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La vérité n’est pas une quête lointaine ou universelle. Elle est ton reflet, façonnée par ton histoire, tes expériences et ton cœur. Accepte cette vérité unique qui est la tienne, sans chercher à la figer. Laisse-la évoluer, s’adapter, te guider.
Privilégie ce qui compte maintenant : des réponses simples, proches de toi, utiles à ton quotidien. Connecte ta spiritualité à la réalité pour qu’elle t’élève tout en restant ancrée.
Écoute, ressens, avance. Ta vérité, c’est ton chemin. Fais-lui confiance.
Ce qui a été intégré par les participants à l'entraînement de cette semaine.
- La vérité est relative : La vérité n'est pas absolue, mais plutôt relative à un moment donné et à une personne. Il est important de ne pas chercher une vérité universelle, mais plutôt une information utile et simple pour soi-même dans le contexte actuel.
- Accepter d'être vrai : Il est important d'être vrai dans ses intentions et ses demandes, et d'éviter les faux-semblants. Le monde subtil répond à la réalité de qui l'on est.
- L'information plutôt que la vérité : Il peut être moins stressant de chercher une information utile plutôt qu'une vérité absolue. Cela rend la recherche plus concrète et plus facile à digérer.
- La simplicité : On a insisté sur le fait qu'il est préférable d'avoir une information proche et utilisable plutôt qu'une information trop éloignée et générale.
- La connexion au subtil : Il est important de relier la connexion au subtil à ce qui est concret dans sa vie et à ses intentions. Il ne sert à rien d'avoir un savoir trop vaste si on ne sait pas comment l'utiliser.
- Le côté récepteur : Bien que l'exercice ait principalement porté sur le côté émetteur, il est important de ne pas négliger le côté récepteur et d'accepter que la vérité puisse nous toucher.
- Le contexte : La vérité est toujours reliée à un contexte et ne sera toujours reliée qu'à nous.
En gros, l'entraînement a mis l'accent sur la relativité de la vérité, l'importance d'être vrai avec soi-même, et la nécessité de chercher des informations utiles et concrètes plutôt que des vérités absolues.
Points principaux de l’enseignement
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Trouver l’équilibre entre héritage et autonomie
- Se questionner sur comment honorer l’héritage familial tout en affirmant son autonomie et ses choix personnels.
- Reconnaître que l’équilibre se trouve entre ce que l’on hérite et ce que l’on choisit consciemment.
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S’autoriser à écouter sa voix intérieure
- Apprendre à s’écouter, à suivre son intuition et à respecter ses ressentis profonds.
- Se libérer de la recherche de validation extérieure, souvent incarnée par une figure parentale.
- Comprendre que le cadre personnel n’est pas une barrière, mais un espace fertile pour l’exploration de soi.
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Faire la paix avec l’héritage familial
- Identifier ce que l’on souhaite garder ou laisser de l’héritage familial.
- Ne pas renier ses origines, mais choisir consciemment ce qui nourrit son évolution personnelle.
- Accepter les limites des figures parentales et cesser d’attendre leur validation pour avancer.
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Poser ses propres fondations
- Créer un cadre de vie aligné avec son authenticité et ses valeurs, en s’inspirant éventuellement de ses apprentissages passés.
- Comprendre que poser des limites personnelles permet d’agir de façon cohérente et ouverte.
- S’appuyer sur son ressenti, son intuition et sa perception pour tracer sa propre voie.
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Oser briller par soi-même
- Assumer la responsabilité de ses choix et de leur conséquence, sans se cacher derrière des excuses ou des dépendances.
- Comprendre que l’autonomie est une opportunité de vivre un parcours sincère et aligné avec soi-même.
- Partager avec les autres depuis un espace de clarté et d’intégrité intérieure.
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Invitation au voyage intérieur
- Il ne s’agit pas de rompre avec le passé, mais de le transcender avec bienveillance et courage.
- Oser poser les limites nécessaires pour faire éclore son potentiel et affirmer sa propre voie.
- Encouragement à choisir l’autonomie et à honorer sa singularité.
Résumé synthétique :
Carine Allain invite à reconnaître la richesse et les limites de l’héritage familial, à s’autoriser à écouter sa voix intérieure et à poser ses propres fondations pour trouver l’équilibre entre loyauté et liberté. Elle encourage à transcender le « karma familial » par un travail de tri, de courage et d’authenticité, pour devenir pleinement acteur de sa propre vie.
sommes nous capables de nous adapter aux changement que nous demandons ?
Voici ce que je trouve être une bonne explication du complotisme...
c'est un problème des gens qui ont un besoin de dominer le monde mais qui ne l'assument pas !
.. donc par résonance avec ce besoin refoulé, hop.... le complotiste se méfie de tout ce qui ressemble à de la domination... donc il voit partout des gens qui tentent de dominer les autres... vu que lui n'arrive pas a avoir et assumer son propre pouvoir.
Ça peut aller jusqu'au point où c'est lié à la survie.... l'envie de voir se monde détruit pour en être le seul survivant et devenir le dominant du nouveau monde !
Le cœur et la raison
La force du mental vient de son côté rationnel, c'est-à-dire de sa capacité à prendre un événement et a le mettre dans l'espace et le temps, dans la cause et l'effet.
L'humain est aussi un être ayant une force émotionnelle, permettant de vivre et de ressentir l'événement, donc de le situer en terme de nocif ou nourrissant pour soi, de bon ou mauvais en terme d'apprentissage.
Séparer les deux, est une illusion : toute pensée mentale est forcément empreinte de l'émotion qui y est rattachée ; toute émotion a une forme de rationalité.
La conscience est le lien entre les deux : le niveau permettant de vivre son harmonie personnelle entre ce que la raison et ce que le cœur cherchent ensembles.