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Une équipe de scientifiques anglo-ukrainiens ont développé un prototype de Saser. Contrairement au laser, basé sur l'amplification d'ondes lumineuses, le saser résulte d'une amplification par émission stimulée de rayonnement basé sur le son. L'équivalent sonore des photons, baptisés phonons, sont des rayons de nanovibrations à une fréquence très élevée de l'ordre de mille milliards de cycles par seconde. Télécoms, informatique, imagerie médicale, les applications du saser font déjà rêver. En générant des ondes sonores à des fréquences exceptionnelles, le rayon saser permettrait de visualiser la matière à l'échelle atomique et en trois dimensions un peu à la manière des ultrasons qui sondent l'intérieur des métaux. On peut aussi imaginer des dispositifs de contrôle de composants électroniques, des commutateurs optiques à hautes fréquences pour les télécoms et l'informatique. Le chercheur Anthony Kent, qui a réussi à concentrer un faisceau saser, imagine que son invention permettrait de créer des rayons T, plus efficaces que les rayons X et inoffensifs pour l'homme. Ceux-ci joueront un rôle capital dans l'imagerie médicale, explique le magazine Science & Vie. Mais les sources actuelles restent trop coûteuses et très encombrantes.
Ils sont deux jurés à avoir falsifié des bulletins lors du dépouillement, le 2 avril 2023, à Uni Mail. De quoi modifier près de 35'000 suffrages! Précisons-le d'emblée: cela n'a eu aucun impact sur le résultat des élections cantonales genevoises (lire l'encadré). Pour cause: le pot aux roses a été découvert.
Mais, ce n'est pas tout. L'enquête révèle aussi qu'après les faits, le quadragénaire a contacté des marabouts pour se «protéger» et «attacher mystiquement» la cheffe de la salle où il avait officié. «Trois chèvres ont été sacrifiées, son poids en riz a servi d'offrande.» Sans compter un message vocal de la mère du prévenu adressé à l'un de ces «mages» dans lequel elle indique que «comme il n'aimait pas le candidat sortant qui est réputé méchant, il a volontairement manipulé les suffrages pour augmenter la note de son candidat favori».
Il y a trois à quatre loups isolés qui rôdent dans le canton en ce moment, selon les autorités neuchâteloises. Le tir d’un mâle le 6 octobre ne suffira donc probablement pas à mettre fin aux attaques contre le bétail. Le Canton fait état ce lundi d’une brebis tuée dans la nuit du 5 au 6 octobre, à Chaumont. Trois moutons ont connu le même sort au Val-de-Ruz, entre le 11 et le 12 octobre 2023.
16.10.23
Un étrange cercle lumineux a survolé le ciel alémanique
Plusieurs témoins ont signalé de mystérieuses lumières au-dessus du lac de Zurich mais aussi à Schaffhouse et en Thurgovie. Personne ne sait de quoi il s’agit. Un ovni?
Apocalypse dans les Montagnes neuchâteloises: Dans les mémoires, «il y avait eu 1926, il y aura désormais 2023»
Plus de 1180 appels à la police, une personne décédée, une quarantaine de blessés et cinq immeubles évacués, c’est le dramatique bilan de la tempête éclair qui a ravagé la région de La Chaux-de-Fonds.
Pour lui, le doute n’est pas permis. De ce qu’il a pu voir en comparant les marges brutes sur des produits agricoles bio comparées à celles sur les mêmes produits non-bio, la marge était plus profitable pour le bio «quatre fois sur cinq», note-t-il, taclant au passage le «manque de coopération» des entreprises.
Monsieur Prix leur a fait une proposition: puisque les consommateurs disent être prêts à acheter du bio si le prix est plus élevé de 10 à 30% par rapport à son équivalent conventionnel, l’idée aurait été de ne pas gonfler les marges sur le bio si le prix du produit est de plus de 20% supérieur à celui du produit non-bio. «Malheureusement, ces entreprises n’ont pas souhaité prendre un tel engagement, qui les aurait contraintes à réduire leurs prix», constate-t-il.
Alors que certaines régions de Suisse avaient vécu un véritable baby-boom en 2021, les naissances ont chuté de manière spectaculaire au premier trimestre. En Suisse, 5526 nouveau-nés de moins ont en effet été enregistrés entre janvier et mai par rapport à l’année dernière. Ce qui équivaut à un recul des naissances d’environ 15,1% selon l’OFS.
Des chiffres encore provisoires et qui devraient augmenter, selon l’expérience de l’Office fédéral de la statistique qui a confirmé ces chiffres auprès de 20 Minuten. Néanmoins cette baisse est similaire à ce que vivent d’autres pays en Europe, à l’image de l’Allemagne, l’Autriche, la Grande-Bretagne et les Pays-Bas.
Alors que se passe-t-il? Si l’on en croit un économiste et corona-sceptique lucernois, Konstantin Beck, cité notamment par la «Weltwoche» et les milieux antivax, cette baisse de fertilité serait à mettre sur le compte de la vaccination. Une thèse toutefois peu plausible, selon plusieurs études. Toutes ont démontré que le vaccin anti-Covid n’influait en rien sur la fertilité, qu’elle soit masculine ou féminine.
Juste un décalage
L’explication aurait quand même un lien avec la pandémie. «Durant l’hiver 2020/2021, les gens étaient souvent à la maison en raison des restrictions. Ce qui a poussé à procréer les couples qui désiraient un enfant, mais plus tard», explique Susanne Grylka, directrice adjointe de la recherche à l’Institut des sages-femmes de l’Université des sciences appliquées de Zurich (ZHAW). Du coup, ces couples ont eu un ou des bébés courant 2021. Et ils n’ont pas procréé à nouveau depuis.
Plus les enfants passent du temps en garderie, plus ils deviennent agressifs et présentent des symptômes de trouble du déficit de l’attention, selon une étude zurichoise.
Aujourd’hui, plus de 70% des enfants de 0 à 3 ans sont gardés, soit par des membres de la famille, soit dans des crèches. Mais si plusieurs études sur les effets à court terme d’une garde externe ont révélé des effets positifs sur le comportement et les résultats scolaires des enfants, peu de chercheurs se sont penchés sur les effets à long terme. C’est ce que viennent de faire des scientifiques du Jacobs Center de l’Université de Zurich. Et les résultats de cette première étude suisse sont surprenants, selon la NZZ am Sonntag.
En effet, les chercheurs ont analysé le comportement social, la délinquance et la consommation de drogue d’environ 1300 enfants et adolescents de la ville de Zurich âgés de 7 à 20 ans. Et ils ont mis en relation ces données avec la manière dont les parents les gardaient quand ils étaient tout petits. Résultat: plus les enfants avaient passé de temps en crèche, plus ils avaient tendance à avoir des comportements agressifs et plus les symptômes du TDAH (trouble du déficit de l’attention avec/ou sans hyperactivité) apparaissaient. L’anxiété et la dépression étaient également plus élevées.
Lausanne (Suisse) : Une assistante sociale cocaïnomane et son copain ont tabassé un réfugié pris pour le dealer qui avait violé la femme mais l’homme agressé serait un homo ayant des dysfonctionnements érectiles
Pour le Dr Alessandro Diana, vaccinologue et expert à Infovac, les études scientifiques démontrent qu’un changement de paradigme est pourtant nécessaire. «Les données du Centers for Disease Control and Prevention (CDC) sont claires: l'immunité naturelle contre SARS-CoV-2 confère une excellente protection contre les hospitalisations et les décès!» écrivait-il vendredi dans sa newsletter. Dès lors, «un discours unique pour la vaccination n’a plus lieu d’être». Il prône une approche au cas par cas. Il nous explique pourquoi.
Omicron, c’est le vaccin que nous avons échoué à faire
Plusieurs jeunes femmes ont constaté des changements au niveau de leur cycle menstruel après s’être fait injecter le vaccin contre le coronavirus. Des experts expliquent pourquoi.
Publié26 septembre 2021, 11:19
Coronavirus: Des retraités vaccinés meurent dans des EMS
Des flambées de coronavirus ont été signalés dans des maisons de retraite, bien que les personnes touchées aient été vaccinées deux fois. Il y a déjà des morts à déplorer. Les cantons envisagent maintenant la troisième vaccination.
La maladie était sous contrôle pendant huit mois. Après que la quasi-totalité des 56 résidents de l’EMS Sankt Nikolaus dans le Haut-Valais ont été vaccinés deux fois le 27 janvier, il n'y a plus eu d'épidémie de coronavirus, écrit la «NZZ am Sonntag». Maintenant, le virus a trouvé un moyen de revenir. Début septembre, huit résidents ont contracté la maladie les uns après les autres. Aujourd'hui, quatre d'entre eux sont morts. Quatre employés, vaccinés deux fois en janvier, ont également été contaminés. Pour le directeur Stefan Fux, il est clair que la vaccination a perdu de son efficacité entre-temps. Un scénario similaire se dessine au centre de soins Embrach dans le canton de Zurich: malgré la vaccination, sept résidents ont été infectés, et deux d'entre eux sont décédés. Des clusters ont également été signalés près de Winterthur, de Zermatt, et en Argovie.
Tomber malade malgré la vaccination est chose rare, avec seulement 2055 cas annoncés par la Confédération depuis janvier. Cependant, les autorités estiment que le nombre de cas augmente. Au cours de la seule semaine dernière, 210 cas ont été signalées à l'Office fédéral de la santé publique (OFSP).
Une troisième vaccination n’est toutefois pas à l’ordre du jour. Mais Michael Jordi, secrétaire général de la Conférence des directrices et directeurs cantonaux de la santé (CDS), confirme que les cantons s’y préparent déjà en coulisses. La troisième dose des vaccins contre le Covid-19 n'est actuellement approuvée en Suisse que pour le groupe relativement restreint de personnes immunodéprimées.
Deuxième essai pour un revenu de base universel
Rejetée en 2016 par le peuple, l’idée continue de faire son chemin. Alors que des tests sont lancés un peu partout dans le monde, une nouvelle initiative pourrait être soumise aux citoyens.
La crise du coronavirus a boosté l’idée de la création d’un revenu de base inconditionnel dans le monde entier. Début avril, le «Courrier International» y consacrait un dossier spécial, relatant les tests effectués ou planifiés à l’échelle mondiale (lire ci-dessous). En Suisse, le peuple avait été appelé à se prononcer, en 2016, sur la création d’un tel revenu, qui prévoyait que chaque résident reçoive chaque mois 2500 francs, peu importe qu’il ou elle travaille ou non. Le peuple avait dit non à 76,9%.
Après être devenu le porte-parole du référendum contre l’app de traçage SwissCovid lancée le 30 juin, François de Siebenthal veut aller plus loin. Le 20 septembre, le politicien indépendant vaudois, entouré de plusieurs individus proches du comité référendaire, entend lancer une nouvelle initiative. Comme le rapporte «CH Media», cette dernière prévoit une révision totale de la Constitution suisse.
En plus de la suppression des mesures sanitaires liées à la crise du coronavirus, les initiants veulent instaurer un revenu de base inconditionnel pour tous les Suisses. Tous les impôts et taxes devraient être supprimés. Et un prélèvement de un pour mille devrait être instauré pour toutes les transactions scripturales, dont celles qui ne se font pas en espèces.
De plus, la Banque nationale suisse devrait être donnée au peuple. François de Siebenthal accuse en effet la BNS de garder pour elle l’argent de la Confédération, des cantons et des citoyens: «Elle a maintenant amassé environ 1000 milliards de francs et devrait distribuer les deux tiers de ses bénéfices aux cantons et un tiers à la Confédération. Mais elle ne le fait pas», explique le Vaudois.
Le CF serait réélu
Si l’initiative est acceptée, tout le Parlement devrait en outre démissionner dans les deux ans et de nouvelles élections seraient organisées. Le Conseil fédéral serait également entièrement réélu. Le politicien indépendant se montre très remonté contre le CF et la gestion de la crise: «Il a utilisé une loi d’urgence pour organiser un coup d’Etat». Il faut à présent regagner nos libertés, estime François de Siebenthal.
L’économiste de 65 ans s’est présenté deux fois au Conseil d’Etat vaudois, sans succès. Il se dit en faveur d’un Etat providence pleinement développé et n’est affilié à aucun parti politique. «Le schéma gauche-droite est un piège. Je suis au-dessus de ce clivage».