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Selon Dieter ARNOLD, The Encyclopedy of Ancient Egyptian Architecture, 2003, Princeton University Press, p 61
La coudée royale égyptienne est l'unité de mesure normale utilisée en Égypte.
A partir de l'Unification, on sait qu'elle mesurait d'abord 51,89-53,18 cm, puis, à partir de l'Ancien Empire, 52,3-52,5 cm. Elle était subdivisée en sept pouces de main, chacun équivalant à 7,5 cm, chacun étant composé de quatre doigts de 1,875 cm. Depuis le Nouvel Empire, de nombreuses baguettes de coudées ont survécu, principalement sous forme d'offrandes votives ou d'objets funéraires. Le nby, qui mesure de 67 à 8 cm, est une autre unité utilisée occasionnellement. Le pied est une unité de mesure utilisée une seule fois dans le mastaba de Ptahshepses.
Bibliography: Richard Lepsius, Die alt-aegyptische Elle (Berlin 1865); H. Carter and A. Gardiner, The tomb of Ramesses IV as compared with the Turin Papyrus, in: JEA 4 (1917) 149-158; J. Dorner, Uberlegungen zur Fassadengliederung der grofen Mastabagraber aus der 1. Dynastie, in: MDAIK 47 (1991) 81-92; Arnold, Building, 10, 251-252; Elke Roik, Das Ellenmafs-system im Alten Agypten (Hamburg 1993)
Face aux risques croissants de censure, WikiLeaks lance une initiative majeure pour préserver les archives de guerre afghanes sur la blockchain Bitcoin. Le projet Spartacus, dévoilé ce 5 décembre 2024, vise à inscrire de manière permanente plus de 70 000 documents confidentiels sur le réseau Bitcoin.
C’est au siège de WikiLeaks à Londres que le projet Spartacus a été annoncé ce jeudi par Gabriel Shipton, frère de Julian Assange. L’initiative consiste à graver 76 911 documents classifiés sur la blockchain Bitcoin via le protocole Ordinals, une technologie permettant d’inscrire des données de manière indélébile sur le réseau.
Cette démarche vise à protéger durablement ces archives sensibles qui ont révélé l’ampleur des pertes civiles en Afghanistan et les pratiques controversées de l’armée américaine durant l’opération Enduring Freedom. « Ces informations devraient durer éternellement« , affirme Gabriel Shipton dans une interview exclusive.
29 avril 2008
Pays où l’hydroxychloroquine est recommandée
Médicament Posologie
Chine Chloroquine 500mg 2x/jour
Pays-Bas Chloroquine/Hydroxychloroquine J1 : 600mg (6 comprimés A-CQ 100mg), 12 heures plus tard 300mg ; J2-J5 : 300mg
Iran Hydroxychloroquine 200mg 2x/jour
Belgique Hydroxychloroquine J1 : 400mg x2 ; J2-J5 200mg
Italie (Lombardie) Chloroquine/Hydroxychloroquine Chloroquine 500mg pendant 20jours OU Hydroxychloroquine 200mg 5 à 20 jours
USA (New York) Hydroxychloroquine+Azithromycine Hydroxychloroquine 200mg 3x/jour, Azithromycine 250mg
Corée Hydroxychloroquine Hydroxychloroquine 400mg/jour
Inde Hydroxychloroquine Prophylaxie, 400mg*2 au J1, puis 400mg par semaine
Congo RDC Hydroxychloroquine+Azithromycine Hydroxychloroquine 200mg 3x/jour, Azithromycine 500mg J1 puis 250mg/jour pendant 5 jours
Maroc Hydroxychloroquine+Azithromycine Hydroxychloroquine 200mg 3x/jour, Azithromycine 500mg J1 puis 250mg/jour pendant 5 jours
Roumanie Hydroxychloroquine Hydroxychloroquine 400mg 2x/jour
Source
Chine https://www.jstage.jst.go.jp/article/ddt/14/1/14_2020.01012/_pdf/-char/ja
Pays-Bas https://swab.nl/nl/covid-19
Iran https://irimc.org/Portals/0/NewsAttachment/%20%20%20%20%20%20%20.pdf
Belgique https://epidemio.wiv-isp.be/ID/Documents/Covid19/COVID-19_InterimGuidelines_Treatment_ENG.pdf
Italie (Lombardie) https://www.omceoch.it/storage/attachments/Ebka.COVID19%20linee%20guida%20trattamento%2001MAR.pdf.pdf
USA (New York) https://www.forbes.com/sites/lisettevoytko/2020/03/22/new-york-to-begin-clinical-trials-for-coronavirus-treatment-tuesday-cuomo-says/#639b33f24203
Corée http://m.koreabiomed.com/news/articleView.html?idxno=7428
Inde https://icmr.nic.in/sites/default/files/upload_documents/HCQ_Recommendation_22March_final_MM_V2.pdf
Congo RDC https://laprunellerdc.info/wp-content/uploads/2020/03/Guide-CORONAVIRUS-A-UOB.pdf
Maroc Ministère de la Santé, Direction de l’épidémiologie et de lutte contre les maladies
Roumanie https://politiknews.ro/exclusiv-document-institutul-national-de-boli-infectioase-matei-bals-tratamentul-bolnavilor-covid-19-din-romania/
Algérie https://www.elwatan.com/edition/actualite/premiers-patients-traites-a-la-chloroquine-des-resultats-encourageants-05-04-2020
CEDEAO https://www.senenews.com/actualites/coronavirus-la-cedeao-tranche-le-debat-pour-le-traitement-avec-la-chloroquine_303734.html
Russie https://fr.sputniknews.com/russie/202003271043412241-la-russie-autorise-a-son-tour-la-chloroquine-pour-soigner-le-covid-19/
Angola https://www.letemps.ch/monde/demunie-face-coronavirus-lafrique-se-jette-chloroquine
Kenya https://africafeeds.com/2020/04/01/ghana-kenya-approve-use-of-chloroquine-to-treat-covid-19-patients/
Tunisie http://kapitalis.com/tunisie/2020/03/20/coronavirus-les-etats-unis-valident-lhydroxychloroquine-mais-la-tunisie-a-t-elle-pris-ses-dispositions/
Israel https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/1585735706-israel-coronavirus-2-millions-de-doses-d-hydroxychloroquine-offertes-par-teva-au-ministere-de-la-sante
Protocole de recherche
Protocole de recherche approuvé par l’ANSM et par le CPP Île de France en cours de réalisation à l’IHU Méditerranée Infection : Traitement des infections respiratoires a Coronavirus SARS-Cov2 par l’hydroxychloroquine Acronyme : SARS-CoV2quine
N° d’enregistrement ANSM : 2020-000890-25 ; Avis favorable de l’ANSM, le 05/03/2020
N° d’enregistrement CPP : 20.02.28.99113 ; Avis favorable du CPP Ile de France V, le 06/03/2020
Comparaison avec grippe
Comparaison de l’épidémie de grippe 2016-2017 avec l’épidémie de SARS-COV2 de 2019-2020 : http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2017/22/pdf/2017_22_1.pdf ; Bilan de la grippe en 2016-2017 : 14 400 décès attribuables à la grippe.
Données d’analyse du SARS-COV2, à comparer avec la cinétique de l’épidémie de grippe de 2016-2017 : https://docs.google.com/spreadsheets/d/1f3LGuqwzegr7ZdGlzPOCDAyFk8RTaLTmMLF_K_5EVCc/edit#gid=397798715
Opinion de Jefferson sur la constitutionnalité d'une banque nationale : 1791
Le projet de loi pour l'établissement d'une Banque Nationale s'engage entre autres à :
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De former les souscripteurs en une corporation.
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Leur permettre, en leur qualité de personnes morales, de recevoir des concessions de terres, ce qui est contraire aux lois de la Mainmorte. (1)
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Rendre les souscripteurs étrangers capables de détenir des terres, ce qui va à l'encontre des lois sur l'aliénation.
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Transmettre ces terres, à la mort d'un propriétaire, à une certaine lignée de successeurs ; ce qui change le cours des descendances.
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Mettre les terres hors de la portée de la confiscation ou de la déshérence, ce qui est contraire aux lois de la confiscation et de la déshérence.
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Transmettre des biens personnels aux successeurs d'une certaine lignée, ce qui va à l'encontre des lois de la distribution.
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Leur donner le droit unique et exclusif de faire des opérations bancaires sous l'autorité nationale, ce qui est contraire aux lois du monopole.
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Leur communiquer le pouvoir de faire des lois qui priment sur les lois des États ; car c'est ainsi qu'elles doivent être interprétées, pour protéger l'institution du contrôle des législatures des États, et c'est ainsi, probablement, qu'elles seront interprétées.
Je considère que le fondement de la Constitution est établi sur cette base : Que "tous les pouvoirs qui ne sont pas délégués aux États-Unis par la Constitution, ni interdits par elle aux États, sont réservés aux États ou au peuple". [Faire un seul pas au-delà des limites ainsi spécialement tracées autour des pouvoirs du Congrès, c'est s'emparer d'un champ de pouvoir illimité, qui n'est plus susceptible d'aucune définition.
L'incorporation d'une banque, et les pouvoirs assumés par ce projet de loi, n'ont pas, à mon avis, été délégués aux États-Unis par la Constitution.
I Ils ne font pas partie des pouvoirs spécialement énumérés, car ceux-ci sont : Le pouvoir de lever des impôts dans le but de payer les dettes des États-Unis ; mais aucune dette n'est payée par ce projet de loi, ni aucun impôt levé. S'il s'agissait d'un projet de loi pour lever des fonds, son origine au Sénat le condamnerait par la Constitution.
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"Pour emprunter de l'argent". Mais ce projet de loi n'emprunte pas d'argent et ne garantit pas son emprunt. Les propriétaires de la banque seront aussi libres que tous les autres détenteurs d'argent, de prêter ou de ne pas prêter leur argent au public. L'opération proposée dans le projet de loi, de leur prêter d'abord deux millions, et de les réemprunter ensuite, ne peut changer la nature de ce dernier acte, qui sera toujours un paiement, et non un prêt, appelez-le du nom qu'il vous plaira.
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Pour "réglementer le commerce avec les nations étrangères, et entre les États, et avec les tribus indiennes". Eriger une banque et réglementer le commerce sont des actes très différents. Celui qui érige une banque, crée un sujet de commerce dans ses billets, de même que celui qui fabrique un boisseau de blé, ou extrait un dollar des mines ; cependant, aucune de ces personnes ne réglemente le commerce par ce moyen. Faire une chose qui peut être achetée et vendue, ce n'est pas prescrire des règlements pour l'achat et la vente. En outre, si c'était là un exercice du pouvoir de réglementer le commerce, il serait nul, car il s'étendrait aussi bien au commerce intérieur de chaque État qu'à son commerce extérieur. En effet, le pouvoir donné au Congrès par la Constitution ne s'étend pas à la réglementation interne du commerce d'un État, (c'est-à-dire du commerce entre citoyens) qui relève exclusivement de sa propre législature, mais à son commerce extérieur seulement, c'est-à-dire à son commerce avec un autre État, ou avec les nations étrangères, ou avec les tribus indiennes. En conséquence, le projet de loi ne propose pas la mesure comme une réglementation de la trace, mais comme "produisant des avantages considérables pour le commerce". Ces pouvoirs ne sont encore moins couverts par aucune autre des énumérations spéciales.
II. Ils ne relèvent pas non plus de l'une ou l'autre des phrases générales, qui sont les deux suivantes :
- Le pouvoir de lever des impôts pour pourvoir au bien-être général des États-Unis, c'est-à-dire "lever des impôts dans le but de pourvoir au bien-être général". Car l'établissement des impôts est le pouvoir, et le bien-être général le but pour lequel le pouvoir doit être exercé. Ils ne peuvent pas lever des impôts ad libitum pour n'importe quel but, mais seulement pour payer les dettes ou assurer le bien-être de l'Union. De la même manière, ils ne peuvent pas faire tout ce qu'ils veulent pour assurer le bien-être général, mais seulement lever des impôts dans ce but. Considérer cette dernière phrase, non pas comme décrivant l'objectif de la première, mais comme donnant un pouvoir distinct et indépendant de faire tout ce qui leur plaît, qui pourrait être pour le bien de l'Union, rendrait toutes les énumérations de pouvoir précédentes et suivantes complètement inutiles.
Cela réduirait tout l'instrument à une seule phrase, celle d'instituer un Congrès ayant le pouvoir de faire tout ce qui serait pour le bien des États-Unis ; et, comme ils seraient les seuls juges du bien ou du mal, ce serait aussi un pouvoir de faire tout le mal qu'ils voudraient.
C'est une règle d'interprétation établie, lorsqu'une phrase peut avoir l'une ou l'autre de deux significations, de lui donner celle qui permettra de donner un sens aux autres parties de l'instrument, et non celle qui rendrait toutes les autres inutiles. Il est certain qu'aucun pouvoir universel de ce genre n'était destiné à leur être donné. L'intention était de les encadrer strictement dans les pouvoirs énumérés, et dans ceux sans lesquels, en tant que moyens, ces pouvoirs ne pourraient être mis en œuvre. On sait que le pouvoir même qui est maintenant proposé comme moyen a été rejeté comme fin par la Convention qui a formé la Constitution. Il leur a été proposé d'autoriser le Congrès à ouvrir des canaux, et une proposition modificative de les habiliter à se constituer en société. Mais l'ensemble fut rejeté, et l'une des raisons de ce rejet invoquée lors du débat fut qu'ils auraient alors le pouvoir d'ériger une banque, ce qui rendrait les grandes villes, où il y avait des préjugés et des jalousies sur le sujet, défavorables à la réception de la Constitution.
- La deuxième phrase générale est : "faire toutes les lois nécessaires et appropriées pour mettre en œuvre les pouvoirs énumérés". Mais ils peuvent tous être exécutés sans une banque. Une banque n'est donc pas nécessaire, et par conséquent pas autorisée par cette phrase.
On a prétendu qu'une banque faciliterait grandement la perception des impôts. Supposons que cela soit vrai, la Constitution n'autorise que les moyens " nécessaires ", et non ceux qui sont simplement " pratiques " pour l'exercice des pouvoirs énumérés. Si l'on accorde à cette phrase une latitude d'interprétation telle qu'elle puisse donner un pouvoir non énuméré, il ira à tout le monde, car il n'y en a pas un que l'ingéniosité ne puisse transformer en une commodité dans un cas ou un autre, pour l'un ou l'autre des pouvoirs énumérés. Cela engloutirait tous les pouvoirs délégués et réduirait l'ensemble à un seul pouvoir, comme nous l'avons déjà observé. C'est pourquoi la Constitution les a limités aux moyens nécessaires, c'est-à-dire aux moyens sans lesquels l'octroi du pouvoir serait sans valeur.
Mais examinons cette commodité et voyons ce qu'elle est. Le rapport sur ce sujet, page 3, déclare que la seule commodité générale est d'empêcher le transport et le re-transport de l'argent entre les États et le trésor, (car je passe sur l'augmentation du moyen de circulation, qui lui est attribué comme un besoin, et qui, selon mes idées sur le papier-monnaie, est clairement un démérite). Chaque État devra verser au trésor une somme d'impôt ; et le trésor devra payer, dans chaque État, une partie de l'intérêt de la dette publique, et les salaires des officiers du gouvernement résidant dans cet État. Dans la plupart des États, il y aura encore un excédent de recettes fiscales qui sera versé au siège du gouvernement pour les fonctionnaires qui y résident. Les paiements des intérêts et des salaires dans chaque État peuvent être effectués par des ordres du Trésor sur le collecteur de l'État. Cela absorbera la plus grande partie de l'argent qu'il a collecté dans son État, et par conséquent empêchera la grande masse de cet argent d'être retirée de l'État. S'il y a une balance commerciale en faveur de cet État contre celui où réside le gouvernement, l'excédent des impôts sera remis par les lettres de change tirées pour cette balance commerciale. Et il doit en être ainsi s'il y avait une banque. Mais s'il n'y a pas de balance commerciale, soit directe, soit détournée, toutes les banques du monde ne pourraient faire remonter l'excédent des impôts que sous forme d'argent. Les ordres du Trésor et les lettres de change peuvent donc empêcher le déplacement de la masse principale de l'argent collecté, sans l'aide d'aucune banque ; et lorsque ceux-ci échouent, on ne peut l'empêcher même avec cette aide.
Peut-être, en effet, les bons de banque peuvent-ils être un véhicule plus pratique que les bons du Trésor. Mais une petite différence dans le degré de convenance ne peut pas constituer la nécessité que la Constitution fonde pour assumer un pouvoir non énuméré.
D'ailleurs, les banques existantes concluront sans doute des arrangements pour prêter leur agence, et d'autant plus favorables qu'il y aura concurrence entre elles pour l'obtenir ; tandis que le projet de loi nous livre liés à la banque nationale, qui sont libres de refuser tout arrangement, mais à leurs propres conditions, et le public non libre, sur ce refus, d'employer une autre banque. Celui de Philadelphie, je crois, fait maintenant cette affaire, par leurs billets postaux, qui, par un arrangement avec le trésor, sont payés par tout collecteur d'État à qui ils sont présentés. Cet expédient suffit à lui seul à empêcher l'existence de cette nécessité qui peut justifier l'hypothèse d'un pouvoir non énuméré comme moyen d'exercer un pouvoir énuméré. La chose peut être faite, et a été faite, et bien faite, sans cette hypothèse, donc elle ne repose pas sur ce degré de nécessité qui peut honnêtement la justifier.
On peut dire qu'une banque dont les effets auraient une monnaie dans tous les États serait plus commode qu'une banque dont la monnaie est limitée à un seul État. Il serait donc encore plus commode qu'il y ait une banque dont les effets aient une monnaie dans le monde entier. Mais il ne suit pas de cette convenance supérieure, qu'il existe nulle part un pouvoir d'établir une telle banque ; ou que le monde ne pourrait pas très bien s'en passer.
Peut-on penser que la Constitution a voulu que pour une nuance ou deux de commodité, plus ou moins, le Congrès soit autorisé à briser les lois les plus anciennes et les plus fondamentales des différents États ; comme celles contre mainmorte, les lois de l'aliénation, les règles de descendance, les actes de distribution, les lois de déshérence et de confiscation, les lois du monopole ? Rien qu'une nécessité invincible par tout autre moyen ne peut justifier une telle prostitution de lois, qui constituent les piliers de tout notre système de jurisprudence. Le Congrès sera-t-il trop strict pour appliquer la Constitution dans un effet honnête, à moins qu'il ne puisse passer outre les lois fondatrices du gouvernement de l'État pour la moindre convenance de sa part ?
Le négatif du Président est le bouclier prévu par la Constitution pour se protéger contre les invasions du législatif : 1. Le droit de l'Exécutif. 2. Du pouvoir judiciaire. 3. Des États et des législatures d'État. Il s'agit ici d'un droit appartenant exclusivement aux Etats, et par conséquent de ceux que la Constitution entend placer sous sa protection,
Il doit être ajouté, cependant, qu'à moins que l'esprit du président sur une vue de tout ce qui est préconisé pour et contre ce projet de loi, est assez clair qu'il est interdit par la Constitution ; si le pour et le contre penchaient de manière à équilibrer son jugement, un juste respect pour la sagesse du législateur déciderait naturellement la balance en faveur de son opinion. C'est principalement pour les cas où ils sont clairement induits en erreur par erreur, ambition ou intérêt, que la Constitution a placé un chèque dans le négatif du Président.
(1) Bien que la Constitution contrôle les lois de mainmorte jusqu'à permettre au Congrès lui-même de détenir des terres à certaines fins, mais pas jusqu'à leur permettre de communiquer un droit similaire à d'autres personnes morales.-T. J.Retour
La source:
Ford, Paul Leicester
The Federalist : Un commentaire sur la Constitution des États-Unis par Alexander Hamilton, James Madison et John Jay édité avec des notes, des documents illustratifs et un copieux index par Paul Leicester Ford.
New York : Henry Holt et compagnie, 1898.
Bienvenue sur le site web et les archives de données électroniques d'Abu Hureyra. Vous trouverez ici un grand nombre de données récupérées lors des fouilles archéologiques du village primitif d'Abu Hureyra. Ces données font partie des preuves utilisées pour écrire le livre Village on the Euphrates par A.M.T. Moore, G.C. Hillman, et A.J. Legge qui a été publié par Oxford University Press en 2000. Sur ce site, vous pourrez également en apprendre davantage sur le projet Abu Hureyra et sur les personnes qui mènent les recherches sur cet important site archéologique. Nous ajouterons des informations supplémentaires sur le projet Abu Hureyra au fur et à mesure que les recherches se poursuivent.
Abu Hureyra était situé dans la vallée de l'Euphrate, dans la Syrie moderne. Il a été habité de 11 500 à 7 000 ans environ, en années radiocarbones. Le village a été fondé par un groupe de chasseurs et de cueilleurs qui ont adopté l'agriculture vers 11 000 ans avant notre ère, devenant ainsi les premiers agriculteurs connus au monde. Suite au développement de l'agriculture, la population a augmenté et le village d'Abu Hureyra s'est étendu jusqu'à devenir l'un des plus grands établissements de son âge au Moyen-Orient.
Abu Hureyra est important car il documente la transition de la recherche de nourriture à l'agriculture dans l'un des principaux centres de développement agricole du monde. Abu Hureyra a été habité pendant la transition entre le Pléistocène et l'Holocène, un événement climatique majeur qui a provoqué des changements environnementaux importants. Le village a été occupé pendant plus de 4 500 années radiocarbones, une durée extraordinaire d'occupation continue qui a fourni un témoignage unique sur la vie des premiers villages. Parce qu'Abu Hureyra a été occupé pendant si longtemps, nous avons pu étudier l'impact des changements climatiques et environnementaux sur le développement d'un mode de vie agricole sur un seul site. L'adoption de l'agriculture a eu des effets profonds sur la communauté des personnes qui y vivaient et a été en grande partie responsable de l'extraordinaire croissance du village.
Nous avons utilisé des méthodes modernes de récupération à une échelle inhabituellement grande pour assurer une récupération maximale des artefacts et des restes de nourriture. Tous les sols excavés ont été passés dans des tamis secs pour récupérer les artefacts et les ossements. De grands échantillons de sol de chaque niveau ont été traités par flottation pour extraire les restes de plantes carbonisées et les petits os. Ces énormes échantillons de restes organiques nous ont permis d'étudier les changements économiques à Abu Hureyra dans des détails sans précédent.
Nous vous encourageons à examiner les données présentées ici afin de mieux comprendre les recherches menées à Abu Hureyra. Nous vous invitons à utiliser ces données dans vos propres analyses, dans l'espoir que vous contribuerez davantage à notre compréhension de ce site remarquable.
Vous pouvez commander votre exemplaire de Village on the Euphrates directement sur le site Internet d'Oxford University Press. L'adresse est la suivante : www.oup-usa.org.
----------------- Homo domesticus p122 -----------
Durant sa phase d'occupation par des chasseurs cueilleurs le site archéologique d'Abu Hureyra porte la trace de 192 plantes différentes, donc 142 ont pu être identifiée et 118 sont encore aujourd'hui consommés par des populations de chasseurs-cueilleurs.
=> livre Village on the Euphrates par A.M.T. Moore, G.C. Hillman, et A.J. Legge, p. 369
mormalor, mon premier site perso.... à l'époque (23.1.2001) il était sur multimania.com
archives du premier "vrai" site de extremefondue.ch en avril 2001
tout premier site de extremefondue.ch posée le 5.2.2001 sur multimania