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Mesure, orientation et proportion, telles sont les bases de tout espace sacré.
Ces principes sont donnés dans la Bible et sont clairs pour un oeil exercé.
En effet, l’ancien Testament donne beaucoup de détails, avec proportions et mesures, pour la construction des espaces sacrés, comme l’Arche de Noé, le temple de Salomon et le Tabernacle de Moïse.
Howard Crowhurst nous montre comment il en ressort une utilisation évidente du nombre d’or et une mesure en relation avec la coudée royale égyptienne.
Cette architecture repose sur un principe modulaire avec des rapports en nombres entiers entre la longueur, la largeur et la hauteur de construction. Or l’existence de ces principes peut facilement être vérifiée dans les constructions mégalithiques à Carnac.
Selon Benny Shanon, un psychologue formé à Stanford et actuellement enseignant à l’Université Hébraïque de Jérusalem, il y a de fortes chances pour que Moïse ait été sous l’influence de la DMT à des moments-clés de l’histoire. C’est une sacrée théorie qui a déjà, vous pouvez l’imaginer, été considérée comme une hérésie sans fondements par de nombreuses personnes.
DMT : LA RACINE DE LA RELIGION ?
Cette théorie vient des propres expériences de Shanon avec l’Ayahuasca, une boisson amazonienne riche en DMT consommée à des fins enthéogènes. Il se trouve que les composants nécessaires à la préparation de cette puissante boisson sont également disponibles au Proche-Orient, des parties de l’arbre Acacia et du buisson Peganum harmala peuvent être réunies pour créer une concoction IMAO et DMT - de quoi entraîner une des plus puissantes expériences hallucinogènes connues de l’homme. Le mélange n’est techniquement pas de l’Ayahuasca, mais les molécules de base sont les mêmes.
Pour Shanon, ce n’est pas farfelu de présumer que les puissantes sensations hallucinogènes de ces plantes - qui étaient traitées avec respect et même considérées comme sacrées - aient été utilisées par les premiers hommes comme moyen de se rapprocher de Dieu. Même s’il n’existe aucune preuve directe de la consommation de ces boissons par Moïse, des préparations religieuses présentées dans l’Exode imitent de très près celles utilisées dans les précurseurs rituels de l’Ayahuasca.
Alors, quand Moïse était-il sous DMT ? Eh bien, Shanon déclare qu’il était probablement sous DMT lors de l’épisode du buisson ardent et quand il a reçu les dix commandements. Ce qui expliquerait beaucoup de choses.
1 Or, le serpent était le plus fin de tous les animaux des champs que l’Éternel Dieu avait faits ; et il dit à la femme : Quoi ! Dieu aurait-il dit : Vous ne mangerez point de tout arbre du jardin ?
2 Et la femme répondit au serpent : Nous mangeons du fruit des arbres du jardin.
3 Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : Vous n’en mangerez point, et vous ne le toucherez point, de peur que vous ne mouriez.
4 Alors le serpent dit à la femme : Vous ne mourrez nullement ;
5 Mais Dieu sait qu’au jour que vous en mangerez, vos yeux seront ouverts, et vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal.
6 La femme donc voyant que le fruit de l’arbre était bon à manger, et qu’il était agréable à la vue, et que cet arbre était désirable pour donner de la science, en prit du fruit et en mangea, et en donna aussi à son mari, qui était avec elle, et il en mangea.
7 Et les yeux de tous deux furent ouverts ; et ils connurent qu’ils étaient nus ; et ils cousirent ensemble des feuilles de figuier, et ils s’en firent des ceintures.
"Jean Bottéro s'est posé la question des origines de la prostitution dans son ouvrage Mésopotamie. Il considère que les premières femmes à avoir été consacrées à la prostitution sacrée pour honorer la déesse de la fertilité, Inanna à Sumer, devenue Ishtar pour les Babyloniens, étaient les femmes stériles ; ne pouvant assurer la procréation au sein d'une famille avec un seul homme, elles trouvent une place dans la société en servant la déesse, devenant l'épouse de tous. "
(lukur, ishtaritu, hétaïre)
Sarah la femme d'Abraham était stérile, elle venait d'Ur en chaldée, donc de culture sumérienne. Du coup elle était probablement une prostituée sacrée du culte d'innana/ishtar...
D'ailleurs le nom Sarah est proche de iShara ... l'incarnation de la déesse ishtar.
Sarah était probablement une prostituée sacrée de haut rang, réservée uniquement aux rois et donc même un passage obligé pour que le roi devienne roi.
La saraï biblique qui devient sarah rencontre 3 rois. Elle "se marie" avec eux. L'acte de mariage sacré était un rite sexuel sumérien.
En échange Abraham est devenu très riche.
Il y a beaucoup de signes qui sous entendent que Sarah était une prétresse prostituée sacrée d'ishtar, faiseuse de roi.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sarah_(Bible)
https://www.youtube.com/watch?v=dPaFC1K8YFs
Adam
Adamas => dans la septante
dms => sans voyelles
dumus => 5ème roi mythique après le déluge sumérien
Adam = dumuzi
Tammuz (attis)
Adonis
dionysos
Encore d'autres variantes.
Dumuzi était un roi berger qui est devenu un dieu. Il était en couple avec Ishtar, et ça lui a valu des soucis. La chute !
Avec des représentations qui incluent un arbre, un fruit et un serpent !
Il est mort et ressuscité !
ex: genèse 1
https://saintebible.com/interlinear/genesis/1-1.htm
בְּרֵאשִׁ֖ית bə·rê·šîṯ
בָּרָ֣א bā·rā
’ĕ·lō·hîm;אֱלֹהִ֑ים
אֵ֥ת’êṯ
הַשָּׁמַ֖יִםhaš·šā·ma·yim
וְאֵ֥תwə·’êṯ
הָאָֽרֶץ׃hā·’ā·reṣ.
La solution la plus économique serait de retranscrire simplement YHWH ou Yahvé, mais c'est prendre le risque de choquer les Juifs dans leur sensibilité. Remplacer Yahvé par Adonaï – ou Seigneur – comme le font bien des versions françaises récentes, c'est d'une certaine façon appauvrir le texte, et cela pose problème dans les expressions jumelées Adonaï Yahvé (ex. Deutéronome 9:26). Il peut être intéressant de noter que dans le Nouveau Testament, lorsque des versets de l'Ancien Testament portant le tétragramme sont cités, YHWH est certes remplacé par kurios qui signifie Seigneur, mais la citation renvoie souvent à Jésus-Christ.
Pierre-Robert Olivétan (1506-1538) fut le premier à traduire la Bible française sur la base des textes originaux hébreu et grec (1535). Elève de Lefèvre d'Etaples, c'est lui qui amena à la foi son cousin Jean Calvin. Voici comment Olivétan explique son choix dans sa préface de la Bible:
"Désirant montrer la vraie propriété et signification de ce mot YHWH (...) je l'ai exprimé selon son origine, au plus près qu'il m'a été possible par le mot Éternel. Car YHVH vient de HWH qui veut dire «est». Or, il n'y a que lui qui soit vraiment et qui fasse être toute chose (...) De le nommer comme les Juifs Adonaï c'est-à-dire Seigneur, ce n'est pas remplir et satisfaire à la signification et majesté du mot. Car Adonaï en l'Ecriture est communicable, étant aux hommes comme à Dieu. Mais Yahvé est incommunicable, ne se pouvant approprier et attribuer, sinon qu'à Dieu seul selon son essence."
Eternel est donc une tentative de rendre un sens probable du tétragramme. Même si la solution n'est pas parfaite, elle est bien plus satisfaisante. Elle vaut en tous les cas mieux que Jéhovah, d'autant que le nom Eternel est passé dans la langue courante en français. Qui n'a jamais dit d'un ami, d'un parent, qu'il était «un grand voyageur devant l'Eternel»?
Pour les diverses raisons évoquées ci-dessus, les lecteurs de la Segond NRG (Nouvelle révision de Genève) retrouveront par conséquent dans leur nouvelle Bible l'Éternel qu'ils avaient l'habitude de rencontrer dans la NEG (Nouvelle édition de Genève).
La "trouvaille" d'Olivétan
C'est ainsi que les commentateurs des générations passées qualifiaient le terme Eternel choisi par Pierre-Robert Olivétan pour sa traduction française de la Bible. Alors que les langues européennes rendent le tétragramme YHWH par des mots communs ne reflétant pas le sens originel (Herrn, Lord, Signor, etc.) la langue française a ainsi bénéficié d'une traduction dynamique de premier ordre, reflétant au mieux le sens profond d'un terme hébreu que plusieurs textes de l'Ancien Testament interprètent (ex. Exode 3:14; 6:3; 34:6, etc.). Rappelons aussi que dans la perspective de faire ressortir la divinité de Christ, Jean, dans son Evangile, rapporte qu'à plusieurs reprises le Seigneur s'est affirmé comme étant le "Je suis" si proche du tétragramme YHWH (Jean 6:35, 48, 51; 8: l2; 9:5; 10:7, 9, 11, l4; 11:25; 14:6; 18:5-6, litt.)
Pour le rachat des deux cent soixante-treize qui dépassent le nombre des Lévites, parmi les premiers-nés des enfants d'Israël, 47tu prendras cinq sicles par tête; tu les prendras selon le sicle du sanctuaire, qui est de vingt guéras.…
LA SIGNIFICATION PROFONDE DES POISSONS DANS LA BIBLE,C'EST MATHÉMATIQUES(fermaton.overblog.com)
153 (nombre)
Le nombre 153 a plusieurs propriétés mathématiques intéressantes. 153 est la somme des 17 premiers entiers (voir propriétés mathématiques du numéro 153) et est aussi la somme des cinq premières factorielles positifs, 1! + 2! + 3! + 4! + 5 !. Le nombre 153 est associé à la forme géométrique connue sous le nom Vesica Piscis ou Mandorla. Archimède, dans sa mesure d'un cercle, fait référence à ce rapport (153/265), comme constituant la "mesure du poisson", ce rapport étant un représentation imparfaite de 1 / √3.
Comme un nombre triangulaire, 153 est la somme des premiers 17 nombres entiers, et est également la somme des cinq premiers positifs factorielles: . [1]
Le nombre 153 est également un nombre à six pans, et un numéro de triangle tronqué, ce qui signifie que 1, 15 et 153 sont tous les nombres du triangle.
Les facteurs premiers distincts de 153 ajouter jusqu'à 20, et ainsi de faire celles de 154, d'où les deux forment une paire Ruth-Aaron.
Depuis Il est un 3- nombre narcissique, et il est aussi le plus petit nombre à trois chiffres qui peut être exprimée comme la somme des cubes de ses chiffres. [2] Seuls cinq autres nombres peuvent être exprimés en tant que la somme des cubes de leur chiffres: 0, 1, 370, 371 et 407. [3] Il est également un nombre Friedman, étant donné que 3 x 153 = 51, et un nombre Harshad en base 10, étant divisible par la somme de ses chiffres.
Le graphique Biggs-Smith est un graphe symétrique avec 153 bords, toutes équivalentes.
Une autre caractéristique intéressante du nombre 153 est qu'il est à la limite de l'algorithme suivant: [4] [5]
Jetez un positif aléatoire entier, divisible par trois.
Diviser ce nombre dans sa base de 10 chiffres.
Prendre la somme de leurs cubes.
Retour à la seconde étape.
Un exemple, en commençant par le numéro 84:
Dans la Bible
L'Evangile de Jean (chapitre 21: 1-14) comprend le récit de la pêche miraculeuse de 153 poissons comme la troisième apparition de Jésus après sa résurrection. [6]
C'est vrai que la traduction courante est pas terrible...
.. mais en effet, il y a des gens qui sont honnêtes et disent que ça cloche....
Quand et met ensemble les mots "concevoir" "antique" et "montagne".. le sens s'approche bien de la notion de pyramide.
... mais comme je suis bien ignorant en hébreux... je suis obligé de faire confiance à d'autre....
"Les bénédictions des montagnes antiques. Le mot traduit par montagnes peut aussi être le participe du verbe hârâ : concevoir, et le mot ad : antique, peut être une préposition qui signifie : jusqu'à. C'est pourquoi d'autres ont traduit : Les bénédictions de ton père ont surpassé les bénédictions de mes pères (ceux qui m'ont engendré), jusqu'à la cime des collines éternelles.
Mais ce sens n'est pas clair, le parallélisme est brisé, et il faut prendre hârâ (concevoir) dans le sens d'engendrer, qu'il n'a jamais. Comparez une construction identique à celle que nous avons ici, Deutéronome 33.15 ; Habakuk 3.6
Montagnes antiques, collines éternelles. Les montagnes sont censées être ce qu'il y a de plus antique et de plus stable sur la terre (Psaumes 90.2)."
Et il répondit: Je vous le dis, s'ils se taisent, les pierres crieront!
Esaïe 40.22 C’est lui qui est assis au-dessus du cercle de la terre, Et ceux qui l’habitent sont comme des sauterelles ; Il étend les cieux comme une étoffe légère, Il les déploie comme une tente, pour en faire sa demeure.
Proverbes 8.31 Jouant sur le globe de sa terre, Et trouvant mon bonheur parmi les fils de l’homme.