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Description et objectifs
La formation sur la Démocratie Économique identifie l’origine des problèmes économiques actuels: le système financier en place qui ne cesse de créer des pauvres en série. Ce même système instrumentalise l’argent pour en faire un obstacle artificiel.
La Démocratie Économique est synonyme de foi et de confiance. C’est une confiance mutuelle qui relie les citoyens entre eux.
Plus important, La Démocratie Économique présente des propositions concrètes fort simples qui, misent en application, feraient l’organisme économique atteindre efficacement sa fin ; le service des besoins humains.
Objectifs
De façon générale au terme de cette formation, l’étudiant pourra :
- Connaître les principes de la démocratie économique et les expliquer
- Expliquer qui sont les vrais maîtres du monde
- Réaliser la gravité de la pauvreté qui ravage le monde en face de l’abondance
- Identifier les injustices sociales dans leur milieu causées par le système financier actuel
- Connaître les principes de base de la doctrine sociale de l’Église Catholique
- Être capable d’informer et de former les autres sur les grands principes de la démocratie économique
Un avion de combat américain a abattu samedi après-midi un objet non identifié au-dessus du Canada, dans le cadre d'une opération conjointe entre Washington et Ottawa, marquant un nouvel incident dans le ciel nord-américain depuis la destruction d'un ballon chinois supposé espion la semaine dernière.
Justin Trudeau a annoncé samedi qu'un "objet non identifié" avait été abattu alors qu'il survolait le nord-ouest du pays, au lendemain de la destruction par les Etats-Unis d'un objet volant au-dessus de l'Alaska.
Des avions des deux pays ont été dépêchés sur les lieux, et le tir d'un missile AIM 9X provenant d'"un F-22 américain a atteint sa cible", a indiqué le Premier ministre.
Le président américain Joe Biden avait autorisé l'appareil, l'un des aéronefs du Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord (NORAD), à "travailler avec le Canada", a expliqué le porte-parole du Pentagone, Pat Ryder. Les forces canadiennes "vont maintenant récupérer et analyser les débris de l'objet", a ajouté Justin Trudeau.
L’engin, qui volait à une altitude d'environ "40 000 pieds" (12 200 mètres), "était entré illégalement dans l'espace aérien canadien et constituait une menace (possible) pour la sécurité des vols civils", a déclaré à la presse la ministre de la Défense nationale du Canada, Anita Anand.
Appareil cylindrique
Il s'agissait d'un "appareil cylindrique" plus petit que le ballon détruit en Caroline du Nord la semaine dernière, a précisé la ministre de la Défense canadienne."Pour l'instant, nous continuons les analyses de l'objet, donc il ne serait pas prudent de ma part de spéculer sur son origine", a-t-elle ajouté, avant de remercier le Pentagone et les membres des armées canadienne et américaine pour leur collaboration.
Justin Trudeau s'est entretenu avec Joe Biden au sujet de la cible abattue au-dessus du Yukon, territoire du nord-ouest du Canada frontalier de l'Alaska où les forces américaines ont détruit un autre objet volant vendredi, de "la taille d'une petite voiture", car il représentait "une menace pour la sécurité du trafic aérien", selon John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche.
Il s'agit donc du deuxième objet volant abattu au dessus de l'Amérique du Nord par les Etats-Unis en 24 heures environ.
A husband and wife Chinese spy team were recently removed from a Level 4 Infectious Disease facility in Canada for sending pathogens to the Wuhan facility. The husband specialized in coronavirus research. #coronaviruschina #CoronaOutbreak
Radio-Canada
le 15 juillet 2019
Une chercheuse ayant des liens avec la Chine a récemment été écartée du Laboratoire national de microbiologie (LNM) à Winnipeg dans le cadre d'une enquête de la Gendarmerie royale du Canada pour une possible « violation des règlements ».
Le 5 juillet dernier, la Dre Xiangguo Qiu, son mari Keding Cheng, ainsi qu’un nombre inconnu d'étudiants chinois auraient été écartés du seul laboratoire de niveau 4 au Canada, rapporte CBC News.
Un centre de recherche en infectiologie de niveau 4 est un laboratoire équipé pour étudier les maladies humaines et animales les plus graves et les plus meurtrières. Cela fait du laboratoire d'Arlington Street l'un des rares en Amérique du Nord à gérer des agents infectieux (virus, bactéries, parasites) nécessitant le niveau de confinement le plus élevé, comme c’est le cas pour le virus Ebola.
L'accès sécurisé pour le couple de chercheurs et leurs étudiants chinois a été annulé, selon des sources travaillant au sein du laboratoire et qui ne souhaitent pas être identifiées par crainte de représailles.
Cette mise à l’écart intervient plusieurs mois après que des informaticiens du LNM
furent entrés dans le bureau du Dre Qiu, en dehors des heures de bureau, et eurent remplacé son ordinateur. Ses voyages réguliers en Chine ont également commencé à être refusés.
Lors d'une réunion tenue le 8 juillet, le personnel du LNM
a appris que le couple était en congé pour une période indéterminée. On leur a spécifié de ne pas communiquer avec eux.
BESA Center Perspectives Paper No. 1,429, 29 janvier 2020
RÉSUMÉ : En juillet 2019, un événement rare s'est produit au Canada. Soupçonné d'espionnage au profit de la Chine, un groupe de virologistes chinois a été expulsé de force du Laboratoire national de microbiologie (LNM) canadien de Winnipeg, où il dirigeait certaines parties du Programme spécial sur les agents pathogènes de l'agence de santé publique du Canada. L'une des procédures menées par l'équipe consistait à infecter des singes avec les virus les plus mortels trouvés sur Terre. Quatre mois avant l'expulsion de l'équipe chinoise, une cargaison contenant deux virus exceptionnellement virulents - Ebola et Nipah - a été envoyée du LNM en Chine. Lorsque la cargaison a été retracée, elle a été jugée inappropriée et constituait une " violation possible de la politique ".
Des virus mortels du laboratoire P4 de Winnipeg au Canada ont été envoyés à Pékin en 2019
Par Hongyan Lu
18 juin 2020
Mis à jour: 18 juin 2020
Le Laboratoire national de microbiologie du Canada a envoyé des virus mortels en Chine avant qu’une enquête menée par la Gendarmerie royale du Canada auprès des scientifiques du laboratoire ne révèle des informations obtenues à partir de documents d’accès à l’information.
Le 31 mars 2019, des virus vivants Ebola et Henipah, classés comme pathogènes de niveau 4, c’est-à-dire parmi les plus mortels au monde, ont été envoyés à Pékin sur un vol commercial d’Air Canada depuis le laboratoire de Winnipeg, le seul laboratoire P-4 du Canada. P-4 désigne le plus haut niveau de biosécurité.
Vaccination contre la grippe: un taux d'efficacité de 0%
Chaque année, un comité de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) se réunit au mois de février pour déterminer quelles souches de la grippe seront incluses dans le vaccin de la saison suivante. «On se base sur les souches en circulation en février pour déterminer quel vaccin sera donné en novembre. Ça donne au virus le temps d'évoluer, et c'est ce qui s'est produit cette année», explique le Dr De Serres, qui ajoute que «ce qui a été choisi ne fonctionne pas du tout».
Le Demi est une monnaie complémentaire apparue en Gaspésie au printemps 2015. Cette devise est créée à partir de la coupe d'un billet de banque canadien en deux moitiés, valant chacune 50 % de la valeur du billet initial. En modifiant ainsi les billets, ils sont retirés de la circulation régulière par les citoyens qui les font circuler à l'intérieur d'un réseau parallèle. C'est une mesure qui s'apparente au protectionnisme mais qui est mise en place par un groupe de citoyens plutôt que par l'État lui-même.