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L'un des problèmes du radar à synthèse d'ouverture (SAR) est qu'en raison de la faible pénétration des ondes électromagnétiques à l'intérieur des corps solides, il n'est pas possible d'observer l'intérieur des cibles distribuées.
Dans ces conditions, l'action d'imagerie n'est possible que sur la surface des cibles distribuées. Le présent travail décrit une méthode d'imagerie basée sur l'analyse des micro-mouvements sur la pyramide de Khnum-Khufu, qui sont généralement générés par les ondes sismiques de fond.
Les résultats obtenus s'avèrent très prometteurs, puisqu'une imagerie tomographique 3D complète à haute résolution de l'intérieur et du sous-sol de la pyramide a été réalisée. Khnum-Khufu devient transparent lorsqu'il est observé dans le domaine des micro-mouvements.
Sur la base de cette nouveauté, nous avons complètement reconstruit les objets internes, en observant et en mesurant des structures qui n'avaient jamais été découvertes auparavant. Les résultats expérimentaux sont estimés en traitant des séries d'images SAR du système satellitaire italien de deuxième génération COSMO-SkyMed, démontrant l'efficacité de la méthode proposée.
Mots-clés :
radar à synthèse d'ouverture ; fréquences doppler ; analyse multi-chromatique ; micro-mouvement ; pyramide de Khnum-Khufu ; images soniques
https://www.youtube.com/watch?v=gmYoJV7lZAE
(résumé de la transcription de la vidéo généré par Copilot)
Le document parle d'une technique appelée "tomographie acoustique" qui est utilisée pour étudier l'intérieur de la Grande Pyramide de Khéops à Gizeh. Cette technique est similaire à une tomodensitométrie (TDM), mais au lieu d'utiliser des rayons X pour voir à travers le corps, elle utilise des vibrations de surface pour reconstruire ce qui se passe à l'intérieur de la pyramide.
Les chercheurs ont utilisé des données de radar pour détecter de légères vibrations à la surface de la pyramide. Ces vibrations peuvent ensuite être utilisées pour déterminer quels points à l'intérieur de la pyramide résonnent et causent ces mouvements de surface.
Il est important de noter que les chercheurs n'ont pas dû se rendre en Égypte pour effectuer ces mesures. Ils ont utilisé des données de satellite prises à environ 400 miles au-dessus du sol.
C'est une étude sérieuse qui mérite un examen attentif. Cependant, le document ne précise pas comment les chercheurs ont effectué certains calculs, ce qui pourrait être un oubli majeur. Il est possible que ces détails soient mentionnés dans un autre document auquel ils font référence.
http://dx.doi.org/10.1063/1.5026556
La réponse résonante de la Grande Pyramide interagissant avec des ondes électromagnétiques externes de la gamme des radiofréquences (la gamme des longueurs d'onde est de 200 à 600 m) est étudiée théoriquement.
À l'aide de simulations numériques et d'une décomposition multipolaire, on constate que les spectres des sections transversales d'extinction et de diffusion comprennent des caractéristiques de résonance associées à l'excitation des moments dipolaires et quadripolaires électromagnétiques de la pyramide. Les distributions du champ électromagnétique à l'intérieur de la pyramide dans les conditions de résonance sont démontrées et discutées pour deux cas, lorsque la pyramide est située dans un espace homogène ou sur un substrat.
Il s'avère que les chambres de la pyramide peuvent collecter et concentrer l'énergie électromagnétique pour les deux conditions environnantes. Dans le cas d'une pyramide placée sur un substrat, l'énergie électromagnétique s'accumule dans les chambres aux longueurs d'onde les plus courtes, ce qui produit des maxima spectraux locaux pour les champs électriques et magnétiques. Il est démontré que, fondamentalement, la pyramide diffuse les ondes électromagnétiques et les concentre dans la région du substrat. La dépendance spectrale de l'effet de focalisation est discutée.
« Intrigant », la grande Pyramide de Gizeh concentre de l’énergie électromagnétique dans ses chambres internes
Et si l’intérieur de la Grande Pyramide de Gizeh pouvait concentrer les ondes électromagnétiques ? En tout cas, c’est ce que suggère une étude menée par l’université ITMO, en Russie.
La Grande Pyramide de Gizeh, également connue sous le nom de pyramide de Khéops, est la plus ancienne des sept merveilles du monde antique. Ce monument construit il y a plus de 4 500 ans par les Égyptiens de l’Antiquité mesure actuellement près de 137 mètres de haut. Au-delà de son aspect historique, le tombeau du pharaon Khéops, qui a régné sur l’Égypte vers 2600 av. J.-C, intrigue les scientifiques par sa mystérieuse structure. En collaboration avec des chercheurs du centre laser de Hanovre (Laser Zentrum Hannover), en Allemagne, des scientifiques de l’Université d’État en technologie de l’information, mécanique et optique de Saint-Pétersbourg (ITMO), en Russie, ont évalué la capacité de l’édifice à concentrer l’énergie électrique et magnétique.
Un phénomène intrigant
L’équipe a détaillé les résultats de leurs travaux dans une étude parue dans le Journal of Applied Physics. Pour ce faire, ils ont créé un modèle pour simuler la pyramide sous forme de calcaire solide sans compartiments internes. Ils ont ensuite étudié l’impact de l’éventuelle présence de cavités internes sur les ondes radioélectriques. Concrètement, les chercheurs ont évalué les interactions avec des ondes électromagnétiques ayant une longueur de résonance allant de 200 m à 600 m. Les simulations ont montré que les compartiments internes agissaient comme des résonateurs, concentrant l’énergie électromagnétique à l’intérieur de la pyramide.
"L'histoire de l'étude de ces puits commence en septembre 1872, lorsque l'ingénieur britannique Waynman Dixon découvre les ouvertures des puits nord et sud de la Chambre de la Reine. Dixon a fait passer un fil de fer à travers les joints de la maçonnerie du mur sud et s'est rendu compte qu'il y avait un espace creux derrière. Il a alors ciselé le mur pour révéler le puits. Il chercha un puits dans la zone équivalente du mur nord et en trouva un. Lorsqu'il allume une bougie et la place dans le puits sud, il y a un léger courant d'air.
Dans le puits sud, Dixon et son associé James Grant ont trouvé un petit crochet en bronze. Dans le puits nord, ils trouvèrent une boule de granit et un morceau de bois ressemblant à du cèdre. Ces objets sont connus sous le nom de "reliques de Dixon". Les deux ensembles d'artefacts gisaient parmi les décombres au fond du puits incliné. Les reliques ont été transportées en Angleterre, enregistrées par l'astronome Royal Scotland, puis renvoyées à Dixon - après quoi elles ont disparu. La découverte des reliques a été rapportée dans "Nature" le 26 décembre 1872, avec un dessin des objets.
En 1993, des recherches ont permis de retrouver la balle et le crochet au British Museum, où ils se trouvent encore aujourd'hui. Le morceau de bois ressemblant à du cèdre est resté introuvable jusqu'en 2001, date à laquelle on a retrouvé sa trace au Marischal Museum d'Aberdeen. Bien qu'ils soient sûrs qu'il se trouve dans leur collection, ils ne l'ont pas encore localisé car ils sont en train de déménager."
<a href="http://www.guardians.net/hawass/articles/secret_doors_inside_the_great_pyramid.htm" rel="noreferrer nofollow
As John West kindly reported in his open letter to Stower I have changed my views on the validity of the forgery theory. The relieving chambers are strictly off limits to the public and are extremely difficult to gain access to. I had been unable to obtain permission to visit them prior to the publication of Keeper/Message in 1996. However, in December 1997, Dr Zahi Hawass allowed me to spend an entire day exploring these chambers. There were no restrictions on where I looked and I had ample time to examine the hieroglyphs closely, under powerful lights. Cracks in some of the joints reveal hieroglyphs set far back into the masonry. No ‘forger’ could possibly have reached in there after the blocks had been set in place – blocks, I should add, that weigh tens of tons each and that are immovably interlinked with one another. The only reasonable conclusion is the one which orthodox Egyptologists have already long held – namely that the hieroglyphs are genuine Old Kingdom graffiti and that they were daubed on the blocks before construction began.
I have stated my view on this matter several times in public lectures during and indeed before 1998. In my September 1998 book "Heaven’s Mirror" (with photographer Santha Faiia), and in the accompanying television series "Quest for the Lost Civilization", I likewise make absolutely clear my full acceptance that the Great Pyramid (or at any rate most of it) was built during the Fourth Dynasty.
Comme John West l'a aimablement rapporté dans sa lettre ouverte à Stower, j'ai changé d'avis sur la validité de la théorie de la falsification. Les chambres de décharge sont strictement interdites au public et il est extrêmement difficile d'y accéder. Je n'avais pas pu obtenir l'autorisation de les visiter avant la publication de Keeper/Message en 1996.
Cependant, en décembre 1997, le Dr Zahi Hawass m'a permis de passer une journée entière à explorer ces chambres. Il n'y avait aucune restriction quant à l'endroit où je regardais et j'ai eu amplement le temps d'examiner les hiéroglyphes de près, sous de puissants éclairages. Des fissures dans certains joints révèlent des hiéroglyphes placés loin dans la maçonnerie. Aucun "faussaire" n'a pu y pénétrer après la mise en place des blocs, des blocs qui pèsent des dizaines de tonnes chacun et qui sont imbriqués les uns dans les autres de manière inamovible. La seule conclusion raisonnable est celle que les égyptologues orthodoxes soutiennent depuis longtemps déjà, à savoir que les hiéroglyphes sont d'authentiques graffitis de l'Ancien Empire et qu'ils ont été tracés sur les blocs avant le début de la construction.
J'ai exposé mon point de vue sur cette question à plusieurs reprises lors de conférences publiques pendant et même avant 1998. Dans mon livre de septembre 1998 "Heaven's Mirror" (avec le photographe Santha Faiia), et dans la série télévisée "Quest for the Lost Civilization" qui l'accompagne, j'affirme également très clairement que je suis tout à fait d'accord pour dire que la Grande Pyramide (ou en tout cas la plus grande partie) a été construite au cours de la quatrième dynastie.
eut enuiede les démolir , ou po^r le
moins quelqu’vne d’elles , afin de
sçauoir ce qui estoit dedans. Sur-
quoy on luy parla ainsi. Vous de-
íìrezvne chose qui ne vous est pas
possible. Si vous l’entreprenez 8c
que vous n’en venie? pas à bout.
Ce fera vne honte au Commandeur
des Fidelles. A quoy il refpondit,
Ie ne puis me passer d en defcouurir
quelque chose, ll fit donc trauailler
à labreche , qui y estoit desia com
mencée, & y fi t de grandes defpen-
fes. Car ils allumoientdiifeufur la
pierre , puis ils y iettoient da vinai
gre , & battoient en fuite la place
aucc les machines. La largeur de la
muraille fe trouna de vingt coudées,
à la mesure des Geometres. Apres
qu’ils furent paruenus au hautesta.
ge de la Pyramide , ils trouuerent
derriere la breche vn bassin vert,
dans lequel il y auoit des deniers
d’or, pefans chacun vne once à nos
poids ordinaires ; 6c le nombre de
ces deniers fe monta iufques à
mille.
Hérodote évoque, en des termes assez explicites, la présence et l’emplacement du tombeau de Khéops dans des « édifices souterrains qu’il fit faire, pour lui servir de sépulture, dans une île formée par les eaux du Nil, qu’il y introduisit par un canal« . Hérodote répète cette information lorsqu’il parle de la pyramide de Khéphren, disant qu’ « elle n’a ni édifices souterrains, ni canal qui y conduise les eaux du Nil; au lieu que l’autre, où l’on dit qu’est le tombeau de Chéops [nous conservons ici l’orthographe du traducteur], se trouve dans une île, et qu’elle est environnée des eaux du Nil, qui s’y rendent par un canal construit à ce dessein