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Le nombre de personnes pleinement vaccinées contre le Covid-19 en Suisse a été revu à la hausse mardi par l'Office fédéral de la santé publique (OFSP). Il tient dorénavant compte des personnes guéries qui n'ont reçu qu'une dose.
Entre lundi et mardi, le nombre de personnes annoncées comme entièrement vaccinées contre le Covid-19 a bondi de plus de 227'000, franchissant les 5 millions. La part de la population vaccinée est ainsi passée de 54,9% à 57,9%.
Ce bond n'est pas lié à une ruée sur les vaccins mais à une correction des données de l'OFSP, comme nous l'avions annoncé début septembre.
Lire: Sous-estimé, le nombre de personnes entièrement vaccinées contre le Covid va être corrigé
Jusqu'à lundi, les personnes guéries ayant reçu une dose de vaccin étaient considérées comme "partiellement vaccinées", catégorie qui regroupe aussi les personnes dans l'attente de leur deuxième dose.
La police judiciaire fédérale a mis en place une unité d'intervention rapide qui s'entraîne à l'insu du large public. Nom de code: «Tigris». L'Office fédéral de la police (fedpol) a confirmé l'existence de cette troupe, révélée jeudi par la «Weltwoche».
Composée actuellement de 14 membres, Tigris a été créée dans le
cadre du projet d'efficacité destiné aux autorités de poursuite
judiciaire de la Confédération. Ses coûts sont comptabilisés dans
le budget de la police fédérale, a précisé fedpol. La troupe se
trouve sous le contrôle, comme l'entier de fedpol, des commissions
de gestion des Chambres fédérales.
Avec cette troupe d'intervention, les autorités fédérales se
trouvent en terrain délicat, écrit la «Weltwoche». En 1978, le
peuple et les cantons ont refusé la création d'une police fédérale
de sécurité, comme le proposait le conseiller fédéral PDC Kurt
Furgler. En 2002, sa collègue de parti Ruth Metzler a échoué au
Parlement déjà avec un projet similaire. Fedpol réfute donc
l'argument selon lequel Tigris comporte des éléments de police de
sécurité: la troupe est engagée lors de menace accrue.
"C'est comme si on avait tous les matins un crash d'un bus dans un ravin, tout le monde à l'hôpital, un tiers aux soins intensifs, 7 morts".
https://www.rts.ch/play/tv/redirect/detail/12450005
à 3:52
On ne sait pas de que type d'assaillants on parle, des terroristes ou des anti-tout radicalisés....
On a pas le droit de penser par soi-même, depuis kont on le sait...
On a pas le droit de penser par soi-même... on le sait depuis kant !!
Unisanté "interpellé" par les chiffres de l'OFS
"En début d'année, nous avons été interpellés par ce premier bilan de l'OFS qui faisait état d'une augmentation de 11% du nombre de décès survenu en 2020, par rapport au nombre prévu", a expliqué l'une des chercheuses d'Unisanté dans le 12h30 de la RTS. Certains médias avaient en effet conclu que la mortalité avait atteint en 2020 des niveaux inédits depuis cent ans.
"Nous nous sommes penchés sur les chiffres", a précisé Isabella Locatelli. "Quand on veut comparer la mortalité entre deux années, on ne peut pas se baser sur le nombre absolu de décès, parce qu'au fil du temps la population change, elle augmente et elle vieillit. C'est ce qui a un impact très important sur le nombre de décès."
Une surmortalité globale de 8,8%
Unisanté a donc utilisé des méthodes de calcul différentes de celles de l'OFS, en pondérant certains facteurs. Résultat: le centre a observé une surmortalité de 8,8%, toutes causes confondues. "Il est clair que cette surmortalité est liée à la pandémie", a souligné la chercheuse. Mais "nous avons estimé ce retour en arrière à environ 5-6 ans et non de cent ans comme cela a été suggéré en début d'année".
L’analyse d'Unisanté par classe d’âge et par sexe montre que la surmortalité observée en 2020 en Suisse a davantage touché les hommes que les femmes, et presque exclusivement les personnes âgées. La surmortalité est significative à partir de 70 ans chez les hommes et de 75 ans chez les femmes. Au-dessous de ces âges, aucune surmortalité significative n’est constatée.