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Après la permacultre, la syntropie est la nouvelle révolution pour le jardin !
Cette approche s’inspire des mécanismes naturels qui tendent vers l’abondance.
Le jardinage syntropique s’appuie sur un processus d’accumulation de matière organique pour instaurer ou restaurer la fertilité du sol. Elle donne ainsi lieu à un jardin productif et résilient, capable de s’adapter au changement climatique. En pratique, cela se traduit par l’installation de cultures extrêmement denses et diversifiées, où différentes espèces végétales sont semées et plantées en même temps afin d’assurer des productions sur des périodes allant de quelques mois à plusieurs décennies. Il s’agit alors d’imaginer l’évolution de ce groupe de plantes dans le temps et dans l’espace.
Dans ce système, le rôle de l’humain est d’adapter ses pratiques, en observant et en intervenant de manière ciblée afin d’accompagner les processus naturels. Stimulant la croissance des plantes tout en favorisant la fertilité du sol, la taille régulière joue un rôle crucial. Elle contribue à rendre l’écosystème autonome en matière organique et favorise la rétention d’eau.
La syntropie se détourne résolument d’une agriculture conventionnelle basée sur la monoculture et l’utilisation excessive de produits chimiques pour compenser les déséquilibres causés par l’activité humaine.
La syntropie a donné des résultats remarquables au Brésil où, en 40 ans d’expérience, son fondateur Ernst Götsch est parvenu à restaurer une forêt primaire sur des terres dégradées et arides. Anaëlle Théry a adapté ces principes à notre climat tempéré. Dans sa pépinière en Dordogne, elle multiplie les essais, ne créant pas moins de 24 espaces afin de tester des combinaisons végétales très productives tout en répondant le mieux aux problématiques du lieu : limiter l’arrosage et s’adapter aux fortes chaleurs.
Son savoir et ses résultats, elle les transmet en formant. Le livre Bienvenue en syntropie !, initialement écrit comme un cours à destination des publics ayant suivi son enseignement au fil des années, est un condensé de ses expériences. Il est le premier et unique ouvrage sur l’agroforesterie syntropique en climat tempéré.
Le livre d'Anaëlle
https://www.terrevivante.org/boutique/livres/permaculture-jardin-bio/techniques-de-jardinage/bienvenue-en-syntropie/?afcode=153&ae=153
En résumé:
- Introduction : Présentation d'Anaëlle, qui travaille sur la syntropie, une méthode agricole basée sur la régénération des sols et la création d'écosystèmes abondants.
- Origine de la syntropie : La syntropie est née au Brésil avec Ernst Götsch. Elle vise à créer des systèmes agricoles qui imitent la nature, favorisant la diversité et la régénération des sols.
- Principes de base : La syntropie repose sur la perturbation, qui est essentielle pour régénérer le sol. Elle utilise également la stratification, avec différentes couches de plantes pour maximiser l'utilisation de l'espace.
- Différences avec la permaculture* : Bien que similaire dans son approche holistique, la syntropie est plus axée sur la régénération des sols et la création d'écosystèmes abondants.
- Mise en œuvre : Anaëlle explique comment elle a mis en œuvre la syntropie sur son propre terrain, en utilisant des techniques comme la coupe et le paillage pour favoriser la croissance des plantes.
- Expérimentations : Anaëlle parle de ses expérimentations avec différentes plantes et de la manière dont elle invite d'autres à expérimenter et à s'émerveiller.
- Philosophie et vocabulaire : Discussion sur l'importance du vocabulaire utilisé, comme "nature" vs "vivant". Anel souligne l'importance de voir l'homme comme faisant partie du vivant et non comme séparé de la nature.
- Impact du changement climatique : Anaëlle mentionne les défis posés par le changement climatique et comment la syntropie peut aider à y faire face.
- Acte politique : Cultiver son propre jardin est vu comme un acte politique, une manière de reprendre le contrôle et de se déconnecter des systèmes alimentaires industriels.
- Conclusion : Anaëlle espère que la syntropie deviendra aussi populaire que la permaculture et sera largement adoptée pour créer des systèmes agricoles durables.
La vidéo se termine sur une note positive, avec l'espoir que la syntropie puisse contribuer à un avenir plus vert et plus durable.
Voici une liste de codes numériques de Grigori Grabovoï pour différents domaines, d'après les sources fournies :
Amour et relations
- Rencontrer l'âme sœur : 8 884 121 289 ou 888 912 818 848[1]
Argent et abondance
- Abondance financière : 318 798 ou 71 427 321 893[1][3]
- Argent inattendu : 520 741 8[1][3]
- Rembourser des dettes : 419 488 71 ou 314 812 219 417 ou 741[1]
- Faire des profits : 61 931 851 971[3]
Santé et bien-être
- Diarrhée : 5843218[3]
- Cystite : 48543211[3]
- Anémie : 48543212[3]
- Hypothyroïdie : 4812415[3]
- Obésité/Poids : 4 812 412 ou 6 847 673 928[1][3]
Développement personnel
- Rêves lucides : 621 066 285[1]
- Clairvoyance : 8181884 9 482 167[1]
- Corps de rêve/Beauté : 8240692 ou 83 585 179[1]
Il est important de noter que ces codes doivent être utilisés en se concentrant sur l'objectif visé, avec une intention claire et positive, selon les enseignements de Grabovoï[1][2]. Ils ne remplacent pas un traitement médical conventionnel.
Citations:
[1] https://makedollars.club/codes-grabovoi-utilisation-et-liste/
[2] https://www.grigori-grabovoi.academy/grabovoi-numbers-details
[3] https://www.christelle-firework.com/serie-numerique-et-chiffre-code-de-grigori-grabovoi/
[4] https://amzn.to/3KCsfBE
[5] https://www.etsy.com/fr/market/grabovoi_codes
avis de Coopsol:
Le reportage diffusé sur la RTS le vendredi 20 octobre (lien ci-dessous) met en évidence le besoin de renforcer les capacités du réseau électrique pour accepter une production renouvelable décentralisée importante. Malgré cette situation, notre installation en construction sur le collège de la Fontenelle, prise en exemple dans ce reportage, constitue une contribution significative au tournant énergétique et reste rentable d’un point de vue économique.
Le Conseil d’administration (CA) de la coopérative tient à informer ses membres qu’il a pris connaissance des limitations imposées par le GRD (gestionnaire de réseau, soit Groupe E) lors de la planification détaillée du projet il y a de nombreux mois. Le CA a décidé d’aller de l’avant en connaissance de cause, tout en cherchant des solutions pour supprimer la limite des 95 kW sans que la Coopérative ait a investir elle-même dans le réseau du GRD (solution qui était proposée par Groupe E). L’amélioration du réseau de distribution ne relève clairement pas de la responsabilité de Coopsol. L’assemblée générale a été informée de la situation lors de la séance ordinaire du 8 juin 2023.
Après investigation et contrairement à la communication initiale de Groupe E, la limitation sera augmentée à 250 kW dans les mois qui suivront la mise en service.
En terme économiques, la Coopérative tirera deux revenus de cette installation: l’énergie auto-consommée par le collège lui-même (vendue à la commune de Val-de-Ruz), et l’énergie injectée sur le réseau et revendue au GRD (ou a un tiers). L’énergie auto-consommée n’est de facto pas affectée par cette limitation. L’énergie revendue, qui correspond à la différence entre l’énergie produite et l’énergie auto-consommée, pourrait être plafonnée une partie de l’année seulement, si l’auto-consommation n’est pas suffisante. Cette situation pourrait se produire durant les mois d’été, lorsque la consommation est la plus faible (vacances scolaires) et la production la plus élevée. Cette perte de revenu ne met nullement en péril les finances de Coopsol, bien que le rendement en soit légèrement amoindri (moins de 10% de l’énergie revendue). Ceci ne remet pas en question le projet de la Fontenelle, le plus gros projet développé par Coopsol jusqu’ici. C’est un magnifique projet et le CA de Coopsol se réjouit d’en soumettre de nouveaux à votre approbation à l’avenir.
Le CA de Coopsol examine également d’autres solutions techniques permettant d’injecter la totalité de la puissance produite, sans devoir investir massivement dans l’amélioration du réseau ni dans un stockage dans des batteries qui n’est également pas intéressant économiquement. Les modèles changent et les GRD doivent s’adapter et adapter leur réseau. Ceci montre également que le tournant énergétique est en marche, et nous sommes fiers d’en être des acteurs avec vous!
Lien sur le reportage de la RTS: