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Réflexion intéressante sur radio libre:
Est-ce que le conseiller fédéral Alain Berset subit des pressions de l'extérieur ? (sexe ?) Pendant la crise covid il était en lien direct avec les médias de Ringier, semble-t-il pour faire sortir dans le presse les nouvelles mesures anti-covid, avant que ce ne soit discuté au conseil fédéral.
A méditer..
Voici le texte repris de radiolibre.ch:
La Suisse a probablement trouvé son petit Machiavel.
Alain Berset fût très zélé comme chef d’orchestre de la crise Covid, avec apparemment des paquets de mesures stricts sorti d’on ne sait pas bien où et qu’il a su imposer à ses autres collègues du Conseil fédéral.
Mais comment s’y prenait-il ? C’est un article de Covidhub.ch, intitulé « Covidleaks: président suisse sous enquête parlementaire » qui en parle, se basant sur des articles parus dans la presse alémanique. Presse alémanique qui fait passer la presse romande pour une muette lorsqu’il s’agit de parler des frasques de Berset.
Parce qu’ici en Romandie, on aime avoir des chouchous, et Berset en est un pour la presse. De plus en Romandie, on a un peu la mentalité centralisée française, on obéit, c’est ce qu’on sait faire de mieux quand même, pourquoi s’en priver, ce qui compte, c’est sauver les apparences. Pour le sourire de Berset.. sourire qui se fait de plus en plus rare il faut dire. Et à raison.
Selon la presse alémanique, un collaborateur d’un autre Conseiller fédéral aurait dit que si l’affaire des fuites d’informations vers le groupe de presse Ringier pendant le Covid avait été connue avant l’élection de Berset comme président de la Confédération, il n’aurait pas été élu. On se rappelle qu’une centaine de députés sur les 242 que compte le parlement n’ont pas soutenu la nomination de Berset à la présidence du pays. Un camouflet pour celui que certains adulent, mais qui cumule les faux-pas depuis plusieurs années.
Que c’est-il passé de si grave me direz-vous? Et bien premier constat, de mars à novembre 2020, le collaborateur le plus proche de Berset, Peter Lauener, son chef de la communication pendant 10 ans, qui a étrangement quitté son poste juste avant d’être mis en examen par un procureur spécial dans le cadre d’une autre affaire de fuite, et bien ce cher collaborateur, qui accompagnait Berset partout, a informé avant tout le monde le chef du groupe de presse Ringier, Marc Walder, des propositions de mesures de Berset.
Le chef de presse était donc informé avant même les collègues de Berset au Conseil fédéral, brisant ainsi la collégialité. Et pourquoi Lauener faisait-il ça? Et bien certains médias alémaniques pensent que c’était pour faire pression sur le reste du Conseil fédéral pour qu’ils acceptent les paquets de mesures stricts proposées Berset. Et c’est là que c’est machiavélique. Berset, via Lauener, informait son ami Marc Walder de ses projets de nouvelles mesures la veille, pour que le jour où le Conseil fédéral se réunissait pour négocier et voter les mesures de Berset, il y avait déjà des articles dans la presse à leur sujet, parlant favorablement de ces nouvelles propositions.
Du coup, les Conseillers fédéraux qui était pour des mesures moins sévères étaient pris en otage et devait s’aligner, pour éviter que l’opinion publique n’ait l’impression que le Conseil fédéral change d’avis comme une girouette sur un sujet aussi important. Si on annonce dans la presse que le Conseil fédéral va imposer le port du masque dans les transports publics par exemple, si le lendemain on doit lire l’inverse dans la presse, ça donne mauvais genre.
Mais vous me direz, comment est-on certain que Berset avait besoin de ça pour faire passer ses mesures? Et bien la réponse se trouve dans un des e-mails de Lauener à Ringier. On y apprend je cite qu’*obtenir une majorité au Conseil fédéral n’est guère réaliste pour le moment ». Sous-entendu, sans un petit coup de pouce du groupe Ringier?
Et comment on peut dire que Berset était au courant ? Idem, email de Lauener à Walder, qui transmet ses « Salutations amicales, aussi du conseiller fédéral Berset ». Berset fait semblant maintenant de ne pas avoir été au courant de ces échanges mais les connaisseurs des coulisses du pouvoir à Berne ne croient pas une seconde à ses propos. Walder et Berset sont de plus considérés comme des amis de longue date.
Walder avait été épinglé dans une vidéo censée restée en cercle restreint en train d’avouer qu’il avait donné comme instruction à ses rédactions, de soutenir la politique Covid des gouvernements. Ringier emploie plus de 6000 personnes en Suisse et à l’étranger. Marc Walder justement, en janvier 2023, vient d’être démis de ses fonctions à cause de cette affaire d’échanges d’email avec Lauener. Ce sont apparemment les journalistes du groupe Ringier qui ont fait pression pour regagner leur indépendance rédactionnelle vis-à-vis de la direction. C’est une décision forte vu que Walder est également en partie propriétaire du groupe et est un ami de Michael Ringier. Affaire à suivre.
Quand au parlement, il réagit enfin, avec la création d’un groupe de travail chargé d’enquêter sur ces fuites impliquant Lauener et très certainement Berset. Berset, cet homme mystérieux, partant seul en France en avion de tourisme, où en soirée échangiste avec sa maitresse de l’époque, en voiture de fonction, avec chauffeur payé par nos impôts, maîtresse qui recevra plus tard la visite de l’unité de police d’élite Tigris, pour une simple affaire privée. Il aura ensuite placé à la tête de Swissmedic son ami qui a mené la Task force mise sur pied pour gérer cette affaire. Entre autres frasques et mensonges, dont celui sur l’efficacité du vaccin, la vie de Berset ressemble à celle d’un agent secret. On le voit au dernier forum économique mondial à Davos en photo avec Mme Zelensky, Mme Ursula von der Leyen et le vénérable maître du nouvel ordre élitiste mondial, Klaus Schwab. Est-il sous influence ? Est-ce que quelqu’un fait pression sur lui avec du matériel issu de ces fameuses soirées échangistes ? La question mérite d’être posée dans un monde qui a déjà connu pire scandale dans les hautes sphères du pouvoir.
VOTATION Le ministre de la Santé, Alain Berset, entre en campagne pour la loi Covid-19. Il souligne l'importance de sortir de la pandémie « de manière ordonnée » . L'attestation de vaccination ou de guérison ne servira plus qu'aux voyageurs en ayant besoin à l'étranger
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Pour la troisième fois en deux ans, le peuple est appelé à se prononcer sur la loi Covid-19. Le 13 juin et le 28 novembre 2021, il avait approuvé à une majorité de plus de 60% une loi dont les enjeux étaient des soutiens financiers et la légitimité du certificat covid. Aujourd'hui, cette loi n'est prolongée jusqu'en juin 2024 que pour le développement de nouveaux médicaments et le maintien du certificat covid pour les Suisses qui en auraient besoin à l'étranger. Mais les référendaires, qui ont toujours dénoncé la « société à deux vitesses » qu'avait créée ce certificat, jugent qu'il est grand temps d'abroger cette loi.
Le 5 mai dernier, le directeur de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a décrété la fin de l'urgence sanitaire concernant la pandémie de covid. Ne serait-il pas temps d'abroger aussi la loi Covid-19?
Non, ce serait une erreur. N'oublions pas ce qu'a immédiatement ajouté le directeur de l'OMS, je le cite: « La pire chose qu'un pays puisse faire maintenant serait d'utiliser cette nouvelle pour baisser sa garde et démanteler les systèmes qu'il a construits. » Dès le début de la pandémie, il a été reproché aux autorités de ne pas avoir été bien préparées et d'avoir agi dans l'urgence, en recourant notamment au droit de nécessité. Aussi, la moindre des choses est aujourd'hui de rester vigilant, et de sortir de manière propre et ordonnée de cette pandémie. La votation porte sur une prolongation de la loi jusqu'en juin 2024, puis ce sera terminé.
Si 60% des votants ont dit oui lors des deux premières votations, c'est parce que la loi comprenait des mesures financières de soutien, puis soulignait l'importance de la vaccination. Le contexte n'est-il pas totalement différent avec ce retour à la normalité?
C'est bien la raison pour laquelle le contenu de la loi a lui aussi complètement changé. On nous a plusieurs fois reproché de ne pas en avoir assez fait pour les personnes atteintes d'un covid long. Avec l'appui du parlement, nous avons donc lancé un programme de recherche spécifique, qui a abouti au développement de deux médicaments très prometteurs. En cas de rejet le 18 juin, le processus serait interrompu, au détriment des personnes qui attendent ces traitements.
N'êtes-vous pas là à la solde du lobby pharmaceutique?
Ce reproche est ridicule. C'est bien le contraire qui est vrai! En mars dernier, c'est le parlement qui nous a demandé de soutenir le développement de ces médicaments. L'un concerne les personnes atteintes d'un covid long et l'autre les patients vulnérables qui ont des parcours difficiles dans la maladie.
La loi maintient le certificat covid alors que celui-ci a profondément divisé la société. Pourquoi?
Que les choses soient claires: je ne vois aucune raison pour laquelle, en Suisse, le certificat pourrait être réintroduit.
Sûr? Oui, c'est terminé! Si nous devons maintenir cette base légale, c'est uniquement pour permettre les voyages dans les pays qui l'exigent encore. Cela peut être le cas pour passer la frontière, parfois pour accéder à une conférence ou à un événement particulier. Actuellement, en Suisse, plus de 20 000 personnes par mois se font encore délivrer un certificat. C'est beaucoup.
Les Etats-Unis et le Japon ont levé ce genre de restrictions. Quels pays les exigent encore?
On peut actuellement citer le Brésil et l'Indonésie, mais cette liste évolue chaque semaine. L'essentiel est pourtant ailleurs: dans tous les cas, nous n'avons aucune influence sur les décisions prises par d'autres pays en cas de rebond de la pandémie. Il s'agit donc d'un service que l'on doit pouvoir continuer d'offrir à la population. Et comme l'infrastructure est en place, utilisons-la!
Les référendaires craignent tous le retour d'une Suisse à deux vitesses. Quel message leur adressez-vous?
Cette inquiétude est infondée, il s'agissait plutôt d'un prétexte pour lancer un nouveau référendum. N'oublions pas que les mesures pour lutter contre la pandémie sont réglées par la loi sur les épidémies, et non pas dans la loi covid sur laquelle nous votons le 18 juin.
C'est la troisième fois que nous votons sur la même loi en deux ans. Est-ce un déni de démocratie de la part des référendaires?
Pas du tout. Le référendum est un droit populaire, et c'est très bien ainsi. Il faut aussi reconnaître qu'au fur et à mesure de l'évolution de la pandémie, de nombreuses adaptations ont été apportées à cette loi, afin de répondre au mieux aux besoins du pays. Les conditions ont donc beaucoup changé. Au début, il s'est agi avant tout d'indemniser les entreprises et les indépendants touchés de plein fouet par la crise. Ensuite, il a fallu donner une base légale au certificat. Aujourd'hui, la loi covid est avant tout un outil de prévention. Elle ne contient plus que quelques dispositions et plus aucune mesure contraignante.
La Suisse serait-elle aujourd'hui mieux préparée face à une nouvelle pandémie qu'elle ne l'a été en janvier 2020?
Cette question n'est pas liée à la votation, mais j'y réponds volontiers. Oui, je suis persuadé que nous avons beaucoup appris. Nous disposons désormais toutes et tous d'une grande expérience: les institutions fédérales, les cantons, les communes, les entreprises, les individus aussi. Nous saurions identifier les problèmes et réagir beaucoup plus rapidement. Et puis, sur la base de toutes les études réalisées jusqu'ici, la loi sur les épidémies va être retravaillée. Les enjeux sont multiples et concernent des questions comme le développement des nouveaux médicaments ou la protection particulière des personnes les plus vulnérables. C'est un débat qui va beaucoup nous occuper ces prochaines années.
La Neue Zürcher Zeitung apporte plusieurs preuves que Berset et son Office fédéral de la santé publique (OFSP) ont menti à la population. C’est d’autant plus grave que cela n’a pas seulement légitimé le marché de plusieurs millions pour un vaccin dont l’efficacité est limitée, contrairement aux déclarations officielles, mais aussi des restrictions radicales des droits fondamentaux comme l’obligation de certificat. Ainsi, Berset a encore déclaré le 27 octobre 2021 à la télévision suisse : « Avec le certificat, on peut montrer qu’on n’est pas contagieux ». Il s’agit selon lui de « la sortie de la crise ».
L’OFSP, responsable de la vaccination, est lui aussi pris en flagrant délit de mensonge : « La vaccination protège contre le risque de contracter le coronavirus et de le transmettre à d’autres personnes », laissait-il également entendre il y a un an « sans si ni mais » (NZZ).
Les responsables savaient que l’efficacité n’était pas assurée
Pourtant, les responsables savaient dès le départ que ce n’était pas le cas. Dans la « stratégie de vaccination Covid-19 » du Département fédéral de l’intérieur (DFI) de Berset du 16 décembre 2020, on peut lire au point 12 (« Points ouverts ayant une influence sur la stratégie de vaccination ») : « Manque de données sur l’efficacité de la vaccination (ou peut-être de certains vaccins) en termes de réduction de la contagiosité/transmission ».
Les milliards de bénéfices réalisés par les entreprises pharmaceutiques sont compensés par des coûts encore plus élevés pour les contribuables.
Cela n’a pas été mieux démontré par la suite, au contraire : plus la campagne de vaccination a duré, plus il est devenu évident que le vaccin Covid n’est pas un vaccin, mais tout au plus une thérapie sous forme d’injection avec des effets secondaires connus et inconnus.
Un mensonge officiel devenu le moteur de l’exclusion et de la stigmatisation
Contrairement à ces faits avérés, le mensonge officiel sur la vaccination est devenu la base et le moteur d’une exclusion et d’une diffamation sans précédent de tous ceux qui ne se soumettaient pas à la pression de la vaccination. Les personnes non vaccinées ont été désignées comme boucs émissaires et diffamées en tant que compagnons peu solidaires, voire asociaux, et exclues de la vie sociale en tant que prétendue menace et danger mortel pour leurs semblables. Des responsables politiques comme le ministre allemand de la Santé, Jens Spahn, ont parlé d’une « pandémie des non vaccinés ».
En Suisse, la directrice de l’OFSP Anne Lévy a alimenté la campagne contre les sceptiques avec des déclarations telles que : « Je n’ai aucune compréhension pour les personnes non vaccinées » (Sonntagsblick, 12. 12. 2021). Pourtant, ce même OFSP, en la personne de Virginie Masserey, responsable de la section Contrôle des infections et programmes de vaccination, avait déjà admis le 3 août 2021 : « Les personnes vaccinées avec le Covid-19 peuvent propager le coronavirus aussi souvent que les personnes non vaccinées ».
Avec l’appui de groupes médias
Mais l’Etat n’était pas le seul à affabuler et à divaguer à en faire craquer les poutres, des groupes de médias comme Ringier ont également bâti leur modèle d’affaires journalistique et relationnel sur le mensonge de la vaccination. « Les anti-vaccins font cause commune avec le virus », affirmait le rédacteur en chef du Sonntagsblick Gieri Cavelty, tandis que son entreprise de médias faisait cause commune avec le conseiller fédéral Berset (comme le prouve la vidéo du CEO de Ringier Marc Walder que j’ai révélée dans Nebelspalter).
Le conseiller fédéral Alain Berset testé positif au coronavirus
Berne, 09.03.2022 - -
Le conseiller fédéral Alain Berset a été testé positif au coronavirus mercredi après-midi, après avoir ressenti de légers symptômes. Le chef du Département fédéral de l’intérieur s’est mis en isolement et poursuivra son travail à domicile. Il participera virtuellement à la séance du Conseil fédéral de vendredi. M. Berset a annulé sa participation à toutes les manifestations prévues ces prochains jours, notamment à la session de la Commission de la condition de la femme (CSW), qui se tiendra à New York.
extrait des demandes:
Par cette lettre, je vous demande de reconsidérer urgemment les points suivants en regard des connaissances scientifiques énoncées ci-dessus afin de redéfinir avec vos partenaires une vraie politique sanitaire visant à une sortie de crise rapide dans le respect de nos valeurs démocratiques :
• Définir une utilisation appropriée des vaccins actuellement sur le marché en Suisse, dans le respect du choix de chaque citoyen.
• Évaluer la balance bénéfice/risque de ces vaccins pour chaque tranche d’âge par des experts indépendants et en informer le public.
• Considérer l’achat de vaccins traditionnels conférant une immunité plus large que celle basée sur l’unique protéine spike.
• Réviser la stratégie consistant en l’absence de soin avant l’hospitalisation, survenant souvent plus de 10 jours après le début des symptômes.
• Mettre en place des lignes directrices de traitements précoces pour les médecins généralistes afin de lutter contre l’engorgement des hôpitaux.
• Mettre en place des mesures de prévention pharmaceutique complémentaires aux vaccins, potentiellement utile pour les cas contacts ou lors de forte circulation virale.
• Informer le public des options pharmaceutiques complémentaires à la vaccination.
• Sécuriser les lieux à hauts risques de contamination.
• Mettre en place une politique sanitaire protégeant les personnes à risque.
• Abandonner les mesures sociales expérimentales discriminatoires.
• Donner les moyens aux hôpitaux de pouvoir s’adapter face à un éventuel afflux de patients en cas de nouvelle vague épidémique en automne 2022.
"C'est comme si on avait tous les matins un crash d'un bus dans un ravin, tout le monde à l'hôpital, un tiers aux soins intensifs, 7 morts".
Alain Berset
@alain_berset
Echange avec la @GDK_CDS
sur l’extension du certificat et la manière d’encourager davantage de personnes non vaccinées, en particulier les jeunes adultes et les personnes vulnérables, à se faire vacciner. Objectif: éviter une surcharge des hôpitaux. #CoronaInfoCH
Alain Berset
@alain_berset
·
8 oct.
Le #référendum contre l’app #SwissCovid du
@BAG_OFSP_UFSP
n’a pas abouti. L’application de traçage est utile pour interrompre les chaînes d’infection et freiner la diffusion du virus 📲 Elle a déjà été téléchargée près de 2,5 millions de fois. #CoronaInfoCH