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Punkri Burwadih est une tombe funéraire d'un peuple tribal, mais le monument a des connotations astronomiques.
Punkri Barwadih a été découvert par l'explorateur de mégalithes et auteur Subhasis Das il y a 15-16 ans.
Punkri Burwadih est une merveille... non seulement parce qu'il s'agit d'un merveilleux site mégalithique, mais aussi parce que ce mégalithe révèle la compréhension précise qu'avaient les anciens de l'astronomie de l'horizon et des transits du soleil.
C'est le seul endroit du pays où l'on peut observer les levers d'équinoxe.
Dans la religion grecque antique, Perséphone (en grec ancien Περσεφόνη / Persephónē, chez Homère et Pamphos d'Athènes Περσεφόνεια / Persephóneia) est une des principales divinités chthoniennes, fille de Zeus et de Déméter et épouse d'Hadès. Elle est d'abord connue sous le simple nom de Coré (Κόρη / Kórē, « la jeune fille »1), ou encore « la fille », par opposition à Déméter, « la mère » (ἡ Μήτηρ / hē Mḗtēr).
Déesse du monde souterrain (les Enfers), elle est également associée au retour de la végétation lors du printemps dans la mesure où chaque année, elle passe huit mois sur Terre puis quatre2 (l'hiver, sans végétation) dans le royaume souterrain avec Hadès. Son mythe principal qui détaille son enlèvement par Hadès, la quête entreprise par sa mère pour la retrouver et son retour périodique au printemps figurent ainsi le cycle annuel. Il était enseigné à tous les Grecs lors des cérémonies liées aux mystères d'Éleusis.
Perséphone est assimilée à Proserpine (en latin Proserpina) dans la mythologie romaine et possède comme domaine les fameux Champs Élysées.
Donc j'y vois là le symbole du soleil qui est en saison sombre en hiver (royaume d'Hadès) et en saison lumineuse en été. Avec pour changement les équinoxes. Dans les cultes des mystères d'Eleusis on a des cérémonies aux équinoxes.
Les pyramides chinoises sont d'immenses monticules funéraires anciens. Sur les images satellites, on peut voir des complexes dont les bâtiments principaux sont les monticules pyramidaux d'un empereur et de son impératrice. Nous discutons ici de l'orientation possible du lever et du coucher du soleil de ces deux pyramides lors des solstices et des équinoxes.
Pour le Dr. Hawass, le coucher du soleil aligné au-dessus du sphinx ne serait donc pas un hasard.
Ceci suggère, selon l'égyptologue, que la statue de 20 mètres de haut et 73 mètres de long a été érigée à cet endroit dans un objectif astronomique et religieux. "Ce phénomène prouve que les archéologues se trompaient quand ils disaient que les Égyptiens avaient trouvé une pierre par hasard et l'avait changée en une statue à visage humain et au corps non-humain", écrit le ministère dans sa publication.
La photo publiée par le ministère égyptiens des antiquités:
https://www.facebook.com/moantiquities/photos/a.979988385380145/2935261899852774/?type=3&theater
Permet de connaitre les paramètres astronomiques a une années donnée.
Ainsi il est possible de connaitre l'inclinaison de la Terre en - 4000 quand on été construit les mégalithes....
24.106803
... et en 2020 => 23.436675
en 2000 => 23.439275
en 1200 (temps des cathédrales, notamment Chartres) 23.543068
Pendant que tous, nous nous extasions devant le feu d'artifice du 14 juillet, il est une autre histoire. La véritable origine de la fête du 14 juillet est ancienne d'au moins 4500 ans... et probablement bien plus.
Le 14 juillet est la date qui divise le temps entre les deux équinoxes suivant le ratio du nombre d'or.
A l'emplacement de la grande Pyramide de Khéops, l'axe solaire du 14 juillet est exactement celui de la diagonale d'un double carré.
Mais il y a plus étonnant encore, entre l'équinoxe de printemps et le 14 juillet (116 jours), le nombre jour par rapport à l'année complète est de 365 / 116 = 3,14, c'est à dire le nombre PI.
Bien sur, le 14 juillet est la date du début du calendrier Égyptien, mais aussi du calendrier Maya.... quelle coïncidence troublante... que se cache t'il derrière cette science ancienne ?
C'est en constatant que les orientations astronomiques de certains sites mégalithiques ne collaient pas avec le solstice que j'ai découvert en 2017 cette corrélation majeure qui illustre la pensée ancienne. C'était l'axe du 14 juillet qui était visé par les orientations astronomiques....
0.46° angle de renfoncement = 0.92m
L'effet Russell-McPherron (R-M) est l'une des hypothèses les plus répandues pour expliquer la variation semestrielle de l'activité géomagnétique. Pour valider l'effet R-M et étudier la différence de variation de l'activité géomagnétique sous différentes polarités du Champ Magnétique Interplanétaire (CMI) et dans des conditions de vent solaire extrêmes (choc interplanétaire), nous avons analysé 42 ans de données sur le champ magnétique interplanétaire et les indices géomagnétiques et 1270 événements SSC (storm sudden commencement) de l'année 1968 à 2010 en définissant l'effet R-M avec une polarité CMI positive/négative (CMI loin/en direction du Soleil). Les résultats obtenus dans cette étude ont montré que la réponse de l'activité géomagnétique à l'effet R-M avec une polarité CMI positive/négative est assez profonde : l'activité géomagnétique est beaucoup plus intense autour de l'équinoxe d'automne lorsque la direction du CMI est éloignée du Soleil, alors qu'elle est beaucoup plus intense autour de l'équinoxe de printemps lorsque la direction du FMI est vers le Soleil. La variation saisonnière et diurne de l'activité géomagnétique après les SSC peut être attribuée à la fois à l'effet R-M et à l'hypothèse équinoxiale ; l'effet R-M explique la plus grande partie de la variance du CMI vers le sud, tandis que l'hypothèse équinoxiale explique une variance de l'injection de courant annulaire et des indices géomagnétiques similaire à celle de l'effet R-M. Cependant, l'effet R-M avec une polarité positive/négative du CMI explique la différence entre les CSE avec un CMI positif/négatif de façon précise, alors que l'hypothèse équinoxiale ne peut pas expliquer une telle différence aux équinoxes de printemps et d'automne. Ainsi, l'effet R-M avec une polarité CMI positive/négative est plus raisonnable pour expliquer la variation saisonnière et diurne de l'activité géomagnétique dans des conditions extrêmes de vent solaire.