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Berne, le 28 octobre 2022
À nos représentants au Conseil national et au Conseil des États
Mesdames et Messieurs
Le 10 octobre 2022, Janine Small, une responsable de Pfizer, a reconnu devant le Parlement européen que le vaccin contre le Covid n’avait jamais fait l’objet d’études pour savoir s’il empêchait la contagion. De même, selon une demande adressée à Swissmedic par la Weltwoche, l'efficacité du vaccin de Moderna n'a jamais été testée.
Trois jours plus tard, la Commission européenne le confirmait lors d’une audition officielle: la vaccination ne protège ni de la transmission ni de l’infection.
Nous vous demandons également…
Au vu de ce scandale, nous vous demandons instamment d’assumer enfin la mission de surveillance de l’exécutif qui vous incombe en qualité de parlementaire.
D’après l’art. 169 de la Constitution fédérale, vous exercez «la haute surveillance sur le Conseil fédéral et l’administration fédérale, les tribunaux fédéraux et les autres organes ou personnes auxquels sont confiées des tâches de la Confédération.»
Vous vous devez d’intervenir.
Se basant sur une désinformation massive, le Conseil fédéral et les instances responsables ont tenté d’obliger des millions de personnes à se faire vacciner, et ce à plusieurs reprises.
Ceux qui refusaient de participer à ce qu’il faut bien appeler une expérience sur l’être humain ont été exclus de la vie en société.
C'est une violation manifeste de plusieurs droits fondamentaux.
Constamment insultés et dénigrés dans les médias, traités d’égoïstes, d’«antivax», la conseillère d’État zurichoise Natalie Rickli voulait qu’ils renoncent à être soignés à l’hôpital et le conseiller aux États Thierry Burkart qu’ils «passent après les autres» dans les services de soins intensifs. Ruth Humbel, conseillère nationale, proposait que les personnes non vaccinées rédigent des directives anticipées attestant qu'elles renonçaient aux soins intensifs en cas de forme grave. Ces quelques exemples parmi d’autres tout aussi préoccupants sont révélateurs de la violence qui s’est déchaînée contre les non-vaccinés.
Nous vous demandons également…
…d’agir au plus vite pour que toute la lumière soit faite, en toute indépendance, sur les souffrances engendrées par les mesures étatiques concernant le Covid-19 et qu’une réparation complète ait lieu.
En plus du tort causé aux personnes, le Conseil fédéral a gaspillé des milliards de deniers publics. Il a commandé les doses vaccinales alors que des études avaient déjà révélé de sérieux doutes quant au vaccin. Les entreprises pharmaceutiques ont engrangé des bénéfices astronomiques sur la base de contrats qui n’ont à l’heure actuelle toujours pas été dévoilés. Là aussi, nous exigeons une transparence totale.
Pendant ce temps, les personnes vaccinées ont encouru le risque de souffrir d’effets secondaires, sans bénéficier d’une quelconque protection vaccinale. Tout le monde a pu constater que l’on tombait malade malgré le vaccin et le booster, ou peut-être même à cause d’eux. De plus, il n’est pas prouvé non plus que le vaccin protège des formes graves, comme certains l’affirment aujourd’hui.
Tout le récit officiel autour du vaccin anti-Covid s’avère mensonger..
La société dans son ensemble en a subi, et en subit toujours, des conséquences incalculables. Il ne tient qu’à vous d’assumer votre responsabilité politique et de veiller à un réexamen sans concessions et en toute transparence de ce qui s’est passé.
Avec nos meilleures salutations
Prisca Guanter Co-présidente
Dr. Christina Rüdiger, Membre du Comité
Pourquoi dire plusieurs fois "on a amélioré" "on a + d'efficacité".... et en même temps dire "on pige pas 5'UTR et 3'UTR"... c'est très très prétentieux !!!
C'est les mêmes qui disaient il y a 15 ans que l'ADN non codant est de l'ADN poubelle.... juste par ce qu'on veut pas accepter qu'on a pas compris.
Etant ingénieur en télécom. Je reconnais ici beaucoup de similitudes avec les protocoles informatiques. Les AAAAA... A la fin c'est comme le TTL des paquets IP, à chaque routeur on diminue le nombre. Sans ce mécanisme on tourne l'infini et ce serait le meilleure moyen de créer des cellules cancereuses... des tumeurs qui se répliquent à l'infini... donc j'espère qu'il y a vraiment un savant calcul et pas une estimation au doigt mouillé.... mais rien ne le prouve.
Dire qu'on a fait mieux en modifiant les codons je trouve ça très très dangereux. Car si justement il y a 64 possibilités de code pour 21 protéine/acide aminé.. c'est qu'il y une raison. Tout le reste est tellement bien conçu que c'est pas au hasard. (c'est la même logique stupide que de parler d'ADN poubelle quand on comprends pas).
Or, en télécom,. On ne fait pas toujours passer le signal en "bande de base". Soit en direct. Mais on l'encode, on le module pour des raison électrique, pour des raisons de synchronisation d'horloge. On a des code comme le NRZ (Non Return to Zero) ou le code manchester. Bref... on a besoin de toutes ces possibilités redondantes offertes par les synonymes pour garantir qu'on puisse transmettre le signal dans de bonnes conditions et sur des plus grandes distances.
J'ai l'impression que les généticiens ne connaissent pas les pratiquent en télécom et devraient s'en inspirer.... Il est connu que partout dans la nature la proportion dorée est présente. On la retrouve naturellement dans l'ADN sous forme des dimension de la double spirale, mais aussi de la proportion des base ACGT. Après avoir imaginé ceci. J'ai vu une vidéo de Montagnier qui allait dans ce sens. Donc j'étais content d'avoir la confirmation d'un généticien.
Dans l'ARN il est fort probable que justement les synonymes sont utilisés. Pour équilibrer les bases sur des critères de correction d'erreur. Ça du sens en télécom.
D'ailleurs le "footer qui est hyper important mais dont on ne sais pas à quoi ça sert"..... pff... il suffit de regarder en télécom. C'est le CRC. Le code correcteur d'erreur. Piquer celui d'un autre va juste faire qu'on ne peut plus détecter et corriger les erreurs. Donc le paquet va être instable ou rejeté.
Donc c'est très intéressant. Mais là je vois encore plein de pratiques dignes de l'apprenti sorcier !! ça fait un peu peur.
Pour revoir le détail, retournons à l'article de base source de cette conférence...
https://renaudguerin.net/posts/explorons-le-code-source-du-vaccin-biontech-pfizer-sars-cov-2/
Le PDG de Pfizer Albert Bourla a vendu pour 5,6 millions de dollars (4,76 millions d'euros) d'actions du laboratoire américain, le jour de l'annonce par le groupe de bons résultats préliminaires sur l'efficacité d'un vaccin contre le Covid-19, a-t-on appris mercredi 11 novembre 2020.
Selon un document déposé auprès des autorités boursières américaines de la SEC, Albert Bourla a vendu 132 508 titres au prix de 41,94 dollars à Wall Street, équivalant à près de 5,6 millions de dollars. La vice-présidente des laboratoires, Sally Susman, a aussi cédé lundi pour 1,8 million de dollars, vendant 43 662 titres.
Des ventes automatiquement programmées selon l'entreprise
L'action Pfizer s'était envolée lundi de plus de 7% lorsque que le laboratoire américain avait annoncé que son vaccin développé avec la compagnie allemande BioNTech était "efficace" à 90% contre le Covid-19.
https://edition.cnn.com/2020/11/11/investing/pfizer-ceo-albert-bourla-stock-sale-vaccine/index.html
https://www.sec.gov/Archives/edgar/data/78003/000122520820013318/xslF345X03/doc4.xml
Pfizer partenaire de la lutte contre la «désinformation» sur Facebook
Depuis le début de la pandémie de Covid, les utilisateurs du réseau social de Mark Zuckerberg sont nombreux à connaître la censure. Le National Pulse révèle que, parmi les partenaires du géant bleu dans la lutte contre la désinformation, on trouve notamment l’industrie pharmaceutique la plus en vue de ces dernières années.
Début février 2021, Facebook annonçait avoir durci ses règles de modération contre les fake news, afin de soutenir les campagnes de vaccination. Ces renforcements – qui s’appliquent également à Instagram – sont toujours en cours et consistent à supprimer toute information qui mettrait en doute l’innocuité des vaccins.
Les utilisateurs du réseau social sont nombreux à avoir subi des représailles après avoir partagé des contenus jugés «contraires aux règles de la communauté». Celles-ci se matérialisent sous la forme de blocage ou de suppression des publications, de bannissement pour une période donnée, jusqu’à l’exil définitif de la plateforme.
Pour s’aider dans cette tâche, Facebook a conclut des partenariats avec plusieurs organismes censés assurer un fact-checking, dont l’International Center for Journalists (ICFJ). Comme le rapporte le National Pulse, ce dernier est notamment sponsorisé par… Pfizer.
La relation financière de l’ICFJ avec Pfizer remonte au moins à 2008, lorsque le centre s'est associé à la firme pharmaceutique pour un «atelier de formation sur la couverture journalistique des questions de santé» dans toute l'Amérique latine. Pfizer était alors l’unique sponsor de l’atelier, qui contenait également des reportages sur les «maladies cardiovasculaires».
«Les liens financiers découverts entre Pfizer et l'opération de vérification des faits de Facebook font suite à d'autres conflits d'intérêts entre le géant pharmaceutique et des organes d'information, dont Reuters», rapportent nos confrères.
En Suisse aussi, des liens entre médias et industries pharmaceutiques existent. Le Temps et Heidi.news appartiennent désormais à la fondation Aventinus. Laquelle est notamment financée par la fondation Jan Michalski «pilotée par l’éditrice Vera Michalski-Hoffmann qui est aussi une des héritières des fondateurs de la pharma Roche», écrivait l’Agefi en novembre 2020. Quant aux liens de la NZZ avec Novartis, celle-ci se refuse à commenter.
L'OFSP perd la procédure
Les contrats avec Moderna et Pfizer devront être rendus publics
Toute la résistance de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) n'aura servi à rien. Le Préposé fédéral à la transparence veut que les contrats conclus par la Confédération avec les fabricants de vaccins soient transparents.
L’association pharmaceutique émet de grandes réserves
Logiquement, Interpharma a fait part de ses réticences. L’association des entreprises pharmaceutiques suisses pratiquant la recherche craint que la publication des contrats entraîne de «graves conséquences». La Confédération et les entreprises pharmaceutiques concernées auraient convenu que les échanges restent confidentiels. «Nous sommes d’avis que les contrats doivent être respectés par les deux parties», explique l’association à CH-Media.
«En cas de publication, la Suisse serait éventuellement en position de rupture de contrat, ce qui nuirait à la fiabilité de notre pays en tant que partenaire contractuel et pourrait avoir des conséquences à long terme pour nous tous», craint Interpharma. Il se pourrait par exemple que la Suisse passe au second plan lors de futurs achats de médicaments et de vaccins. Pour Interpharma, cela signifierait que «les patientes et les patients devraient attendre plus longtemps des innovations qui, dans certaines circonstances, pourraient leur sauver la vie».
qui est le banquier de pfizer en france
Coronavirus : l’Algérie accuse Pfizer de chantage
13 mai 2021 à 17:45
Par Jeune Afrique
Mis à jour le 13 mai 2021 à 17:52
Abderrahmane Benbouzid, le ministre de la Santé algérien, s’explique sur l’absence du vaccin Pfizer dans son pays. © DR
Alors que le pays connaît un léger rebond des contaminations au Covid-19 depuis quelques jours, le ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid a déclaré que le géant pharmaceutique aurait imposé des conditions préalables à la fourniture de vaccins « inacceptables » pour l’Algérie.
Interrogé, jeudi 13 mai 2021, sur la campagne de vaccination qui tourne au ralenti en Algérie, le professeur Abderrahmane Benbouzid révèle que Pfizer a posé des conditions pour la livraison des doses de vaccin : « En novembre [2020], nous avons convenu [un accord] avec Pfizer, mais il nous a mis dans une situation que nous ne pouvions pas accepter dans la mesure où il nous a demandé d’acheter un certain nombre de vaccins, de payer en avance et d’exonérer totalement Pfizer de toutes poursuites dans le cas où le vaccin aurait des travers. Nous ne l’avons pas accepté, nous ne l’acceptons toujours pas. »
C’est la première fois qu’un responsable algérien donne des précisions sur l’absence en Algérie de ce vaccin produit par ce laboratoire américain. Contacté par Jeune Afrique, Pfizer France indique qu’elle n’est pas concernée par les propos du ministre algérien.
Sinopharm et Sputnik V
Le ministre de la Santé défend la démarche des autorités dans l’acquisition des vaccins. « Nous avons, dès début août [2020], engagé les prospections en invitant les ambassadeurs d’Angleterre, de Russie, de Chine, ainsi que tous les laboratoires, en signant des mémorandums, ajoute Benbouzid. Pour le reste, nous avons commencé le 20 décembre. M. le président de la République nous a demandé de ramener le vaccin pour janvier. « Nous avons engagé très intensément des discussions avec la Chine pour Sinopharm, avec AstraZeneca, Gamaleya ou le fonds d’investissement direct russe qui fait le vaccin Sputnik V. » L’Algérie a finalement opté pour les fabricants chinois et russes.
Par ailleurs, le pays a reçu un don de 200 000 doses des Chinois (Sinopharm) ainsi que son quota de plus de 300 000 vaccins dans le cadre du système Covax (AstraZeneca).
Violation Tracker Parent Company Summary
Parent Company Name:
Pfizer
Ownership Structure:
publicly traded (ticker symbol PFE)
Headquartered in:
New York
Major Industry:
pharmaceuticals
Specific Industry:
pharmaceuticals
Penalty total since 2000:
$4,660,896,333
Number of records:
71
EN BREF...
L'HISTOIRE :
Une autre horrible découverte a été faite concernant le faux-vaccin COVID : la présence d'une forme de vie à base d'aluminium et de tentacules.
LES IMPLICATIONS :
Les rapports et les analyses affluent régulièrement et montrent des preuves accablantes que le vaccin COVID est un outil par lequel des parasites et des formes de vie synthétiques sont injectés dans le corps humain.
Forme de vie du vaccin COVID
Une autre forme de vie étrange du vaccin COVID a été découverte au microscope. Il s'agit d'une autre créature à tentacules - et d'une forme de vie à base d'aluminium.
Une autre étrange forme de vie du vaccin COVID
a été découverte au microscope, cette fois-ci à base d'aluminium et de carbone. La découverte a été faite par un médecin polonais du nom de Dr Franc Zalewski. Tout au long de sa présentation vidéo, il l'appelle "la chose". Il l'a trouvé dans le vaccin Pfizer Comirnaty, dans une des trois fioles qu'il a étudiées. La découverte du Dr Zalewski vient s'ajouter aux recherches de nombreux autres médecins, scientifiques et chercheurs indépendants (Dr Robert Young, Dr Carrie Madej, Dr Zandre Botha et Dr John B.) qui ont également découvert que le vaccin COVID contient toutes sortes de contenus douteux et carrément horribles - graphène, nanomètres, PEG, parasites, créatures autopropulsées avec des tentacules, fibres synthétiques et structures circulaires synthétiques auto-assemblées.
Forme de vie du vaccin COVID : "La chose" d'aluminium, de brome et de carbone.
Quelle est donc cette chose ? Comme ce que Madej a trouvé au microscope, c'est une sorte de créature synthétique avec des tentacules. Zalewski la compare à un film de science-fiction, dont Matrix, qui contient une entité qui "vole, a des tentacules et s'attache à d'autres choses". Dans ce cas, Zalewski a soigneusement mesuré "la chose" et découvert le rapport entre sa tête et ses jambes (une tête de 20 microns/micromètres pour des jambes de 2,5 millimètres, soit un rapport de 1:125). Il pense que "la chose" va grandir et se développer à l'intérieur du corps des gens, en faisant des commentaires :
"Il semble avoir une tête et 3 jambes ... Il n'a pas été créé pour rester assis là et ne rien faire ... C'est une forme de vie ... Il a grandi/développé en 4 jours ... Est-ce une plante ? De la poussière ? Un être donné aux gens sous forme d'oeufs dans un environnement fertile/convenable. Quelque part à proximité, il pourrait y avoir une sorte de signal qui a fait que cet être a commencé à vivre. Tout comme les graines de pomme de pin ne pousseront pas si elles ne se trouvent pas dans un environnement approprié sur un sol fertile, la même "chose" semble ne pas bouger. Elle est peut-être en sommeil... J'espère qu'elle ne sera pas activée."
google translate:
https://thefreedomarticles-com.translate.goog/covid-vaccine-life-form-aluminum-carbon-pfizer-comirnaty-shot/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=nui
Le nouveau candidat traitement antiviral oral COVID-19 de Pfizer a réduit le risque d'hospitalisation ou de décès de 89% dans l'analyse intermédiaire de l'étude de phase 2/3 EPIC-HR
Vendredi, 05 Novembre 2021 - 06:45am
PAXLOVID™ (PF-07321332 ; ritonavir) s'est avéré réduire le risque d'hospitalisation ou de décès de 89 % par rapport au placebo chez les adultes à haut risque non hospitalisés sous COVID-19.
Dans la population globale de l'étude jusqu'au 28e jour, aucun décès n'a été signalé chez les patients ayant reçu PAXLOVID™, contre 10 décès chez les patients ayant reçu le placebo.
Pfizer prévoit de soumettre les données dans le cadre de sa soumission continue à la FDA américaine pour une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) dès que possible.
NEW YORK--(BUSINESS WIRE)-- Pfizer Inc. (NYSE : PFE) a annoncé aujourd'hui que son nouveau candidat antiviral oral expérimental COVID-19, PAXLOVID™, a réduit de manière significative les hospitalisations et les décès, selon une analyse intermédiaire de l'étude de phase 2/3 EPIC-HR (Evaluation of Protease Inhibition for COVID-19 in High-Risk Patients), randomisée en double aveugle, menée auprès de patients adultes non hospitalisés atteints de COVID-19, qui présentent un risque élevé d'évolution vers une maladie grave. L'analyse intermédiaire programmée a montré une réduction de 89 % du risque d'hospitalisation ou de décès lié au COVID-19, quelle qu'en soit la cause, par rapport au placebo, chez les patients traités dans les trois jours suivant l'apparition des symptômes (critère principal) ; 0,8 % des patients ayant reçu PAXLOVID™ ont été hospitalisés jusqu'au 28e jour suivant la randomisation (3/389 hospitalisés sans décès), contre 7,0 % des patients ayant reçu le placebo et ayant été hospitalisés ou étant décédés (27/385 hospitalisés avec 7 décès ultérieurs). La signification statistique de ces résultats était élevée (p<0,0001). Des réductions similaires des hospitalisations ou des décès liés au COVID-19 ont été observées chez les patients traités dans les cinq jours suivant l'apparition des symptômes ; 1,0 % des patients ayant reçu PAXLOVID™ ont été hospitalisés jusqu'au 28ème jour suivant la randomisation (6/607 hospitalisés, sans décès), contre 6,7 % des patients ayant reçu un placebo (41/612 hospitalisés avec 10 décès ultérieurs), avec une signification statistique élevée (p<0,0001). Dans la population globale de l'étude jusqu'au 28e jour, aucun décès n'a été signalé chez les patients ayant reçu PAXLOVID™, contre 10 (1,6 %) décès chez les patients ayant reçu un placebo.
Sur recommandation d'un comité indépendant de surveillance des données et en consultation avec la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, Pfizer va cesser de recruter de nouveaux patients dans l'étude en raison de l'efficacité écrasante démontrée dans ces résultats et prévoit de soumettre les données dans le cadre de sa soumission continue à la FDA des États-Unis pour une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) dès que possible.
Un nouveau traitement en vue dans la lutte contre la pandémie de Covid-19. Le laboratoire américain Pfizer a annoncé dans un communiqué, vendredi 5 novembre, que son antiviral contre le Sars-CoV-2 était efficace à 89% pour prévenir le risque d'hospitalisation ou de décès, selon les premiers résultats d'essais cliniques.
L'entreprise a déclaré avoir l'intention de fournir ces résultats "dès que possible" à l'Agence américaine des médicaments (FDA) en vue d'une demande d'autorisation de ce traitement par voie orale baptisé Paxlovid. Il s'agit du deuxième traitement de ce type à démontrer des résultats positifs, après le comprimé développé par Merck, qui a été autorisé jeudi dans un premier pays, au Royaume-Uni.
Les premiers résultats de Pfizer sont fondés sur des essais cliniques sur un peu plus de 1 200 adultes ayant contracté le Covid-19 et présentant un risque de développer un cas grave de la maladie. Dans les quelques jours suivant l'apparition des symptômes, certains ont reçu la pilule de Pfizer, et d'autres un placebo. L'essai comportera au total 3 000 personnes, mais les recrutements ont désormais été stoppés "face à l'efficacité écrasante" du traitement dans les premiers résultats, a dit Pfizer.
Contexte
L'infection par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) et la maladie coronavirale 2019 (Covid-19) qui en résulte ont touché des dizaines de millions de personnes dans le cadre d'une pandémie mondiale. Des vaccins sûrs et efficaces sont nécessaires de toute urgence.
Méthodes
Dans le cadre d'un essai d'efficacité pivotant multinational en cours, contrôlé par placebo et en aveugle, nous avons assigné au hasard des personnes âgées de 16 ans ou plus dans un rapport de 1:1 à recevoir deux doses, à 21 jours d'intervalle, soit de placebo, soit du vaccin candidat BNT162b2 (30 μg par dose). Le BNT162b2 est un vaccin lipidique à base d'ARN modifié par des nucléosides et formulé sous forme de nanoparticules, qui code pour une protéine de pointe pleine longueur du SRAS-CoV-2 stabilisée par préfusion et ancrée dans la membrane. Les principaux critères d'évaluation étaient l'efficacité du vaccin contre le Covid-19 confirmé en laboratoire et l'innocuité.
Résultats
Au total, 43 548 participants ont été soumis à une randomisation, dont 43 448 ont reçu des injections : 21.720 avec du BNT162b2 et 21.728 avec un placebo. Il y a eu 8 cas de Covid-19 avec apparition au moins 7 jours après la deuxième dose parmi les participants assignés à recevoir le BNT162b2 et 162 cas parmi ceux assignés au placebo ; le BNT162b2 était efficace à 95% pour prévenir le Covid-19 (intervalle crédible à 95%, 90,3 à 97,6). Une efficacité similaire du vaccin (généralement de 90 à 100 %) a été observée dans les sous-groupes définis par l'âge, le sexe, la race, l'origine ethnique, l'indice de masse corporelle de base et la présence d'affections coexistantes. Parmi les 10 cas de Covid-19 grave avec apparition après la première dose, 9 sont survenus chez des receveurs de placebo et 1 chez un receveur de BNT162b2. Le profil de sécurité du BNT162b2 était caractérisé par une douleur de courte durée, légère à modérée, au point d'injection, de la fatigue et des maux de tête. L'incidence des effets indésirables graves était faible et similaire dans les groupes vaccin et placebo.
Conclusions
Un régime de deux doses de BNT162b2 a conféré une protection de 95% contre Covid-19 chez les personnes de 16 ans ou plus. La sécurité sur une période médiane de 2 mois était similaire à celle des autres vaccins viraux. (Financé par BioNTech et Pfizer ; numéro ClinicalTrials.gov, NCT04368728. s'ouvre dans un nouvel onglet).
Entre le 27 juillet 2020 et le 14 novembre 2020, un total de 44 820 personnes ont été dépistées et 43 548 personnes âgées de 16 ans ou plus ont été randomisées dans 152 sites dans le monde entier (États-Unis, 130 sites ; Argentine, 1 ; Brésil, 2 ; Afrique du Sud, 4 ; Allemagne, 6 ; et Turquie, 9) dans la partie phase 2/3 de l'essai. Au total, 43 448 participants ont reçu des injections : 21 720 ont reçu du BNT162b2 et 21 728 un placebo (figure 1). À la date limite de réception des données, le 9 octobre, un total de 37 706 participants disposaient d'une médiane d'au moins 2 mois de données de sécurité après la deuxième dose et ont contribué à l'ensemble principal de données de sécurité. Parmi ces 37 706 participants, 49% étaient des femmes, 83% étaient de race blanche, 9% étaient noirs ou afro-américains, 28% étaient hispaniques ou latinos, 35% étaient obèses (indice de masse corporelle [le poids en kilogrammes divisé par le carré de la taille en mètres] d'au moins 30,0), et 21% avaient au moins une maladie coexistante. L'âge médian était de 52 ans, et 42 % des participants avaient plus de 55 ans (tableau 1 et tableau S2).