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VOTATION Le ministre de la Santé, Alain Berset, entre en campagne pour la loi Covid-19. Il souligne l'importance de sortir de la pandémie « de manière ordonnée » . L'attestation de vaccination ou de guérison ne servira plus qu'aux voyageurs en ayant besoin à l'étranger
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Pour la troisième fois en deux ans, le peuple est appelé à se prononcer sur la loi Covid-19. Le 13 juin et le 28 novembre 2021, il avait approuvé à une majorité de plus de 60% une loi dont les enjeux étaient des soutiens financiers et la légitimité du certificat covid. Aujourd'hui, cette loi n'est prolongée jusqu'en juin 2024 que pour le développement de nouveaux médicaments et le maintien du certificat covid pour les Suisses qui en auraient besoin à l'étranger. Mais les référendaires, qui ont toujours dénoncé la « société à deux vitesses » qu'avait créée ce certificat, jugent qu'il est grand temps d'abroger cette loi.
Le 5 mai dernier, le directeur de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a décrété la fin de l'urgence sanitaire concernant la pandémie de covid. Ne serait-il pas temps d'abroger aussi la loi Covid-19?
Non, ce serait une erreur. N'oublions pas ce qu'a immédiatement ajouté le directeur de l'OMS, je le cite: « La pire chose qu'un pays puisse faire maintenant serait d'utiliser cette nouvelle pour baisser sa garde et démanteler les systèmes qu'il a construits. » Dès le début de la pandémie, il a été reproché aux autorités de ne pas avoir été bien préparées et d'avoir agi dans l'urgence, en recourant notamment au droit de nécessité. Aussi, la moindre des choses est aujourd'hui de rester vigilant, et de sortir de manière propre et ordonnée de cette pandémie. La votation porte sur une prolongation de la loi jusqu'en juin 2024, puis ce sera terminé.
Si 60% des votants ont dit oui lors des deux premières votations, c'est parce que la loi comprenait des mesures financières de soutien, puis soulignait l'importance de la vaccination. Le contexte n'est-il pas totalement différent avec ce retour à la normalité?
C'est bien la raison pour laquelle le contenu de la loi a lui aussi complètement changé. On nous a plusieurs fois reproché de ne pas en avoir assez fait pour les personnes atteintes d'un covid long. Avec l'appui du parlement, nous avons donc lancé un programme de recherche spécifique, qui a abouti au développement de deux médicaments très prometteurs. En cas de rejet le 18 juin, le processus serait interrompu, au détriment des personnes qui attendent ces traitements.
N'êtes-vous pas là à la solde du lobby pharmaceutique?
Ce reproche est ridicule. C'est bien le contraire qui est vrai! En mars dernier, c'est le parlement qui nous a demandé de soutenir le développement de ces médicaments. L'un concerne les personnes atteintes d'un covid long et l'autre les patients vulnérables qui ont des parcours difficiles dans la maladie.
La loi maintient le certificat covid alors que celui-ci a profondément divisé la société. Pourquoi?
Que les choses soient claires: je ne vois aucune raison pour laquelle, en Suisse, le certificat pourrait être réintroduit.
Sûr? Oui, c'est terminé! Si nous devons maintenir cette base légale, c'est uniquement pour permettre les voyages dans les pays qui l'exigent encore. Cela peut être le cas pour passer la frontière, parfois pour accéder à une conférence ou à un événement particulier. Actuellement, en Suisse, plus de 20 000 personnes par mois se font encore délivrer un certificat. C'est beaucoup.
Les Etats-Unis et le Japon ont levé ce genre de restrictions. Quels pays les exigent encore?
On peut actuellement citer le Brésil et l'Indonésie, mais cette liste évolue chaque semaine. L'essentiel est pourtant ailleurs: dans tous les cas, nous n'avons aucune influence sur les décisions prises par d'autres pays en cas de rebond de la pandémie. Il s'agit donc d'un service que l'on doit pouvoir continuer d'offrir à la population. Et comme l'infrastructure est en place, utilisons-la!
Les référendaires craignent tous le retour d'une Suisse à deux vitesses. Quel message leur adressez-vous?
Cette inquiétude est infondée, il s'agissait plutôt d'un prétexte pour lancer un nouveau référendum. N'oublions pas que les mesures pour lutter contre la pandémie sont réglées par la loi sur les épidémies, et non pas dans la loi covid sur laquelle nous votons le 18 juin.
C'est la troisième fois que nous votons sur la même loi en deux ans. Est-ce un déni de démocratie de la part des référendaires?
Pas du tout. Le référendum est un droit populaire, et c'est très bien ainsi. Il faut aussi reconnaître qu'au fur et à mesure de l'évolution de la pandémie, de nombreuses adaptations ont été apportées à cette loi, afin de répondre au mieux aux besoins du pays. Les conditions ont donc beaucoup changé. Au début, il s'est agi avant tout d'indemniser les entreprises et les indépendants touchés de plein fouet par la crise. Ensuite, il a fallu donner une base légale au certificat. Aujourd'hui, la loi covid est avant tout un outil de prévention. Elle ne contient plus que quelques dispositions et plus aucune mesure contraignante.
La Suisse serait-elle aujourd'hui mieux préparée face à une nouvelle pandémie qu'elle ne l'a été en janvier 2020?
Cette question n'est pas liée à la votation, mais j'y réponds volontiers. Oui, je suis persuadé que nous avons beaucoup appris. Nous disposons désormais toutes et tous d'une grande expérience: les institutions fédérales, les cantons, les communes, les entreprises, les individus aussi. Nous saurions identifier les problèmes et réagir beaucoup plus rapidement. Et puis, sur la base de toutes les études réalisées jusqu'ici, la loi sur les épidémies va être retravaillée. Les enjeux sont multiples et concernent des questions comme le développement des nouveaux médicaments ou la protection particulière des personnes les plus vulnérables. C'est un débat qui va beaucoup nous occuper ces prochaines années.
Une déclaration d’une représentante de Pfizer au Parlement européen a été reprise pour pointer que l’entreprise avait « avoué » que le vaccin anticovid-19 « n’avait pas été testé » sur la transmission.
Mais dans sa recommandation du 24 décembre 2020, la Haute Autorité de santé (HAS) indiquait que « l’efficacité vaccinale sur la transmission virale n’[avait] pas été évaluée ».
« Que le vaccin n’ait pas été testé sur la chaîne de transmission, ce n’est pas très étonnant, relève Morgane Bomsel, immunologiste et chercheuse au CNRS. Ce sont des expériences compliquées à monter. »
Une « arnaque ». « Un aveu terrible ». Des « essais cliniques falsifiés ». Depuis le 10 octobre, les accusations pleuvent sur les réseaux sociaux contre le vaccin anticovid-19 de Pfizer et BioNTech. En cause ? Les propos tenus par Janine Small, présidente des marchés internationaux développés de l’entreprise pharmaceutique, tenus lors d’une réunion du comité spécial sur la pandémie de Covid-19 au Parlement européen le 10 octobre.
A la question : « A-t-il été considéré que le vaccin de Pfizer arrêtait le virus avant d’être commercialisé ? », elle a expliqué que « non », l’entreprise ne savait pas si le vaccin était efficace sur la chaîne de transmission avant la commercialisation. Cette déclaration a été reprise pour pointer que Pfizer avait « avoué » que le vaccin « n’avait pas été testé » sur la transmission.
« Cet aveu est important et sur le fond scandaleux, s’est indigné Virginie Joron, eurodéputée du Rassemblement national sur Sud Radio le 12 octobre. Pendant deux ans, on nous a dit que ça protégeait, ça empêchait la transmission du virus et là, on nous dit qu’ils n’ont pas testé quelque chose qui était la base de la campagne vaccinale. »
Un accident de laboratoire en Chine est probablement à l'origine du Covid-19 selon le ministère américain de l'Énergie.
Les médias relèvent toutefois que cette nouvelle analyse est publiée "avec un faible niveau de confiance".
La Chine s'est estimée "salie" par ces nouvelles accusations américaines.
L'hypothèse selon laquelle la pandémie de Covid-19 aurait fuité d'un laboratoire de Wuhan refait surface. De nouveaux éléments de renseignement révélés dimanche par le Wall Street Journal, le New York Times et CNN, auraient en effet permis au ministère américain de l'Énergie de faire basculer son analyse en faveur d'un accident de laboratoire en Chine.
Dès lundi, Pékin a vigoureusement contesté ces nouvelles accusations. "Il convient de cesser d'agiter cette théorie d'une fuite de laboratoire, d'arrêter de salir la Chine et d'arrêter de politiser la recherche des origines du virus", a affirmé le porte-parole du ministère des Affaires étrangères chinois, Mao Ning, lors d'un point de presse régulier. "Des experts de la Chine et de l'OMS, sur la base de visites sur le terrain dans des laboratoires de Wuhan et d'échanges approfondis avec des chercheurs, ont établi la conclusion, qui fait autorité, selon laquelle l'option d'une fuite d'un laboratoire est hautement improbable", a-t-il insisté.
"Aucune réponse définitive"
Les médias américains, qui citent des sources anonymes, insistent cependant sur le fait que cette nouvelle analyse est publiée "avec un faible niveau de confiance" par le ministère, qui chapeaute des laboratoires de biologie.
par le Dr Joseph Mercola
Résumé
Un nombre croissant de personnes ayant besoin de transfusions sanguines demandent du sang provenant de personnes n’ayant pas reçu de vaccin anti-COVID-19.
Le Dr Ryan Cole, pathologiste, a comparé les inconnues actuelles concernant le « sang des vaccinés » au sang contaminé par le VIH qui était utilisé pour les transfusions dans les années 1980.
Les dons dirigés et les dons autologues, ou autodons, sont des options pour recevoir du sang exempt d’ARNm, mais dans les deux cas, il faut que votre médecin soumette un formulaire d’ordre de prélèvement spécial de la Croix-Rouge.
Une campagne de don « Safe Blood » a également été mise sur pied pour mettre en relation les donneurs et les receveurs de sang qui n’ont pas été vaccinés contre le COVID-19.
La recherche de diagnostics, de vaccins et de traitements potentiels à base d'anticorps pour le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère pandémique (SRAS-CoV-2) s'est concentrée presque exclusivement sur les protéines spike (S) et nucléocapside (N). Les protéines de la membrane du coronavirus (M), ORF3a et ORF8 sont des immunogènes humoraux chez d'autres coronavirus (CoVs) mais restent largement inexplorées pour le SRAS-CoV-2. Nous utilisons ici la cartographie de microréseaux peptidiques ultradenses pour montrer que l'infection par le SRAS-CoV-2 induit des réponses anticorps robustes contre des épitopes dans l'ensemble du protéome du SRAS-CoV-2, en particulier chez M, où un épitope a permis d'obtenir une excellente précision diagnostique. Nous avons cartographié 79 épitopes des lymphocytes B dans l'ensemble du protéome du SRAS-CoV-2 et démontré que les anticorps qui se développent en réponse à l'infection par le SRAS-CoV-2 se lient à des séquences peptidiques homologues dans les 6 autres CoV humains connus. Nous confirmons également la réactivité contre 4 de nos épitopes les plus importants par un test immuno-enzymatique (ELISA). La gravité de la maladie est corrélée à une augmentation de la réactivité à 9 épitopes du CoV SRAS-2 dans S, M, N et ORF3a dans notre population. Nos résultats démontrent l'existence d'épitopes de cellules B hautement réactifs, inconnus jusqu'alors, dans l'ensemble du protéome du SRAS-CoV-2 et d'autres protéines du CoV.
De mars à décembre 2021, quelque 1400 personnes ont été hospitalisées avec un diagnostic d’effets indésirables de vaccins contre le Covid-19 en Suisse. La cause principale chez les moins de 50 ans était liée à l’appareil circulatoire.
Pour un test rapide antigénique :
Signification : Vous avez contracté le coronavirus et êtes actuellement très probablement contagieux. Vous trouverez de plus amples informations sur la page Voici comment nous protéger.
Certificat COVID : Si vous avez contracté le coronavirus, il vous est recommandé de vous faire vacciner. Vous pouvez ainsi demander un certificat COVID pour personnes vaccinées. Vous pouvez demander un certificat pour personnes guéries si le résultat d'un test rapide antigénique nasopharyngé est positif. En Suisse, la validité commence le 11e jour suivant le résultat positif et dure 180 jours à compter du prélèvement de l'échantillon. À l’étranger, d’autres règles de validité peuvent valoir. Vous trouverez des informations détaillées au sujet de la vaccination et du certificat COVID sur les pages Certificat COVID.
Donc si j'ai choppé le virus, que je fais un test rapide, qu'il est positif.
La recommandation de l'autorité de santé suisse, c'est:
"Si vous avez contracté le coronavirus, il vous est recommandé de vous faire vacciner."
=> faites vous vacciner !!
Dans ma compréhension de ce qu'est un vaccin, c'est un virus atténué, qui du coup fait "comme si on avait la maladie", mais sans l'avoir vraiment. C'est ça l'avantage du vaccin.
Les vaccins fonctionnent avec des maladies qui sont immunisantes, des maladies qui une fois qu'on l'a eue... on ne l'attrape plus. Comme la plupart des maladies infantiles, varicelle, oreillons, etc....
Donc si le vaccin "fait comme si j'ai eu la maladie", je trouve qu'il est absurde d'aller se faire vacciner quand on a eu la maladie !!!
D'ailleurs, si il y a des certificats pour personne guéries, c'est bien que c'est pareil que d'avoir le vaccin ?!? non ?
Là, franchement je doute des capacités de raisonnement des autorités sanitaires du pays. Je comprend le complotiste qui trouve que la seule explication c'est un plan caché qui vise à vacciner le maximum de monde....
Libre à chacun de tirer sa conclusion, entre l'absurdité et le plan machiavélique....
https://www.adrreports.eu/fr/covid19_message.html
https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/comirnaty#safety-updates-section
p7.
As of 29 May 2022, EudraVigilance contained the following:
• Comirnaty: a total of 786,983 cases of suspected side effects
spontaneously reported from EU/EEA countries; 7,935 of these reported
a fatal outcome6,7 (by 15 May 2022, about 640 million doses of
Comirnaty had been given to people in the EU/EEA8)
Au 29 mai 2022, EudraVigilance contenait les éléments suivants :
- Comirnaty : un total de 786 983 cas d'effets secondaires suspectés.
signalés spontanément par les pays de l'UE/EEE ; 7 935 d'entre eux ont eu une issue fatale.
(au 15 mai 2022, environ 640 millions de doses de Comirnaty avaient été administrées).
=> (786983/640000000)*100 = 12%
Et pour ce qui est juste "cardovasculaire" ?
Taux de mortalité 'COVID-19' en Suisse
Selon les statistiques tirées du site www.covid19.admin.ch, parmi les cas, hospitalisations et décès confirmés en laboratoire, le taux de mortalité* par tranche d’âge est :
*du 20 février 2020 au 5 janvier 2021 : période pré-vaccination
0-9 ans = 0.042 %
10-19 ans = 0.000 %
20-29 ans = 0.004 %
30-39 ans = 0.01 %
40-49 ans = 0.03 %
50-59 ans = 0.16 %
60-69 ans = 1.03 %
70-79 ans = 5.21 %
80+ ans = 16.12 %
À noter que l’espérance de vie en Suisse est de 83 ans.
Samia porte un masque tout le temps.
Samia garde une distanciation sociale.
Samia aère son bureau toutes les demi-heures.
Samia a muni son bureau d’un appareil à mesurer le CO2.
Samia a été vaccinée 5 fois.
Samia a quand même attrapé un rhume. C’est le COVID.
=>
Dimanche: un peu de rhume, je renonce à aller voir mes parents. Auto-test négatif, mais prudence
Lundi: gros rhume, dans le coton, test PCR positif. Très heureuse d'avoir été prudente hier. Et surtout très soulagée d'avoir pu être vaccinée avant contre le #COVID19
https://twitter.com/samiahurst/status/1538918384821317632
=>
Etape suivante: message à toutes les personnes que j'ai vues les dernières 48h pour les avertir
Le bon côté c'est que je suis bien entourée. J'en suis reconnaissante. Le mauvais côté c'est que je constate que nos contacts sont à nouveau nombreux.
Heureusement qu'on est lundi
Au passage, je suis aussi heureuse d'avoir mis le masque pour faire mes courses. Si vous m'avez croisée à la Migros samedi, voilà: je ne vous ai pas passé le #SARSCoV2
=>
...
https://captainfact.io/videos/4Bo7
[à propos de Peter Daszak ] qui travaille avec différents laboratoires, dont l’institut de virologie de Wuhan avec lequel il bosse sur les coronavirus, et notamment sur l'évolution [...], en faisant ce qu'on appelle des gains de fonction
Peter Daszak a effectivement travaillé sures coronavirus avec d'autres chercheurs dont certains travaillaient au laboratoire de Wuhan.
JOURNAL OF VIROLOGYBat Severe Acute Respiratory Syndrome-Like Coronavirus WIV1 Encodes an Extra Accessory Protein, ORFX, Involved in Modulation of the Host Immune Response
https://journals.asm.org/doi/full/10.1128/JVI.03079-15
Publication dans : VOLUME 21 | NUMBER 12 | DECEMBER 2015nature medicine
Titre : A SARS-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence
Premier auteur : Vineet D Menachery
https://www.nature.com/articles/nm.3985
[Peter Daszak] Il a écrit une tribune qui a été publiée dans le Lancet dans laquelle il assimile l'hypothèse d'une fuite à une théorie du complot.
Peter Daszak a effectivement signé une tribune assimilant les personnes évoquant la fuite d'un laboratoire comme origine du virus à des conspirationnistes.
https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30418-9/fulltext
Sous l'administration Biden Il y a quand même le gouvernement Américain qui a émis quelques réserves concernant les origines du virus , ils disent que faut pas retirer des hypothèses une fuite de labo'
[à propos de la transmission initiale du SARS COV-2 à l'homme] En fait des pistes même d'élevages sont beaucoup plus probables (...] que de la viande de brousse.
nombreuses études ont présenté des raisons pour lesquelles la transmission du virus provenant de la chauve-souris a pu être transmis à des espèces animales d'élevages : destruction de l'habitat des chauve-souris, proximité de fermes, etc...
Un groupe qui s'appelle D.R.A.S.T.I.C
La base de données du WIV
La baisse d'activité d'octobre ne peut-elle pas dues aux vacances des chinois à cette période?
Le 15eme jour du 8eme mois du calendrier lunaire, soit courant septembre, début octobre. Avec le Nouvel An Chinois, la fête de la mi-automne est l’une des fêtes les plus importantes en Chine. Elle est aussi connue sous le nom de fête de la Lune. Elle est l’occasion d’offrir et de manger des gâteaux de Lune qui symbolisent la réunion de la famille.
https://www.china-roads.fr/fetes-traditionnelles/
Comme si ce virus avait été préparé pour être adapté à l'Homme
https://www.seuil.com/ouvrage/l-ironie-de-l-evolution-thomas-c-durand/9782021311655
Son papier n'a pas été accepté à la publication
https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.05.01.073262v1.article-info
le quatrième ils l'ont trouvé nulle part, et le quatrième c'est le site furine
d'après leur papier, en effet ils n'ont pas réussi à expliquer son origine probable, contrairement aux autres insertions
https://www.medecinesciences.org/fr/articles/medsci/pdf/2020/07/msc200195.pdf
ll [Montagnier] parlait d'un accident, ça n'avait rien de complotiste, ce qu'il disait relevait d'un accident.
JC Perez et Montagnier ont affirmé dans le papier :
CONCLUSIONS:
This region has been “manipulated” by Humans.
Ils ne parlent donc pas d'accident.
https://zenodo.org/record/3975589#.YKfQqnnivIV
Oui, tout dépend de ce que l'on entend par accident. Il s'agissait pour lui d'un élément modifié par l'humain sciemment, mais qui aurait fuité par accident. "Selon Luc Montagnier, la pandémie mondiale serait le fruit "d’un accident industriel” au laboratoire de Wuhan. "L’hypothèse est que ce virus est sorti du laboratoire parce qu’il a échappé à ses promoteurs, c’est un travail d’apprenti-sorcier”, a-t-il clamé dans l'entretien."
https://twitter.com/CNEWS/status/1251080850562834432
Faux, "il affirme que le virus Sars-CoV-2 (responsable de l'épidémie de Covid-19) a été fabriqué artificiellement en injectant des fragments du virus VIH dans un coronavirus dan"
CRISPR/Cas9 [...] n'est pas très utilisé pour les Coronavirus
CRISPR/Cas9 ne fonctionne que sur l'ADN
Et les coronavirus sont des virus à ARN (Cependant, d'autres protéines de la famille des CRISPR peuvent agir sur l'ARN (par exemple CRISPR/Cas13)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cas9
https://fr.wikipedia.org/wiki/Coronavirus
Ils [le ministère de la défense] m'ont pas dit pourquoi les soldats n'avaient pas le droit de parler.
Euh, l’obligation de réserve peut-être ?
"il n'y a pas un site furine sur le virus"
La référence démontre qu'en ajoutant (artificiellement) un site de clivage furine au SRAS 1, on augmente son infectiosité et potentiellement infecter plus d'espèces différentes
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC2660061/
c'est sûr qu'il n'y a jamais eu de site furine sur un virus de type SARS
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1873506120304165
Également retrouvé dans le cas du MERS (Middle East respiratory syndrome) dans un papier de 2014 :
«We identify, by bioinformatics and peptide cleavage assays, two cleavage sites for furin, a ubiquitously expressed protease, which are located at the S1/S2 interface and at the S2′ position of the S protein.»
En bref issus de captainfact: "La référence démontre qu'en ajoutant (artificiellement) un site de clivage furine au SRAS 1, on augmente son infectiosité et potentiellement infecter plus d'espèces différentes"
La protéine spike (S) du coronavirus joue un rôle clé dans les premières étapes de l'infection virale, le domaine S1 étant responsable de la liaison avec le récepteur et le domaine S2 de la fusion membranaire. Dans certains cas, la protéine S est clivée par protéolyse à la frontière S1-S2. Dans le cas du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV), il a été démontré que l'entrée du virus nécessite la protéase endosomale cathepsine L ; cependant, il a également été constaté que l'infection du SARS-CoV pouvait être fortement induite par un traitement à la trypsine. Dans l'ensemble, le traitement protéolytique de la protéine S du SRAS-CoV n'est pas clair quant à la manière dont le clivage pourrait activer la fusion membranaire. Nous identifions ici un site de clivage protéolytique dans le domaine S2 (S2′, R797) de SARS-CoV. La mutation de R797 a spécifiquement inhibé la fusion dépendante de la trypsine dans les essais de fusion cellule-cellule et d'entrée de pseudovirions. Nous avons également introduit un site de clivage de la furine à la fois sur le site de clivage de S2′ dans S2 793-KPTKR-797 (S2′), ainsi qu'à la jonction de S1 et S2. L'introduction d'un site de clivage de la furine à la position S2′ a permis la fusion cellulaire indépendante de la trypsine, qui a été fortement augmentée par la présence d'un second site de clivage de la furine à la position S1-S2. Ensemble, ces données suggèrent un nouveau mécanisme d'amorçage pour une protéine de fusion virale, avec un événement de clivage protéolytique critique sur la protéine S du SRAS-CoV à la position 797 (S2′), agissant de concert avec le site de clivage S1-S2 pour médier la fusion membranaire et l'infectivité du virus.
Mots clés : fusion membranaire, traitement protéolytique, entrée du virus.
Le conseiller fédéral Alain Berset testé positif au coronavirus
Berne, 09.03.2022 - -
Le conseiller fédéral Alain Berset a été testé positif au coronavirus mercredi après-midi, après avoir ressenti de légers symptômes. Le chef du Département fédéral de l’intérieur s’est mis en isolement et poursuivra son travail à domicile. Il participera virtuellement à la séance du Conseil fédéral de vendredi. M. Berset a annulé sa participation à toutes les manifestations prévues ces prochains jours, notamment à la session de la Commission de la condition de la femme (CSW), qui se tiendra à New York.
Pfizer partenaire de la lutte contre la «désinformation» sur Facebook
Depuis le début de la pandémie de Covid, les utilisateurs du réseau social de Mark Zuckerberg sont nombreux à connaître la censure. Le National Pulse révèle que, parmi les partenaires du géant bleu dans la lutte contre la désinformation, on trouve notamment l’industrie pharmaceutique la plus en vue de ces dernières années.
Début février 2021, Facebook annonçait avoir durci ses règles de modération contre les fake news, afin de soutenir les campagnes de vaccination. Ces renforcements – qui s’appliquent également à Instagram – sont toujours en cours et consistent à supprimer toute information qui mettrait en doute l’innocuité des vaccins.
Les utilisateurs du réseau social sont nombreux à avoir subi des représailles après avoir partagé des contenus jugés «contraires aux règles de la communauté». Celles-ci se matérialisent sous la forme de blocage ou de suppression des publications, de bannissement pour une période donnée, jusqu’à l’exil définitif de la plateforme.
Pour s’aider dans cette tâche, Facebook a conclut des partenariats avec plusieurs organismes censés assurer un fact-checking, dont l’International Center for Journalists (ICFJ). Comme le rapporte le National Pulse, ce dernier est notamment sponsorisé par… Pfizer.
La relation financière de l’ICFJ avec Pfizer remonte au moins à 2008, lorsque le centre s'est associé à la firme pharmaceutique pour un «atelier de formation sur la couverture journalistique des questions de santé» dans toute l'Amérique latine. Pfizer était alors l’unique sponsor de l’atelier, qui contenait également des reportages sur les «maladies cardiovasculaires».
«Les liens financiers découverts entre Pfizer et l'opération de vérification des faits de Facebook font suite à d'autres conflits d'intérêts entre le géant pharmaceutique et des organes d'information, dont Reuters», rapportent nos confrères.
En Suisse aussi, des liens entre médias et industries pharmaceutiques existent. Le Temps et Heidi.news appartiennent désormais à la fondation Aventinus. Laquelle est notamment financée par la fondation Jan Michalski «pilotée par l’éditrice Vera Michalski-Hoffmann qui est aussi une des héritières des fondateurs de la pharma Roche», écrivait l’Agefi en novembre 2020. Quant aux liens de la NZZ avec Novartis, celle-ci se refuse à commenter.
Parmi les nombreuses différences de mutation ponctuelle entre le SARS-CoV-2 et le coronavirus RaTG13 de la chauve-souris, seul le site de clivage de la furine (FCS) de 12 nucléotides dépasse 3 nucléotides. Une recherche BLAST a révélé qu'une portion de 19 nucléotides du génome de SARS.Cov2 englobant le site de clivage de la furine est une correspondance complémentaire à 100 % à une séquence propriétaire optimisée au niveau du codon qui est le complément inverse de l'homologue mutS humain (MSH3). La séquence complémentaire inverse présente dans le SARS-CoV-2 peut être aléatoire, mais d'autres possibilités doivent être envisagées. La recombinaison dans un hôte intermédiaire est une explication peu probable. Les virus à ARN simple brin tels que le SARS-CoV-2 utilisent des matrices d'ARN à brin négatif dans les cellules infectées, ce qui pourrait conduire, par recombinaison par choix de copie avec un ARN de SARS-CoV-2 à sens négatif, à l'intégration du brin négatif de MSH3, y compris le FCS, dans le génome viral. Quoi qu'il en soit, la présence d'une longue séquence d'ARN de 19 nucléotides, y compris le FCS, présentant une identité de 100 % avec le complément inverse de l'ARNm MSH3, est très inhabituelle et nécessite des recherches supplémentaires.