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Les menaces de XR sont inacceptables. Elles sont une tentative d'intimidation à l'égard d'autorités démocratiques pour imposer un agenda politique que le peuple refuse. C'est une forme de terrorisme qui doit être considérée comme tel.
Un physicien dénommé Hong Quin, qui travaille au laboratoire de physique des plasmas de Princeton (PPPL) du département américain de l’Energie (DOE) vient de concevoir un algorithme informatique défiant les lois de la physique.
Le physicien a conçu cet algorithme afin de prédire les orbites planétaires dans le système solaire. Pour ce faire, le scientifique a inculqué à l’algorithme les données des orbites de Mercure, de Vénus, de la terre, de Mars, de Cérès et de Jupiter. A noter que l’invention de Hong Quin incorpore l’apprentissage automatique (machine learning). Il s’agit d’un processus d’IA qui permet à la machine de mettre automatiquement à jour ses connaissances, au fil de sa propre expérience.
A partir des données qui lui ont été donné, l’algorithme a pu correctement prédire d’autres orbites planétaires dans le système solaire, dont des orbites paraboliques et hyperboliques. Mais le plus surprenant, c’est que l’algorithme n’a appris à aucun moment les lois du mouvement de Newton ni de la gravitation universelle. Il semblerait même, selon Big Think, qu’il les ait compris de lui-même.
La loi sur l'anti-terrorisme vient d'être acceptée en septembre par le parlement suisse, malgré les avis défavorables de 63 profs de droit des Université suisse, de l'ONU, d'amnesty international et du conseil de l'europe...
Un référendum a été lancé contre.
https://wecollect.ch/fr/projets/referendum-contre-la-loi-arbitraire
Cette loi permet d'emprisonner n'importe quel "terroriste potentiel"... et la définition de ce terroriste potentiel c'est "qq'un qui remet en cause l'ordre étatique..."
Donc si j'aime pas les décisions du gouvernement... est-ce que je suis un terroriste ?
Voici le détail en pdf...
https://drive.google.com/file/d/1akLutyuEp5dJxD7Oy5iR1xZ-lNQLjCij/view?usp=sharing
18 juin 2020 vote sur la loi anti-terroriste au conseil national
Art. 36 Inscription obligatoire et inscription volontaire
1 Toute personne physique qui exploite une entreprise en la forme commerciale et qui obtient, sur une période d’une année, une recette brute de 100 000 francs au moins (chiffre d’affaires annuel) doit requérir l’inscription de son entreprise individuelle au registre du commerce. Si une même personne exploite plusieurs entreprises individuelles, les chiffres d’affaires de ces entreprises sont additionnés lorsqu’il s’agit de déterminer l’obligation de s’inscrire.
2 L’obligation de s’inscrire naît dès que des chiffres fiables concernant la recette brute annuelle sont disponibles.
3 L’obligation de s’inscrire en vertu d’autres dispositions demeure réservée.
4 Les personnes physiques qui exploitent une entreprise en la forme commerciale et qui ne sont pas soumises à l’obligation de s’inscrire peuvent requérir l’inscription au registre du commerce de leur entreprise individuelle.
"Violations importantes"
Selon le quotidien dominical, le rapporteur spécial de l'ONU craint que "l'application de cette loi ne conduise à des violations importantes des droits humains et des droits fondamentaux". Dans leur forme actuelle, les mesures antiterroristes envisagées ne sont ni compatibles avec la Convention européenne des droits de l'homme, ni avec la Convention des Nations unies relative aux droits de l'enfant.
Selon la porte-parole du DFJP, le Conseil fédéral n'a pourtant pas proposé l'un des points controversés, l'instauration d'un placement sécurisé pour les terroristes potentiels (GUG). Une telle mesure, introduite par le Parlement, ne pourrait pas être mise en œuvre. Il ressort en effet d'une expertise commandée par les cantons que, contrairement à l'assignation à une propriété, le placement sécurisé ne serait pas conforme à la Convention européenne des droits de l'homme.
Terroriste potentiel, une notion vague
À la mi-mai, la commissaire aux droits de l'homme du Conseil de l'Europe avait déjà critiqué le projet de loi dans une lettre adressée à la commission parlementaire de la politique de sécurité du Conseil national. Dunja Mijatovic estimait que plusieurs dispositions étaient problématiques au regard des droits humains. Pour elle, les mesures administratives prévues en dehors de la procédure pénale à l'encontre d'un "terroriste potentiel" n'offrent pas assez de garanties juridiques.
L'assignation d'une personne à un périmètre déterminé revient à une privation de liberté au sens de la convention européenne des droits de l'homme, rappelait-elle. Elle s'inquiétait en outre de la notion vague de "terroriste potentiel" qui "risque de stigmatiser une personne alors même qu'elle pourrait n'avoir jamais été soupçonnée d'avoir enfreint la loi, ni avoir été reconnue coupable d'infraction". L'application de ces mesures de police à des enfants âgés d'au moins 12 ans, enfin, la préoccupait tout particulièrement.
Art. 6 Situation particulière
1 Il y a situation particulière dans les cas suivants:
a.
les organes d’exécution ordinaires ne sont pas en mesure de prévenir et de combattre l’apparition et la propagation d’une maladie transmissible et qu’il existe l’un des risques suivants:
1.
un risque élevé d’infection et de propagation,
2.
un risque spécifique pour la santé publique,
3.
un risque de graves répercussions sur l’économie ou sur d’autres secteurs vitaux;
b.
l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a constaté la présence d’une urgence sanitaire de portée internationale menaçant la santé de la population en Suisse.
2 Le Conseil fédéral peut, après avoir consulté les cantons:
a.
ordonner des mesures visant des individus;
b.
ordonner des mesures visant la population;
c.
astreindre les médecins et d’autres professionnels de la santé à participer à la lutte contre les maladies transmissibles;
d.
déclarer obligatoires des vaccinations pour les groupes de population en danger, les personnes particulièrement exposées et les personnes exerçant certaines activités.
3 Le Département fédéral de l’intérieur (DFI) coordonne les mesures de la Confédération.