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1999 Apr 21;281(15):1415-23.
doi : 10.1001/jama.281.15.1415.
Critères et recommandations pour l'apport en vitamine C
M Levine 1 , S C Rumsey, R Daruwala, J B Park, Y Wang
PMID : 10217058
DOI : 10.1001/jama.281.15.1415
Résumé
Les recommandations relatives à l'apport en vitamine C sont en cours de révision par le Food and Nutrition Board de la National Academy of Sciences. Depuis 1989, date de la dernière publication de l'apport nutritionnel recommandé (ANR) de 60 mg, de nombreuses données biochimiques, moléculaires, épidémiologiques et cliniques sont devenues disponibles.
Les nouvelles recommandations peuvent être basées sur les 9 critères suivants : disponibilité alimentaire, concentrations à l'état d'équilibre dans le plasma en relation avec la dose, concentrations à l'état d'équilibre dans les tissus en relation avec la dose, biodisponibilité, excrétion urinaire, effets indésirables, fonction biochimique et moléculaire en relation avec la concentration en vitamine, effets bénéfiques directs et observations épidémiologiques en relation avec la dose, et prévention de la carence.
Nous avons appliqué ces critères aux nouvelles lignes directrices du Food and Nutrition Board, les apports nutritionnels de référence, qui comprennent 4 valeurs de référence. Le Besoin Moyen Estimé (BME) est la quantité de nutriment estimée répondre aux besoins de la moitié des individus en bonne santé appartenant à un groupe donné en fonction de leur âge et de leur sexe.
Sur la base d'un BME de 100 mg/j de vitamine C, il est proposé que l'AJR soit de 120 mg/j. Si le BME ne peut être déterminé, un apport suffisant (AS) est recommandé à la place de l'AJR.
L'AS a été estimé à 200 mg/j provenant de 5 portions de fruits et légumes ou à 100 mg/j de vitamine C pour prévenir les carences avec une marge de sécurité.
La classification finale, la dose maximale tolérable, est la dose journalière la plus élevée de nutriments qui ne présente pas de risque ou d'effets néfastes sur la santé pour la quasi-totalité des individus de la population. Il est proposé que cette quantité soit inférieure à 1 g de vitamine C par jour.
Les médecins peuvent dire à leurs patients que 5 portions de fruits et légumes par jour peuvent être bénéfiques pour la prévention du cancer et fournir un apport suffisant en vitamine C pour les personnes en bonne santé, et que 1 g ou plus de vitamine C peut avoir des conséquences néfastes chez certaines personnes.
Ce n'est pas pour lui donner une importance outre mesure que je l'écris dans cet article avec une majuscule, mais pour indiquer que je fais référence à lui sous toutes ses formes (les sucres, les glucides).
Associé au plaisir et au réconfort, on pourrait penser que le Sucre nous veut du bien. En juste quantité, c'est du moins le cas. Cela dit, une consommation de Sucre en juste quantité relève du défi au vu de ce que nous propose l'industrie agro-alimentaire depuis une trentaine d'années !
Enfant des années '80, j'ai vécu la révolution des produits light. Le gras est devenu la cible de tous les maux et remplacé par du Sucre - moins cher et soit-disant meilleur pour notre santé -, garantissant un semblant de goût dans une alimentation de plus en plus transformée. Bonjour Tricatel ![1]
Avec le recul, le constat est - si j'ose - ... glaçant.
Obligation d'annonce
Toute personne qui fabrique, transforme, traite, entrepose, transporte, remet, importe ou exporte des denrées alimentaires est tenue d'annoncer son activité au SCAV. Doivent également être annoncés les changements d'activité importants et la cessation d'activité. Ces obligations ne s'appliquent pas à la remise occasionnelle de denrées alimentaires dans un cadre limité.
Activités soumises à autorisation
Tout établissement qui fabrique, transforme, traite, entrepose ou remet des denrées alimentaires d'origine animale est soumis à l'autorisation du SCAV (exceptions: art. 21 ODAlOUs). L'autorisation requiert une inspection préalable. Les transformations ayant incidences sur l'hygiène doivent être annoncées au SCAV. En cas de graves lacunes, le SCAV suspend ou retire l'autorisation.
Statut | Connexion en fibre optique (XGS-PON / 10Gbit/s) | Connexion en fibre optique (BX / 1Gbit/s)
Veille | 8.3W | 8.9W
Service normal* | 9.6W | 10.3W
Eteint < 0.06W
- Service normal:
Un appareil WLAN connecté au réseau 2.4 GHz et un autre au 5 GHz. Les deux diffusent blue TV.
Un HD-Phone Davos sur station de base DECT.
1 TV-Box raccordée par câble Ethernet et chaîne TV diffusée en résolution HD.
–––––
L’Internet-Box répond aux exigences de conformité CE européennes. L’Internet-Box 4 est également conforme à la directive 2009/125/CE sur la consommation d’énergie, ainsi qu’au règlement UE 801/2013 qui modifie le règlement CE 1275/2008 et définit la consommation en mode veille.
Valeurs de consommation d’électricité en veille pour chaque port réseau avec DECT et WLAN désactivé.
Au bout de quelques secondes, le mode veille est automatiquement activé.
Port réseau Consommation d’électricité en veille
Port fibre optique (XGS-PON / 10Gbit/s) 6.2W
Port fibre optique (BX / 1Gbit/s) 6.1W
4 ports Ethernet Gigabit 5.9W
1x10 ports Ethernet Gigabit 6.3W
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Informations techniques du bloc d'alimentation
Nom et adresse du fabricant AcBel Ploytech Inc. No.159, Sec. 3, Danjin Rd.,Tamsui Dist., New Taipei City 251, Taiwan
Référence du modèle WAJ011-2F0G
Tension d’entrée 220~240V
Fréquence du CA d’entrée 50Hz
Tension de sortie 12.0V
Courant de sortie 3.2A
Puissance de sortie 38.0W
Rendement moyen en mode actif 88.9%
Rendement à faible charge (10 %) 86.5%
Consommation électrique hors charge 0.06W
Description
L'alimentation Ekinex® produit et contrôle la tension de 30 Vdc nécessaire au fonctionnement du système de bus KNX. Une bobine intégrée dans le dispositif assure le découplage entre l'alimentation et la ligne de bus. Un maximum de 64 appareils KNX peuvent être connectés à une ligne de bus alimentée par l'alimentation de 640 mA. La sortie est protégée contre les surcharges et les courts-circuits. La version EK-AG1-TP possède une sortie supplémentaire de 30 Vdc qui peut être utilisée pour l'alimentation auxiliaire d'autres dispositifs SELV. Le courant total fourni par les deux sorties (ligne de bus KNX et alimentation auxiliaire) ne doit pas dépasser 640 mA. L'appareil est capable de supporter de courtes interruptions de la tension secteur (200 ms maximum).
Données techniques
- Tension d'alimentation 230 Vac, 50/60 Hz
- Consommation électrique 22 W
- Pertes < 3 W
- Tension sur la ligne de bus : 30 Vdc +1/-2 Vdc SELV
- Tension sur la sortie auxiliaire : 30 Vdc
- Courant nominal : 640 mA
- Temps de mise en mémoire tampon : 200 ms
Cette théorie a été popularisée par Frances Moore Lappé dans son ouvrage Diet for a small planet, publié en 1971. L'American National Research Council et l'American Dietetic Association (ADA) ont repris la théorie, mettant en garde les végétariens et leur recommandant de combiner leurs protéines3.
Lappé changea de position dans la réédition de son ouvrage en 1981, écrivant alors :
« En 1971, j'ai insisté sur la complémentarité des protéines parce que j'ai supposé que la seule façon d'obtenir assez de protéines […] était de créer une protéine utilisable par le corps comme protéine animale. En combattant le mythe que la viande était la seule façon d'obtenir de la protéine de haute qualité, j'ai renforcé un autre mythe. J'ai donné l'impression que si on voulait obtenir assez de protéines sans manger de viande, une attention considérable devait être portée au choix des aliments. En fait, c'est beaucoup plus facile que ce que je pensais. »
« Avec trois exceptions importantes, il y a très peu de danger d'avoir un déficit de protéines en mangeant des aliments végétaux. Les exceptions sont les régimes très fortement dépendants (1) des fruits, (2) de certains tubercules tels que la patate douce ou le manioc, (3) de la malbouffe (farines raffinées, sucres, et graisse). Heureusement, relativement peu de personnes dans le monde essaient de survivre avec des régimes alimentaires dans lesquels ces aliments sont la seule source d'apport calorique. Dans tous les autres régimes alimentaires, si une personne obtient assez de calories, elle est en pratique certaine d'obtenir assez de protéines. »4
Le SCCD va de 0 à 1. La liste ci-dessous donne le SCCD de certains aliments2,3,4.
1.00 Caséine
1.00 Blanc d'œuf
1.00 Protéine de soja
1.00 Protéine de lactosérum
0.92 Bœuf
0.91 Soja
0.78 Pois chiche
0.76 Fruits
0.73 Légumes
0.59 Céréales et derivés
0.52 Cacahuète
0.42 Blé complet