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correspondance phonétique entre hérioglyphe
« Ignores-tu, ô Asclèpios, que l’Égypte est l’image du ciel, ou plutôt, qu’elle est la projection ici-bas de toute l’ordonnance des choses célestes ? » (Hermès Trismégiste)
« Sur la pyramide orientale, la grande, construite par les Anciens, étaient gravées les sphères célestes ; ainsi que la position des étoiles et leurs cercles, avec l’histoire et les chroniques des temps passés, de ceux qui viennent et de tous les événements futurs. On y trouve aussi les étoiles fixes et ce qu’il advient de leur progression d’une époque à l’autre... et des images des créations de leurs ancêtres. » (Manuscrit Al-Masudi n°9576, British Museum)
vendredi 26 juillet 2024
Une pyramide qui fait couler beaucoup d'eau
DENIS DELBECQ
ÉGYPTOLOGIE Une équipe française suggère que la première pyramide monumentale d'Egypte aurait été construite grâce à une sorte d'ascenseur propulsé par de l'eau sous pression. Une hypothèse qui suscite la controverse avant même la parution officielle de l'article
En dépit de siècles de recherches, le mystère plane encore sur la manière dont les Egyptiens ont érigé les pyramides monumentales. Le consensus établit que les bâtisseurs avaient créé des rampes sur lesquels les blocs de roche étaient glissés grâce à la traction humaine. Une technique qui aurait été employée dès 2680 avant notre ère, pour bâtir la première des pyramides monumentales égyptiennes, qui culmine à 60 mètres de haut à Saqqarah, sur le complexe funéraire de Djéser, premier roi de la IIIe dynastie égyptienne.
Mais des travaux signés par une équipe française, acceptés en juin dernier par PLOS One, suggèrent une hypothèse très audacieuse: la pyramide de Djéser aurait été érigée - au moins en partie - en utilisant la force de l'eau, grâce à un réseau de conduites apportant l'eau d'une rivière intermittente (oued) au travers d'un ingénieux système de collecte et de traitement de l'eau. Selon les calculs des auteurs de ces travaux, la pression nécessaire au levage d'un flotteur portant les blocs de roche proviendrait de la déclivité entre l'oued et le site de la pyramide, qui aurait alimenté un ingénieux système de conduites et de puits.
Des millions de blocs de 300 kg
On doit cette hypothèse décoiffante au groupe constitué autour de Xavier Landreau, chercheur au Commissariat à l'énergie atomique (CEA) et Guillaume Piton, hydraulicien à l'Institut français de recherche agronomique et environnementale (Inrae) au sein de l'Institut des géosciences de l'environnement de Grenoble. « Nos travaux sont en quelque sorte le produit de près de deux siècles d'articles, de recherches, d'excavations sur le site », explique Xavier Landreau, qui préside Paleotechnic, un institut privé et associatif de recherches cofondé en 2023 par des scientifiques de la recherche publique française.
L'étude ne repose donc pas sur de nouvelles fouilles, mais sur l'analyse de l'ensemble des découvertes faites sur le site, notamment au XXe siècle, expliquent les auteurs. « Notre modèle, réalisé à partir d'une cartographie des bassins-versants et de données hydromécaniques, laisse penser que la ressource en eau était suffisante au moment de la construction », avance Xavier Landreau. Celle-ci aurait duré une vingtaine d'années, au cours desquelles il a fallu hisser des millions de blocs de pierres de 300 kg chacun. « La pyramide aurait été construite comme un volcan, les blocs étant glissés vers le puits situé au centre de l'édifice puis hissés sur le monte-charge. » Puits considéré par beaucoup d'égyptologues comme un tombeau.
Un report de parution inexpliqué
Pour Xavier Landreau et ses collègues, l'eau était collectée depuis un barrage coupant le lit de l'oued, puis déversée dans une fosse creusée dans la roche, une succession de quatre bassins qui, pour les auteurs de ces travaux, est caractéristique par ce que l'on appelle un barrage à piège sédimentaire: chaque réservoir se déverse dans le suivant, piégeant au passage des sédiments. Considérée par certains égyptologues comme le vestige d'une carrière, cette fosse mesure 400 mètres de long, 27 mètres de profondeur et seulement trois mètres de large. « Une largeur aussi faible et ce qu'on sait d'autres carrières de l'époque antique nous font penser que ce n'est pas le cas. D'autant que le fond est dallé à l'aide de mortier, ce qui aurait pu servir à étanchéifier le dispositif. »
« Grâce au Français Jean-Philippe Lauer [décédé en 2001, ndlr], qui a fouillé le site pendant plus de soixante ans, on dispose d'un nombre impressionnant de cartes, plans et coupes du site. Il connaissait sûrement aussi bien la pyramide que l'architecte Imhotep qui l'a construite », sourit Xavier Landreau. De nombreuses galeries ont été découvertes sous le site, les dernières en 2007, qui pourraient être des conduites destinées à guider l'eau jusqu'au puits central.
Comme c'est à chaque fois le cas en matière d'égyptologie, la mise sur la table d'une nouvelle hypothèse sur les bâtisseurs de pyramides, est source de controverse. « On s'attend à des critiques, bien sûr, mais nos travaux reposent sur 150 références solides de la littérature, et nos résultats sont en accord avec tout ce qui a été publié pour ce site dans les domaines hydrologique, géologique et sédimentaire », souligne Xavier Landreau.
Le Temps a contacté une demi-douzaine d'égyptologues, notamment un spécialiste du site de Saqqarah, pour recueillir leur analyse de ces travaux inhabituels, teintés d'hydrologie, d'hydraulique et de géologie... Tous ont décliné, faute de temps - il faut dire que le papier, ardu, compte 29 pages. Mais l'un d'entre eux a pris soin d'ajouter qu'il se dit « surpris de l'intérêt que portent les journalistes à ces travaux ». Un autre a précisé qu'il juge l'hypothèse avancée par l'équipe française « absolument improbable ».
Plus étonnant, à moins de 24 heures de la publication prévue dans PLOS One, ce 24 juillet à 20h, à l'issue d'un long processus d'approbation et de relecture par les pairs, la revue a averti la presse la veille qu'elle différait sa publication sine die. Comme s'il se tramait des choses en coulisses. D'ordinaire, les polémiques éclatent après la publication! Compte tenu de cette situation insolite et pour faire date, les auteurs ont placé leur manuscrit sur le site Research Gate, qui accueille de nombreux travaux avant leur publication officielle.
« On s'attend à des critiques, bien sûr, mais nos travaux reposent sur des références solides »
XAVIER LANDREAU, CHERCHEUR AU COMMISSARIAT À L'ÉNERGIE ATOMIQUE
Le plus grand champ de pyramides d'Égypte est regroupé le long d'une étroite bande désertique, mais aucune explication convaincante n'a été donnée jusqu'à présent quant à la raison pour laquelle ces pyramides sont concentrées à cet endroit précis.
Nous utilisons ici l'imagerie satellite radar, en conjonction avec des données géophysiques et des carottages profonds, pour étudier la structure et la sédimentologie du sous-sol dans la vallée du Nil à proximité de ces pyramides.
Nous identifions des segments d'une importante branche éteinte du Nil, que nous appelons la branche d'Ahramat, qui passe au pied du plateau du désert occidental, où se trouve la majorité des pyramides.
De nombreuses pyramides, datant de l'Ancien et du Moyen Empire, ont des chaussées qui mènent à la branche et se terminent par des temples de la vallée qui ont pu servir de ports fluviaux le long de la branche dans le passé.
Nous suggérons que le bras d'Ahramat a joué un rôle dans la construction des monuments et qu'il était simultanément actif et utilisé comme voie d'eau pour le transport des ouvriers et des matériaux de construction vers les sites des pyramides.
Le ka est l'énergie vitale et un double spirituel qui naît en même temps que l'humain. Le ka survit dans la tombe après la mort grâce au culte funéraire et aux livraisons d'offrandes alimentaires. Le ba, improprement traduit par âme, est un principe spirituel qui prend son envol à la mort du défunt. Cette composante représente l'énergie de déplacement, de dialogue et de transformation inhérente à chaque individu.
RÉSUMÉ. Entre 1984 et 1995, plus de 450 échantillons organiques ont été prélevés sur des monuments construits au cours de l'Ancien et du Moyen Empire.
Les échantillons les plus appropriés ont été sélectionnés pour être datés. L'objectif était d'établir une chronologie du radiocarbone avec des échantillons provenant d'un contexte sûr et collectés avec les techniques minutieuses requises.
L'objectif était d'établir une chronologie du radiocarbone avec des échantillons provenant de contextes sûrs et collectés avec les techniques minutieuses requises pour les échantillons de 14 C.
Cette chronologie est comparée à la chronologie historique établie par la reconstitution de la documentation écrite.
Outre leur utilisation dans l'art égyptien ancien, les phosphores IR de la famille bleu-égyptien, qui présentent une fluorescence dans le proche infrarouge (NIR) et des rendements quantiques élevés, ont également des applications modernes. On les trouve par exemple dans les toitures froides, où la fluorescence peut apporter un refroidissement supplémentaire, et dans les concentrateurs solaires luminescents, où la fluorescence peut être captée par des cellules photovoltaïques pour produire de l'électricité.
L'efficacité de la fluorescence dans le proche infrarouge des luminophores est liée à leur rendement quantique relativement élevé, défini comme le rapport entre les photons fluorescents et les photons absorbés. Les composés ayant des rendements quantiques élevés offrent une fluorescence forte et efficace et sont souhaitables pour diverses applications. Dans le Journal of Applied Physics, des chercheurs ont présenté une nouvelle méthode pour mesurer le rendement quantique des luminophores IR bleu égyptien en mesurant la température des composés en plein soleil. Motivés par les applications de toits froids, ils ont mesuré les changements de température des matériaux sous le soleil afin d'estimer l'effet de refroidissement de la fluorescence, en plus de l'émission d'ondes longues et de la convection de l'air.
Au total, quatre luminophores IR bleu égyptien ont été testés. Les luminophores ont été appliqués sur un support isolé thermiquement et flanqués d'échantillons calibrés non fluorescents à des fins de comparaison. La mesure de la température en plein soleil permet d'attribuer une réflectance solaire effective (ESR), qui est plus importante que la réflectance solaire ordinaire. La contribution de la fluorescence à l'ESR est ensuite utilisée pour calculer le rendement quantique de chaque luminophore.
Si les luminophores sont utilisés à de faibles concentrations, le rendement quantique s'approche même de l'unité, mais la fluorescence est faible. À des concentrations plus élevées, la fluorescence atteint un maximum auquel le rendement quantique est encore élevé, 0,7, soit un facteur 7 de plus que ce qui a été rapporté précédemment. Les futures applications de fluorescence infrarouge pourront bénéficier des rendements quantiques élevés de ces composés.
Source : "High quantum yield of the Egyptian blue family of infrared phosphors (MCuSi4O10, M = Ca, Sr, Ba)", par Paul Berdahl, Simon K. Boocock, George C.-Y. Chan, Sharon S. Chen, Sharon S. Chen, Sharon C.-Y. Chan. Chan, Sharon S. Chen, Ronnen M. Levinson, et Michael A. Zalich, Journal of Applied Physics (2018). L'article peut être consulté à l'adresse suivante : https://doi.org/10.1063/1.5019808.
Le ka, d’après la description, correspond au corps subtil qui porte l’énergie vitale de la kundalini. Il apparaît dès la conception, parce qu’il résulte de la réunion du corps physique et de l’âme immortelle, le ba égyptien. Le ka est la partie mortelle de notre esprit, celle qui concentre l’énergie vitale inépuisable issue du ba, c’est à dire de l’aura, de l’âme immortelle.
La formule ATH KA PTAH est souvent traduite par Le deuxième cœur du Dieu Ptah. Ka n’est pas le cœur, et pourtant le corps subtil est aussi appelé le corps du cœur, parce qu’il contient le mouvement incessant des émotions et parce que la jonction du ka et du corps physique se joue au chakra du cœur.
Ainsi c’est par le cœur que se produit l’union de l’Esprit et de la matière, pour la plus grande élévation du cœur qui devient sacré cœur ou corps glorieux. La croyance égyptienne que le ka peut survivre à la mort du corps par les ressources de l’embaumement et des offrandes de nourriture est une superstition tardive, déjà très imprégnée de symbolisme, qui est ce qui reste quand on a tout oublié. La version originale de ces pratiques est beaucoup plus réaliste.
L’âme et le corps ne pourraient communiquer et se rejoindre sans cet intermédiaire qui possède une nature double, matérielle et spirituelle. Ainsi il joue un rôle de catalyseur, il permet aux deux autres composantes de s’harmoniser. Au fil du temps et du travail sur soi, le guerrier de lumière permet à l’âme immortelle d’informer toute la matière de son corps physique. Ce qui ne se fait pas sans un travail de toute la vie.
Quand le ba – ou l’âme ou aura ou luminosité subtile – pénètre le ka ou corps subtil, on parle d’éveil. Sur le chemin intérieur du tarot initiatique, c’est l’arcane XVI La Maison Dieu. Et quand l’aura pénètre et informe l’ensemble du corps physique, habitant ainsi la totalité de l’être, on parle d’illumination. C’est l’arcane sans nombre, le Fol ou Le Mat.
Pour le Dr. Hawass, le coucher du soleil aligné au-dessus du sphinx ne serait donc pas un hasard.
Ceci suggère, selon l'égyptologue, que la statue de 20 mètres de haut et 73 mètres de long a été érigée à cet endroit dans un objectif astronomique et religieux. "Ce phénomène prouve que les archéologues se trompaient quand ils disaient que les Égyptiens avaient trouvé une pierre par hasard et l'avait changée en une statue à visage humain et au corps non-humain", écrit le ministère dans sa publication.
La photo publiée par le ministère égyptiens des antiquités:
https://www.facebook.com/moantiquities/photos/a.979988385380145/2935261899852774/?type=3&theater
UN VASE DE GRANITE SCANNÉ EN 3D !
Un des 40 000 vases retrouvés à Saqqarah a été scanné en 3D par une équipe américaine : nous sommes face à une précision de réalisation totalement hors norme, basée sur une géométrie complexe combinant portions d’ogives ou de cones, de sphères, etc. Et donc, une réalisation bien plus complexe que celle supposée - car jamais démontrée - obtenue à l’aide d’outils rudimentaires.
Ce que Chris Dunn a observé avec la tête de la statue de Ramses à Luxor (voir BAM) et que nous observons à Barabar !
Seul bémol pour les frenchies, la vidéo est en anglais… si une bonne âme a envie de la traduire en français, je peux demander à Ben d’UnchartedX la possibilité d’uploader le sous titre français.
De ceci, deux choses :
la première est que des milliers de vases croupissent en France dans le sous sol du Louvre, mais les « gens-comme-nous » n’y ont pas accès, et ceux qui ont la charge de l’étude de ces objets n‘effectuent pas ces recherches et analyses que nous effectuons… aux USA, même chose mais fort heureusement, un collectionneur privé a autorisé le scan de son vase… comme quoi rien n’est jamais ni tout noir ni tout blanc et finalement les collections privées peuvent avoir du bon !
La deuxième est qu’on ne doit rien s’interdire « parce qu’on n’y croit pas » : du temps de LA RÉVÉLATION DES PYRAMIDES, Guillemette Andreu Lanoe, la conservatrice de l’époque, nous parlait d’études sur les contenus des vases et non sur la manière dont ils avaient été réalisés… et depuis, rien n’a vraiment bougé. Nous adressons donc ce message à destination d’archéologues qui souhaiteraient procéder à ces analyses : nous mettons en place des partenariats avec des sociétés disposant du matériel donc nous pouvons trouver le moyen de les faire, ce qui sera utile pour tout le monde… et surtout pour la recherche.
« Une science reconnaîtra une autre science » : ce credo ne va cesser de se vérifier à mesure que la technologie va permettre des analyses de plus en plus fines et surtout, au-delà de tout a priori ou préjugé… comme Descartes, le « père de la raison » nous y invite 😊
Vidéo UNCHARTEDX : https://youtu.be/WAyQQRNoQaE
Certes, on a dépassé la vision lumineuse et charmante du baron d'Anglure, qui, en 1395, prenait les pyramides pour des «greniers du pharaon». Mais le voyageur professionnel n'apparaît qu'en 1652: Jean de Thévenot explore alors - ce qui n'est pas sans danger - Gizeh et Saqqarah. En perruque poudrée, habit à revers et manchettes bouffantes, cet arpenteur parisien relève les dimensions de la pyramide de Kheops.
Le père Jean MIchel Vansleb, féru de langues orientales, se rend en Egypte en 1664, dans le but d'aller en Ethiopie. Il y revient en 1672-1673, cette fois chargé par le ministre de Louis XIV, Jean-Baptise Colbert (1619-1683), d'une mission d'achat de manuscrit. Il visite le Fayoum, Saint-Antoine et va jusqu'au Monastère Blac de Shoag, mais ne dépasse pas cette agglomération de Haute Egypte (située à 510km au sud du Caire)
M. Martin "Au début de la description moderne de l'Egypte" dans "D'un Orient à l'autre, op. cit. Paris 1991. P 343"
Un livre d'égyptologie vieux de plus de 400 ans expertisé à Ajaccio
Ajaccio - "Chaque fois que je tourne une page, je fais des découvertes": concentré, Francesco Tiradritti scrute le "Thesaurus Hyeroglyphicorum", un traité d'égyptologie datant de 1610, soit 200 ans avant le décryptage des hiéroglyphes par Champollion, découvert il y a deux ans à Ajaccio.
Ce Thesaurus, commandé par Hans Georg Herwart von Hohenburg, chancelier du Duc de Bavière (1553/1622), et qui a fait partie de la prestigieuse collection de Jean-Baptiste Colbert, ministre de Louis XIV, "a un intérêt primordial du point de vue de l'histoire de l'égyptologie", il "nous donne le point de départ de l'étude scientifique de l'Égypte ancienne", assure M. Tiradritti.
C'est une image tirée d'une publication de "Aston 1994, Lilyquist 1995, Nicholson & Shaw 2000".
On observe ici que c'est vers -3000 à -2700, lors de la période pré-dynastique et des toutes premières dynasties que la diversités des types de pierres utilisées est la plus grande.
Après plus le temps passe... plus la diversité se réduit... et plus on va vers des pierres qui sont faciles à travailler.... avec l'albâtre, un ongle raie un vase.....
Actuellement si vous allez chez un tailleur de pierre en égypte, on ne vous propose plus que des statues en albâtre... (ou des moulage en résine epoxy et poudre de granit !!!)
On dirait bien là que durant la période pré-dynastique on avait des techniques pour travailler facilement des roches comme de la diorite, ou du gneiss.. chose qui actuellement sont très difficiles... mais les musées égyptiens regorgent d'objets dans ces matérieux. J'en ai vu à louxor, au caire et surtout dans le musées de saqqarah avec ses fameux vases. Personnellement je trouve la piste de la pierre moulée très intéressante pour expliquer cet utilisations massive de pierre très dure en des temps anciens et plus de nos jours... la technique a du être perdue.
Voici le détail des sources.
Aston, B.G. (1994) Ancient Egyptian stone vessels: materials and forms. Heidelberger Orientverlag, Heidelberg, 196 p.
Lilyquist, C. (1995) Egyptian stone vessels: Khian-Tuthmosis IV. Metropolitan Museum of Art, New York, 128 p.
Nicholson, P.T. & Shaw, I. (2000) Ancient Egyptian materials and techniques. Cambridge University Press, New York, 702 p.