaque coin supérieur de la machine Tini de Methernitha (voir vidéo Tini 995 kb), ces blocs donnent plus d'indications qu'ils sont utilisés comme générateurs de cascade d'électrons pour augmenter la quantité d'électrons disponibles dans l'air environnant que les générateurs peuvent collecter, et je pense qu'ils sont utilisés sur la Testatika d'une manière similaire.
Notes sur le Methernitha conçues à l'envers
http://energy21.freeservers.com/notes.htm
Note 1 Pour plus d'informations sur la machine de Pidgeon, voir "Electrical Influence Machines" par John Gray 1903 pp206 & "Philosophical Magazine" Dec 1898 pp564, et bien sûr les brevets de Pidgeon.
Note 2 : Voir "Modern High Speed Influence Machines" par V.E.Johnson 1921, p. 76. Johnson n'était pas seulement un chercheur dans le domaine des machines électrostatiques, il était également un constructeur innovant de ces machines et, en tant que tel, il était désireux d'essayer toute technique permettant de rendre ses générateurs plus puissants que même les machines spécialisées à condensateur multidisque de Wommelsdorf. Ce livre est un must absolu pour ceux qui souhaitent travailler dans ce domaine. Un autre "must" est le site web d'Antonio Carlos M. de Queiroz, qui regorge d'informations (et de liens) sur les développements actuels en matière de machines électrostatiques.
http://www.coe.ufrj.br/~acmq/electrostatic.html .
Note 3 Voir "Self-Excited, Alternating, High-Voltage Generation Using A Modified Electrostatic Influence Machine" par M.Zahn et al, American Journal of Physics Vol 42 (1974) pp289.
Note 4 Les concepteurs de Methernitha ont pris un système de champ électrique de base de Pidgeon et y ont ajouté quelques modifications de leur cru, en partie pour fixer une certaine polarité de charge à une certaine zone afin de la stabiliser, et aussi pour augmenter la charge de certaines zones. Ils utilisent, par exemple, une plaque de champ supplémentaire située au centre supérieur, devant le disque avant (juste sous la valve de redressement). Il convient également de noter que cette plaque, ou clé d'antenne, est indirectement couplée au reste du circuit, par l'intermédiaire d'une bobine. Il en va de même pour les deux plaques situées légèrement en dessous, ces plaques sont reliées à une borne en laiton qui se connecte à un fil de cuivre qui descend et s'enroule en forme de bobine autour d'un tube en plastique creux, et à l'intérieur du tube se trouve un autre fil ou une petite bobine qui prélève la charge électrique. Ces trois plaques n'utilisent donc pas une connexion directe mais une induction pour obtenir leur charge.
Note 5 En regardant comment chacune des machines photographiées a été construite, vous pouvez voir qu'il s'agit de structures artisanales de haute qualité. Ces sous-ensembles - base en bois, grosses boîtes de conserve, cadre en plexiglas, disques avec roulements et essieux - une fois terminés, étaient transmis aux ingénieurs électriciens de la communauté qui installaient les connexions électriques, le redresseur à tube à vide et s'assuraient que non seulement ils fonctionnaient, mais qu'ils ressemblaient à une œuvre d'art.
Note 6 La vanne Fleming existait depuis 1905 et, bien qu'elle ait évolué vers la vanne thermionique et l'audion, en 1922, on découvrit l'effet Pearson et Anson qui permettait de produire des courants oscillants avec une résistance, un condensateur et une vanne thermionique couplés ensemble.
Note 7 Voir le brevet américain 1 540 998 (9 juin 1925) Conversion de l'énergie électrique atmosphérique par Hermann Plauson. Il a également écrit un livre sur le sujet intitulé "Gewinnung und Verwertung der Atmospharischen Elektrizitat" en 1920 en allemand (actuellement conservé à la British Library).
Note 8 Alors que certains ont vu les plus petites machines de 300 watts déchargeant/redressant assez ouvertes et non enfermées dans un tube à vide, les modèles à tube à vide seraient beaucoup plus efficaces et gaspilleraient moins de courant. De plus, le tube redresseur doit avoir un filament chauffé (qui, sur les machines de 3 kW, est visible sous la forme d'une ligne incandescente courant sur toute la longueur de la grille et de la bobine, entre les deux embouts noirs, et, dans les films, on peut voir de faibles éclairs provenant de l'arrière du redresseur ; il est donc possible que le filament soit également enroulé autour de l'autre côté de la grille et de la bobine). Coolridge, dans les années 1900, a découvert qu'aucune décharge de la cathode vers l'anode ne se produisait, même à 100 000 volts, à moins que le filament ne soit chauffé (Physics Review Vol 2 Dec 1913 p418). La maille d'aluminium émet assez facilement des électrons et peut être utilisée comme cathode froide, mais une cathode chauffée offre l'avantage de pouvoir contrôler les oscillations.
Note 9 Les deux longs tubes droits sont sans aucun doute des bobines d'étranglement placées exactement au bon endroit pour ralentir le courant à l'endroit où il est oscillé et redressé. Dans une self, plus le flux de courant est élevé, plus la résistance à ce flux est grande. Une forme encore meilleure de starter aura une forme de noyau de fer à l'intérieur.
Note 10 J'ai imaginé 6 circuits différents pour cette section d'oscillation, dont certains comprennent de petits cristaux de quartz. (Voir les notes 13 et 16 sur la fréquence d'oscillation). Le cadran noir situé à l'arrière de la machine de 3 kW sélectionne très probablement une variété de capacités afin de contrôler les oscillations du circuit, qui à leur tour contrôlent la vitesse de rotation du disque.
Note 11 Le phénomène des moteurs électrostatiques a fait l'objet de nombreuses recherches au fil des ans (voir "Electrostatic Motors" O.Jefimenko dans "Physics Teacher" Vol 9 March 1971 p121-9, et dans "Electrostatics And Its Applications" par A.D.Moore (1973) p131-147 ; "Electrostatic Motors" par B.Bollee dans "Philips Tech. Review" Vol 30 1969 p178-194). Les générateurs Methernitha Testatika (voir un rapport récent de 30 ingénieurs) tournent automatiquement, après avoir été démarrés à la main, selon les mêmes principes que ces moteurs ES.
Note 12 J.G.Trump a travaillé pour l'US Air Force et a été le pionnier de quelques machines électrostatiques très efficaces vers les années 1960 (voir "Electrostatic Sources of Electric Power" dans "Elec. Eng" 66:525 juin 1947 ; et "High Voltage Generation in Space:The Parametric Electrostatic Machine" dans "Progr. Astronaut. Rocketry" (vol 3 Energy Conversion for Space Power) 1961 p745).
Note 13 Bien que l'expérience de Linden ait été considérée comme enregistrant une fréquence de 80-140 MHz, cela ne signifie pas nécessairement que les générateurs de Methernitha oscilleraient également à cette fréquence. Une telle fréquence semble inutilement élevée.
Note 14 Voir "Plasma The Fourth State of Matter" par D.A. Frank-Kamenetskii (1972), p. 10, et les brevets américains 4,743,275 (10 mai 1988) et 4,391,773 (5 juillet 1983) du Dr Patrick Flanagans.
Note 15 L'effet est très similaire aux forces convergentes dans un champ non uniforme, les blocs de plexiglas oscillants deviennent une électrode et l'air environnant dans la pièce devient l'électrode opposée, et par les processus d'électrophorèse et de diélectrophorèse les particules électriquement chargées dans l'air (les électrons et les ions négatifs) sont attirées vers l'électrode centrale, qui dans ce cas est l'assemblage de blocs de plexiglas (voir "Nonuniform Electric Fields" par Herbert A. Pohl dans "Scientific American" (Dec 1960) p107-8). Je suis beaucoup plus enclin à croire que l'ingéniosité de la conception de ces types de machines provient de physiciens et non d'ingénieurs en électronique.
Note 16 Le Dr Flanagan utilise en fait le générateur de champ d'électrons dans son propre ionisateur spécial (voir Method of Purifying Air and Negative Field Generator US Patent 4,391,773).
Flanagan estime que cet effet se produit avec un champ à haute tension alternant à plus de 20 KHz) au niveau des électrodes métalliques, les blocs de plexiglas intercalés entre elles transfèrent l'électricité non pas à travers leur masse mais autour d'elle, sous forme de charge de surface dans la couche d'air située juste à côté de la surface de l'isolant. C'est le même principe que l'absorption diélectrique : les blocs de plexiglas ne se déchargent pas assez vite pour suivre la tension alternative et accumulent donc de plus en plus de charge, jusqu'à former une couche de charge à la surface de l'isolant. Cela signifie qu'à une fréquence suffisamment élevée, les molécules d'air de surface se polarisent, les électrons les plus mobiles se séparant des masses plus lentes de ces molécules et, tandis que les électrons sont poussés dans les deux sens, une couche secondaire d'ions d'air positifs (plus lents) se développe, et ainsi de suite, et le processus de polarisation à haute tension et à haute fréquence déclenche l'effet d'avalanche d'électrons.
Si les blocs de plexiglas sont effectivement des ÉLECTRES (comme le suggèrent Geoff Egel, chercheur en énergie libre, et d'autres), je pense qu'ils fonctionneront de la même manière que le processus ci-dessus, à savoir une absorption diélectrique qui charge les blocs avant qu'ils ne produisent l'effet d'avalanche d'électrons. En effet, dans l'électret, les électrons chargés dans le plexiglas/plastique et les ions positifs seraient toujours manipulés par le champ électromagnétique inversé de manière à s'orienter (comme avec les dipôles) d'avant en arrière, pour finalement atteindre le point (si l'ensemble du circuit est correctement réglé) où ils entreraient en résonance avec l'air qui les entoure. Et si cet effet est similaire à celui d'une inductance, il est possible qu'une force contre-électromotrice se produise également, afin d'augmenter la tension de sortie. Quoi qu'il en soit, je pense que l'effet sera toujours une cascade d'électrons dans l'environnement et que le produit de cette sortie oscillante (au niveau des blocs) pourrait également être prélevé et accumulé dans le réseau de condensateurs de base multicouches.
Je suggérerais qu'un programme d'essai pour trouver le meilleur type de blocs soit le suivant ;
- Premièrement, essayer différents types de matériaux en plastique/acrylique/céramique pour les blocs.
- Deuxièmement, essayer différentes méthodes d'électrification des plastiques (comme pour les électrets).
- Troisièmement, essayer des plastiques dopés avec des particules semi-conductrices.
- Quatre - essayez les plastiques dopés avec des particules paramagnétiques.
- Cinq - essayez des blocs de plastique creux contenant un fluide électrolytique.
Pour plus d'informations sur les plastiques, voir la page sur l'absorption électret ou diélectrique.
Note 17 Il existe plusieurs définitions du terme "bifilaire", l'une où les fils annulent leurs champs magnétiques, l'autre où les fils sont enroulés pour assurer un couplage de flux magnétique étroit à faibles pertes. Dans ce cas, vous avez besoin de tout le flux magnétique que vous pouvez obtenir, il doit donc s'agir de la seconde définition. Voir "Transformers For Electronic Circuits" par Nathan R. Grossner (1967) p224 etc.
Le métal magnétique le plus couramment utilisé est le mométal, qui est un matériau magnétique facilement saturable, acheminant le flux magnétique à travers lui plutôt que dans l'air environnant, de manière à renforcer l'induction mutuelle entre les deux bobines de fil rouge autour des pattes du fer à cheval.
Note 18 Pour que la tension de sortie de la machine ne disparaisse pas lorsqu'elle est connectée à une charge importante, il faut ici un réseau de formation d'impulsions (ou ligne à retard artificielle). "Un tel réseau constitue une amélioration par rapport au simple stockage par condensateur en raison de l'action en cascade d'un condensateur à l'autre le long de la chaîne. Au début, tous les condensateurs sont chargés à la même tension, mais dès que le premier commence à perdre de la tension, le condensateur suivant est libre de se décharger dans le condensateur. Cette action d'appoint, qui se répercute le long du réseau de condensateur en condensateur, est le mécanisme par lequel la tension aux bornes de sortie tend à se maintenir à son niveau d'origine". (voir "High Energy Discharge Systems" A.P.Stephenson "ETI" [Electronics Today International] ; mars 1992 p24-26).
Note 19 Lorsque la tension d'un potentiel élevé et d'une haute fréquence circule le long d'un fil, elle le fait sur la surface extérieure (c'est ce qu'on appelle l'effet de peau) et le Methernitha utilisait donc des fils épais ou même des tubes de 1/8″ pour connecter son circuit.
Note 20 Voici deux références en matière de blindage : "A Shielded Loop" par S. Goldman dans "Electronics" Vol 11 (1938) p20-22 ; et "Measurements in Radio Engineering" par F.E Terman (1935) pp218 & pp341.
Note 21 Pour des informations sur la tension maximale au centre d'une bobine secondaire, voir "A Handbook of Wireless Telegraphy" par J. Erskine-Murray (1913) pp42 ; et un article intitulé "Dielectric Hysteresis at Radio Frequencies" par E.F.W. Alexanderson dans "Proc. I.R.E. Vol 2 (June 1914) p137-157. Pour le transformateur de Van de Graaff, voir les brevets américains 3,323,069 (30 mai 1967) et 3,187,208 (1er juin 1965). Ces brevets ne concernaient pas seulement un générateur de haute tension de Van de Graaff, mais aussi un système spécial conçu par Van de Graaff longtemps après l'utilisation de son générateur pour convertir l'électricité statique en électricité courante. Ce système est peut-être un peu trop compliqué pour la Methernitha, mais les principes qu'il a utilisés pour les enroulements primaires et secondaires multiples peuvent néanmoins présenter un certain intérêt.
Note 22 Le Dr Flanagan a modifié ses blocs isolants en résine en les dopant avec des granulés paramagnétiques (tels que le carbure de silicium) afin d'améliorer encore l'effet de cascade d'électrons, une idée que le physicien Thomas Townsend Brown a expérimentée pour la première fois (en utilisant des granulés d'oxyde de plomb) dans son brevet américain 3,187,206 (1er juin 1965) et qui a donné de bons résultats. L'air environnant pourrait également être amélioré de la même manière pour polariser sa charge électrique et améliorer son côté de la performance (pour ceux qui s'intéressent à la physique de ce phénomène, voir l'article de W.A.Douglas Rudge "On Some Sources of Disturbance of the Normal Atmospheric Potential Gradient" dans Proc. Royal Soc. A - Vol 90 (1914) pp571 etc).
Note 23 > Parmi les autres générateurs présentant des similitudes avec la machine de Testatika, on peut citer le "Electrostatic Energy Field Power Generating System" inventé par William W. Hyde (US Patent 4897592 du 30 janvier 1990), une machine à capacité variable rotor/stator capable de produire 300 KV. D'autres générateurs de ce type sont : la "machine électrique paramétrique" inventée par Ferdinand Cap (brevet américain 4622510 du 11 novembre 1986), qui comporte un circuit résonant en série (LCR) de sorte qu'elle oscille - et fonctionne en fait À LA RÉSONANCE pour assurer un rendement élevé ; le "générateur électrostatique" inventé par Dan B. Le May (et al) (brevet US 3094653 du 18 juin 1963) est un système très ingénieux de capacité variable ; la "Machine électrostatique" de Noel Felici (brevet US 2522106 du 12 septembre 1950) est un bon standard qui utilise un redresseur à soupape ; et le "Générateur électrostatique" de William S. Spencer (brevet US 1415779 du 9 mai 1922) est un premier générateur rotor/stator qui transférait ses impulsions électriques à travers un transformateur pour produire un courant de sortie plus élevé.
TROIS ARTEFACTS TROUVÉS DANS LES CONDUITS D'AÉRATION DE LA CHAMBRE DE LA REINE
Les conduits d'aération de la chambre de la Reine ne donnent pas sur l'extérieur, comme ceux de la chambre du Roi. En fait, l'un des conduits d'aération mène à une prétendue chambre cachée. Si nous remontons dans le temps et examinons l'histoire de la découverte des conduits d'aération de la chambre de la Reine, nous trouverons une autre découverte intéressante dont peu de gens ont entendu parler.
Jusqu'en 1872, aucun conduit d'aération n'a été découvert dans la chambre de la Reine. Cette année-là, l'ingénieur Waynman Dixon décida de chercher des cheminées d'aération dans la chambre de la Reine, puisque des cheminées d'aération se trouvaient dans la chambre du Roi.
En examinant une section du mur sud, où il pensait qu'un conduit d'aération serait probablement situé, il remarqua une fissure dans le mur. À l'aide d'un marteau et d'un ciseau, il s'est empressé d'y percer quelque chose. Ce qu'il a cassé, c'est un conduit d'air mesurant environ 9 ½ pouces carrés qui s'enfonce directement dans le mur sur une distance d'environ 7 pieds avant de remonter en biais et de disparaître dans l'obscurité.
C'est ainsi qu'il découvrit le conduit d'air sud menant à la chambre de la reine. Pourquoi cette cheminée n'a-t-elle jamais été achevée ? Il se termine quelques centimètres à l'intérieur du mur. Il se rendit ensuite de l'autre côté, sur le mur nord de la chambre de la reine, et fit la même chose avec un marteau et un ciseau. Celui-ci s'enfonçait également d'environ 3 mètres et commençait ensuite à monter en biais. La raison pour laquelle ces puits n'ont pas été creusés dans la chambre reste un mystère. Dixon a trouvé quelque chose de très intéressant dans l'arbre à air de la chambre de la Reine au nord.
Il y a trouvé trois objets :
1) une sphère de pierre brute
2) Un petit crochet à deux branches fait d'une sorte de métal.
3) Un morceau de bois de cèdre de 12 centimètres de long avec des encoches.
Ces objets ont été apportés en Angleterre. Cependant, ils ont disparu en peu de temps. Récemment, on a découvert qu'ils étaient restés entre les mains de la famille Dixon et qu'ils avaient été donnés au British Museum dans les années 1970. Elles y sont restées inconnues jusqu'aux années 1990, date à laquelle elles sont réapparues. Il est intéressant de noter que l'artefact en bois manquait. Ce bois aurait pu être daté au C14 et peut-être nous donner l'année de la construction de la grande pyramide de Gizeh. Pourquoi a-t-il disparu ?
Passons maintenant à une corrélation intéressante. Nous avons mentionné que dans le puits d'aération sud de la chambre de la Reine, le robot est arrivé à une porte avec des poignées en métal. Dans la cheminée nord de la chambre de la Reine, plus haut que l'endroit où les artefacts de Dixon ont été trouvés, le robot a découvert (sur film vidéo) deux artefacts :
1) un crochet métallique
2) un long morceau de bois
Ces objets n'ont pas encore été enlevés. Il serait intéressant d'enlever ce bois et de le dater du 14e siècle.
A droite : LONG MORCEAU DE BOIS DANS LA CHEMINÉE NORD DE LA CHAMBRE DE LA REINE
photo - copyright Rudolf Gantenbrink
À LA RECHERCHE DE CHAMBRES INCONNUES
La possibilité de découvrir des chambres ou des passages cachés dans la pyramide intéresse l'homme depuis des milliers d'années.
L'idée de trouver des trésors cachés, ou les plans de la pyramide, ou encore des informations scientifiques et des appareils d'une culture disparue ont motivé l'homme à rechercher une chambre cachée dans la pyramide. Avant ce siècle, le seul moyen d'y parvenir était de percer la pyramide et, par chance, de trouver un passage non découvert. Cela a été fait dans le passé et ces explorateurs ont laissé leur marque sans rien découvrir d'important. Aujourd'hui, nous disposons d'instruments scientifiques modernes pour nous aider dans nos recherches.
Dans le passé, des expériences ont été menées en utilisant le magnétisme, les ondes sonores, etc. avec peu de succès. L'utilisation de sondes à rayons cosmiques, mises au point par le Dr Louis Alvarez, qui a reçu le prix Nobel de physique en 1968, a fonctionné, mais n'a pas permis de trouver de chambres cachées.
À gauche : Sonde à rayons cosmiques installée dans la pyramide
En 1974, une équipe de l'université de Stanford et de l'université égyptienne Ains Shams a tenté de trouver des chambres cachées à l'aide d'un sondeur éléctromagnétique. Son principe de base était l'utilisation de la propagation des ondes radio pour trouver les chambres cachées. Malheureusement, en raison de problèmes environnementaux (humidité, etc.), il s'est avéré que ce type d'appareil n'était pas adapté.
Différents scientifiques étudient d'autres moyens de découvrir des chambres et des passages cachés dans la grande pyramide de Gizeh. C'est une possibilité passionnante qu'un jour, peut-être, une chambre cachée soit trouvée et nous révèle des informations sur notre passé que nous ne connaissions pas.
Nous présentons des mesures et des simulations de dispositifs à hétérostructure semi-conductrice-supraconductrice qui sont compatibles avec l'observation de la supraconductivité topologique et des modes zéro de Majorana.
Les dispositifs sont fabriqués à partir de gaz d'électrons bidimensionnels à haute mobilité dans lesquels des fils quasi unidimensionnels sont définis par des portes électrostatiques.
Ces dispositifs permettent de mesurer les propriétés de transport local et non local et ont été optimisés par des simulations approfondies afin de garantir leur robustesse face à la non-uniformité et au désordre.
Notre principal résultat est que plusieurs dispositifs, fabriqués conformément aux spécifications techniques de la conception, ont passé le protocole de lacune topologique défini dans Pikulin et al. (arXiv:2103.12217). Ce protocole est un test rigoureux composé d'une séquence de mesures de transport local et non local à trois bornes effectuées en faisant varier le champ magnétique, la densité électronique du semi-conducteur et la transparence des jonctions.
La réussite du protocole indique une forte probabilité de détection d'une phase topologique hébergeant des modes zéro de Majorana, comme déterminé par des simulations de désordre à grande échelle. Nos résultats expérimentaux sont cohérents avec une transition de phase quantique vers une phase topologique supraconductrice qui s'étend sur plusieurs centaines de millitesla de champ magnétique et plusieurs millivolts de tension de grille, correspondant à environ cent microélectronvolts d'énergie Zeeman et de potentiel chimique dans le fil semi-conducteur.
Ces régions se caractérisent par une fermeture et une réouverture de la lacune globale, avec des pics de conductance à polarisation nulle simultanés aux deux extrémités des dispositifs qui résistent aux changements de transparence des jonctions. Les lacunes topologiques maximales extraites de nos dispositifs sont de 20 à 60 µeV. Cette démonstration est une condition préalable aux expériences impliquant la fusion et le tressage des modes zéro de Majorana.
Dans le folklore de la région alpine du centre-sud de l'Europe, le Tatzelwurm (allemand : [ˈtatsl̩ˌvʊʁm]), Stollenwurm, ou Stollwurm est une créature ressemblant à un lézard, souvent décrite comme ayant le visage d'un chat, avec un corps ressemblant à un serpent qui peut être mince ou court, avec quatre pattes courtes ou deux pattes antérieures et pas de pattes postérieures.
On dit parfois que cette créature est venimeuse ou qu'elle attaque avec une haleine empoisonnée, et qu'elle émet un son aigu ou un sifflement.
Des anecdotes décrivant des rencontres avec la créature ou des légendes brièvement décrites à son sujet peuvent être trouvées dans plusieurs régions d'Europe, notamment dans les Alpes autrichiennes, bavaroises, françaises, italiennes et suisses. Il porte plusieurs autres noms régionaux, dont Bergstutz, Springwurm, Praatzelwurm et, en français, arassas.
"l’Éther (NWYR), constituant le dit Univers, n'adopte l'aspect ci-dessus que parce qu'il est lui-même enrobé en un autre élément, qui le limite et le moule, et qu'il convient de dénommer le Suréther." — (Robert Ambelain, Au pied des menhirs. Essai sur le celtisme, Paris, Niclaus, 1945, page 64)
5.3.2025
Sur une planète aussi dynamique que la Terre, les facteurs de changement peuvent facilement passer inaperçus. Or, des scientifiques viennent d'établir et d'étudier un lien inattendu entre le Soleil et notre planète.
Selon une équipe dirigée par l'informaticien Matheus Henrique Junqueira Saldanha de l'université de Tsukuba au Japon, les taches solaires, et donc l'activité solaire, sont à l'origine de l'activité sismique. Leur nouvelle recherche révèle comment.
"La chaleur solaire entraîne des changements de température atmosphérique qui, à leur tour, peuvent affecter des éléments tels que les propriétés des roches et les mouvements des eaux souterraines", explique M. Junquiera Saldanha.
"Ces fluctuations peuvent rendre les roches plus fragiles et plus susceptibles de se fracturer, par exemple, et les changements dans les précipitations et la fonte des neiges peuvent modifier la pression exercée sur les limites des plaques tectoniques. Même si ces facteurs ne sont pas les principaux responsables des tremblements de terre, ils pourraient néanmoins jouer un rôle dans la prévision de l'activité sismique."
Quant à la science des nombres, il suffit de contempler les pyramides de Gizeh, ou celle de Dahchour pour être convaincue qu’elles sont définies par des rapports en quelques sortes nécessaires….. Devant les étonnantes réussites de l’Égypte Antique, il nous paraît difficile de faire l’économie de solides fondements mathématiques et astronomiques, mêmes s’ils ne sont pas explicitement attestés… On ne peut guère s’étonner de l’emploi de la suite du Fibonacci, menant sur le chemin du Nombre d’or.
Leclant Jean. Fabuleuses pyramides d’Égypte. In: Journal des savants, 1976, n°3-4. pp. 284-291