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Coup d'État contre Chavez (Chavez: Inside the Coup ou The Revolution Will Not Be Televised)
Le coup d'État du 11 avril 2002 au Venezuela désigne une tentative avortée de destitution forcée du président du Venezuela Hugo Chávez, qui fut détenu et empêché d’exercer son pouvoir pendant 47 heures.
Durant cette période, le pouvoir fut exercé par Pedro Carmona.
Une combinaison de force militaire et de manifestations populaires fit avorter le coup d’État et permit de remettre en place Hugo Chávez.
Des secteurs importants des forces armées et certains secteurs de l'opposition anti-Chávez ont refusé de soutenir le coup de Carmona, qui fut par ailleurs condamné par les gouvernements latino-américains lors du XVIe sommet du Groupe de Rio, réuni au Costa Rica, et par différentes organisations internationales.
Les États-Unis et l'Espagne ont rapidement reconnu le gouvernement de facto de Carmona, mais ont également fini par condamner le coup une fois que celui-ci eut échoué.
Le coup avait été planifié durant six à neuf mois, et a été exécuté après l'entrée en vigueur d'une série de lois controversées en novembre 2001 et après que le gouvernement eut tenté de renforcer son contrôle sur la compagnie pétrolière de l'État vénézuélien, PDVSA.
Le "Gateway Process" est un programme d'entraînement développé dans les années 1970 par l'Institut Monroe, un organisme de recherche privé spécialisé dans l'étude des états modifiés de conscience. Il a fait l'objet d'un rapport secret de la CIA en 1983, intitulé "Analysis and Assessment of The Gateway Process".[1][2]
Objectifs du Gateway Process
Le but du Gateway Process était d'améliorer la concentration, augmenter la fréquence des ondes cérébrales et modifier la conscience afin de la faire "échapper aux limites du temps et de l'espace".[1] Il visait à développer des capacités paranormales comme la vision à distance (remote viewing), la précognition et la psychokinèse (action de l'esprit sur la matière).[2]
Techniques utilisées
Le Gateway Process combinait différentes techniques comme l'hypnose, la méditation transcendantale, le biofeedback et des exercices d'hémisphères cérébraux pour atteindre des états modifiés de conscience.[1][2] Il s'appuyait notamment sur la synchronisation des hémisphères gauche et droit du cerveau.
Évaluation de la CIA
Dans son rapport, le lieutenant-colonel Wayne M. McDonnell a analysé en détail le Gateway Process, citant des concepts de physique quantique, de religions orientales et de philosophies ésotériques.[1] Bien que sceptique sur certains aspects, il a conclu que ce processus pourrait fournir un moyen efficace d'élargir la conscience à des fins de défense nationale.[1]
La CIA a recruté des personnes douées pour tester le Gateway Process dans les années 1980, dans le cadre de son programme secret de vision à distance appelé "Stargate Project".[2][3] Cependant, ce programme a été dissous en 1995 faute de résultats concluants selon la communauté scientifique.[3]
Citations:
[1] https://www.vice.com/fr/article/7k9qag/comment-echapper-aux-limites-du-temps-et-de-lespace-selon-la-cia
[2] https://www.parismatch.com/Actu/Insolite/Quand-TikTok-decouvre-un-rapport-secret-de-la-CIA-1725453
[3] https://fr.wikipedia.org/wiki/Vision_%C3%A0_distance
[4] https://documents2.theblackvault.com/documents/cia/CIA-RDP96-00788R001700210016-5.pdf
[5] https://www.popularmechanics.com/science/a43418400/cia-gateway-process-explained/
Depuis «Les chèvres du Pentagone », on sait qu’une plongée dans les archives déclassifiées de la CIA ressemblent parfois à la visite d’un salon du paranormal. Cette fois, c’est une utilisatrice de Tik Tok qui a redécouvert un rapport secret datant de 1983, disponible sur le site de la CIA , et intitulé «Analysis and Assessment of The Gateway Process».
Ce rapport fascinant est en réalité déclassifié depuis 2003. Mais sa redécouverte par la TikTokeuse @abby_careyyy et ses plus de 500 000 abonnés lui a offert une visibilité inédite. Et, depuis quelques semaines, les vidéos expliquant comment s’initier aux techniques du Gateway fleurissent, notamment en utilisant les enregistrement d’ondes sonores éditées par l’institut Monroe, censées faciliter les expériences extracorporelles.
https://www.cia.gov/readingroom/docs/CIA-RDP96-00788R001700210016-5.pdf
Les activités de la CIA et du FBI sur Wikipédia ont été rendues publiques pour la première fois par un étudiant en programmation nommé Virgil Griffith ℹ️ en 2007. M. Griffith a mis au point un programme appelé WikiScanner ℹ️, qui permet de localiser les ordinateurs utilisés pour modifier les articles de Wikipédia. Il a découvert que la CIA, le FBI et un grand nombre de grandes entreprises et d’agences gouvernementales nettoyaient l’encyclopédie en ligne de toute information compromettante.
William Colby ℹ️
Les ordinateurs de la CIA ont été utilisés pour supprimer le nombre de victimes de la guerre en Irak, tandis qu’une machine du FBI a été utilisée pour supprimer les images aériennes et satellitaires de la prison américaine de Guantanamo Bay ℹ️, à Cuba. Les ordinateurs de la CIA ont été utilisés pour modifier des centaines d’articles, notamment sur le président iranien de l’époque, Mahmoud Ahmadinejad ℹ️, le programme nucléaire chinois et la marine argentine.
Certaines modifications étaient plus mesquines, l’ancien chef de la CIA William Colby ℹ️ ayant apparemment modifié sa propre entrée pour allonger la liste de ses réalisations.
“Les agences de renseignement paient les personnes les plus influentes pour qu’elles fassent avancer leurs programmes, avec lesquels elles sont déjà en grande partie en phase, ou bien elles développent leurs propres talents au sein de la communauté [du renseignement], apprennent le jeu de Wikipédia et font ensuite avancer ce qu’elles veulent dire auprès de leurs propres collaborateurs”, a déclaré M. Sanger à M. Greenwald.
“Une grande partie du renseignement et de la guerre de l’information est menée en ligne”, a-t-il poursuivi, “sur des sites web comme Wikipédia”.
The U.S. Intelligence Community (USIC) is confident that the Russian Government directed the recent compromises of e-mails from US persons and institutions, including from US political organizations. The recent disclosures of alleged hacked e-mails on sites like DCLeaks.com and WikiLeaks and by the Guccifer 2.0 online persona are consistent with the methods and motivations of Russian-directed efforts.
Some states have also recently seen scanning and probing of their election-related systems, which in most cases originated from servers operated by a Russian company. However, we are not now in a position to attribute this activity to the Russian Government. The USIC and the Department of Homeland Security (DHS) assess that it would be extremely difficult for someone, including a nation-state actor, to alter actual ballot counts or election results by cyber attack or intrusion. This assessment is based on the decentralized nature of our election system in this country and the number of protections state and local election officials have in place. States ensure that voting machines are not connected to the Internet, and there are numerous checks and balances as well as extensive oversight at multiple levels built into our election process.