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Les notions principales du système KNX, expliquées simplement
KNX est un standard
KNX est un système de bus standardisé pour l’automatisation des bâtiments. S’appuyant sur la mise en réseau des technologies, il est capable de contrôler tous les corps d’état d’un bâtiment. Grâce à KNX, les applications les plus diverses peuvent être gérées sous le même toit avec un seul et même système. Au nom du principe de l’interopérabilité, les produits KNX de différents fabricants sont combinables – le logo KNX garantit cette interopérabilité et leur connectivité en réseau. KNX est donc le standard ouvert pour le contrôle des bâtiments monovalents et des immeubles d’habitation de tout genre.
KNX permet de gérer l’éclairage, les volets roulants, les systèmes de sécurité, la consommation d’énergie, le chauffage, la ventilation, la climatisation, les systèmes d’alarme et de surveillance, les interfaces de maintenance et de surveillance, la commande à distance, les applications audio et vidéo, la centrale solaire, les bornes de recharge pour les voitures électriques et de nombreuses autres applications.
Capteurs et actionneurs en réseau
Le secret du bâtiment intelligent réside dans la présence de capteurs et d’actionneurs et leur mise en réseau. Tandis que l’intelligence et les informations sont partagées entre les capteurs et les actionneurs à l’aide de «télégrammes» sur la ligne de bus, les capteurs collectent les données nécessaires et les actionneurs commutent ensuite l’énergie des luminaires, des stores, etc. Cette distinction entre l’énergie et l’intelligence permet de réaliser des applications intelligentes et en réseau tout à fait nouvelles.
En Suisse, l’écosystème de la Fintech et de la blockchain s’est fortement développé ces dernières années, en particulier dans le domaine de la finance.
Le Conseil fédéral entend continuer à améliorer les conditions pour que la Suisse puisse tirer
parti des opportunités liées à la "digitalisation".
Il souhaite ainsi instaurer des conditions-cadres optimales pour que la Suisse puisse s’établir et se développer en tant que place économique innovante et durable de premier plan pour les sociétés Fintech et blockchain, et pour les entreprises novatrices en général.
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Avec ce rapport, le Conseil fédéral souhaite dresser un état des lieux du cadre juridique pertinent et clarifier la nécessité de prendre certaines mesures.
Ce rapport doit de plus envoyer un message fort et montrer:
- (i) que la Suisse est ouverte aux évolutions technologiques telles que la DLT et la blockchain,
- (ii) que le cadre juridique de la Suisse est d’ores et déjà adapté aux modèles d’affaires basés sur la DLT et la blockchain,
- (iii) que la Suisse entend rendre ses conditions-cadres encore plus propices à l’innovation et
- (iv) que les autorités suisses sont résolues à lutter systématiquement contre les abus.
Le présent rapport s’appuie sur les analyses du groupe de travail «Blockchain / ICO», créé par
le Département fédéral des finances (DFF) en janvier 2018.
Du point de vue du droit civil, on peut distinguer deux types de jetons cryptographiques
(tokens):
- les jetons qui représentent avant tout une valeur dans le contexte
de la blockchain, par exemple les cryptomonnaies comme le bitcoin. Selon l’opinion majori-
taire, ces jetons représentent de facto des actifs purement immatériels. Le droit civil n’impose
aucune exigence (et donc aucun obstacle) à leur transfert. Par conséquent, il n’est pas néces-
saire d’adapter le droit civil en ce qui concerne le transfert de cryptomonnaies. - les jetons qui représentent des droits (créance, affiliation, droit réel). Le Conseil fédéral propose une adaptation du droit des papiers-valeurs afin de renforcer la sécurité juridique. Il faudrait veiller à maintenir dans la mesure du possible les principes du droit des papiers-valeurs, qui ont fait leurs preuves. Ainsi, la représentation et le transfert numériques ne peuvent être envisagés que pour les droits qui sont susceptibles d’être titrisés et peuvent être transférés librement.
Actuellement, le Conseil fédéral ne voit dans le droit des marchés financiers aucun problème fondamental concernant spécifiquement les applications basées sur la blockchain et la DLT et nécessitant des modifications en profondeur. Le droit suisse des marchés financiers est en principe neutre sur le plan technologique et adapté aux nouvelles technologies.
Des adaptations ciblées semblent toutefois judicieuses dans certains domaines:
- une adaptation des dispositions du droit sur l’insolvabilité des banques (en particulier dans le domaine de la distraction des valeurs déposées)
- la création d’une nouvelle catégorie d’autorisation pour les fournisseurs d’infrastructures dans le domaine de la blockchain et de la DLT.
- l’utilisation de la blockchain et de la DLT dans le domaine du droit des placements collectifs en est encore à un stade précoce, si bien qu’il est difficile d’évaluer la nécessité d’agir de manière définitive.
L’analyse des risques réalisée en 2018 par le Groupe interdépartemental de coordination sur
la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme (GCBF) montre que, en
raison des menaces et des vulnérabilités identifiées, il existe en Suisse un risque d’utilisation
frauduleuse de cryptoactifs à des fins de blanchiment d’argent ou de financement du terro-
risme. Les menaces et les vulnérabilités constatées concernent tous les pays du monde. Il
ressort toutefois de cette analyse des risques qu’en Suisse, le risque réel ne peut être évalué
précisément en raison du faible nombre de cas.
Actuellement, la loi sur le blanchiment d’argent est suffisamment neutre sur le plan technologique pour englober une grande partie des activités en lien avec les cryptomonnaies et les Initial Coin Offerings (ICO). Les principes généraux de la loi sur le blanchiment d’argent s’appliquent également aux cryptoactifs. Les activités de la plupart des acteurs du domaine cryptographique relèvent d’ores et déjà de l’intermédiation financière, et à ce titre, sont soumises à la loi sur le blanchiment d’argent.
E-franc
Le présent rapport ne traite pas non plus la question de la création d’une monnaie centrale
numérique, l’e-franc. En réponse au postulat Wermuth (18.3159), que le Conseil national a
adopté, le DFF va toutefois établir un rapport distinct sur les enjeux de la création d’un crypto-
franc (e-franc), lequel devrait être publié d’ici à la fin de 2019.
Propriété des actifs numériques
Quelques avis de doctrine soutiennent que les règles de la propriété mobilière prévues aux art. 713 ss. du code civil (CC)60, de même que les prétentions qui en découlent, s’appliquent aux données numériques et les protègent61. Selon le courant dominant, les règles applicables aux droits réels ne peuvent toutefois être transposées aux données numériques, notamment du fait de leur absence de matérialité62, car la notion de droit réel, en droit suisse, ne recouvre que les objets tridimensionnels pouvant être appréhendés matériellement63.
En vertu de l’art. 713 CC, les forces naturelles qui sont susceptibles d’appropriation sont certes aussi couvertes par les dispositions régissant la propriété mobilière, mais les règles sur les droits réels s’appliquent à elles uniquement par analogie64. La proposition consistant à appliquer par analogie les règles du droit de la propriété intellectuelle aux données numériques65 ne réunit pas
non plus la majorité des opinions.
Les jetons n’étant pas des objets matériels, ils ne peuvent pas faire l’objet d’un droit de propriété.
=> car on ne peut pas les donner, sans donner un mot de passe qui va avec.
2, 6, 12, 60, 120, 360, 2520, 5040, 55440, 720720, 1441440, 4324320, 21621600, 367567200 et 6983776800 sont aussi les 15 premiers nombres colossalement abondants.
Les gènes des mammifères sont très hétérogènes en ce qui concerne la composition de leurs nucléotides, mais les conséquences fonctionnelles de cette hétérogénéité ne sont pas claires. Dans les études précédentes, de faibles corrélations positives ou négatives ont été trouvées entre la teneur en guanine et cytosine (GC) du site silencieux et l'expression des gènes de mammifères. Cependant, les études précédentes n'ont pas tenu compte des différences dans le contexte génomique des gènes, ce qui pourrait potentiellement obscurcir toute corrélation entre la teneur en GC et l'expression. Dans le présent travail, nous avons directement comparé l'expression de gènes riches en GC et de gènes pauvres en GC placés dans le contexte de promoteurs identiques et de séquences UTR. Nous avons effectué des transfections transitoires et stables de cellules de mammifères avec des versions riches en GC et pauvres en GC des gènes Hsp70, de la protéine fluorescente verte et de l'IL2. Les gènes riches en GC ont été exprimés de plusieurs fois à plus de 100 fois plus efficacement que leurs homologues pauvres en GC. Cet effet n'est pas dû à des taux de traduction différents de l'ARNm riche en GC et de l'ARNm pauvre en GC. Au contraire, l'expression efficace des gènes riches en GC résulte de l'augmentation de leurs niveaux d'ARNm en état d'équilibre. Les taux de dégradation de l'ARNm n'étaient pas corrélés avec la teneur en GC, ce qui suggère qu'une transcription ou un traitement de l'ARNm efficace est responsable de la forte expression des gènes riches en GC. Nous concluons que la teneur en GC à site silencieux est corrélée avec l'efficacité de l'expression des gènes dans les cellules de mammifères.
La pseudouridine (notée ψ) est un ribonucléoside dérivé de l'uridine. On la trouve dans certains ARN non-codants, comme les ARN de transfert ou les ARN ribosomiques. La pseudouridine n'est pas incorporée lors du processus de transcription, mais résulte d'une modification post-transcriptionnelle de certains résidus d'uridine. C'est la modification de base la plus fréquente dans l'ARN, elle est retrouvée chez l'ensemble des organismes vivants.
Une nouvelle initiative va être lancée pour demander un "Approvisionnement Alimentaire de Base Inconditionnel"
Chaque citoyen reçoit un montant inconditionnel de 540 CHF par mois pour la nourriture et les boissons (hors boissons alcoolisées).
Pour les enfants, des montants supplémentaires sont crédités au représentant des parents, jusqu'à 12 ans 40% du montant de base, de 13 à 18 ans 67% du montant.
le montant n'est pas mis à disposition en espèces, mais au moyen d'un support électronique (par exemple carte de crédit).
Le montant ne peut pas être accumulé. Au début du mois, le solde est toujours le même.
Le support électronique ne peut être utilisé que pour payer en Suisse et uniquement dans les épiceries, les fermes et les restaurants.
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UNE ALTERNATIVE À LA PAC Par Claude Fouquet - 5 septembre 2013 Share280 Tweet56 Share1 Share391 Claude Fouquet, ancien Ambassadeur de France, a travaillé à la fois avec Friedrich Hayek, Raymond Aron et Pierre Grimal. Il se montre très critique vis-à-vis de la PAC, dont il connaît intimement les rouages, et qu’il juge inégalitaire, bureaucratique et contre-productive. Il imagine dans cette note une alternative qui permettrait de rétablir la vérité des prix (à l’avantage du consommateur), de moderniser notre agriculture et de « défonctionnariser » les agriculteurs. Sans nier la nécessité des aides dans ce secteur stratégique, il propose de les basculer de la production au producteur, sous la forme d’une prime universelle. Alors que la Politique agricole commune (PAC) était supposée encourager agriculteurs et éleveurs à rester sur leurs terres, nous en avons chaque année de moins en moins. Nous avons perdu 160 000 paysans entre 2000 et 2010, soit 21 % de sa population active. Il y en a