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Technique de prélèvement et de préparation du Cambium en conditions de survie. Le cambium est abondant tout autour de la planète. Comment ne jamais mourir de faim...Apprenez rapidement cette technique !
marche bien sur les pins.
Orme, peuplier, saule, bouleau...
Attention, ne jamais prendre l'if.. l'accacia, robinier faux accacia..
=> les fruitiers on parfois du cyanure de potassium à certaines saison !!
Pompe biotique
Les flux de vapeur se meuvent sous l’influence d’un jeu de changements de pression complexes entre l’océan Atlantique et la forêt, mécanisme nommé «pompe biotique» par les scientifiques. On pourrait le résumer comme suit: en s’échappant des feuilles, la vapeur d’eau monte en altitude jusqu’à environ 4000 mètres, où le froid provoque sa condensation sous forme liquide. Cette disparition d’une grande quantité de gaz raréfie l’air. Un tel déficit de pression aspire l’air au niveau du sol. C’est alors que le phénomène se répète au sol: l’air se raréfie, la pression baisse, ce qui attire de l’air, cette fois en provenance de l’océan. Fraîche et humide, cette bouffée marine entraîne d’importantes précipitations.
Que les arbres pompent d’importantes masses d’air frais n’a que récemment été mis en évidence par les scientifiques dans plusieurs articles. Ce phénomène aurait une importance cruciale pour les écosystèmes locaux: on estime en effet que dans les zones forestières continentales de l’Amazonie, jusqu’à 70% des précipitations proviennent de la forêt, et non directement de l’océan.
Découvertes il y a une vingtaine d’années, les immenses masses de vapeur d’eau qui survolent l’Amazonie, baptisées "rivières volantes", fascinent les chercheurs. Leur devenir pourrait être intimement lié à l’évolution du climat.
Poumon vert de la planète avec ses centaines de milliards d’arbres interconnectés, la forêt amazonienne est aussi, on le sait moins, un "océan vert" : depuis les racines des arbres jusqu’à la canopée, elle concentre la plus grande réserve d'eau douce de la Terre. Car la région sud-américaine est survolée par de gigantesques flux de vapeur d’eau, surnommées "rivières volantes", qui suscitent depuis une vingtaine d’années la curiosité des chercheurs. Inventeur du terme, le scientifique brésilien Antonio Donato Nobre a consacré sa carrière à étudier leur mécanisme, et à élucider le rôle complexe joué par la forêt dans le climat mondial. Deux grandes questions orientent ses recherches : pourquoi ne trouve-t-on pas de déserts sur le continent sud-américain, une exception à ces latitudes ? Et pourquoi les vents venus de l'hémisphère Nord parviennent-ils à traverser l'Équateur, qui sur le reste du globe agit comme un mur infranchissable ? Pour y répondre, le professeur Nobre s'est intéressé à la théorie récente de la "pompe biotique", selon laquelle les forêts, en créant une pression atmosphérique faible, déplacent l'air humide à l'intérieur des terres et aident à générer des précipitations. Autant de découvertes qui obligent à réécrire quelques chapitres des manuels scientifiques…
Énigmes géographiques
De la jungle amazonienne aux forêts boréales d’Europe du Nord, et jusqu’aux plus grands laboratoires et centres de recherche, ce film soulève de passionnantes énigmes géographiques pour révéler le fonctionnement de ces mystérieuses "rivières volantes" d’Amazonie, dont l'influence pourrait s’avérer majeure sur le climat mondial. Un argument supplémentaire pour préserver d’urgence cette région exceptionnelle, menacée par la déforestation.
À l'aide d'une solide base de données sur les précipitations mondiales, nous analysons la distribution des précipitations saisonnières de la côte à l'intérieur des principales régions forestières du monde. Nous constatons que le fonctionnement actif des forêts boréales en été est associé à un transport intense d'humidité de l'océan vers la terre, qui diminue en hiver lorsque le fonctionnement de la forêt est minimal. Ce changement saisonnier se manifeste par une modification de la longueur de l'échelle exponentielle de la distribution des précipitations, qui dépasse 15 × 103 km en été mais diminue à (3-4) × 103 km en hiver. Dans les forêts pluviales équatoriales, qui sont photosynthétiquement actives tout au long de l'année, les précipitations annuelles restent à peu près constantes, tandis que le coefficient de variation des précipitations mensuelles diminue considérablement vers l'intérieur du continent. Les précipitations sur les forêts pendant les périodes de fonctionnement actif des forêts sont toujours plus élevées que sur l'océan adjacent. De tels modèles de précipitations soutiennent le concept de pompe biotique selon lequel la couverture forestière stimule le transport de l'humidité atmosphérique de l'océan vers la terre à l'échelle continentale.
L’acacia d’Afrique, qu’il s’agisse d’Acacia nigrescens ou de Acacia caffra, est parfaitement adapté à son environnement : il résiste aux sécheresses, son bois dur le protège des attaques de termites et ses redoutables épines repoussent bon nombre d’assaillants. Mais sa meilleure stratégie de défense est invisible. Elle a été découverte accidentellement.
Dans les années quatre-vingt, des éleveurs de koudous de la province sud-africaine du Transvaal notent un taux de mortalité anormal de leurs bêtes, dans de nombreuses fermes de la région. Les koudous décédés semblent en bonne santé et ne présentent pas de traces d’attaque ni de signes de dénutrition.
Les scientifiques s’intéressent à ces morts suspectes et pratiquent des autopsies qui confirment que les animaux ne sont morts ni de maladie, ni de parasites, ni de faim ou de soif. Seul indice : leur estomac contient des feuilles d’acacia. Le zoologiste Wouter van Hoven constaste un taux élevé de tanins sur les feuilles des acacias à proximité des bêtes, mais aussi sur quelques arbres plus éloignés. Il en conclut que l’acacia augmente la concentration en tanins de son feuillage en réaction à l’attaque des herbivores, ce qui a pour effet d’inhiber la digestion. Pour autant, l’acacia n’est pas un tueur. L’augmentation de la concentration en tanins est détectable par les herbivores qui s’éloignent alors pour chercher une autre source d’alimentation plus saine. Les koudous en captivité n’avaient pas ce choix.
Wouter van Hoven va plus loin encore. Pour lui, l’acacia avertit ses congénères. En effet, des acacias qui n’ont pas été broutés présentent également un taux élevé de tanins. Pour le prouver, il simule une attaque en prélevant quelques feuilles et recouvre les branches de sacs plastiques. En analysant l’air recueilli, il constate que l’arbre libère des substances chimiques volatiles (éthylène) pour communiquer les informations, un peu comme le feraient les phéromones des animaux.
Cette histoire sur les propriétés de l’acacia a beaucoup circulé et a été reprise par des botanistes pour démontrer la stratégie ingénieuse des plantes qui constituerait une forme d’intelligence. Mais elle divise les scientifiques car d’autres experts estiment que cette analyse est le fruit d’une surinterprétation et que les réactions des plantes sont propres à leur constitution végétale.
Le symbole de l'arbre de vie représente différentes qualités et vertus comme la sagesse, la force, la protection, la beauté, la bonté et la rédemption.
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Pierre naturelle.
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Eloigne les cauchemars et mauvais rêves.
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Cet Arbre de vie argent et onyx apporte par son symbole la puissance de ses racines pour un ancrage solide et plein de symbolique autour des racines familiales et ancestrales. L’arbre de vie est à lui tout seul le représentant d’un monde ouvert et aligné. De par sa structure, il vous amène à vous intérioriser après vous être ancré avec puissance.
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Les mesures à haute sensibilité des pulsations géomagnétiques à ultra-basse fréquence (ULF ; fréquences inférieures à 5 Hz)1 nécessitent généralement des antennes réceptrices élaborées, allant de grandes bobines à air2 à de petites boucles supraconductrices immergées dans de l'hélium liquide6, en passant par des solénoïdes multitours en acier ou en métal3-5. Des paires d'électrodes insérées dans le sol ont également été utilisées comme antennes7,8. La nécessité d'un grand espacement entre les électrodes (variant de plusieurs centaines à plusieurs milliers de mètres) et la difficulté de calibrer les mesures de manière absolue ont conduit à l'utilisation quasi universelle, ces dernières années, d'antennes de type bobine, plus compactes et plus faciles à calibrer. Je décris ici une nouvelle méthode de mesure des pulsations géomagnétiques ULF, qui nécessite un minimum d'équipement élaboré. Cette méthode est basée sur l'utilisation d'arbres, ou plus précisément sur l'utilisation de paires d'électrodes insérées dans des arbres, comme antennes de réception ULF.
L'intérêt pour la question des fluctuations liées à la lune dans la biologie et la physiologie des arbres a été ravivé par des recherches expérimentales récentes, qui pourraient confirmer l'existence de phénomènes réels. Dans ce contexte, des données détaillées publiées précédemment et provenant de tests de germination sur des épicéas européens à l'aide de dispositifs standard établis, qui semblaient à l'époque donner des résultats négatifs, ont été analysées à l'aide d'outils statistiques modernes. Des rythmicités lunaires légères mais statistiquement significatives ont été révélées par cette nouvelle analyse. L'une de ces fluctuations se retrouve dans le taux de germination des semis effectués peu avant la Pleine Lune, par rapport à ceux effectués peu avant la Nouvelle Lune
Le diamètre des troncs d'arbres poussant dans des conditions ouvertes et contrôlées subit des fluctuations rythmiques indépendantes des facteurs périodiques quotidiens tels que la lumière, la température et l'humidité. Nous trouvons une forte corrélation entre ces fluctuations et le moment et la force des marées. Cette corrélation suggère que la Lune influence le flux d'eau entre les différentes parties des arbres.
L'astronome A.E. Douglass est généralement reconnu comme le père fondateur de la dendrochronologie. Il a étudié les cernes des arbres à la recherche de preuves que les variations solaires (telles qu'observées dans les taches solaires) se reflètent dans les variations climatiques. Il était convaincu du succès de sa quête. L'analyse de certaines de ses premières données à l'aide de la décomposition de Fourier et la comparaison des périodogrammes des cernes des arbres avec ceux basés sur les cycles solaires connus suggèrent que les cycles qu'il a trouvés n'existent peut-être pas ou ne sont peut-être pas d'origine purement solaire. Les résultats rapportés ici suggèrent une influence beaucoup plus forte des marées sur les enregistrements des cernes que ce qui est généralement considéré. Le grand mérite de Douglass en tant que pionnier de la datation des cercles d'arbres en archéologie et de la climatologie basée sur les cercles d'arbres n'est pas affecté par les résultats présentés ici.
Recherche de différences dans les propriétés du bois en fonction de la date d'abattage : variations corrélées à la phase lunaire dans le comportement de séchage de l'épicéa commun ( Picea abies Karst.) et du châtaignier ( Castanea sativa Mill.)
Une expérience de terrain à grande échelle sur le comportement de séchage de l'épicéa commun (Picea abies Karst.) et du châtaignier (Castanea sativa Mill.) en fonction de la date d'abattage a été menée sur une période de 24 semaines afin d'étudier l'existence de variations liées aux rythmes lunaires, qui sont mentionnés comme ayant un rôle dans de nombreuses pratiques forestières traditionnelles. Les critères mesurés étaient la perte d'eau de l'état frais à l'état sec, le retrait lié à cette perte d'eau, et la densité relative (rapport entre la densité sèche et la densité fraîche initiale) pour l'aubier et le duramen de Picea et le duramen de Castanea. En plus des tendances saisonnières, des variations légères mais significatives avec les périodicités lunaires (synodiques et sidérales ; dans une moindre mesure tropiques) caractérisent les trois critères étudiés. Ces rythmicités lunaires sont présentes à la fois chez Picea et Castanea, dans le bois de cœur et l'aubier. Ces résultats soulèvent de nouvelles questions et perspectives sur le caractère rythmique de la relation bois-eau.