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Les systèmes avancés de freinage d’urgence, les systèmes d’adaptation intelligente de la vitesse, les systèmes d’urgence de maintien de la trajectoire, les avertisseurs de somnolence et de perte d’attention du conducteur, les avertisseurs avancés de distraction du conducteur et la détection en marche arrière sont des systèmes de sécurité qui recèlent un grand potentiel pour réduire considérablement le nombre de victimes. De plus, certains de ces systèmes de sécurité constituent le fondement des technologies qui seront également utilisées pour le déploiement de véhicules automatisés. Il convient que chacun de ces systèmes de sécurité fonctionne sans utiliser quelque information biométrique que ce soit relative aux conducteurs ou aux passagers, y compris la reconnaissance faciale. Il convient donc d’établir, au niveau de l’Union, des règles et procédures d’essai harmonisées applicables à la réception par type des véhicules en ce qui concerne ces systèmes et à la réception par type de ces systèmes en tant qu’entités techniques distinctes. Les progrès technologiques de ces systèmes devraient être pris en considération dans toute évaluation de la législation en vigueur, afin que celle-ci soit à l’épreuve du temps, tout en respectant scrupuleusement les principes de respect de la vie privée et de protection des données, et permette de réduire ou de porter à zéro le nombre d’accidents et de blessés dans le transport routier. Il est également nécessaire de garantir que ces systèmes peuvent être utilisés en toute sécurité tout au long du cycle de vie du véhicule.
=> appliqué pour les nouvelles voitures dès le 7.7.24
Facebook envisage d'ajouter les photos de profil à la reconnaissance faciale
Par Alexei Oreskovic
August 29, 20136:20 PM GMT+2Mis à jour il y a 11 ans
SAN FRANCISCO (Reuters) - Facebook Inc envisage d'intégrer la plupart des photos de profil de ses plus d'un milliard de membres dans sa base de données de reconnaissance faciale en pleine expansion, élargissant ainsi le champ d'application de la technologie controversée du réseau social.
Cette possible évolution, révélée jeudi par Facebook dans une mise à jour de sa politique d'utilisation des données, vise à améliorer les performances de sa fonction "Tag Suggest". Cette fonction utilise la technologie de reconnaissance faciale pour accélérer le processus d'étiquetage ou de "marquage" des amis et des connaissances qui apparaissent sur les photos publiées sur le réseau.
Actuellement, la technologie identifie automatiquement les visages sur les photos nouvellement téléchargées en les comparant uniquement aux clichés précédents sur lesquels les utilisateurs ont été étiquetés. Les utilisateurs de Facebook peuvent choisir de supprimer les étiquettes qui les identifient sur les photos publiées par d'autres sur le site.
Ces modifications interviendraient à un moment où les pratiques de Facebook et d'autres sociétés Internet en matière de protection de la vie privée font l'objet d'un examen minutieux, à la suite de la révélation d'un programme de surveillance électronique du gouvernement américain.
Facebook, Google Inc et d'autres entreprises ont insisté sur le fait qu'elles n'ont jamais participé à un programme donnant au gouvernement un accès direct à leurs serveurs informatiques et qu'elles ne fournissent des informations qu'en réponse à des demandes spécifiques, après un examen approfondi et dans la mesure où la loi l'exige.
Erin Egan, responsable de la protection de la vie privée chez Facebook, a déclaré que l'ajout des photos de profil publiques des membres permettrait aux utilisateurs de mieux contrôler leurs informations personnelles, en facilitant l'identification des photos publiées sur lesquelles ils apparaissent.
"Notre objectif est de faciliter le marquage afin que les gens sachent quand il y a des photos d'eux sur notre service", a déclaré Erin Egan.
Elle a souligné que les utilisateurs de Facebook qui ne sont pas à l'aise avec la technologie de reconnaissance faciale pourront toujours se désengager de la fonction "Tag Suggest", auquel cas la photo du profil public de la personne ne sera pas incluse dans la base de données de reconnaissance faciale.
La technologie de reconnaissance faciale est un sujet sensible pour les entreprises technologiques, qui suscite des inquiétudes chez certains défenseurs de la vie privée et représentants des pouvoirs publics. Tag Suggest, que l'entreprise a introduit en 2011, n'est pas disponible en Europe en raison des inquiétudes soulevées par les autorités de régulation de ce pays.
Le réseau social de Google, Google+, utilise également une technologie similaire, mais nécessite le consentement de l'utilisateur. Google a également interdit aux fabricants de logiciels tiers d'utiliser la technologie de reconnaissance faciale dans les applications conçues pour son ordinateur portable Glass.
M. Egan a déclaré que Facebook n'utilisait pas actuellement la technologie de reconnaissance faciale pour d'autres fonctions, mais que cela pourrait changer.
"Puis-je affirmer que nous n'utiliserons jamais la technologie de reconnaissance faciale à d'autres fins ? Absolument pas", a déclaré Mme Egan. Mais, a-t-elle ajouté, "si nous décidons de l'utiliser à d'autres fins, nous continuerons à fournir aux gens de la transparence à ce sujet et nous continuerons à leur donner le contrôle".
Facebook a également modifié sa déclaration des droits et responsabilités jeudi, en ajoutant et en modifiant la formulation de sorte que les membres de moins de 18 ans soient considérés comme ayant affirmé qu'un parent ou un tuteur légal a accepté de permettre aux spécialistes du marketing d'utiliser certaines de leurs informations personnelles dans les publicités.
Cette nouvelle formulation est le résultat d'un récent règlement judiciaire approuvé par un tribunal concernant les publicités "histoires sponsorisées".
Reportage d'Alexei Oreskovic ; Rédaction de Lisa Shumaker
30.08.2013
Sciences et Société, Technologies de l'Information et de la Communication
Facebook veut utiliser les photos de profil pour la reconnaissance faciale
« Toujours désactivé en Europe, le service de reconnaissance automatique des personnes figurant sur une photo publiée sur Facebook devrait au contraire prendre de l’ampleur aux Etats-Unis. Le réseau social souhaite en effet ajouter les photos de profils des membres à sa base de données biométriques permettant d’identifier les visages.
Aux Etats-Unis, où il subit beaucoup moins d’inquiétudes qu’en Europe sur le respect de la vie privée, Facebook se prépare à donner un important coup d’accélérateur à son outil de reconnaissance des visages, qui permet d’identifier automatiquement les personnes présentes sur une photographie publiée sur le réseau social. Comme le relève Reuters, Facebook a mis à jour ses conditions contractuelles pour lui permettre d’exploiter les photos de profils de ses utilisateurs pour enrichir sa base de données de visages identifiable (…)
Introduit avec une autorisation par défaut en 2011, l’outil de reconnaissance faciale n’est plus disponible en Europe depuis septembre 2012, Facebook ayant interrompu le programme suite aux craintes émises par les CNIL européennes. Il avait toutefois prévenu qu’il s’agissait d’une simple suspension temporaire.
Pour le moment, le service est toujours désactivé, et les conditions d’utilisation de Facebook n’ont pas bougé dans leur version française. »
Le système de reconnaissance biométrique de Facebook inquiète aussi en Suisse
Les autorités de protection des données sont en alerte. La technologie de Facebook progressera
Anouch Seydtaghia
Publié le 12 août 2012 à 21:31. / Modifié le 05 novembre 2015 à 00:06.
La pression augmente sur Facebook. Coup sur coup, des voix viennent de s'élever aux Etats-Unis et en Norvège pour s’inquiéter des progrès du réseau social en matière de reconnaissance biométrique. En fonction depuis un an, le système d’identification des visages devrait rapidement s’améliorer, Facebook ayant acheté en juin la start-up israélienne Face.com, spécialiste dans ce type de détection. Une évolution qui inquiète aussi en Suisse.
Concrètement, Facebook «tague» (ou identifie) une personne dès qu’une photo d’elle apparaît sur le site, et associe les images au profil concerné. Depuis l’été 2011, le réseau effectue cette opération sur les 300 millions de photos mises en ligne chaque jour via la technologie de Face.com, qui identifie les visages en fonction de leur forme, de la distance entre les yeux et le nez ou encore du type de lèvres.
Des opérations qui soulèvent désormais une double inquiétude. Début août, le responsable norvégien de la protection des données a annoncé l’ouverture d’une enquête, déclarant: «Facebook a un outil très puissant, et son fonctionnement n’est pas très clair. Le site a des centaines de millions de photos et nous devons en parler avec lui.» Aux Etats-Unis, le sénateur Al Franken a de son côté demandé l’ouverture d’une enquête sur Facebook, accusé de forcer par défaut ses utilisateurs à voir leur visage identifié. «Les gens choisissent d’être sur Facebook car ils veulent partager avec d’autres», lui a répondu Rob Sherman, responsable de la vie privée chez Facebook. Un argument balayé par Al Franken, qui a noté que Google n’activait pas, sur son réseau social Google+, la reconnaissance faciale par défaut. Et qu’il fallait six clics pour la désactiver sur Facebook.
Voici d’ailleurs la procédure de désactivation: aller dans les paramètres de confidentialité. A côté de «Journal et identification», sélectionner «Modifier les paramètres». Puis à côté de «qui voit les suggestions d’identification lorsque des photos dans lesquelles vous semblez apparaître sont téléchargées», sélectionner «Personne», puis cliquer sur «OK».
En Suisse aussi, les pratiques de Facebook inquiètent. «Nous exigeons une information claire et détaillée des personnes concernées et leur consentement explicite («opt in»). Or, dans la configuration de base de Facebook, la reconnaissance faciale est activée d’entrée et le «opt out», c’est-à-dire la désactivation, est en plus assez compliqué à obtenir», relève Francis Meier, collaborateur scientifique auprès du préposé fédéral à la protection des données et à la transparence. Et de poursuivre: «Maintenant, la technique n’est pas encore parfaite, mais il est fort probable que d’ici peu l’on pourra, en prenant une photo d’une personne, connaître son nom, son adresse, son numéro de téléphone, etc. Le risque est grand que des tiers utilisent ces systèmes pour identifier des personnes et traiter leurs données à leur insu.» Selon Francis Meier, les préposés à la protection des données européens se concertent pour parler d’une seule voix auprès de Facebook et de Google.
Google, justement, n’a pas introduit la reconnaissance de visages dans son service «Goggles», qui permet de prendre en photo un objet avec son téléphone et d’effectuer ensuite une recherche visuelle sur Internet. Mais, a priori, le moteur de recherche est en mesure techniquement de faire progresser Goggles dans ce sens.
«D’ici peu, l’on pourra, en prenant une photo d’une personne, connaître son nom, son adresse…»
Ce hacker est capable de reproduire vos empreintes digitales à partir de photos piochées sur le web
Lors de la dernière conférence du Chaos Computer Club qui se tenait à Hambourg le 27 décembre dernier, le hacker Jan Krissler, alias Starbug, a montré comment il avait pu obtenir une reproduction numérique de l'empreinte digitale de la ministre allemande de la Défense à partir de photos haute résolution dénichées sur internet.
Cachez vos mains sur les réseaux sociaux ! Le 27 décembre dernier à Hambourg, lors de la conférence du Chaos Computer Club réunissant les meilleurs pirates informatiques d'Europe, le hacker Jan Krissler, alias Starbug, a en effet montré comment il avait pu obtenir une reproduction numérique de l'empreinte digitale de la ministre allemande de la Défense, Ursula von der Leyen, à partir de photos haute résolution dénichées sur internet. De quoi remettre en cause les systèmes de sécurité recourant à la reconnaissance d'empreinte, comme le Touch ID d'Apple.
L'activité du corps humain associée à une tâche fournie à un utilisateur peut être utilisée dans un processus de minage d'un système de cryptomonnaie. Un serveur peut fournir une tâche à un dispositif d'un utilisateur qui est couplé de manière à communiquer avec le serveur. Un capteur couplé de manière à communiquer avec un dispositif de l'utilisateur ou compris dans ce dernier peut détecter l'activité corporelle de l'utilisateur. Des données d'activité corporelle peuvent être générées sur la base de l'activité corporelle détectée de l'utilisateur. Le système de cryptomonnaie de la présente invention couplé de manière à communiquer avec le dispositif de l'utilisateur peut vérifier si les données d'activité corporelle satisfont une ou plusieurs conditions définies par le système de cryptomonnaie, et attribuer une cryptomonnaie à l'utilisateur dont les données d'activité corporelle sont vérifiées.