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Maintenant, pour comprendre ce que nous sommes venus défendre, il est important de définir ce dont nous parlons lorsque nous parlons de libertarianisme. Pour le définir, je reprends les mots du plus grand héros argentin des idées de liberté, le professeur Alberto Benegas Lynch, qui dit : « Le libertarisme est le respect sans restriction du projet de vie d’autrui, fondé sur le principe de non-agression, en défense du droit à la vie, à la liberté et à la propriété, dont les institutions fondamentales sont la propriété privée, les marchés libres de toute intervention de l’État, la libre concurrence, la division du travail et la coopération sociale ».
Le libertarianisme a déjà établi l’égalité entre les sexes. La pierre angulaire de notre credo dit que tous les hommes sont créés égaux, que nous avons tous les mêmes droits inaliénables donnés par le Créateur, parmi lesquels la vie, la liberté et la propriété.
Importance
L'univers est rempli de systèmes évolutifs complexes, mais les lois physiques macroscopiques existantes ne semblent pas décrire ces systèmes de manière adéquate.
Reconnaissant que l'identification d'équivalences conceptuelles entre des phénomènes disparates a été à la base du développement des précédentes lois de la nature, nous abordons une "loi manquante" potentielle en recherchant des équivalences entre les systèmes évolutifs.
Nous suggérons que tous les systèmes évolutifs - y compris, mais sans s'y limiter, la vie - sont composés de divers éléments qui peuvent se combiner dans des états de configuration qui sont ensuite sélectionnés pour ou contre sur la base de la fonction.
Nous identifions ensuite les sources fondamentales de sélection - la persistance statique, la persistance dynamique et la génération de nouveauté - et proposons une loi asymétrique dans le temps qui stipule que l'information fonctionnelle d'un système augmentera au fil du temps lorsqu'il est soumis à une sélection de fonction(s).
Résumé
Les lois physiques, telles que les lois du mouvement, de la gravité, de l'électromagnétisme et de la thermodynamique, codifient le comportement général de systèmes naturels macroscopiques variés dans l'espace et le temps.
Nous proposons qu'une loi supplémentaire, jusqu'ici non articulée, soit nécessaire pour caractériser les phénomènes macroscopiques familiers de notre univers complexe et évolutif. Une caractéristique importante des lois classiques de la physique est l'équivalence conceptuelle de caractéristiques spécifiques partagées par un ensemble étendu et apparemment diversifié de phénomènes naturels.
L'identification d'équivalences potentielles entre des phénomènes disparates - par exemple, des pommes qui tombent et des lunes en orbite ou des objets chauds et des ressorts comprimés - a permis de faire progresser la compréhension scientifique de notre monde grâce à l'articulation des lois de la nature.
L'évolution de systèmes variés, y compris les étoiles, les minéraux, les atmosphères et la vie, est une merveille omniprésente dans le monde naturel.
Ces systèmes évolutifs semblent être conceptuellement équivalents en ce sens qu'ils présentent trois attributs notables :
- 1) ils se forment à partir de nombreux composants qui ont le potentiel d'adopter un grand nombre de configurations différentes sur le plan combinatoire ;
- 2) il existe des processus qui génèrent de nombreuses configurations différentes ; et
- 3) les configurations sont sélectionnées de manière préférentielle sur la base de la fonction.
Nous identifions des concepts universels de sélection - persistance statique, persistance dynamique et génération de nouveauté - qui sous-tendent la fonction et conduisent les systèmes à évoluer grâce à l'échange d'informations entre l'environnement et le système. En conséquence, nous proposons une "loi d'augmentation de l'information fonctionnelle" : L'information fonctionnelle d'un système augmentera (c'est-à-dire que le système évoluera) si de nombreuses configurations différentes du système sont sélectionnées pour une ou plusieurs fonctions.
Science et Vie (site web)
mercredi 25 octobre 2023 - 20:08:56 1087 mots
Une loi « manquante » de la nature expliquerait l'évolution de tout ce qui existe dans l'univers !
Laurie Henry
Des chercheurs ont identifié une loi universelle d'évolution s'appliquant non seulement à la vie, mais aussi à des entités comme les minéraux et les étoiles.
Cette découverte, fruit d'une collaboration interdisciplinaire, suggère que des systèmes variés, vivants ou non, évoluent vers une complexité accrue. Cette loi pourrait influencer notre approche de la recherche extraterrestre et élargir notre perspective sur les mécanismes régissant l'univers.
L'évolution, concept central des sciences biologiques, a toujours été associée à la vie sur Terre. Récemment des chercheurs ont proposé une nouvelle loi de la Nature. Cette loi « manquante » expliquerait l'évolution de la vie, des minéraux, des planètes, des étoiles. En d'autres termes, elles s'appliqueraient à tout dans l'univers, en identifiant des « concepts universels de sélection » qui poussent les systèmes à évoluer, qu'ils soient vivants ou non. Elle traite de la tendance des systèmes naturels de l'univers à devenir de plus en plus complexes avec le temps. Cette perspective, issue d'une collaboration internationale et publiée dans la revue PNAS , remet en question nos connaissances actuelles et ouvre la voie à une nouvelle compréhension des dynamiques universelles, avec des implications potentielles pour la recherche de la vie extraterrestre et notre vision de l'univers.
Une collaboration interdisciplinaire pour appréhender la nature
Avant de se pencher sur la loi elle-même, il est important de noter qu'elle est le résultat d'une synergie des domaines scientifiques. Cette dernière est un point crucial dans la récente découverte sur l'évolution. Combinant rigueur analytique des scientifiques et réflexion conceptuelle des philosophes, l'équipe a pu aborder le sujet sous un angle unique. Elle était composée de trois philosophes, de deux astrobiologistes, d'un physicien théorique, d'un minéralogiste et d'un data scientist. Ensemble, ils ont conceptualisé « la loi de l'augmentation de l'information fonctionnelle ».
Co-auteur, Jonathan Lunine, de l'Institut Carl Sagan et du Collège des arts et des sciences de Cornell souligne cette coopération. « Il s'agissait d'une véritable collaboration entre scientifiques et philosophes pour aborder l'un des mystères les plus profonds du cosmos : pourquoi les systèmes complexes, y compris la vie, évoluent-ils vers de plus grandes informations fonctionnelles au fil du temps ? ». Effectivement, l'univers est rempli de systèmes évolutifs complexes, mais les lois physiques macroscopiques existantes ne semblent pas les décrire adéquatement.
La nouvelle loi de la nature « manquante »
La « loi de l'augmentation de l'information fonctionnelle » propose une vision renouvelée de l'évolution des systèmes. Au cœur de cette loi se trouve l'idée qu'un système peut présenter une multitude de configurations possibles. Ces dernières sont soumises à une forme de sélection basée sur leur fonctionnalité. De fait le système tendra à évoluer vers des configurations de plus en plus optimisées.
Prenons l'exemple des systèmes composés d'atomes, de molécules ou de cellules. Ces entités peuvent s'assembler de multiples façons, créant une variété de configurations. Chaque configuration a une certaine « fonction » ou utilité, que ce soit en termes de stabilité, d'efficacité énergétique ou autres. Au fil du temps, certaines de ces configurations se révéleront plus avantageuses que d'autres dans un environnement donné. Ces configurations « fonctionnelles » seront donc privilégiées et persisteront, tandis que les autres disparaîtront ou seront moins courantes.
Cette loi offre ainsi un cadre pour comprendre comment et pourquoi certains arrangements de composants deviennent prédominants dans la nature. Que le système soit vivant ou non, lorsqu'une nouvelle configuration fonctionne et s'améliore, une évolution se produit. C'est Darwin appliqué à l'Univers.
La loi universelle de fonctionnalité dans la nature
La théorie de Darwin, centrée sur la biologie, considérait la fonction principalement sous l'angle de la survie. C'est-à-dire la capacité d'un organisme à vivre suffisamment longtemps pour engendrer une descendance. Toutefois, la recherche actuelle propose une vision plus nuancée et étendue de la fonctionnalité. Elle identifie trois fonctions clés dans la nature.
Premièrement, la stabilité est identifiée comme la fonction la plus élémentaire. Des configurations stables, qu'il s'agisse d'atomes ou de molécules, sont naturellement privilégiées pour leur pérennité. Ensuite, les systèmes dynamiques, qui bénéficient d'un flux constant d'énergie, ont également tendance à être favorisés par la nature.
La troisième fonction est la capacité à innover. C'est la propension des systèmes à explorer et adopter de nouvelles configurations. Ces dernières peuvent parfois engendrer des comportements ou des caractéristiques inédits, à l'instar de la photosynthèse.
Cette loi ne se limite pas au domaine biologique. Les premiers minéraux, représentant des configurations atomiques stables, ont jeté les bases des générations ultérieures de minéraux. Ces derniers ont joué un rôle déterminant dans l'apparition de la vie. Ils ont participé à la formation de structures telles que les coquilles, les dents et les os.
En astronomie, l'étude rappelle que les premières étoiles, formées peu après le Big Bang, étaient principalement composées d'hydrogène et d'hélium. Ces étoiles pionnières ont transformé ces éléments en une vingtaine d'éléments chimiques plus lourds. Les générations d'étoiles suivantes ont ensuite utilisé cette diversité élémentaire pour engendrer près d'une centaine d'autres éléments, enrichissant l'univers chimique.
La réaction de la communauté scientifique face à cette loi « manquante » et ses implications
L'émergence de cette loi a suscité de vives réactions au sein de la communauté scientifique. Stuart Kauffman, de l'Université de Pennsylvanie, est connu pour ses travaux sur les origines de la vie et les systèmes complexes. Pour lui, cette loi ne se contente pas d'apporter une contribution significative à la science, selon. Elle a le potentiel de transformer notre compréhension des systèmes évolutifs. Il qualifie l'étude de « superbe, audacieuse, large et transformationnelle ».
Cependant, tout le monde n'est pas aussi enthousiaste. Martin Rees, de l'Université de Cambridge, expert en cosmologie et astrophysique, a exprimé des réserves. Il a souvent été confronté à des théories révolutionnaires et sait combien il est crucial de les aborder avec prudence. Sans rejeter complètement la loi, il reste sceptique quant à son application universelle. Certes la loi peut avoir des implications dans certains domaines. Mais il est encore trop tôt pour déterminer si elle peut s'appliquer à l'ensemble de l'univers et de ses phénomènes.
Néanmoins les auteurs concluent, dans un communiqué , que cette nouvelle loi peut avoir des implications dans la recherche de vie extraterrestre. Les processus évolutifs identifiés ici, conduisant à l'émergence de la vie, ne seraient pas uniques à la Terre. Si les systèmes physiques et chimiques sur d'autres planètes suivent également cette loi d'augmentation de l'information fonctionnelle, alors il est plausible que la vie, sous une forme ou une autre, puisse émerger comme un résultat naturel de ces processus évolutifs.
Source : Michael L. Wong et al., “ On the roles of function and selection in evolving systems ”, PNAS,2023, 120 (43) e2310223120
- structure dissipative (maintient l'entropie basse dans son organisme)
- auto-catalyse (reproduction)
- homéostasie (capacité à maintenir son intégrité "corporelle")
- apprentissage (apprendre de ses erreurs et évoluer)
Provenance de Lyfe : Agents chimiques autonomes survivant grâce à l'apprentissage associatif
Stuart Bartlett, David Louapre
Nous présentons une étude de référence sur des agents chimiques autonomes qui font preuve d'un apprentissage associatif d'une caractéristique environnementale. L'apprentissage associatif a été largement étudié en sciences cognitives et en intelligence artificielle, mais il est le plus souvent mis en œuvre dans des systèmes très complexes ou soigneusement conçus, tels que les cerveaux d'animaux, les réseaux neuronaux artificiels, les systèmes informatiques d'ADN et les réseaux de régulation génétique.
La capacité d'encoder des corrélations environnementales et de les utiliser pour faire des prédictions est un critère de résilience biologique et sous-tend une pléthore de réponses adaptatives dans la hiérarchie vivante, allant des espèces animales proies anticipant l'arrivée des prédateurs aux systèmes épigénétiques des micro-organismes apprenant les corrélations environnementales. Étant donné la présence omniprésente et essentielle des comportements d'apprentissage dans la biosphère, nous avons cherché à déterminer si des structures dissipatives simples et non vivantes pouvaient également faire preuve d'apprentissage associatif. Inspirés par la modélisation antérieure de l'apprentissage associatif dans les réseaux chimiques, nous avons simulé des systèmes simples composés d'espèces chimiques à mémoire à long et à court terme capables d'encoder la présence ou l'absence de corrélations temporelles entre deux espèces externes.
La capacité d'apprendre cette association a été mise en œuvre dans les taches de réaction-diffusion de Gray-Scott, des modèles chimiques émergents qui présentent des caractéristiques d'autoréplication et d'homéostasie. Grâce à cette nouvelle capacité d'apprentissage associatif, nous démontrons que des motifs chimiques simples peuvent présenter un large répertoire de comportements semblables à ceux de la vie, ouvrant ainsi la voie à des études in vitro de systèmes d'apprentissage chimique autonomes, potentiellement pertinents pour la vie artificielle, les origines de la vie et la chimie des systèmes.
La réalisation expérimentale de ces comportements d'apprentissage dans des systèmes de protocellules pourrait faire progresser une nouvelle direction de recherche en astrobiologie, puisque notre système réduit considérablement la limite inférieure de la complexité requise pour l'apprentissage émergent.
Nous présentons une étude de référence d'agents chimiques autonomes présentant un apprentissage associatif d'une caractéristique environnementale. Les systèmes d'apprentissage associatif ont été largement étudiés dans le domaine des sciences cognitives et de l'intelligence artificielle, mais sont le plus souvent mis en œuvre dans des systèmes hautement complexes ou soigneusement conçus, tels que les cerveaux d'animaux, les réseaux neuronaux artificiels, les systèmes de calcul de l'ADN et les réseaux de régulation des gènes, entre autres. La capacité à coder les informations environnementales et à les utiliser pour faire des prédictions simples est une référence en matière de résilience biologique et sous-tend une pléthore de réponses adaptatives dans la hiérarchie vivante, allant des espèces animales proies anticipant l'arrivée des prédateurs aux systèmes épigénétiques des micro-organismes apprenant les corrélations environnementales. Étant donné l'omniprésence et la présence essentielle de comportements d'apprentissage dans la biosphère, nous avons cherché à savoir si des structures dissipatives simples et non vivantes pouvaient également présenter un apprentissage associatif. Inspirés par la modélisation antérieure de l'apprentissage associatif dans les réseaux chimiques, nous avons simulé des systèmes simples composés d'espèces chimiques à mémoire à long et à court terme qui pourraient encoder la présence ou l'absence de corrélations temporelles entre deux espèces externes. La capacité d'apprendre cette association a été mise en œuvre dans des taches de réaction-diffusion de Gray-Scott, des modèles chimiques émergents qui présentent une auto-réplication et une homéostasie. Grâce à la nouvelle capacité d'apprentissage associatif, nous démontrons que des modèles chimiques simples peuvent présenter un large répertoire de comportements proches de la vie, ouvrant la voie à des études in vitro de systèmes d'apprentissage chimique autonomes, avec une pertinence potentielle pour la vie artificielle, les origines de la vie et la chimie des systèmes. La réalisation expérimentale de ces comportements d'apprentissage dans des systèmes de protocellules ou de coacervats pourrait faire avancer une nouvelle direction de recherche en astrobiologie, puisque notre système réduit considérablement la limite inférieure de la complexité requise pour l'apprentissage chimique autonome.
Espérance de vie 2000 2010 2020
A la naissance
Hommes 76.9 80.2 81.0
Femmes 82.6 84.6 85.1
A 30 ans
Hommes 48.3 50.9 51.8
Femmes 53.4 55.2 55.7
A 50 ans
Hommes 29.5 31.8 32.5
Femmes 34.1 35.8 36.1
A 65 ans
Hommes 17.0 18.9 19.3
Femmes 20.7 22.2 22.2
A 80 ans
Hommes 7.4 8.4 8.4
Femmes 9.1 10.2 10.1
Un rotifère bdelloïde est revenu à la vie après avoir été congelé pendant 24.000 ans en Sibérie, puis est parvenu à se cloner.
Bien qu'il soit largement reconnu que l'ARN est intrinsèquement structuré, l'interaction entre la structure secondaire locale et globale de l'ARNm (en particulier dans la région codante) et l'expression globale des protéines n'a pas été explorée en profondeur. Notre travail utilise deux approches pour démêler les rôles régulateurs de la séquence primaire et de la structure secondaire de l'ARNm : la substitution globale avec des nucléotides modifiés et la conception de séquence computationnelle. En adaptant des données cinétiques d'expression détaillées à des modèles mathématiques, nous montrons que la structure secondaire peut augmenter la demi-vie de l'ARNm indépendamment de l'utilisation des codons. Ces résultats ont des implications importantes à la fois pour la régulation translationnelle des ARNm endogènes et pour le domaine émergent de la thérapeutique des ARNm.
Résumé
Les ARN messagers (ARNm) codent des informations à la fois dans leur séquence primaire et dans leur structure d'ordre supérieur. Les contributions indépendantes de facteurs tels que l'utilisation des codons et la structure secondaire à la régulation de l'expression des protéines sont difficiles à établir car elles sont souvent fortement corrélées dans les séquences endogènes. Ici, nous avons utilisé deux approches, l'inclusion globale de nucléotides modifiés et la conception de séquences rationnelles de constructions délivrées de manière exogène, pour comprendre le rôle de la structure secondaire de l'ARNm indépendamment de l'utilisation des codons. De manière inattendue, les ARNm hautement exprimés contiennent une séquence codante (CDS) hautement structurée. Les nucléotides modifiés qui stabilisent la structure secondaire de l'ARNm permettent une expression élevée pour une grande variété de séquences primaires. En utilisant un ensemble d'ARNm eGFP dont l'utilisation des codons et la structure de la CDS ont été modifiées de manière indépendante, nous avons découvert que la structure de la CDS régule l'expression des protéines par le biais de changements dans la demi-vie fonctionnelle de l'ARNm (c'est-à-dire l'ARNm activement traduit). Ce travail met en évidence un rôle sous-estimé de la structure secondaire de l'ARNm dans la régulation de la stabilité de l'ARNm.
Le symbole de l'arbre de vie représente différentes qualités et vertus comme la sagesse, la force, la protection, la beauté, la bonté et la rédemption.
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Pierre naturelle.
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L'onyx donne confiance en l’avenir, et favorise la maitrise des émotions.
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Eloigne les cauchemars et mauvais rêves.
Livré dans une pochette colorée aux motifs indiens.
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Cet Arbre de vie argent et onyx apporte par son symbole la puissance de ses racines pour un ancrage solide et plein de symbolique autour des racines familiales et ancestrales. L’arbre de vie est à lui tout seul le représentant d’un monde ouvert et aligné. De par sa structure, il vous amène à vous intérioriser après vous être ancré avec puissance.
L’onyx est une pierre puissante pour se protéger des mauvais esprits. Elle permet également d’être plus posé et ainsi reprendre le sens des responsabilités.
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