170 liens privés
Samia porte un masque tout le temps.
Samia garde une distanciation sociale.
Samia aère son bureau toutes les demi-heures.
Samia a muni son bureau d’un appareil à mesurer le CO2.
Samia a été vaccinée 5 fois.
Samia a quand même attrapé un rhume. C’est le COVID.
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Dimanche: un peu de rhume, je renonce à aller voir mes parents. Auto-test négatif, mais prudence
Lundi: gros rhume, dans le coton, test PCR positif. Très heureuse d'avoir été prudente hier. Et surtout très soulagée d'avoir pu être vaccinée avant contre le #COVID19
https://twitter.com/samiahurst/status/1538918384821317632
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Etape suivante: message à toutes les personnes que j'ai vues les dernières 48h pour les avertir
Le bon côté c'est que je suis bien entourée. J'en suis reconnaissante. Le mauvais côté c'est que je constate que nos contacts sont à nouveau nombreux.
Heureusement qu'on est lundi
Au passage, je suis aussi heureuse d'avoir mis le masque pour faire mes courses. Si vous m'avez croisée à la Migros samedi, voilà: je ne vous ai pas passé le #SARSCoV2
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...
https://captainfact.io/videos/4Bo7
[à propos de Peter Daszak ] qui travaille avec différents laboratoires, dont l’institut de virologie de Wuhan avec lequel il bosse sur les coronavirus, et notamment sur l'évolution [...], en faisant ce qu'on appelle des gains de fonction
Peter Daszak a effectivement travaillé sures coronavirus avec d'autres chercheurs dont certains travaillaient au laboratoire de Wuhan.
JOURNAL OF VIROLOGYBat Severe Acute Respiratory Syndrome-Like Coronavirus WIV1 Encodes an Extra Accessory Protein, ORFX, Involved in Modulation of the Host Immune Response
https://journals.asm.org/doi/full/10.1128/JVI.03079-15
Publication dans : VOLUME 21 | NUMBER 12 | DECEMBER 2015nature medicine
Titre : A SARS-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence
Premier auteur : Vineet D Menachery
https://www.nature.com/articles/nm.3985
[Peter Daszak] Il a écrit une tribune qui a été publiée dans le Lancet dans laquelle il assimile l'hypothèse d'une fuite à une théorie du complot.
Peter Daszak a effectivement signé une tribune assimilant les personnes évoquant la fuite d'un laboratoire comme origine du virus à des conspirationnistes.
https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30418-9/fulltext
Sous l'administration Biden Il y a quand même le gouvernement Américain qui a émis quelques réserves concernant les origines du virus , ils disent que faut pas retirer des hypothèses une fuite de labo'
[à propos de la transmission initiale du SARS COV-2 à l'homme] En fait des pistes même d'élevages sont beaucoup plus probables (...] que de la viande de brousse.
nombreuses études ont présenté des raisons pour lesquelles la transmission du virus provenant de la chauve-souris a pu être transmis à des espèces animales d'élevages : destruction de l'habitat des chauve-souris, proximité de fermes, etc...
Un groupe qui s'appelle D.R.A.S.T.I.C
La base de données du WIV
La baisse d'activité d'octobre ne peut-elle pas dues aux vacances des chinois à cette période?
Le 15eme jour du 8eme mois du calendrier lunaire, soit courant septembre, début octobre. Avec le Nouvel An Chinois, la fête de la mi-automne est l’une des fêtes les plus importantes en Chine. Elle est aussi connue sous le nom de fête de la Lune. Elle est l’occasion d’offrir et de manger des gâteaux de Lune qui symbolisent la réunion de la famille.
https://www.china-roads.fr/fetes-traditionnelles/
Comme si ce virus avait été préparé pour être adapté à l'Homme
https://www.seuil.com/ouvrage/l-ironie-de-l-evolution-thomas-c-durand/9782021311655
Son papier n'a pas été accepté à la publication
https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.05.01.073262v1.article-info
le quatrième ils l'ont trouvé nulle part, et le quatrième c'est le site furine
d'après leur papier, en effet ils n'ont pas réussi à expliquer son origine probable, contrairement aux autres insertions
https://www.medecinesciences.org/fr/articles/medsci/pdf/2020/07/msc200195.pdf
ll [Montagnier] parlait d'un accident, ça n'avait rien de complotiste, ce qu'il disait relevait d'un accident.
JC Perez et Montagnier ont affirmé dans le papier :
CONCLUSIONS:
This region has been “manipulated” by Humans.
Ils ne parlent donc pas d'accident.
https://zenodo.org/record/3975589#.YKfQqnnivIV
Oui, tout dépend de ce que l'on entend par accident. Il s'agissait pour lui d'un élément modifié par l'humain sciemment, mais qui aurait fuité par accident. "Selon Luc Montagnier, la pandémie mondiale serait le fruit "d’un accident industriel” au laboratoire de Wuhan. "L’hypothèse est que ce virus est sorti du laboratoire parce qu’il a échappé à ses promoteurs, c’est un travail d’apprenti-sorcier”, a-t-il clamé dans l'entretien."
https://twitter.com/CNEWS/status/1251080850562834432
Faux, "il affirme que le virus Sars-CoV-2 (responsable de l'épidémie de Covid-19) a été fabriqué artificiellement en injectant des fragments du virus VIH dans un coronavirus dan"
CRISPR/Cas9 [...] n'est pas très utilisé pour les Coronavirus
CRISPR/Cas9 ne fonctionne que sur l'ADN
Et les coronavirus sont des virus à ARN (Cependant, d'autres protéines de la famille des CRISPR peuvent agir sur l'ARN (par exemple CRISPR/Cas13)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cas9
https://fr.wikipedia.org/wiki/Coronavirus
Ils [le ministère de la défense] m'ont pas dit pourquoi les soldats n'avaient pas le droit de parler.
Euh, l’obligation de réserve peut-être ?
"il n'y a pas un site furine sur le virus"
La référence démontre qu'en ajoutant (artificiellement) un site de clivage furine au SRAS 1, on augmente son infectiosité et potentiellement infecter plus d'espèces différentes
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC2660061/
c'est sûr qu'il n'y a jamais eu de site furine sur un virus de type SARS
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1873506120304165
Également retrouvé dans le cas du MERS (Middle East respiratory syndrome) dans un papier de 2014 :
«We identify, by bioinformatics and peptide cleavage assays, two cleavage sites for furin, a ubiquitously expressed protease, which are located at the S1/S2 interface and at the S2′ position of the S protein.»
En bref issus de captainfact: "La référence démontre qu'en ajoutant (artificiellement) un site de clivage furine au SRAS 1, on augmente son infectiosité et potentiellement infecter plus d'espèces différentes"
La protéine spike (S) du coronavirus joue un rôle clé dans les premières étapes de l'infection virale, le domaine S1 étant responsable de la liaison avec le récepteur et le domaine S2 de la fusion membranaire. Dans certains cas, la protéine S est clivée par protéolyse à la frontière S1-S2. Dans le cas du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV), il a été démontré que l'entrée du virus nécessite la protéase endosomale cathepsine L ; cependant, il a également été constaté que l'infection du SARS-CoV pouvait être fortement induite par un traitement à la trypsine. Dans l'ensemble, le traitement protéolytique de la protéine S du SRAS-CoV n'est pas clair quant à la manière dont le clivage pourrait activer la fusion membranaire. Nous identifions ici un site de clivage protéolytique dans le domaine S2 (S2′, R797) de SARS-CoV. La mutation de R797 a spécifiquement inhibé la fusion dépendante de la trypsine dans les essais de fusion cellule-cellule et d'entrée de pseudovirions. Nous avons également introduit un site de clivage de la furine à la fois sur le site de clivage de S2′ dans S2 793-KPTKR-797 (S2′), ainsi qu'à la jonction de S1 et S2. L'introduction d'un site de clivage de la furine à la position S2′ a permis la fusion cellulaire indépendante de la trypsine, qui a été fortement augmentée par la présence d'un second site de clivage de la furine à la position S1-S2. Ensemble, ces données suggèrent un nouveau mécanisme d'amorçage pour une protéine de fusion virale, avec un événement de clivage protéolytique critique sur la protéine S du SRAS-CoV à la position 797 (S2′), agissant de concert avec le site de clivage S1-S2 pour médier la fusion membranaire et l'infectivité du virus.
Mots clés : fusion membranaire, traitement protéolytique, entrée du virus.
Le conseiller fédéral Alain Berset testé positif au coronavirus
Berne, 09.03.2022 - -
Le conseiller fédéral Alain Berset a été testé positif au coronavirus mercredi après-midi, après avoir ressenti de légers symptômes. Le chef du Département fédéral de l’intérieur s’est mis en isolement et poursuivra son travail à domicile. Il participera virtuellement à la séance du Conseil fédéral de vendredi. M. Berset a annulé sa participation à toutes les manifestations prévues ces prochains jours, notamment à la session de la Commission de la condition de la femme (CSW), qui se tiendra à New York.
Pfizer partenaire de la lutte contre la «désinformation» sur Facebook
Depuis le début de la pandémie de Covid, les utilisateurs du réseau social de Mark Zuckerberg sont nombreux à connaître la censure. Le National Pulse révèle que, parmi les partenaires du géant bleu dans la lutte contre la désinformation, on trouve notamment l’industrie pharmaceutique la plus en vue de ces dernières années.
Début février 2021, Facebook annonçait avoir durci ses règles de modération contre les fake news, afin de soutenir les campagnes de vaccination. Ces renforcements – qui s’appliquent également à Instagram – sont toujours en cours et consistent à supprimer toute information qui mettrait en doute l’innocuité des vaccins.
Les utilisateurs du réseau social sont nombreux à avoir subi des représailles après avoir partagé des contenus jugés «contraires aux règles de la communauté». Celles-ci se matérialisent sous la forme de blocage ou de suppression des publications, de bannissement pour une période donnée, jusqu’à l’exil définitif de la plateforme.
Pour s’aider dans cette tâche, Facebook a conclut des partenariats avec plusieurs organismes censés assurer un fact-checking, dont l’International Center for Journalists (ICFJ). Comme le rapporte le National Pulse, ce dernier est notamment sponsorisé par… Pfizer.
La relation financière de l’ICFJ avec Pfizer remonte au moins à 2008, lorsque le centre s'est associé à la firme pharmaceutique pour un «atelier de formation sur la couverture journalistique des questions de santé» dans toute l'Amérique latine. Pfizer était alors l’unique sponsor de l’atelier, qui contenait également des reportages sur les «maladies cardiovasculaires».
«Les liens financiers découverts entre Pfizer et l'opération de vérification des faits de Facebook font suite à d'autres conflits d'intérêts entre le géant pharmaceutique et des organes d'information, dont Reuters», rapportent nos confrères.
En Suisse aussi, des liens entre médias et industries pharmaceutiques existent. Le Temps et Heidi.news appartiennent désormais à la fondation Aventinus. Laquelle est notamment financée par la fondation Jan Michalski «pilotée par l’éditrice Vera Michalski-Hoffmann qui est aussi une des héritières des fondateurs de la pharma Roche», écrivait l’Agefi en novembre 2020. Quant aux liens de la NZZ avec Novartis, celle-ci se refuse à commenter.
Parmi les nombreuses différences de mutation ponctuelle entre le SARS-CoV-2 et le coronavirus RaTG13 de la chauve-souris, seul le site de clivage de la furine (FCS) de 12 nucléotides dépasse 3 nucléotides. Une recherche BLAST a révélé qu'une portion de 19 nucléotides du génome de SARS.Cov2 englobant le site de clivage de la furine est une correspondance complémentaire à 100 % à une séquence propriétaire optimisée au niveau du codon qui est le complément inverse de l'homologue mutS humain (MSH3). La séquence complémentaire inverse présente dans le SARS-CoV-2 peut être aléatoire, mais d'autres possibilités doivent être envisagées. La recombinaison dans un hôte intermédiaire est une explication peu probable. Les virus à ARN simple brin tels que le SARS-CoV-2 utilisent des matrices d'ARN à brin négatif dans les cellules infectées, ce qui pourrait conduire, par recombinaison par choix de copie avec un ARN de SARS-CoV-2 à sens négatif, à l'intégration du brin négatif de MSH3, y compris le FCS, dans le génome viral. Quoi qu'il en soit, la présence d'une longue séquence d'ARN de 19 nucléotides, y compris le FCS, présentant une identité de 100 % avec le complément inverse de l'ARNm MSH3, est très inhabituelle et nécessite des recherches supplémentaires.
De nouveaux soupçons concernant la possibilité que le Covid ait été modifié en laboratoire sont apparus aujourd'hui après que des scientifiques ont découvert du matériel génétique appartenant à Moderna dans la protéine spike du virus.
Ils ont identifié un minuscule bout de code identique à une partie d'un gène breveté par le fabricant de vaccins trois ans avant la pandémie.
Il a été découvert dans le site de clivage unique de la furine du SRAS-CoV-2, la partie qui le rend si efficace pour infecter les gens et qui le sépare des autres coronavirus.
Cette structure a été l'un des points centraux du débat sur l'origine du virus, certains scientifiques affirmant qu'elle ne pouvait pas avoir été acquise naturellement.
L'équipe internationale de chercheurs suggère que le virus a pu muter pour avoir un site de clivage de la furine lors d'expériences sur des cellules humaines en laboratoire.
Ils affirment qu'il y a une chance sur trois milliards que la séquence de Moderna soit apparue au hasard de l'évolution naturelle.
Mais la question de savoir si cette correspondance est aussi rare que le prétend l'étude fait débat, d'autres experts la décrivant comme une coïncidence "bizarre" plutôt que comme une "preuve irréfutable".
Moderna a déposé le brevet en février 2016 dans le cadre de sa division de recherche sur le cancer, selon les dossiers. La séquence brevetée fait partie d'un gène appelé MSH3 qui est connu pour affecter la façon dont les cellules endommagées se réparent dans le corps. Il a été approuvé le 7 mars de l'année suivante
Dans la dernière étude, publiée dans Frontiers in Virology, les chercheurs ont comparé la composition de Covid à des millions de protéines séquencées dans une base de données en ligne.
Le virus est constitué de 30 000 lettres de code génétique qui portent les informations dont il a besoin pour se propager, appelées nucléotides.
C'est le seul coronavirus de ce type à porter 12 lettres uniques qui permettent à sa protéine spike d'être activée par une enzyme commune appelée furine, ce qui lui permet de se propager facilement entre les cellules humaines.
L'analyse du génome original de Covid a révélé que le virus partage une séquence de 19 lettres spécifiques avec une section génétique appartenant à Moderna, qui compte un total de 3 300 nucléotides.
La société pharmaceutique américaine a déposé le brevet en février 2016 dans le cadre de sa division de recherche sur le cancer, selon les dossiers.
La séquence brevetée fait partie d'un gène appelé MSH3 qui est connu pour affecter la façon dont les cellules endommagées se réparent dans le corps.
Les scientifiques ont mis en évidence cette voie comme une cible potentielle pour de nouveaux traitements contre le cancer.
Douze des lettres partagées constituent la structure du site de clivage de la furine de Covid, le reste étant une correspondance avec des nucléotides sur une partie voisine du génome.
Dans leur article, dirigé par le Dr Balamurali Ambati, de l'université de l'Oregon, les chercheurs ont déclaré que le code correspondant pourrait avoir été introduit à l'origine dans le génome de Covid par des cellules humaines infectées exprimant le gène MSH3.
Le professeur Lawrence Young, virologue à l'université de Warwick, a admis que la dernière découverte était intéressante mais a affirmé qu'elle n'était pas assez significative pour suggérer une manipulation en laboratoire.
Il a déclaré au MailOnline : "Nous parlons d'un très, très, très petit morceau composé de 19 nucléotides.
Pour être franc, cela ne signifie pas grand-chose. Si vous faites ce genre de recherches, vous trouverez toujours des correspondances.
Parfois, ces choses arrivent par hasard, parfois c'est le résultat d'une évolution convergente (lorsque des organismes évoluent indépendamment pour avoir des caractéristiques similaires afin de s'adapter à leur environnement).
C'est une observation originale, mais je ne l'appellerais pas une preuve irréfutable, car elle est trop petite.
Il a ajouté : "Cela ne nous fait pas avancer dans le débat sur la question de savoir si Covid a été fabriqué.
Le Dr Simon Clarke, microbiologiste à l'Université de Reading, s'est demandé si la découverte était aussi rare que le prétend l'étude.
Il a déclaré au MailOnline : " Il ne peut y avoir qu'un certain nombre de [combinaisons génétiques dans] les sites de clivage de la furine.
Ils fonctionnent comme une serrure et une clé dans la cellule, et les deux ne s'assemblent que dans un nombre limité de combinaisons.
C'est donc une coïncidence intéressante, mais c'est sûrement une coïncidence totale".
MailOnline a contacté Moderna pour un commentaire.
Des preuves circonstancielles ont longtemps soulevé des questions sur l'origine de Covid et son lien avec l'Institut de virologie de Wuhan.
Cet établissement était connu pour mener des expériences sur des souches de coronavirus de chauve-souris similaires à celle responsable de la pandémie.
La Chine a insisté très tôt et très souvent sur le fait que le virus ne s'était pas échappé du laboratoire, affirmant que le passage à l'homme avait dû se produire dans un "marché humide" de Wuhan qui vendait des animaux vivants.
Peut-être poussés par l'animosité envers le président américain de l'époque, Donald Trump, qui a très tôt adhéré à la théorie de la fuite du laboratoire, les médias grand public et les universitaires occidentaux ont dédaigné cette possibilité, la qualifiant de théorie du complot déséquilibrée.
Mais des courriels ayant fait l'objet d'une fuite ont montré que des scientifiques de haut niveau conseillant les gouvernements britannique et américain avaient exprimé en privé leurs préoccupations quant au récit officiel.
Sir Jeremy Farrar, un éminent expert britannique qui a publiquement dénoncé la théorie de la "conspiration", a admis dans un courriel privé en février 2020 qu'une "explication probable" était que le virus était d'origine humaine.
Le conseiller du gouvernement britannique de l'époque avait déclaré qu'il était "70:30 ou 60:40" en faveur d'une diffusion accidentelle par rapport à une origine naturelle.
Dans le courriel, envoyé aux responsables américains de la santé, les docteurs Anthony Fauci et Francis Collins, Sir Jeremy affirmait qu'il était possible que le Covid ait évolué en laboratoire à partir d'un virus de type Sars.
Il a ajouté que ce processus apparemment bénin pouvait avoir "accidentellement créé un virus prêt à se transmettre rapidement entre humains".
Mais le scientifique britannique s'est vu opposer une fin de non-recevoir par ses homologues américains, qui ont prévenu que la poursuite du débat sur les origines du virus pourrait nuire à "l'harmonie internationale".
Dernier rebondissement en date, une étude réalisée au début du mois a trouvé des traces d'échantillons de Covid contenant du matériel génétique provenant d'humains, de hamsters et de singes et qui pourraient être antérieurs à la chronologie officielle de la pandémie.
QU'EST-CE QUE LE SITE DE CLIVAGE DE LA FURINE ?
Le SRAS-CoV-2, qui est à l'origine du Covid, porte toutes les informations nécessaires à sa propagation dans environ 30 000 lettres du code génétique, appelé ARN.
Mais il est le seul coronavirus de ce type à porter 12 lettres uniques qui lui permettent d'être activé par une enzyme commune appelée furine.
Cela permet au virus d'envahir plus facilement les cellules voisines.
Le site de clivage de la furine est situé sur la protéine spike du virus, la structure qui se lie aux cellules humaines en premier lieu.
Les scientifiques ajoutent parfois cet élément aux virus de laboratoire pour les rendre plus infectieux, mais dans la nature, les agents pathogènes peuvent l'acquérir en échangeant leur code génétique avec d'autres membres de leur famille.
La furine a été le point central de l'intrigue de nombreux scientifiques étudiant les origines du virus, car aucun autre membre connu de la famille de Covid - un groupe appelé Sarbecovirus - ne possède ce site.
La chronologie officielle de la pandémie de coronavirus en Chine et les preuves qui la mettent à mal
Chronologie officielle
8 décembre 2019 - Date la plus ancienne à laquelle la Chine a reconnu une infection.
31 décembre - La Chine signale pour la première fois à l'Organisation mondiale de la santé une " pneumonie de cause inconnue ".
1er janvier 2020 - Fermeture du marché des fruits de mer de Wuhan pour désinfection.
7 janvier - Le président Xi Jinping discute de l'épidémie de coronavirus avec son Politburo.
9 janvier - La Chine rend public le génome du coronavirus
11 janvier - La Chine signale son premier décès
13 janvier - Le premier cas hors de Chine est confirmé
20 janvier - La Commission nationale de la santé de la Chine confirme la transmission interhumaine.
23 janvier - Fermeture de Wuhan
31 janvier - L'OMS déclare une " flambée épidémique de portée internationale ", la Chine admettant avoir des milliers de cas.
23 février - L'Italie signale des cas groupés, première flambée importante en Occident.
29 mai - La Chine affirme que le virus n'est pas né sur les marchés mais dans les chauves-souris chinoises avant de passer à l'homme via un " animal intermédiaire ".
31 juillet - Un chercheur chinois admet que certaines expériences sur le coronavirus ont été menées dans des laboratoires de moindre sécurité biologique.
16 décembre - L'OMS annonce qu'elle se rendra à Wuhan pour étudier les origines du virus en janvier.
5 janv. 2021 - La Chine refuse l'entrée à l'équipe d'enquêteurs de l'OMS
9 février - L'OMS rejette la théorie selon laquelle le virus a fui d'un laboratoire et soutient l'affirmation de la Chine selon laquelle il a été importé à partir de viande congelée.
28 mars - Selon un ancien responsable de la sécurité nationale des États-Unis, les renseignements montrent que Pékin a donné l'ordre direct de détruire tous les échantillons de virus au laboratoire de Wuhan.
Nouvelles preuves
2012 : Six mineurs sont atteints d'un mystérieux syndrome grippal dans la grotte de Mojiang, dans le Yunnan.
Il s'avère qu'ils ont été infectés par le plus proche parent connu de Covid, partageant 97 % de ses gènes.
Les échantillons RATG13 sont envoyés à l'Institut de virologie de Wuhan pour être étudiés.
Sep 2019- Des échantillons de sang sont prélevés dans le cadre d'un essai de dépistage du cancer du poumon en Italie, qui sont ensuite testés positifs pour le coronavirus.
Oct - Le lanceur d'alerte Wei Jingsheng affirme que la Chine a délibérément propagé le Covid lors des Jeux militaires mondiaux à Wuhan en octobre, deux mois avant que le reste du monde ne soit au courant du virus.
Oct - Le régime autoritaire de Xi Jinping a tenté désespérément de faire taire les dénonciateurs comme M. Jingsheng. Toute référence à un nouveau virus du SRAS ou à une "épidémie" dans les médias sociaux est censurée.
Oct-Déc - Augmentation des cas de "grippe et de pneumonie" dans le nord de l'Italie, qui pourraient être liés au coronavirus.
Nov - Le dénonciateur M. Jingsheng affirme qu'il a fait part de ses inquiétudes concernant les jeux militaires à de hauts responsables de l'administration Trump, mais qu'il a été ignoré.
Nov - Un rapport de renseignement transmis aux agences de Washington affirme que trois membres du personnel de l'Institut de virologie de Wuhan ont demandé un traitement hospitalier en novembre 2019 après avoir présenté des symptômes correspondant au Covid.
Nov - Des échantillons d'eaux usées prélevés à Florianópolis, au Brésil, suggèrent la présence du virus.
10 novembre - Une femme milanaise subit une biopsie de la peau, produisant un échantillon qui montrera plus tard des signes du virus.
17 novembre - Des documents ayant fait l'objet d'une fuite suggèrent qu'un cas a été détecté en Chine à cette date.
Décembre - Des médecins chinois, dont Li Wenliang, signalent l'existence d'un nouveau type d'infection respiratoire. Mais la police chinoise l'arrête, ainsi que huit de ses collègues, pour les interroger, au lieu de publier les rapports et d'avertir le public.
1er décembre - Des chercheurs chinois signalent une infection à cette date dans une étude évaluée par des pairs, mais Pékin ne l'a pas reconnue.
18 décembre - Des échantillons d'eaux usées prélevés à Milan et à Turin suggèrent que le virus circule dans ces villes.
26 décembre - Des échantillons analysés suggèrent qu'un nouveau type de SRAS circule dès le 26 décembre, mais la ville de Wuhan n'est pas fermée avant le 22 janvier.
2020 janvier - Des échantillons d'eaux usées prélevés à Barcelone suggèrent que le virus était présent dans la ville.
3 janvier - Les infections au virus Covid-19 commencent à se propager dans d'autres pays, y compris les États-Unis, alors que l'OMS qualifie l'épidémie d'urgence de santé publique de portée internationale.
Mai - Des scientifiques d'un laboratoire gouvernemental en Californie concluent que le Covid-19 pourrait s'être échappé d'une installation à Wuhan.
Juillet - Le chef de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, déclare que la Chine n'a pas partagé des données brutes essentielles au cours de son enquête à Wuhan. La Chine a réfuté ces affirmations.
Juin 2021 : Des courriels rendus publics révèlent que le Dr Anthony Fauci, grand spécialiste américain des virus, a été averti que Covid avait peut-être été fabriqué en laboratoire.
Août : Le Dr Peter Embarek, chef de l'OMS, déclare que le premier patient au monde atteint du virus Covid-19 pourrait avoir été infecté par une chauve-souris alors qu'il travaillait pour un laboratoire de Wuhan, en Chine.
Août : Un rapport accablant rédigé par des républicains américains affirme que le coronavirus s'est échappé de l'Institut de virologie de Wuhan, peu après que l'établissement a tenté d'améliorer la sécurité de l'air et les systèmes de traitement des déchets.
Le rapport cite également de " nombreuses preuves " que les scientifiques du laboratoire travaillent à modifier les coronavirus pour infecter les humains et que cette manipulation peut être dissimulée.
Octobre : L'enquête des services de renseignement américains sur les origines de la pandémie ne permet pas de déterminer si le virus est apparu par transmission de l'animal à l'homme ou par une fuite en laboratoire.
Les responsables chinois ont qualifié le rapport de "politique et faux".
Janvier 2022 : Des fuites de courriels du scientifique britannique Sir Jeremy Farrar montrent qu'il a admis en février 2020 que l'origine humaine du virus était une "explication probable". Mais il a ensuite qualifié cette théorie de "conspirationniste".
Février : Sir Farrar est appelé à être interrogé sous serment au Congrès américain. Les autorités veulent qu'il explique pourquoi il s'est détourné de la théorie de la fuite en laboratoire.
Quelle est la position de l’OMS sur l’usage du matériel végétal d’Artemisia pour la prévention ou le traitement du paludisme et/ou de la COVID-19 ?
Les traitements antipaludiques les plus largement utilisés, les combinaisons thérapeutiques à base d’artémisinine (ACT), sont produits en utilisant le principe actif, l’artémisinine, extrait de la plante Artemisia annua. Certaines informations ont circulé, suggérant que des produits à base de matériel végétal d’Artemisia ou des extraits de celui-ci (infusions ou produits d’herboristerie en comprimés, par exemple) pourraient avoir un effet préventif ou curatif à l’égard de la COVID-19.
Toutefois, les données in vitro disponibles laissent entendre que les composés purifiés d'artémisinine ou les produits ou extraits de la plante A.annua, ne présentent pas un effet significatif contre la COVID-19 aux concentrations qui seraient sans risque chez l'être humain. Par conséquent, les données actuellement disponibles ne peuvent légitimer l'utilisation de l'artémisinine ou des produits ou extraits d'A. annua comme antiviral pour lutter contre la COVID-19.
L’OMS appelle à une extrême prudence vis-à-vis de ces informations vantant l’efficacité de tels produits. Comme l’OMS l’a expliqué dans une note d'information, il n’existe pas de données scientifiques probantes pour appuyer l’utilisation de formes non pharmaceutiques d’Artemisia pour la prévention ou le traitement du paludisme. Les données ne permettent pas non plus d’avancer que la COVID-19 peut être évitée ou traitée par des produits fabriqués à partir de la plante Artemisia.
L’OMS reconnaît que la médecine traditionnelle, complémentaire et alternative recèle de nombreux bienfaits. L’Afrique a d’ailleurs une longue histoire de médecine traditionnelle et de tradipraticiens de santé qui jouent un rôle important dans les soins aux populations. Des plantes médicinales telles que l’artemisia annua sont considérées comme des traitements possibles de la COVID-19, mais des essais devraient être réalisés pour évaluer leur efficacité et déterminer leurs effets indésirables.
Pour le Dr Alessandro Diana, vaccinologue et expert à Infovac, les études scientifiques démontrent qu’un changement de paradigme est pourtant nécessaire. «Les données du Centers for Disease Control and Prevention (CDC) sont claires: l'immunité naturelle contre SARS-CoV-2 confère une excellente protection contre les hospitalisations et les décès!» écrivait-il vendredi dans sa newsletter. Dès lors, «un discours unique pour la vaccination n’a plus lieu d’être». Il prône une approche au cas par cas. Il nous explique pourquoi.
Omicron, c’est le vaccin que nous avons échoué à faire
Plusieurs jeunes femmes ont constaté des changements au niveau de leur cycle menstruel après s’être fait injecter le vaccin contre le coronavirus. Des experts expliquent pourquoi.
Plusieurs pharmacies font état d’une forte augmentation du nombre de clients cherchant de l’aide pour une éruption cutanée, après la vaccination de rappel. Swissmedic analyse tout signalement du genre.
Depuis que Michel B., 23 ans, s’est fait administrer le «booster», il souffre d’une irritation extrême de la peau tout comme d’une forte éruption cutanée. «J’ai d’abord pensé que l’éruption cutanée était due à mon infection au Covid, car j’ai été testé positif début janvier, malgré le booster»
Son médecin de famille lui a prescrit un médicament antiallergique. Or, comme il ne savait pas d’où venait l’éruption, il lui a conseillé de prendre rendez-vous chez un dermatologue. «Depuis environ une semaine, je sais que mon éruption cutanée est effectivement due à la vaccination de rappel. Le dermatologue a confirmé mon hypothèse», explique l’Alémanique. Il prend des médicaments et de la cortisone, mais jusqu’à présent, rien n’a aidé. «Par moments, je prenais même six comprimés par jour.»
De nombreuses personnes sont actuellement dans le même cas que les deux jeunes hommes: plus de 100 personnes, présentant des problèmes similaires, ont contacté nos collègues de «20 Minuten». Plusieurs pharmacies confirment par ailleurs une forte augmentation du nombre de clients qui cherchent de l’aide pour des problèmes de peau.
«Nous examinons chaque éruption de plus près et recommandons une pommade spéciale selon le cas», explique l’employée. Elle a l’impression que ce sont surtout les personnes sensibles, qui avaient déjà auparavant une attitude plutôt critique vis-à-vis de la vaccination, qui ont tendance à avoir des problèmes de santé après la vaccination.
Les pharmacies du groupe Rotpunkt, installées en Suisse alémanique, constatent elles aussi une augmentation des éruptions cutanées. Et selon ces pharmacies-là, les éruptions cutanées liées à la vaccination seraient bel et bien plus fréquentes.
Le Japonais Kowa affirme que l'ivermectine a montré un "effet antiviral" contre Omicron.
Des essais cliniques sont en cours, mais la promotion de l'ivermectine comme traitement du COVID-19 a suscité la controverse.
Par REUTERS
Publié : 31 JANVIER 2022 17:56
Mis à jour : 31 JANVIER 2022 18:23
La société commerciale et pharmaceutique japonaise Kowa Co Ltd a déclaré lundi que l'Ivermectin, un médicament antiparasitaire, a montré un "effet antiviral" contre l'Omicron et d'autres variantes du coronavirus lors d'une recherche non clinique conjointe.
La société, qui collabore avec l'Université Kitasato de Tokyo pour tester le médicament en tant que traitement potentiel du COVID-19, n'a pas fourni d'autres détails.
Les essais cliniques sont en cours, mais la promotion de l'Ivermectin comme traitement du COVID-19 a suscité la controverse.
L'éminent sceptique des vaccins Joe Rogan, dont le podcast sur Spotify a suscité des protestations de la part des chanteurs Joni Mitchell et Neil Young, a longtemps suscité la controverse avec ses opinions sur la pandémie, les mandats gouvernementaux et les vaccins COVID-19.
M. Rogan a remis en question la nécessité de ces vaccins dans son émission et a déclaré avoir utilisé de l'Ivermectin.
https://rctportal.niph.go.jp/en/detail?trial_id=jRCT2031200120
L'OFSP perd la procédure
Les contrats avec Moderna et Pfizer devront être rendus publics
Toute la résistance de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) n'aura servi à rien. Le Préposé fédéral à la transparence veut que les contrats conclus par la Confédération avec les fabricants de vaccins soient transparents.
L’association pharmaceutique émet de grandes réserves
Logiquement, Interpharma a fait part de ses réticences. L’association des entreprises pharmaceutiques suisses pratiquant la recherche craint que la publication des contrats entraîne de «graves conséquences». La Confédération et les entreprises pharmaceutiques concernées auraient convenu que les échanges restent confidentiels. «Nous sommes d’avis que les contrats doivent être respectés par les deux parties», explique l’association à CH-Media.
«En cas de publication, la Suisse serait éventuellement en position de rupture de contrat, ce qui nuirait à la fiabilité de notre pays en tant que partenaire contractuel et pourrait avoir des conséquences à long terme pour nous tous», craint Interpharma. Il se pourrait par exemple que la Suisse passe au second plan lors de futurs achats de médicaments et de vaccins. Pour Interpharma, cela signifierait que «les patientes et les patients devraient attendre plus longtemps des innovations qui, dans certaines circonstances, pourraient leur sauver la vie».
Steve Claude 🦠+💉+💉+💉
@ClaudeSteve6
·
31 janv.
Donc #2 positive à j2 de symptômes (négative hier malgré fièvre).
"It's mild"? Non. Je lui aurais bien épargné ça avec la 2e dose de vaccin.
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Citer le Tweet
Steve Claude 🦠+💉+💉+💉
@ClaudeSteve6
· 31 janv. 2022
Ma fille de 11 ans a vomi plusieurs cette fois cette nuit.
Elle avait 39.8°C hier après-midi. 39°C ce matin. Elle avait des étourdissements j'ai dû l'aider à se recoucher. Covid? Elle va faire le test aujourd'hui. Moi je pars au travail...
Mathilde Crevoisier
@math_crevoisier
En réponse à
@ClaudeSteve6
Soutien à vous. Ici aussi notre réalité est en contradiction complète avec les discours lénifiants du moment: moi covid+ bien symptomatique malgré 3vax, enfant 1 covid+ seulement 2 mois après sa 1e infection, enfants 2-4 à nouveau en quarantaine. Fatigue et incompréhension
Les documents militaires indiquent qu’EcoHealth Alliance a approché la DARPA (WIKI) en mars 2018 pour obtenir des fonds afin de mener des recherches de gain de fonction des coronavirus transmis par les chauves-souris. La proposition, nommée Project Defuse, a été rejetée par la DARPA pour des raisons de sécurité et parce qu’elle violait le moratoire sur la recherche sur le gain de fonction.
Le rapport principal concernant la proposition d’EcoHealth Alliance a fuité sur Internet il y a quelques mois, il est resté non vérifié jusqu’à présent. Project Veritas a obtenu un rapport séparé destiné à l’Inspecteur Général du Département de la Défense, écrit par le Major du Corps des Marines des Etats-Unis, Joseph Murphy, un ancien membre de la DARPA.
« La proposition ne mentionne pas ou n’évalue pas les risques potentiels de la recherche de Gain de Fonction (GoF) », une citation directe de la lettre de rejet de la DARPA.
Project Veritas a contacté la DARPA pour obtenir des commentaires sur les documents cachés et s’est entretenu avec le chef des communications, Jared Adams, qui a déclaré : « Cela ne me semble pas normal », lorsqu’il a été interrogé sur la façon dont les documents ont été cachés.
https://assets.ctfassets.net/syq3snmxclc9/5OjsrkkXHfuHps6Lek1MO0/5e7a0d86d5d67e8d153555400d9dcd17/defuse-project-rejection-by-darpa.pdf
https://assets.ctfassets.net/syq3snmxclc9/oVt6gT0yBx4eQXSeuNfEp/3cbbd7ef84e90c9702c1943c55d80f75/executive-slide-hr00118s0017-ecohealth-alliance-defuse.pdf
https://assets.ctfassets.net/syq3snmxclc9/6K3RxB1DVf6ZhVxQLSJzxl/6be5c276bc8af7921ce6b23f0975a6c3/A_prempt-background-hr001118s0017.pdf
https://assets.ctfassets.net/syq3snmxclc9/2mVob3c1aDd8CNvVnyei6n/95af7dbfd2958d4c2b8494048b4889b5/JAG_Docs_pt1_Og_WATERMARK_OVER_Redacted.pdf
En fait, j'ai une vie privée. Ma femme depuis 42 ans et moi sommes en fait assez discrets. Partager mon histoire personnelle n'est pas quelque chose que je fais tous les jours. Cependant, comme beaucoup d'entre vous le savent, j'ai été vacciné avec Moderna à deux reprises et j'ai subi une réaction assez importante. C'était au tout début du déploiement des vaccins. C'était bien avant que la FOIA ne publie les données des essais précliniques japonais qui comportaient de nombreux drapeaux rouges et irrégularités, bien avant que nous n'apprenions tous les problèmes liés aux essais cliniques, et bien avant que les VAER et les effets indésirables ne commencent à être connus.
Pour l'écrire, je n'ai jamais été une personne "anti-vax". J'ai passé ma carrière à travailler avec des vaccins. Je sais aussi que certains vaccins sont "chauds", et qu'ils sont moins sûrs. Habituellement, ces types de vaccins sont réservés à des virus extrêmement dangereux comme Ebola ou la fièvre jaune. Lorsque l'objectif est de rendre le vaccin efficace à 100 %. D'autres vaccins, qui sont distribués à grande échelle, comme les vaccins contre la grippe, doivent être très sûrs. La contrepartie est qu'ils sont moins efficaces. Il y a toute une science et tout un art dans la fabrication des vaccins pour répondre de manière appropriée à la "menace". Je sais donc qu'il faut lire la documentation, faire preuve de diligence raisonnable, etc. avant de prendre un produit expérimental ou un vaccin. C'est ce que je pensais avoir fait. Le gouvernement nous a assuré que ces vaccins étaient très sûrs. Je n'aurais jamais pu imaginer que les données cliniques seraient corrompues et même falsifiées - comme nous le savons maintenant.
Bref, revenons à mon histoire. Au début du mois d'avril 2021, je savais que je devais voyager à l'étranger et que l'Union européenne allait exiger une vaccination complète avant d'entrer dans un pays de l'UE d'ici l'été (ce qui ne s'est jamais produit, d'ailleurs). Je savais qu'un protocole de vaccination complet était un processus de plusieurs semaines - et que je ferais mieux de m'y mettre ! De plus, il y avait beaucoup de bruit autour de l'idée que la vaccination aiderait avec le "long-COVID". J'avais déjà eu le COVID, et je n'arrivais pas à me débarrasser d'un certain nombre de problèmes chroniques que j'avais développés après avoir contracté la maladie. Franchement, j'aurais dû faire plus de recherches à ce sujet, car cette idée ne tenait vraiment pas la route.
Quoi qu'il en soit, en avril 2021, je me suis fait vacciner. C'était assez tôt dans le cycle pour que je n'aie pas d'autre choix que de prendre le vaccin Moderna, puisqu'il était disponible dans ma région. Le vaccin a été distribué dans un collège local, les réserves de l'armée gérant le programme.
La première injection s'est bien passée. Aucun problème.
La deuxième injection a failli me tuer. J'ai failli mourir.
Après l'injection, j'ai ressenti la fatigue habituelle, des douleurs musculaires, puis les palpitations ont commencé, ainsi que l'essoufflement. Quelques jours plus tard, la situation s'est aggravée. Je ne suis pas quelqu'un qui va facilement chez le médecin, mais heureusement pour moi, j'avais un rendez-vous de routine avec mon médecin. Elle m'a mis un brassard et ma tension artérielle systolique était au plus haut. Comme elle est également cardiologue, elle a fait passer d'autres tests, m'a fait prendre des médicaments contre l'hypertension et a réussi à la contrôler. J'ai l'impression que je lui dois la vie. Un appel au fantastique Dr C. Bove.
Avance rapide jusqu'à aujourd'hui.
L'une des personnes qui commentent mes articles sur Substack m'a indiqué ce site :
https://www.howbadismybatch.com/
Ce site fait correspondre les codes de lots de vaccins aux informations du système VAERS, qui est le système de notification des événements géré par le CDC. Ce site fait correspondre les lots de vaccins aux effets indésirables des médicaments, aux décès, aux invalidités et aux maladies potentiellement mortelles du système VAERS.
Selon le site web ci-dessus, les données rapportées par le VAERS, reproduites sur le site, montrent que les événements indésirables déclenchés par les lots de Moderna ont été très variables.
5 % des lots semblent avoir produit 90 % des effets indésirables.
Certains lots de Moderna sont associés à 50 fois plus de décès et d'invalidités que d'autres lots.
Fort de cette connaissance, j'ai entré mon code de lot dans le champ de recherche. La première injection n'a été associée à presque aucun effet indésirable significatif. La deuxième piqûre m'a franchement choquée.
Voici les résultats :
Maintenant, je ne sais pas combien de doses il y a dans chaque lot. Mais je sais que mon lot était très certainement dans le top 5%. Donc, rétrospectivement, ce n'est pas vraiment une surprise que j'aie eu un profil d'effets indésirables aussi grave.
J'ai toujours pensé que j'avais de la chance d'aller voir mon médecin ce jour-là, qui est également cardiologue (elle est mon interniste - je ne la voyais donc pas pour cette spécialité).
Mais pensez-y : notre gouvernement disposait de ces données depuis longtemps dans le système VAERs - même l'été dernier. Ces données sont si convaincantes et pourtant... des crickets. Combien de personnes auraient pu être aidées en publiant ces données ? Des gens comme moi, qui, si je n'étais pas médecin et n'avais pas consulté mon médecin, auraient pu facilement mourir.
Quel est le problème avec notre gouvernement pour qu'un site comme celui-ci ne soit pas disponible auprès du CDC ou de la FDA ?
Si quelqu'un a des doutes sur les effets indésirables de ces vaccins, il n'a qu'à jeter un coup d'œil à certaines recherches évaluées par des pairs ou à consulter les données du VAERS concernant les décès de jeunes adultes et d'enfants.
Les gens ont le droit de recevoir un consentement éclairé sur les risques et les avantages d'une procédure médicale. Le consentement éclairé n'est pas donné si les risques sont cachés.
LÀ OÙ IL Y A DES RISQUES, IL DOIT Y AVOIR UN CHOIX
Par Robert W Malone MD, MS