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Les scientifiques espèrent toujours trouver la théorie de grande unification qui désigne la théorie physique susceptible de décrire de manière cohérente de l'ensemble des trois interactions fondamentales (nucléaire forte, nucléaire faible et électromagnétique).
Toutefois, en 1967, Sheldon Lee Glashow, Mohammad Abdus Salam et Steven Weinberg (prix Nobel 1979), ont décrit l'interaction électrofaible qui unifiait :
- l'interaction électromagnétique,
-l'interaction nucléaire faible.
Sheldon Lee Glashow, Mohammad Abdus Salam et Steven Weinberg
(lors de la remise du Nobel de physique en 1979 )
Vue d'ensemble de l'interaction électrofaible
Lorsque l'univers était plus chaud et plus dense (énergie > 100 GeV, pendant l'ère électrofaible), l'interaction électromagnétique et l'interaction nucléaire faible auraient été les deux facettes d'une même interaction appelée " électrofaible ".
Pourtant, ces deux forces paraissent inconciliables bien qu'elles dépendent de l'énergie à laquelle on les considère.
- La force électromagnétique :
- est de portée infinie (observable macroscopiquement),
- croît lentement avec l'énergie,
- est médiée par le photon, particule sans masse.
- La force de l'interaction faible :
- est concevable uniquement à l'échelle atomique,
- croît très rapidement avec l'énergie des particules en présence,
- est médiée par les bosons W± et Z0, particules massives (100 fois la masse du proton).
Séparation des quatre forces fondamentales
Par contre, vers une centaine de GeV, ces deux forces possèdent le même ordre de grandeur.
- Dans le modèle standard à haute température, les symétries ne sont pas brisées et les particules sont sans masse.
- La force gravitationnelle est encore plus faible mais elle croît encore plus vite avec l'énergie que l'interaction faible, ce qui laisse ouverte la possibilité d'une unification de toutes les interactions élémentaires.
http://dx.doi.org/10.1063/1.5026556
La réponse résonante de la Grande Pyramide interagissant avec des ondes électromagnétiques externes de la gamme des radiofréquences (la gamme des longueurs d'onde est de 200 à 600 m) est étudiée théoriquement.
À l'aide de simulations numériques et d'une décomposition multipolaire, on constate que les spectres des sections transversales d'extinction et de diffusion comprennent des caractéristiques de résonance associées à l'excitation des moments dipolaires et quadripolaires électromagnétiques de la pyramide. Les distributions du champ électromagnétique à l'intérieur de la pyramide dans les conditions de résonance sont démontrées et discutées pour deux cas, lorsque la pyramide est située dans un espace homogène ou sur un substrat.
Il s'avère que les chambres de la pyramide peuvent collecter et concentrer l'énergie électromagnétique pour les deux conditions environnantes. Dans le cas d'une pyramide placée sur un substrat, l'énergie électromagnétique s'accumule dans les chambres aux longueurs d'onde les plus courtes, ce qui produit des maxima spectraux locaux pour les champs électriques et magnétiques. Il est démontré que, fondamentalement, la pyramide diffuse les ondes électromagnétiques et les concentre dans la région du substrat. La dépendance spectrale de l'effet de focalisation est discutée.
« Intrigant », la grande Pyramide de Gizeh concentre de l’énergie électromagnétique dans ses chambres internes
Et si l’intérieur de la Grande Pyramide de Gizeh pouvait concentrer les ondes électromagnétiques ? En tout cas, c’est ce que suggère une étude menée par l’université ITMO, en Russie.
La Grande Pyramide de Gizeh, également connue sous le nom de pyramide de Khéops, est la plus ancienne des sept merveilles du monde antique. Ce monument construit il y a plus de 4 500 ans par les Égyptiens de l’Antiquité mesure actuellement près de 137 mètres de haut. Au-delà de son aspect historique, le tombeau du pharaon Khéops, qui a régné sur l’Égypte vers 2600 av. J.-C, intrigue les scientifiques par sa mystérieuse structure. En collaboration avec des chercheurs du centre laser de Hanovre (Laser Zentrum Hannover), en Allemagne, des scientifiques de l’Université d’État en technologie de l’information, mécanique et optique de Saint-Pétersbourg (ITMO), en Russie, ont évalué la capacité de l’édifice à concentrer l’énergie électrique et magnétique.
Un phénomène intrigant
L’équipe a détaillé les résultats de leurs travaux dans une étude parue dans le Journal of Applied Physics. Pour ce faire, ils ont créé un modèle pour simuler la pyramide sous forme de calcaire solide sans compartiments internes. Ils ont ensuite étudié l’impact de l’éventuelle présence de cavités internes sur les ondes radioélectriques. Concrètement, les chercheurs ont évalué les interactions avec des ondes électromagnétiques ayant une longueur de résonance allant de 200 m à 600 m. Les simulations ont montré que les compartiments internes agissaient comme des résonateurs, concentrant l’énergie électromagnétique à l’intérieur de la pyramide.
Manipulation du système nerveux par les champs électromagnétiques des moniteurs
Résumé
Des effets physiologiques ont été observés chez un sujet humain en réponse à la stimulation de la peau par de faibles champs électromagnétiques pulsés à certaines fréquences proches de ½ Hz ou 2,4 Hz, de manière à exciter une résonance sensorielle.
De nombreux écrans d'ordinateur et tubes de télévision, lorsqu'ils affichent des images pulsées, émettent des champs électromagnétiques pulsés d'amplitudes suffisantes pour provoquer une telle excitation.
Il est donc possible de manipuler le système nerveux d'un sujet en pulsant des images affichées sur un écran d'ordinateur ou un téléviseur situé à proximité. Dans ce dernier cas, la pulsation de l'image peut être intégrée dans le programme ou être superposée en modulant un flux vidéo, soit sous forme de signal RF, soit sous forme de signal vidéo.
L'image affichée sur un écran d'ordinateur peut être pulsée efficacement par un simple programme informatique. Pour certains moniteurs, des champs électromagnétiques pulsés capables d'exciter des résonances sensorielles chez des sujets proches peuvent être générés alors même que les images affichées sont pulsées avec une intensité subliminale.
- Les particules ont des charges électriques.
- elles échangent des photons virtuels.
- action = réaction => répulsion ou attraction
- un champ électrique permet de déplacer des électrons = électricité.
- si au bord du fil, il y a ... une pomme ! ... elle bouge pas. => rien de spécial
- si la pomme bouge. => relativité restreinte. => longeur qui se contractent.
- les électrons du courant électrique qui se déplacent dans le même sens ne se contractent pas.
- les protons du fil, du point de vue de l'observateur s'allongent...
- déséquilibre entre proton et électron => force de répulsion de la pomme
- c'est une force magnétique.
- chaque particule, électron qui se déplace génère un champ magnétique.
- maxwell a 4 équations: définition de la charge comme source électrique, définition d'une polarisation obligatoire du champ magnétique, nord et sud. Induction électrique depuis une perturbation du champ magnétique on a une mise en mouvement du champ électrique, variation de champ électrique (courant) perturbe le champ magnétique... qui lui même perturbe le champ électrique... et hop... c'est parti on a généré une onde électro-magnétique !
ésumé : L'hypothèse directrice de ce travail est la possibilité d'une action des champs électromagnétiques basse fréquence sur les propriétés physico-chimiques de l'eau et via son activité sur des systèmes biologiques. Cette hypothèse a été induite par le grand nombre de publications sur ces sujets parues au cours de ces dix dernières années, mais aussi par la difficulté d'en tirer des conclusions du fait du caractère contradictoire de certains résultats ou de conditions expérimentales mal explicitées et parfois mal contrôlées. Dans la première partie de notre étude, des expériences de diffusion Raman et de photoluminescence réalisées sur des échantillons d'eau pure nous ont permis d'identifier la présence de polluants chimiques provenant des récipients servant au stockage des échantillons. Sous le contrôle de ces techniques extrêmement sensibles, nous avons mis au point un protocole de préparation des échantillons rigoureux permettant de limiter ces artéfacts. Les efforts ont notamment porté sur : (i) la purification de l'eau par osmose inverse et par une étape finale appelée « polissage », (ii) le contrôle de l'environnement atmosphérique (boîte à gants avec atmosphère contrôlée), électromagnétique et acoustique (boîtes de traitement et de stockage du type cage de Faraday avec revêtement de mu-métal et isolation acoustique), (iii) l'inertie chimique des récipients (utilisation exclusive de silice fondue de haute pureté de qualité optique). La seconde partie du travail a porté sur l'étude de l'effet des champs électromagnétiques sur les échantillons d'eau préparés en suivant le protocole caractérisé dans la première partie. Nous avons choisi des champs électromagnétiques sinusoïdaux de basse fréquence (< 1 kHz), délivrés en train d'ondes de quelques secondes et appliqués pendant six heures avec des intensités faibles (champ magnétique d'environ 1 mT et champs électrique d'environ 4 mV/m). Parmi toutes les expériences de caractérisation réalisées, seules celles de diffusion élastique de la lumière et de photoluminescence ont permis d'observer des effets notables à savoir une baisse importante, de l'ordre de 30%, pour l'intensité de diffusion et d'environ 70% pour l'intensité de photoluminescence après exposition au champ électromagnétique. Des expériences complémentaires de diffusion dynamique de la lumière et de dégazage des échantillons ont permis de conclure que l'action du champ électromagnétique avait porté principalement sur les bulles de gaz présentes dans les échantillons d'eau, entraînant notamment une forte baisse d'une population de nanobulles d'environ 300 nm de diamètre. L'ensemble de ces résultats suggère que les champs électromagnétiques basse fréquence pulsés agiraient sur l'interface gaz/eau, principalement en perturbant la double-couche ionique qui stabilise les nanobubbles de gaz dans l'eau. La photoluminescence des échantillons résulterait de l'excitation de ces composés ioniques hydratés concentrés autour des bulles de gaz.
La réponse résonante de la Grande Pyramide interagissant avec des ondes électromagnétiques externes de la gamme des fréquences radio (la gamme de longueur d'onde est de 200-600 m) est étudiée théoriquement. À l'aide de simulations numériques et de la décomposition multipolaire, on constate que les spectres des sections transversales d'extinction et de diffusion comprennent des caractéristiques de résonance associées à l'excitation des moments dipolaires et quadrupolaires électromagnétiques de la pyramide. Les distributions du champ électromagnétique à l'intérieur de la Pyramide aux conditions de résonance sont démontrées et discutées pour deux cas, lorsque la Pyramide est située dans un espace homogène ou sur un substrat. Il est révélé que les chambres de la Pyramide peuvent collecter et concentrer l'énergie électromagnétique pour les deux conditions environnantes. Dans le cas de la Pyramide sur le substrat, aux longueurs d'onde plus courtes, l'énergie électromagnétique s'accumule dans les chambres fournissant des maxima spectraux locaux pour les champs électriques et magnétiques. Il est démontré que, fondamentalement, la Pyramide diffuse les ondes électromagnétiques et les focalise dans la région du substrat. La dépendance spectrale de l'effet de focalisation est discutée.