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L’objectif du ZUG DAY est simple : parcourir le pays en équipe, en récoltant des points grâce à diverses missions et défis tout au long de la journée.
Cette année le ZUG DAY aura lieu le 30 août !
Nous proposons deux courses !
En vertu des accords relatifs au marché
intérieur et à la coopération conclus avec l’UE, la Suisse peut participer de manière
ciblée aux domaines qui servent ses intérêts fondamentaux sans que les compétences
des cantons, de l’Assemblée fédérale, du Conseil fédéral, des tribunaux et du peuple
s’en trouvent restreintes. Elle a obtenu que la Confédération, les cantons et le Parle-
ment aient le droit de participer à la reprise dynamique du droit de l’UE, lui permet-
tant ainsi à l’avenir de prendre part au développement du droit qui fait et fera partie
de ces accords.
Prompt pour perplexity:
https://www.perplexity.ai/search/le-gouvernement-suisse-et-l-un-z9XUdGlRSziGEMCpAbnMpg
Le gouvernement suisse et l'union européenne a rédigé –secrètement– un accord de 1800 pages. Cette accord est enfin disponible au public.
C'est très long et technique.
J'aimerai bien en avoir les points clés surtout en ce qui concerne l'autonomie suisse. En suisse le souverain c'est le peuple. C'est pas le gouvernement.
Donc il faut absolument que le souverain suisse, le peuple puisse avoir le dernier mot dans lors d'une votation populaire.
J'aimerai savoir si cet accord remet en cause ce principe ?
Il y a une expression qui est utilisée que je ne comprends pas. Il s'agit de "reprise dynamique du droit de l’UE." Que signifie exactement cette expression et quelle conséquence juridique elle a ?
La référence vers cet accord est ici:
https://www.fedlex.admin.ch/fr/consultation-procedures/ongoing#https://fedlex.data.admin.ch/eli/dl/proj/2025/47/cons_1
Le rapport explicatif est en pièce jointe ici...
(8Mo.. il semble que j'ai atteint ma limite gratuite.. suis pas certain que le rapport entier ai passé.. et pour faire mieux, il faudrait faire donner à manger à une IA l'entier des 1800 pages des accords.. et pas juste un rapport explicatif évidemment tourné pour que l'accord soit accepté... mais voilà c'est un premier jet..)
Voici les points clés concernant l’accord entre la Suisse et l’Union européenne (UE) – souvent appelé le « paquet stabilisation et développement des relations Suisse-UE » –, en particulier sur la question de l’autonomie suisse, la place du peuple suisse comme souverain, et la signification de l’expression « reprise dynamique du droit de l’UE ».
Points clés de l’accord concernant l’autonomie suisse
- Maintien de la souveraineté populaire
Le rapport explicatif précise explicitement que les compétences constitutionnelles des cantons, de l’Assemblée fédérale, du Conseil fédéral, des tribunaux et surtout du peuple sont garanties. Les droits d’initiative et de référendum inscrits dans la Constitution suisse (art. 136, al. 2) restent pleinement applicables[1]. - Le peuple garde le dernier mot
Ni les différents accords ni les éléments institutionnels qu’ils contiennent ne peuvent empêcher le lancement d’une initiative populaire ou d’un référendum contre une reprise du droit de l’UE ou une adaptation de la loi rendue nécessaire par l’accord. Autrement dit, le peuple suisse conserve la possibilité de s’exprimer et d’avoir le dernier mot lors d’une votation populaire[1]. - Marge de manœuvre politique
L’objectif affiché de la Suisse est d’obtenir une participation réciproque optimale dans des domaines clairement définis du marché intérieur européen, tout en maintenant la plus grande marge de manœuvre politique possible[1].
Qu’est-ce que la « reprise dynamique du droit de l’UE » ?
- Définition
La « reprise dynamique du droit de l’UE » signifie que la Suisse s’engage à intégrer automatiquement, dans certains domaines couverts par les accords bilatéraux, les évolutions futures du droit européen (lois, règlements, directives, etc.)[1]. - Conséquences juridiques
- Participation au développement du droit européen : La Suisse obtient le droit de participer à l’élaboration des actes juridiques de l’UE (processus appelé « decision-shaping »), mais sans droit de vote formel[1].
- Intégration automatique : Les nouvelles règles européennes dans les domaines couverts par les accords seront intégrées dans le droit suisse, sauf si une procédure d’opposition est enclenchée (ce qui peut, dans certains cas, conduire à la dénonciation de l’accord concerné).
- Marge de manœuvre suisse : Même si la reprise est « dynamique », le rapport précise que la Suisse garde la possibilité de refuser une évolution du droit européen, notamment via le référendum ou l’initiative populaire, ce qui permet au peuple d’avoir le dernier mot[1].
- But
Cette disposition vise à garantir que le droit suisse reste aligné sur le droit européen dans les domaines concernés, afin d’éviter des divergences qui pourraient compromettre l’accès au marché intérieur.
Synthèse
- Le peuple suisse reste souverain : L’accord ne remet pas en cause la possibilité pour le peuple suisse de s’exprimer par votation populaire sur les questions européennes ou sur l’intégration de nouvelles règles européennes[1].
- La reprise dynamique n’est pas une soumission automatique : Elle implique une intégration des évolutions du droit européen, mais avec des mécanismes de contrôle et de veto (référendum, initiative) qui garantissent la souveraineté populaire[1].
- L’autonomie suisse est préservée : La Suisse garde une marge de manœuvre politique et juridique, et les droits démocratiques fondamentaux sont maintenus[1].
« Les droits d’initiative et de référendum inscrits dans la Constitution fédérale (art. 136, al. 2, Cst.) continuent d’être pleinement garantis. Ni les différents accords ni les éléments institutionnels qu’ils contiennent ne sauraient empêcher le lancement d’une initiative populaire visant à empêcher la reprise d’un développement pertinent du droit de l’UE dans l’accord concerné. De même, il sera possible, comme aujourd’hui, de lancer un référendum contre une telle reprise du droit ou contre une nouvelle loi ou une adaptation de la loi rendue nécessaire dans ce contexte. »[1]
En résumé :
L’accord ne remet pas en cause le principe selon lequel le peuple suisse est souverain. Il prévoit des mécanismes pour que le peuple puisse toujours avoir le dernier mot, y compris sur la reprise dynamique du droit de l’UE, qui consiste à intégrer les évolutions du droit européen dans le droit suisse, mais avec des garde-fous démocratiques[1].
[1] https://ppl-ai-file-upload.s3.amazonaws.com/web/direct-files/attachments/4014915/fe167509-e415-44f3-bcf2-8ee08eb9dfd7/paste.txt
[2] https://ppl-ai-file-upload.s3.amazonaws.com/web/direct-files/attachments/4014915/4d393355-f16b-47e3-a72c-59523b950b84/paste.txt
[3] https://www.europa.eda.admin.ch/fr/vue-densemble-des-accords-bilateraux
[4] https://www.swissinfo.ch/fre/politique-suisse/suisse-ue-o%C3%B9-en-sont-aujourdhui-les-accords-bilat%C3%A9raux/88718356
[5] https://www.blick.ch/fr/suisse/senses-renforcer-les-liens-avec-bruxelles-le-conseil-federal-donne-son-feu-vert-aux-accords-suisse-ue-id20958556.html
[6] https://www.economiesuisse.ch/fr/artikel/faktencheck-bilaterale-iii
[7] https://www.europe.ch/faits-questions-et-reponses-sur-le-paquet-daccords-entre-la-suisse-et-lunion-europeenne/
[8] https://agefi.com/actualites/opinions/les-defis-que-les-bilaterales-iii-posent-a-la-relation-suisse-ue
[9] https://www.rts.ch/info/suisse/2025/article/accords-bilateraux-suisse-ue-enjeux-et-controverses-expliques-28912414.html
[10] https://www.eda.admin.ch/eda/fr/dfae/dfae/aktuell/news.html/content/eda/fr/meta/news/2025/2/19/104201
[11] https://p-s-e.ch/fr/2025/02/11/suisse-union-europenne-contre-la-desinformation/
[12] https://www.swissinfo.ch/fre/politique-suisse/ce-qui-attend-la-suisse-les-grands-dossiers-politiques-de-2025/88596856
Publiziert: 08.06.2025, 07:02
Le patron du syndicat
"Catastrophe écologique" - Maillard accuse les Verts d'entraver la transition énergétique
Le groupe parlementaire des Verts a décidé cette semaine de soutenir l'accord sur l'électricité avec l'UE. Pierre-Yves Maillard attaque frontalement le parti pour cela : L'accord sur l'électricité pourrait conduire à devoir recourir à nouveau davantage au gaz, au pétrole, voire au charbon.
En bref :
- Le président de l'Union syndicale suisse met en garde contre les conséquences écologiques de l'accord européen sur l'électricité pour la Suisse.
- Selon Maillard, une libéralisation complète du marché pourrait entraîner une pénurie structurelle d'électricité.
- La cheffe du groupe parlementaire des Verts, Aline Trede, réplique.
- L'ex-présentateur de "Kassensturz", Ueli Schmezer, s'est lui aussi mêlé à la dispute.
Pour Pierre-Yves Maillard, président de l'Union syndicale suisse, le cas est clair depuis longtemps : la Suisse ne doit en aucun cas signer l'accord sur l'électricité avec l'UE. Car à long terme, l'électricité deviendrait plus chère pour les ménages et le risque de black-out augmenterait.
Il avance maintenant un autre argument qui devrait faire couler beaucoup d'encre au sein du camp de gauche : "Un tel accord sur l'électricité serait également une catastrophe du point de vue écologique", déclare Maillard. C'est une attaque frontale contre les milieux écologistes. Car cette semaine, le groupe des Verts au Parlement fédéral a décidé de soutenir l'accord européen sur l'électricité. "J'espère que les Verts reconsidéreront la décision de leur groupe parlementaire", déclare Maillard.
La raison pour laquelle le leader syndical prend position si tôt et si clairement contre l'accord sur l'électricité : En signant, la Suisse s'engagerait à libéraliser complètement le marché de l'électricité. Cela signifierait que même les ménages privés pourraient alors choisir eux-mêmes s'ils veulent s'approvisionner en électricité auprès d'Axpo, d'un fournisseur zurichois ou bernois, voire d'un fournisseur étranger enregistré ici.
Maillard n'y voit que des inconvénients : "Si les producteurs d'électricité locaux ne savent plus à long terme à qui ils peuvent vendre leur électricité et à quel prix, ils n'investiront plus dans de nouvelles installations". Et pourtant, c'est justement maintenant qu'il est urgent de construire de nouvelles centrales hydroélectriques, des éoliennes et des installations solaires.
Aline Trede, cheffe du groupe parlementaire des Verts, parle des auditions des candidats au Conseil fédéral en marge de la session de printemps 2025 à Berne.
"Juste l'inverse" : Aline Trede, cheffe du groupe parlementaire des Verts, contredit le leader syndical Maillard.
Le scénario sombre du chef syndical : dans un marché entièrement libéralisé, une pénurie structurelle d'électricité menace. En effet, du point de vue des producteurs, il est rentable de ne fournir que la quantité d'électricité nécessaire pour que les prix restent élevés. C'est la logique du marché, explique Maillard. "On produit alors juste ce qu'il faut pour faire du profit - et non plus ce qu'il faut pour assurer l'approvisionnement", poursuit le patron du syndicat. En conséquence, trop peu d'investissements sont réalisés dans de nouvelles installations, notamment dans les énergies renouvelables. "Au final, en cas d'urgence, nous devons à nouveau recourir au gaz, au pétrole ou même au charbon", déclare Maillard. "Accepter la libéralisation totale de l'électricité, c'est faire obstacle à la lutte contre le changement climatique". Et à l'adresse des Verts, il déclare : "Il serait surprenant que les forces écologistes n'en tiennent pas compte".
Le chef du groupe parlementaire des Verts : "C'est justement l'inverse"
Les Verts ne laissent pas passer l'attaque du chef syndical : "C'est justement l'inverse", déclare la cheffe du groupe Aline Trede. "Nous avons besoin d'un accord sur l'électricité pour faire avancer le tournant énergétique". Selon lui, le marché de l'électricité est déjà dynamique aujourd'hui, et il le sera encore plus à l'avenir. "S'il arrive par exemple qu'il y ait peu de soleil en Suisse, nous devons pouvoir acheter rapidement de l'électricité éolienne au Danemark et inversement". C'est précisément pour de tels cas qu'un accord sur l'électricité serait important selon Trede. Les groupes électriques et l'inspectrice de l'électricité Elcom sont également de cet avis.
Contrairement à Maillard, les Verts ne s'inquiètent pas non plus du fait qu'avec un marché entièrement libéralisé, les groupes électriques n'investissent pas assez dans l'eau et les éoliennes. Trede déclare : "Premièrement, nous avons un objectif global net zéro, c'est une obligation contractuelle". Au plus tard lorsque les coûts externes seront pris en compte dans le prix de l'électricité, un investissement dans les énergies renouvelables sera encore plus rapidement rentable. Deuxièmement, la plupart des grands producteurs d'électricité sont majoritairement détenus par les cantons et les communes. "Ceux-ci peuvent obliger les groupes électriques à investir dans des centrales éoliennes, solaires et hydrauliques et l'encourager", explique Trede.
L'ex-présentateur de "Kassensturz" Schmezer se bat aux côtés de Maillard
Les critiques de Maillard à l'égard de l'accord sur l'électricité devraient également susciter des discussions au sein de son propre parti. Certes, le groupe parlementaire du PS - contrairement aux Verts - n'a pas encore pris officiellement position. Certains indices laissent penser que jusqu'à présent, une majorité de camarades pourrait soutenir l'accord.
Entre-temps, il est clair que Maillard n'est de loin pas le seul à critiquer l'accord sur l'électricité au sein du parti. L'ex-présentateur de "Kassensturz" et conseiller national néo-PS Ueli Schmezer se montre lui aussi sceptique : "Je trouve l'accord sur l'électricité problématique", dit-il. La libéralisation est certes une bonne chose, mais elle comporte des risques pour les ménages. "En période de crise, elle peut conduire à des factures d'électricité inabordables". Schmezer doute que le libre marché apporte de réels avantages aux consommateurs.
Ueli Schmezer se tient devant le Palais fédéral à Berne avec le sol enneigé en arrière-plan.
Le néo-conseiller national Ueli Schmezer trouve l'accord sur l'électricité problématique.
Photo : Dres Hubacher
Le conseiller national PS et syndicaliste David Roth se tient également aux côtés de Maillard. Comme Maillard, il met en garde contre le fait que la libéralisation met en danger le développement des énergies renouvelables, car les subventions seraient menacées. Benoît Gaillard, qui siège désormais au Conseil national en remplacement de l'ancien chef de groupe Roger Nordmann, tient des propos similaires.
La conseillère nationale neuchâteloise Martine Docourt a un poids particulier dans le camp Maillard, car elle est également membre de la commission de l'énergie du Conseil national. Elle aussi s'oppose à une libéralisation plus poussée du marché de l'électricité et reste sceptique quant à l'accord sur l'électricité.
La majorité des politiciens de l'énergie du PS devraient toutefois être favorables à l'accord sur l'électricité. Jusqu'à présent, le fervent pro-européen Eric Nussbaumer et le vice-président Jon Pult, entre autres, se sont distingués comme partisans de l'accord au sein du PS.
Maillard constate : "Les Verts et le PS étaient tous, jusqu'à récemment, respectivement opposés à la libéralisation du marché de l'électricité - mais le mot UE suffit souvent à faire changer certaines positions".
Jusqu'à présent, Maillard semble avoir comme valeur sûre en matière d'accord sur l'électricité - paradoxalement la seule - l'UDC de son côté.
La Garde Aérienne Suisse de Sauvetage (REGA) utilise plusieurs fréquences radio spécifiques pour ses opérations de sauvetage, d’urgence et de coordination, principalement dans la bande VHF. Voici les principales fréquences utilisées par la REGA en Suisse, ainsi que le type de radio généralement associé à ces usages.
Fréquences radio de la REGA
- Canal R (Rettungskanal – Canal de sauvetage)
- Fréquence : 159.200 MHz
- Usage : Réservée aux services de secours en montagne et à la REGA pour les opérations de sauvetage et la communication interne. Cette fréquence n’est pas accessible au public et sert principalement à la coordination des secours et à la communication entre la REGA et les partenaires de sauvetage[2][6][1].
- Canal E (Emergency – Canal d’urgence)
- Fréquence : 161.300 MHz
- Usage : Canal d’urgence accessible à tous (public et professionnels) pour demander de l’aide directement à la centrale d’intervention de la REGA. Il est possible d’effectuer un contrôle de liaison automatique avec le code tonal 21301 (test) ou d’émettre une alarme avec le code tonal 21414 (alarme)[2][5][3].
- Heli-Kanal 1
- Fréquence : 159.675 MHz
- Usage : Fréquence officielle pour tous les hélicoptères de sauvetage en Suisse. La REGA peut y communiquer, mais elle ne peut plus y être alarmée depuis la réorganisation de ses fréquences[2][6][1].
- Heli-Kanal 2
- Fréquence : 159.850 MHz
- Usage : Canal supplémentaire pour les hélicoptères de sauvetage, utilisé par différents opérateurs, dont la REGA[2][1].
Type de radio utilisée
La REGA utilise principalement des radios portatives et des stations fixes professionnelles, souvent sur la bande VHF. Les radios sont généralement équipées pour émettre et recevoir sur les fréquences citées ci-dessus, avec des fonctions spécifiques comme l’appel sélectif (5 tons ZVEI) pour l’alarme et le test.
Un exemple de radio préconfigurée pour la REGA est le modèle Kenwood NX-1200AE3, livré avec la fréquence d’urgence E (161.300 MHz) préenregistrée, un bouton d’appel d’urgence, un bouton de test et une fonction CTCSS pour le filtre du squelch[3]. Ce type de radio est utilisé par les partenaires de secours et dans certains contextes professionnels.
Le réseau radio de la REGA est soutenu par une infrastructure de stations fixes réparties sur tout le territoire suisse, permettant une couverture étendue, même si certaines zones restent difficiles à couvrir[5][2].
Résumé
Canal | Fréquence | Usage principal |
---|---|---|
Canal R | 159.200 MHz | Sauvetage montagne, coordination REGA |
Canal E | 161.300 MHz | Urgence, accessible à tous (appel direct à la REGA) |
Heli-Kanal 1 | 159.675 MHz | Communications entre hélicoptères de sauvetage |
Heli-Kanal 2 | 159.850 MHz | Communications additionnelles pour hélicoptères |
Note importante : L’utilisation de ces fréquences est strictement réglementée et réservée aux services autorisés. L’écoute ou l’émission sans autorisation est interdite par la loi suisse[1].
La REGA utilise également des systèmes de communication modernes, intégrant la téléphonie VoIP et des solutions radio avancées telles que Remico, pour assurer la fiabilité et la disponibilité de ses communications[4].
[1] http://www.jsansonnens.ch/freq.html
[2] https://lutz-electronics.ch/pdf/rega%20frequenzkonzept.pdf
[3] http://www.gianora-hsu.ch/kenwood-rega.html
[4] https://www.scs.ch/en/projekt/new-voip-infrastructure-for-regas-operations-centre/
[5] https://www.cas-chauxdefonds.ch/sites/default/files/documents/courses/PDF_Notfunk_06_fr.pdf
[6] https://tecfa.unige.ch/perso/lombardf/divers/frequences.html
[7] https://www.rega.ch/fr/en-mission/sites-et-infrastructures/radio-de-detresse
[8] https://www.secoursalpin.ch/services-de-secours/alarme-et-mobilisation
[9] https://www.rega.ch/fr/en-mission/voici-comment-nous-vous-aidons
[10] https://www.rega.ch/fr/en-mission/sites-et-infrastructures/rega-4-base-lausanne
[11] https://fr.wikipedia.org/wiki/Garde_a%C3%A9rienne_suisse_de_sauvetage
[12] https://www.senselan.ch/tv_channels?lang=fr
[13] https://www.bakom.admin.ch/dam/bakom/fr/dokumente/fp/frequenzen/nationaler_frequenzzuweisungsplan.pdf.download.pdf/plan_national_d_attributiondesfrequences2022.pdf
[14] https://www.rega.ch/fileadmin/seiteninhalt/2_Im_Einsatz/2_Standorte_und_Infrasruktur/18_Funknetz_der_Rega/Merkblatt_Notfunk_en.pdf
[15] https://www.rega.co.uk/products/Rega-System-One
[16] https://ge.evu.ch/cata/docs/1703-00-1-02-f.pdf
[17] https://www.redefine.studio/projects/rega
[18] https://www.musikhug.ch/en/electronics-accessories/rega-model-io-integrated-audio-amplifier-black--2168482.html
Ce graphique montre l'évolution du nombre de noms de domaine en .ch depuis novembre 1999. Switch est le registre des noms de domaine .ch depuis 1990. Toutefois, les chiffres complets concernant l'inventaire des noms de domaine ne sont disponibles qu'à partir de novembre 1999.
Schweiz - Israel
Suisse - Israël
Svizzera - Israele
Präsident/innen / Présidents/es / Presidenti
Marianne Binder-Keller, Präsident/in
Alfred Heer, Präsident/in
Daniel Jositsch, Präsident/in
Philippe Nantermod, Président-e
Sekretariat / Secrétariat / Segreteria
Hanspeter Büchi
hpbu@sunrise.ch
8712 Stäfa
SCHWEIZ
Konstituierung / Constitution / Costituzione
01.01.2005
Beschreibung / Description / Descrizione
Zweck / Objectif / Scopo
Die Gruppe vertritt israelische Positionen in den Bereichen Politik, Wirtschaft,
Gesellschaft und Kultur. Beziehungspflege mit der Knesset, ihren Mitgliedern
und mit der israelischen Botschaft.
Le groupe défend des positions israéliennes dans les domaines de la politique, de l'économie, société et culture. Entretien des relations avec la Knesset, ses membres et avec l'ambassade d'Israël.
Aktivitäten / Activités / Attività
Informations- und Austauschtreffen. Gruppenreise nach Israel (mind. 1x/Legislatur).
Réunions d'information et d'échange. Voyage de groupe en Israël (au moins 1x/législature).
Mitglieder / Membres / Membri
- Barandun Nicole NR/CN/CN Fraktion M-E ZH
- Binder-Keller Marianne SR/CE/CS Fraktion M-E AG
- Bischof Pirmin SR/CE/CS Fraktion M-E SO
- Bläsi Thomas NR/CN/CN Groupe V GE
- Büchel Roland Rino NR/CN/CN Fraktion V SG
- Buffat Michaël NR/CN/CN Groupe V VD
- Bulliard-Marbach Christine NR/CN/CN Fraktion M-E FR
- Burgherr Thomas NR/CN/CN Fraktion V AG
- Burkart Thierry SR/CE/CS Fraktion RL AG
- Egger Mike NR/CN/CN Fraktion V SG
- Ettlin Erich SR/CE/CS Fraktion M-E OW
- Farinelli Alex NR/CN/CN Fraktion RL TI
- Feller Olivier NR/CN/CN Groupe RL VD
- Fischer Benjamin NR/CN/CN Fraktion V ZH
- Gafner Andreas NR/CN/CN Fraktion V BE
- Glarner Andreas NR/CN/CN Fraktion V AG
- Götte Michael NR/CN/CN Fraktion V SG
- Grüter Franz NR/CN/CN Fraktion V LU
- Haab Martin NR/CN/CN Fraktion V ZH
- Heer Alfred NR/CN/CN Fraktion V ZH
- Huber Alois NR/CN/CN Fraktion V AG
- Hübscher Martin NR/CN/CN Fraktion V ZH
- Imark Christian NR/CN/CN Fraktion V SO
- Jositsch Daniel SR/CE/CS Fraktion S ZH
- Marchesi Piero NR/CN/CN Groupe V TI
- Nantermod Philippe NR/CN/CN Groupe RL VS
- Page Pierre-André NR/CN/CN Groupe V FR
- Pahud Yvan NR/CN/CN Groupe V VD
- Portmann Hans-Peter NR/CN/CN Fraktion RL ZH
- Quadri Lorenzo NR/CN/CN Fraktion V TI
- Regazzi Fabio SR/CE/CS Fraktion M-E TI
- Reimann Lukas NR/CN/CN Fraktion V SG
- Riem Katja NR/CN/CN Fraktion V BE
- Riner Christoph NR/CN/CN Fraktion V AG
- Rüegger Monika NR/CN/CN Fraktion V OW
- Sauter Regine NR/CN/CN Fraktion RL ZH
- Schwander Pirmin SR/CE/CS Fraktion V SZ
- Silberschmidt Andri NR/CN/CN Fraktion RL ZH
- Vontobel Erich NR/CN/CN Fraktion V ZH
- Wandfluh Ernst NR/CN/CN Fraktion V BE
- Wehrli Laurent NR/CN/CN Groupe RL VD
- Wyssmann Rémy NR/CN/CN Fraktion V SO
- Zuberbühler David NR/CN/CN Fraktion V AR
Téléchargement des données en csv par ici: https://www.meteoblue.com/fr/meteo/archive/export
Bienvenue sur la documentation Open Data de MétéoSuisse.
A partir du 22 mai 2025, MétéoSuisse rend progressivement ses données accessibles en tant qu'Open Government Data (OGD). Les données disponibles peuvent être téléchargées manuellement ou obtenues automatiquement sous forme de fichiers.
Nous commençons par
- A – Données de mesures au sol
- C – Données climatiques : Séries de mesures homogènes
- E – Données de prévision : Modèle numérique de prévision météorologique ICON-CH1/2-EPS
D'autres jeux de données seront publiés dans les mois suivants. Le trimestre prévu pour chaque ensemble de données sera annoncé sur notre page d'accueil Open Data.
Nous travaillons également à permettre l'accès à certaines données par des requêtes API individuelles. Toutefois, cette option ne sera pas disponible avant 2026.
Anciennement : https://github.com/MeteoSwiss/publication-opendata
la carte des restaurants en suisse qui se nomment: Hirsh, Bären, ou Löwen. Des noms très courants.
59:47 Quoi !!! "La suisse romande existe par ce que la France existe..." non mais... Là je me sens insulté en tant que Suisse !!
Si l'on parle le français en suisse romande, c'est surtout à cause de l'empire romain qui a latinisé les langues locales. Tout comme sur le territoire français. Puis c'est au 19ème siècle en instaurant l'école que les cantons suisses romands on adoptés une langue commune avec une orthographe française académique.
Quand l'édit de Nantes est révoqués – par un État absolutiste très loin de l'intérêt général ! - c'est toute une élite protestante instruite qui quitte la France pour venir en Suisse romande. Le protestantisme propose de LIRE la bible directement sans passer par l'intermédiaire du clergé catholique. Donc la population protestante est instruite, elle sait lire. Si l'état français se débarrasse des gens instruits et que la suisse romande les récupères c'est pas la faute de la Suisse.
D'ailleurs c'est justement en suisse qu'est imprimé la première bible en français. Vu que la France est un pays de censure.
Et ça dure longtemps ce principe de l'édition en Suisse de livre francophone. Notamment à Neuchâtel, principauté prussienne protégée par le roi de prusse contre le roi de france !
Et à propos d'auteur majeur en langue française, on peut parler de Rousseau, né à Genève (en territoire suisse), qui a largement vécu en Suisse. Et c'est lui qui a mis dans la tête des français que l'état est là pour garantir l'intérêt général ! Mais ce n'est qu'un des contractualistes. Qu'une vision du monde parmi d'autres. (l'étape verte de la spirale dynamique)
C'est plutôt la culture française qui n'existe que par ce que la Suisse est là !
Ceci sans compter la révolution française qui est en fait une histoire faites de protagonistes suisses dans tous les camps: Necker, Marat, la garde suisse des tuilleries... et justement si cette révolution a eu lieu, c'est par ce que le commandant de la garde Suisse stationné sur le champ de mars a refusé d'engager ses hommes pour soutenir le pouvoir en place.
Puis Napoléon a débarqué.. envahi la Suisse !! Encore un état autoritaire qui nous veut du mal. Puis Napoléon n'a pas tenu 5 ans. Grâce à la décentralisation suisse, Napoléon a renoncé à conserver la république helvétique. Il a dit:
"La Suisse ne ressemble à aucun autre État, soit par les événements qui s'y sont succédés depuis plusieurs siècles, soit par la situation géographique, soit par les différentes langues, les différentes religions, et cette extrême différence de mœurs qui existe entre ses différentes parties. La nature a fait votre État fédératif, vouloir la vaincre n'est pas d'un homme sage. "
La suisse a sa culture propre. Et les moyens de faire la france. D'ailleurs.. "la banque de France" est une création de Jean-Frédéric Perregaux, un banquier Suisse (associé à Napoléon).
Donc on partage une langue commune, mais la suisse romande a un culture propre et n'est pas issue de la France.
13:28 Merci de citer la "Zomia" je suis justement en train de lire le livre "Zomia" de James C. Scott. Il remet bien les pendules à l'heure. La vie dans une état n'est qu'un ridicule petit épiphénomène dans l'histoire des humains. Le soucis c'est que la "civilisation", l'état, a construit des monuments à sa gloire et à écrit son histoire. Alors que la majorité silencieuse n'a fait que de vivre tranquille sans soucis et en fuyant les états tant que c'était encore possible. A l'heure du recensement des piscines par satellite pour les taxer... il devient dur d'échapper à l'état ! Donc merci de décoloniser notre imaginaire.
La démarche des épiceries alternatives romandes signataires de la prise de position du 20 novembre 2024 a pour origine le travail de l’association Artisans de la transition qui édite LaRevueDurable.
Par épiceries alternatives, il faut entendre alternatives à la grande distribution et à l’industrialisation systématique insoutenable du système alimentaire.