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Mythe de création égyptien + table d'émeraude.
Le dieu primordial est un... puis il est polarisé en 2 (mâle et femelle) puis sa vérité est considérée sous 3 aspects.
Ici on a le Noun, l'océan primordial (tel le chaos grec... ou chaos quantique, fluctuation quantique du vide)
Les grecs ont pompé la mythologie aux égyptiens et les grecs ont l'univers remplit d'ether, le 5ème élément.... donc ça devrait être l'équilvalent du Noun !
.. et donc de ce noun, émerge la pierre BenBen...
Puis RA.. ce dieu Ra a 3 formes:
- Khepri
- Ra
- Atoum
Il s'auto-engendre..
Enfant / couple:
- Shou => mâle air sec (conservation) => élément air
- Tefnout => femelle air humide (changement) => élément eau
=> ils ont 2 enfants:
-
Geb => la terre
-
Nout => le ciel
-
RA-Khepri-Atoum ne voulant pas qu'ils s'accouplent..... Il ont été séparés. D'où la séparation du ciel et de la Terre...
Mais Toth a voulu les aider, ceci en ajoutant 5 jours au calendrier. On passe donc de 360 à 365 jours.
et chacun de ces jours épagomène, nout enfante d'un netjer.
On a:
- Isis
- Osiris
- Nephtys
- Seth
- Horus l'ancien
Osiris et Nephtys on un enfant (alors que c'est une relation extra-conjugale) et ainsi nait Anubis
Seth n'est pas très content et en veut à son frère Osiris.
Lors d'un banquet il le convainc dans un jeu de tester un sacrophage à sa taille.
Osiris entre et Seth referme le sarcophage à l'aide de 72 complices !!! Le sarcophage est cloué et plombé. et lancé sur le Nil.
Isis retrouve le cadavre de son cher frère/époux.
Seth s'en inquiète vu que Isis peut faire revivre les morts !
Seth découpe donc Osiris en 14 morceaux et les caches aux 4 coins de l'égypte.
Isis retrouve tous les morceaux, sauf son pénis !
Elle en recrée un !
Osiris est momifié. Il reprend vie.
Ainsi Isis en profite pour faire un enfant avec Osiris, il s'agit d'Horus.
Question astronomie, il y a des associations:
Osiris => Orion
Horus => Sirius
Isis => grand chien
Le ka est l'énergie vitale et un double spirituel qui naît en même temps que l'humain. Le ka survit dans la tombe après la mort grâce au culte funéraire et aux livraisons d'offrandes alimentaires. Le ba, improprement traduit par âme, est un principe spirituel qui prend son envol à la mort du défunt. Cette composante représente l'énergie de déplacement, de dialogue et de transformation inhérente à chaque individu.
FACE EST.
Côté des Tuileries.
Colonne médiale.
« L’Horus-Soleil, taureau fort, combattant avec son glaive, le seigneur des diadèmes, qui abat ce qui l’approche, qui s’empare des extrémités du monde, épervier d’or, très-terrible, disposant de la vaillance, le roi de la Haute et de la Basse-Égypte (ousor-ma-ra) ; viens, ô fils divin, vers ton père Ammon, toi qui fais être en allégresse le Temple de l’âme et les dieux du Grand-Temple[6] en joie. — Il a fait (l’obélisque) le fils du Soleil (meï-ammon-ramsès). »
« Vivant éternellement. »
Colonne à gauche du spectateur.
« L’Horus-Soleil, taureau fort, fils d’Ammon, combien multipliés sont tes monuments ! le très-fort, fils aimé du Soleil, sur son trône, le roi de la Haute et de la Basse-Égypte (ousor-ma-ra, sotep-en-ra), fils du Soleil (meï-ammon-ramsès), qui a élevé la demeure d’Ammon (Thèbes), comme l’horizon céleste, par ses grands monuments pour l’éternité, le roi de la Haute et de la Basse-Égypte, fils du Soleil (meï-ammon-ramsès). »
« Vivificateur. »
Colonne à droite du spectateur.
« L’Horus-Soleil, taureau fort, l’aimé de la déesse vérité (MA).
Roi doublement chéri comme le dieu Tum, chef suprême, délices d’Ammon-Ra, pour les siècles ; le roi de la Haute et de la Basse-Égypte (ousor-ma-ra, sotep-en-ra), fils du Soleil (meï-ammon-ramsès) : ce qu’est le Ciel, tel est ton monument ; ton nom sera permanent comme le ciel. Le roi de la Haute et de la Basse-Égypte (ousor-ma-ra, sotep-en-ra), fils du Soleil (meï-ammon-ramsès). »
« Vivificateur. »
Outre leur utilisation dans l'art égyptien ancien, les phosphores IR de la famille bleu-égyptien, qui présentent une fluorescence dans le proche infrarouge (NIR) et des rendements quantiques élevés, ont également des applications modernes. On les trouve par exemple dans les toitures froides, où la fluorescence peut apporter un refroidissement supplémentaire, et dans les concentrateurs solaires luminescents, où la fluorescence peut être captée par des cellules photovoltaïques pour produire de l'électricité.
L'efficacité de la fluorescence dans le proche infrarouge des luminophores est liée à leur rendement quantique relativement élevé, défini comme le rapport entre les photons fluorescents et les photons absorbés. Les composés ayant des rendements quantiques élevés offrent une fluorescence forte et efficace et sont souhaitables pour diverses applications. Dans le Journal of Applied Physics, des chercheurs ont présenté une nouvelle méthode pour mesurer le rendement quantique des luminophores IR bleu égyptien en mesurant la température des composés en plein soleil. Motivés par les applications de toits froids, ils ont mesuré les changements de température des matériaux sous le soleil afin d'estimer l'effet de refroidissement de la fluorescence, en plus de l'émission d'ondes longues et de la convection de l'air.
Au total, quatre luminophores IR bleu égyptien ont été testés. Les luminophores ont été appliqués sur un support isolé thermiquement et flanqués d'échantillons calibrés non fluorescents à des fins de comparaison. La mesure de la température en plein soleil permet d'attribuer une réflectance solaire effective (ESR), qui est plus importante que la réflectance solaire ordinaire. La contribution de la fluorescence à l'ESR est ensuite utilisée pour calculer le rendement quantique de chaque luminophore.
Si les luminophores sont utilisés à de faibles concentrations, le rendement quantique s'approche même de l'unité, mais la fluorescence est faible. À des concentrations plus élevées, la fluorescence atteint un maximum auquel le rendement quantique est encore élevé, 0,7, soit un facteur 7 de plus que ce qui a été rapporté précédemment. Les futures applications de fluorescence infrarouge pourront bénéficier des rendements quantiques élevés de ces composés.
Source : "High quantum yield of the Egyptian blue family of infrared phosphors (MCuSi4O10, M = Ca, Sr, Ba)", par Paul Berdahl, Simon K. Boocock, George C.-Y. Chan, Sharon S. Chen, Sharon S. Chen, Sharon C.-Y. Chan. Chan, Sharon S. Chen, Ronnen M. Levinson, et Michael A. Zalich, Journal of Applied Physics (2018). L'article peut être consulté à l'adresse suivante : https://doi.org/10.1063/1.5019808.
doi:10.4236/ad.2017.54012
La source céleste de cette intuition géométrique lui aurait attaché l'attribut sacré du cycle de résurrection d'Horus exprimé numériquement sous forme d'entiers et graphiquement sous forme de cercle. Je tiens donc à souligner qu'il n'est pas nécessaire de proposer que les anciens Égyptiens avaient un concept de la valeur numérique de π (31/7 coudées, par exemple), sauf en ce qui concerne les fractions géométriques complexes que je viens de décrire et qui sont sans doute plus significatives que ce qui résulte de leur calcul. Le Papyrus du Rhin datant du Nouvel Empire décrit comment les mathématiciens égyptiens ont simplifié les fractions complexes comme des sommes de fractions unitaires, par exemple 3/4 est devenu 1/2 + 1/4, mais le but de ces opérations mathématiques aurait été différent de la fraction complexe décrite ici qui peut au contraire être exprimée géométriquement avec des cercles, des diamètres et des triangles.
Serait-ce une référence voilée à la cosmogonie hermopolitaine de la Maison du dieu Thot de la Lune, inscrite dans les dimensions monumentales des pyramides ? La réponse se trouve peut-être cachée dans la pyramide de Meydum, à quelques pas du mastaba de Nefermaat. En commençant par la couche 1 la plus intérieure de son noyau E1/E2 de carrés concentriques, les longueurs de base des 8 couches sous le revêtement E3 étaient probablement censées être respectivement de 100, 115, 130, 150, 169, 188, 207 et 226 coudées (Petrie, 1892 : 7 ; 1 coudée = π/6 m ; 1 pouce = 2,54 cm). Les couches extérieures 5 à 8 augmentent chacune de 19 cubits, ce qui fait que la pyramide est plus large de 38 cubits pour chaque paire de couches extérieures.
220 cubits × 8/1000 × π/6 = 0,9215338 m. Le retrait est exactement de 1/1000 du périmètre, soit 1,76 coudées.
, 9 mois de Xandiros, jour4,c e qui correspond en égyptien au deuxième mois de la saison de l’hiver, jour 18, de Pharaon, l’enfant qui est apparu comme pharaon à la place de son père, maitre des uraeus, dont la force est grande, qui a affermi l’Egypte et qui a fait qu’elle fût parfaite, dont le cœur est bénéfique envers les dieux, qui terrasse son ennemi, qui fait que la vie des hommes soit bonne, maitre des années de jubilé comme Ptah-Tenen, pharaon comme Rê, pharaon des gestions supérieures et des régions inférieures, le fils des Dieux-qui-aiment- leur-père, celui qu’a choisi Ptah, celui à qui Rê a donné la victoire, l’image vivante d’Amon, le fils de Rê, Ptolémée vivant éternellement, aimé de Ptah, le dieu apparaissant, dont la bonté est éclatante, fils de Ptolémée et d’Arsinoé, les Dieux-qui-aiment-leur-père ;
-Aétos fils est le prêtre d’Alexandre, des Dieux-sauveurs, des Dieux-frères, des Dieux efficients, des Dieux-qui aiment-leur-père et du pharaon Ptolémée, le Dieu-apparaissant dont la bonté est éclatante ;
- Pyrrha fille Philinos est la prêtresse »porteuse-du-prix-de-la-victoire » de Bérénice l’efficiente ;
-Aéia fille de Diogènès est al prêtresse « porteuse-de-la-corbeille-d’or » d’Arsinoé, Celle-qui-aime-son-père ;
Eîrènè fille de Ptolémée est la prêtresse d’Arsinoé, Celle-qui-aime-son-père.
En ce jour, les chefs des prêtres, les serviteurs du dieu, les prêtres qui ont accès à ce qui est pur pour procéder à l’habillage des dieux, les scribes du livre sacré et les scribes de la maison –de-vie ainsi que les autres prêtres venus depuis les temples d’Egypte jusqu’à Menphis pour la fête de l’accession à la fonction suprême du Pharaon Ptolémée à la suite de son père se rassemblèrent dans le temple de Memphis et ordonnèrent :
« Attendu que le Pharaon Ptolémée fils du pharaon Ptolémée et la personne Arsinoé, les Dieux-qui-aiment-leurs-père, accomplit de nombreux bienfaits pour les temples d’Egypte et pour tous ceux qui sont sous son autorité de pharaon : il est, en effet, un dieu fils de dieu et de déesse, à l’égal d’Horus fils d’Isis et d’Osiris, protégeant son père Osiris quelqu’un dont le cœur est bénéfique envers les dieux, quelqu’un qui a déjà donné force argent et beaucoup de grain aux temples d’Egypte ainsi que toutes sortes de bonnes choses pour faire qu’advînt la paix en Egypte et que fussent bien fondés les temples, quelqu’un qui a aussi donné des récompenses à l’armée entière qui est sous sa haute autorité.
Taxe et impôt qui avait cours en Egypte, il les a diminués ou supprimés pour faire que l’armée et tous les autres hommes fussent heureux en son temps de pharaon, qui pesait sur les gens d’Egypte et sur tous ceux qui sont sous son autorité de pharaon, il les annula. Les gens qui étaient emprisonnés et ceux contre qui il y avait une vieille accusation, il les relaxa.
Il ordonna que les revenus fonciers des dieux, les sommes d’argent et les quantités de grain que l’on doit verser comme taxe aux temples chaque année et les parts qui reviennent aux dieux pour les vignes, les arbres fruitiers et els autres choses qui leur avaient été attribuées par son père fussent confirmés ; il ordonna également que les prêtres n’acquittassent plus la taxe de prêtrise d’un montant supérieur à ce qui avait été en l’an 1 par devant son père ; il exempta les gens qui sont en fonction dans les temples du voyage par bateau, vers Alexandrie, qu’ils devaient faire chaque année ;
Il ordonna de n’enrôler personne de force comme marin ;
Il renonça à la taxe des deux tiers sur le lin royal que les temples devaient livrer à la maison de pharaon ; Il ramena à juste mesure toutes choses qui avaient changé depuis longtemps ;
Il prit toutes dispositions pour qu’on fît ce qu’il est fondé de faire pour les dieux de manière appropriée et, de la même manière, pour qu’on appliquât la loi aux gens conformément à ce que fait Thot le deux fois grand ;
Il ordonna encore qu’on permît aux rebelles et aux autres personnes entraînées sur le mauvais chemin, celui de la révolte, de rentrer chez eux et de retrouver leurs biens ;
Il prit toutes dispositions pour envoyer l’infanterie, la cavalerie et les navires contre ceux qui viendraient par le littoral et la mer pour attaquer l’Egypte. Il fit de grandes dépenses d’argent et de grain à cet effet pour qu’advînt ainsi la paix dans les temples et chez les gens d’Egypte. Puis il gagna le fort de Chekan qui avait été fortifié par les rebelles avec toutes sortes d’ouvrages et qui contenait de nombreuses armes et toutes sortes d’équipement. Il encercla le fort en question au moyen d’un mur entouré d’un remblai à cause des rebelles qui étaient à l’intérieur, les quels avaient causé de grands dommages à l’Egypte, ayant délaissé le chemin du commandement de Pharaon et celui du commandement des dieux. Il fit obturer les canaux qui amenaient l’eau à ce fort ; les pharaons précédents n’avaient pu faire pareil (il dépensa beaucoup d’argent à cet effet). Il posta l’infanterie et la cavalerie à l’entrée des canaux en question pour les garder et pour qu’ils restassent en bon état, car els flots de l’inondation avaient été forts en l’an 8 – ces canaux conduisent l’eau vers de nombreux terrains et sont très profonds.
Pharaon prit le fort de manière violente en peu de temps ; il s’empara des rebelles qui étaient à l’intérieur et les fit abattre conformément à ce qu’ont fait Rê et Horus fils d’Isis à ceux qui s’étaient révoltés contre eux dans les mêmes lieux auparavant. Les chefs rebelles qui avaient rassemblé une armée pour semer le désordre dans les provinces, qui avaient fait du tord aux temples, qui avaient abandonné les chemins de Pharaon et de son père, les dieux permirent que Pharaon d’emparât d’eux à Memphis lors de la fête de l’accession à la fonction suprême obtenue de la main de son père ; il les tua par le bâton ;
Pharaon renonça aux arriérés dus à lui par les temples jusqu’à l’an 9 : beaucoup d’argent et de grain, également le prix des lins royaux qui sont en possession des temples et qui sont destinés à la maison de Pharaon ainsi que le lin restant propriété de ceux qui le tissent jusqu’à aujourd’hui ;
Il arrêta encore une décision à propos de la mesure de blé, l’artabe, par surface aroure qu’il percevait sur le domaine du temple et, aussi, à propos de la quantité de vin surface aroure de vignobles appartenant aux domaines des temples : il y renonça ;
Il accomplit de nombreux bienfaits pour Apis, Mnéavis et les autres animaux d’Egypte en plus de ce qui avait été fait par ses prédécesseurs pour eux, son cœur étant à leurs ordres à tout instant ; il donna tout ce dont on avait besoin pour leur enterrement, grandement et abondamment, et il rassembla ce qu’on produisait pour leurs temples quand on organise les fêtes et qu’on fait des holocaustes devant eux, ainsi que les autres choses qu’on fabrique ;
Les cérémonies qui se déroulent dans les temples et les autres qui ont lieu en Egypte, il les a établies dans leur forme conformément à la loi. Il donna or, argent et grains en grande quantité, ainsi que toutes sortes de biens au sanctuaire du taureau Apis ; l fit achever le nouvel ouvrage de fort belle façon. Il fit achever les temples, sanctuaires et autels nouveaux pour les dieux. Il s’enquit des cérémonies se déroulant dans les temples pour les faire renouveler en son temps de pharaon de la manière qui convient.
Les dieux lui donnèrent en échange de cela force, victoire, vaillance, prospérité, santé et tous autres bienfaits, tandis que sa fonction de pharaon ainsi que la bonne fortune étaient établies pour lui et ses enfants pour l’éternité. Cela pénétra le cœur des prêtres des temples de toute l’Egypte.
Les honneurs qui sont dus au pharaon Ptolémée, vivant éternellement, le Dieu-apparaissant, dont la bonté est éclatante, sont maintenant plus grands dans les temples, ainsi que ceux dus aux Dieux –qui-aiment-leur-père l’ayant engendré, ceux dus aux Dieux-efficients ayant engendré ceux qui ‘l’ont engendré, ceux dus aux Dieux-frères ayant engendré ceux qui ont engendrés ceux-ci et ceux dus aux Dieux-qui-sauvent, les pères de ses pères.
On fit ériger une statue du pharaon Ptolémée, vivant éternellement, le Dieu-apparaissant, dont la bonté est éclatante, et on l’appela Ptolémée protecteur de l’Egypte, ce qui signifie Ptolémée défendant l’Egypte ; elle fait face à une statue du dieu local en train de lui donner le cimeterre de victoire dans chaque temple, à un endroit visible de tous, selon le style égyptien. Les prêtres serviront les statues de chaque temple trois fois par jour, ils déposeront le nécessaire devant elles et ils feront également pour elles tout ce qu’ile st de règle de faire pour les dieux lors des jours de fête et de procession ; on exposera l’image du dieu et du pharaon Ptolémée, le Dieu-apparaissant, dont la bonté est éclatante, fils de Ptolémée et la pharaonne Arsinoé, et les Dieux-aui-aiment-leur-père.
Quant au naos d’or, dans chaque temple, on le placera dans le sanctuaire avec les autres naos d’or. Quand les grandes fêtes durant lesquelles on expose les dieux auront lieu, on exposera le naos du Dieu-apparaissant avec-eux, pour que l’on connaisse ainsi ce naos, depuis ce jour et pour tout le reste du temps à venir. Qu’on place dix couronnes d’or de Pharaon avec chacune un uraeus, conformément à ce qu’il est accoutumé de faire pour les couronnes d’or, au front du naos, à la place habituelle des uraeus au front des autres naos. Que la double couronne doit placée au milieu des couronnes, car c’est avec elle que Pharaon est apparu dans le temple de Memphis tandis qu’on faisait pour lui ce qu’ile st de règle de faire lors de l’accession à la fonction suprême. Qu’on dépose dans l’espace supérieur de la partie carrée qui est à l’extérieur des couronnes, au milieu de la couronne d’or décrite ci-dessus, une laiche et un papyrus. Qu’on place les uraeus sur une corbeille surmontant une laîche, sur le coin droit au front du naos d’or, et qu’on place un uraeus surmontant une corbeille, elle-même posée sur un papyrus, à gauche, ce qui signifie Pharaon illuminant la Haute et la Basse Egypte.
Attendu que le dernier jour du quatrième mois de la saison d’été est celui durant lequel a eu lieu la naissance de Pharaon, il avait établi précédemment fête et procession dans les temples ; de la même manière, le dix-septième jour du deuxième mois de la saison de l’inondation est celui durant lequel on a fait pour lui les cérémonies d’accession à la fonction suprême, c'est-à-dire le commencement des bienfaits pour chaque homme. Les dates de naissances et d’accession à la fonction suprême de Pharaon, le jour 17et le dernier jour du mois furent déclarées fêtes chaque mois dans tous les temples d’Egypte. Il ordonna qu’on fît holocauste, offrande et toutes autres actions qu’il est de règle de faire lors des autres fêtes pour ces deux nouvelles fêtes ; ces offrandes seront ensuite partagées entre les hommes qui servent le temple. On fera encore fête et procession dans les temples et dans toute l’Egypte pour le pharaon Ptolémée, vivant éternellement, le Dieu-apparaissant, dont la bonté est éclatante, chaque année, le premier mois de la saison de l’inondation, le premier jour, durant cinq jours ; les prêtres porteront une couronne, feront l’holocauste, l’offrande et toutes les autres actions qu’il convient de faire. Ces prêtres, qui sont dans chaque temple d’Egypte, on les appellera les prêtres du Dieu-apparaissant dont la bonté est éclatante, en plus de leurs autres titres de prêtre ; on écrira leur nom sur chaque document ; on mentionnera la fonction de prêtre du Dieu-apparaissant dont la conté est éclatante sur les sceaux et on la gravera sur leurs revers.
Il sera possible à tous ceux qui désireraient faire fabriquer la réplique du naos d’or du Dieu-apparaissant décrit ci-dessus, de la faire fabriquer pour chez eux et de faire les fêtes et processions décrites ci-dessus chaque année ; elle permettra ainsi à ceux qui sont en Egypte de rendre hommage au Dieu-apparaissant dont la bonté est éclatante, conformément à ce qu’il est de règle de faire.
Qu’on inscrive ce décret sur une stèle de pierre dur en écriture sacrée, en écriture documentaire et en écriture grecque et qu’on la fasse dresser dans les temples de premier ordre, les temples de deuxième ordre et les temples de troisième ordre, à proximité de la statue de Pharaon vivant éternellement.
“For the pyramids, each worker got a daily ration of four to five liters,” he says loudly, perhaps for Calagione’s benefit. “It was a source of nutrition, refreshment and reward for all the hard work. It was beer for pay. You would have had a rebellion on your hands if they’d run out. The pyramids might not have been built if there hadn’t been enough beer.”
Les Égyptiens de l'Antiquité utilisaient un système de numération décimal, mais dans lequel zéro n'existait pas. Chaque ordre de grandeur (unités, dizaines, centaines, etc.) possédait un signe répété le nombre de fois nécessaire. Autrement dit, il s'agit d'un système additif et non pas d'un système de position.
Ce « disque » est en réalité une calotte hémisphérique constituée d’une tôle en alliage cuivreux d’une épaisseur de 0,5 mm et percé en son centre d’un trou circulaire (fig. 1). Il mesure environ 64,5 mm de diamètre et 13 mm de hauteur maximale. La courbure de l’objet permet de restituer pour la sphère de base un diamètre approximatif de 100 mm.
Outre leur utilisation dans l'art égyptien ancien, les phosphores IR de la famille bleu-égyptien, qui présentent une fluorescence dans le proche infrarouge (NIR) et des rendements quantiques élevés, ont également des applications modernes. On les trouve par exemple dans les toitures froides, où la fluorescence peut apporter un refroidissement supplémentaire, et dans les concentrateurs solaires luminescents, où la fluorescence peut être captée par des cellules photovoltaïques pour produire de l'électricité.
L'efficacité de la fluorescence dans le proche infrarouge des luminophores est liée à leur rendement quantique relativement élevé, défini comme le rapport entre les photons fluorescents et les photons absorbés. Les composés ayant des rendements quantiques élevés offrent une fluorescence forte et efficace et sont souhaitables pour diverses applications. Dans le Journal of Applied Physics, des chercheurs ont présenté une nouvelle méthode pour mesurer le rendement quantique des luminophores IR bleu égyptien en mesurant la température des composés en plein soleil. Motivés par les applications de toits froids, ils ont mesuré les changements de température des matériaux sous le soleil afin d'estimer l'effet de refroidissement de la fluorescence, en plus de l'émission d'ondes longues et de la convection de l'air.
Au total, quatre luminophores IR bleu égyptien ont été testés. Les luminophores ont été appliqués sur un support isolé thermiquement et flanqués d'échantillons calibrés non fluorescents à des fins de comparaison. La mesure de la température en plein soleil permet d'attribuer une réflectance solaire effective (ESR), qui est plus importante que la réflectance solaire ordinaire. La contribution de la fluorescence à l'ESR est ensuite utilisée pour calculer le rendement quantique de chaque luminophore.
Si les luminophores sont utilisés à de faibles concentrations, le rendement quantique s'approche même de l'unité, mais la fluorescence est faible. À des concentrations plus élevées, la fluorescence atteint un maximum auquel le rendement quantique est encore élevé, 0,7, soit un facteur 7 de plus que ce qui a été rapporté précédemment. Les futures applications de fluorescence infrarouge pourront bénéficier des rendements quantiques élevés de ces composés.
Source : "High quantum yield of the Egyptian blue family of infrared phosphors (MCuSi4O10, M = Ca, Sr, Ba)", par Paul Berdahl, Simon K. Boocock, George C.-Y. Chan, Sharon S. Chen, Sharon S. Chen, Sharon C.-Y. Chan. Chan, Sharon S. Chen, Ronnen M. Levinson, et Michael A. Zalich, Journal of Applied Physics (2018). L'article peut être consulté à l'adresse suivante : https://doi.org/10.1063/1.5019808.
Les tétra-silicates de cuivre alcalino-terreux, pigments bleus, sont des phosphores infrarouges intéressants. Les variantes Ca, Sr et Ba sont fluorescentes dans le proche infrarouge (NIR) à 909, 914 et 948 nm, respectivement, avec des largeurs spectrales de l'ordre de 120 nm. Le rendement quantique le plus élevé ϕ rapporté jusqu'à présent est d'environ 10 %. Nous utilisons des mesures de température à la lumière du soleil pour déterminer ce paramètre. Le rendement dépend de la charge pigmentaire (masse par unité de surface) ω, avec des valeurs proches de 100 % lorsque ω → 0 pour les variantes Ca et Sr. Bien que le rendement quantique maximal soit proche de ω = 0, la fluorescence maximale se produit à proximité de ω = 70 g m-2, où ϕ = 0,7. Les meilleurs échantillons présentent des temps de décroissance de la fluorescence de l'ordre de 130 à 160 μs. L'impureté absorbante CuO est souvent présente. Les bonnes performances des luminophores exigent des temps de décroissance de la fluorescence longs et des niveaux d'absorption parasite très faibles. La forte fluorescence améliore les perspectives d'applications énergétiques telles que le refroidissement des surfaces éclairées par le soleil (pour réduire les besoins en climatisation) et les concentrateurs solaires luminescents.