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La répartition complète des 21 scores :
- Schacht, Hjalmar 143
- Seyss-Inquart, Arthur 141
- Dönitz, Karl 138
- Göring, Hermann 138
- Papen, Franz von 134
- Raeder, Erich 134
- Frank, Hans 130
- Fritzsche, Hans 130
- Schirach, Baldur von 130
- Keitel, Wilhelm 129
- Ribbentrop, Joachim von 129
- Speer, Albert 128
- Jodl, Alfred 127
- Rosenberg, Alfred 127
- Neurath, Konstantin von 125
- Frick, Wilhelm 124
- Funk, Walther 124
- Hess, Rudolf 120
- Sauckel, Fritz 118
- Kaltenbrunner, Ernst 113
- Streicher, Julius 106
Le parti nazi était un exemple brillant de la dangerosité d’un effort collectif de personnes intelligentes et motivées.
=> Comme quoi le monde n'a pas besoin de gens avec un haut QI, mais plutôt avec de la sagesse.
Les connexions entre les neurones peuvent être cartographiées par l'acquisition et l'analyse d'images cérébrales au microscope électronique (ME). Ces dernières années, cette approche a été appliquée à des morceaux de cerveau pour reconstruire des cartes de connectivité locale qui sont très informatives, mais inadéquates pour comprendre le fonctionnement du cerveau de manière plus globale.
Nous présentons ici le premier schéma de câblage neuronal d'un cerveau adulte entier, contenant 5×107 synapses chimiques entre ~130 000 neurones reconstruits à partir d'une Drosophila melanogaster femelle.
La ressource comprend également des annotations sur les classes et les types de cellules, les nerfs, les hémilignages et des prédictions sur l'identité des neurotransmetteurs. Les produits de données sont disponibles par téléchargement, accès programmatique et navigation interactive et sont interopérables avec d'autres ressources de données sur les mouches. Nous montrons comment dériver un projectome, une carte des projections entre régions, à partir du connectome. Nous démontrons le traçage des voies synaptiques et l'analyse du flux d'informations des entrées (neurones sensoriels et ascendants) vers les sorties (neurones moteurs, endocriniens et descendants), à travers les deux hémisphères, et entre le cerveau central et les lobes optiques. Le fait de remonter d'un sous-ensemble de photorécepteurs jusqu'aux voies motrices descendantes illustre la manière dont la structure peut mettre en évidence des mécanismes de circuit putatifs sous-jacents aux comportements sensorimoteurs. Les technologies et l'écosystème ouvert du consortium FlyWire ouvrent la voie à de futurs projets de connectome à grande échelle chez d'autres espèces.
On la surnomme la « femme sans cerveau ». Et pour cause, Sharon Parker est une femme pas comme les autres : elle possède un espace vide rempli de liquide là où la plupart des gens ont un cerveau. Et pourtant, elle arrive à combler ce vide et son QI dépasse largement la moyenne. Alors comment réussi-t-elle à mener une vie presque normale malgré cette anomalie cérébrale qui intrigue encore les plus grands spécialistes ?
Documentaire : Une vie presque ordinaire : La femme sans cerveau (2003)
––––– Spoiler
En fait elle a un cerveau.. et pas tout petit. Plus massif que celui de son mari !!
.. Mais comme elle était hydrocéphale en tant qu'enfant. Elle a eu une grosse bulle au centre du cerveau qui a poussé la masse à l'extérieur. Et ainsi elle a un cerveau qui est réparti autour d'un grand vide. Donc son cerveau fait 1cm d'épaisseur... mais en terme de masse il est tout à fait normal. et son QI est de ~110... soit au dessus de la moyenne !!
β – ondes Bêta : Elles vont de 13 à 30 Hz. Ce sont les ondes émises lorsque votre cerveau est en alerte, à l’éveil quoi. Quand vous vous concentrez sur un problème de maths, que vous parlez ou comptez le nombre de grains de sable sur la plage, c’est celles-ci qui sont actives.
α – ondes Alpha : Elles vont de 8 à 13 Hz chez les adultes. Ce rythme est présent lorsqu’on se sent bien, quand on se relaxe, par exemple après avoir bien mangé et qu’on renverse la tête en faisant « aaaAAahhh ».
θ – ondes Thêta : Là, on rentre dans la catégorie poids lourd. Sous 7 Hz se situe le rythme que l’on produit lorsqu’on s’endort par exemple, ou quand on est en état de profonde méditation. De manière assez incroyable, et vous le ressentez probablement si vous méditez, les ondes alpha et thêta se rapprocheront, ce qui donnera cette sensation de la pleine conscience.
δ – ondes Delta : Allant de 0,5 à 4 Hz, elles sont lentes. C’est le rythme que produit notre cerveau lorsque nous sommes profondément endormis ou inconscients.
Une petite dernière, plus rare et pas vraiment officielle : Les ondes Gamma (γ) sont émises en état d’excitation extrême, genre « il faut absolument que vous sauviez une vie ». Elles peuvent aller jusqu’à 80 Hz !
Allez ! Essayez de deviner : 4Hz, 8Hz, 9Hz… Ça ne vous rappelle rien ?
Bien sûr ! Le battement binaural ! Encore lui. Plus tôt, vous avez lu que, soumis à deux sons particuliers, le cerveau produisait ce battement, n’est-ce pas ? Rien de plus vrai. Et il produit aussi ce rythme cérébral, ces ondes bêta, alpha…
Wilhelm Dove se dit alors : « et si on créait des sons spéciaux qui obligeaient notre cerveau à produire un battement particulier ? » Si on le force à produire un battement binaural de 15Hz, on sera donc dans le rythme bêta ! Et si on le force à produire du 2Hz, il rentrera dans le rythme delta.
Donc quand on balançait nos deux sons précédents (qui avaient 10Hz de différence) notre cerveau produisait un battement de 10Hz et rentrait dans le rythme ALPHA ! Celui de la relaxation.
C’est extraordinaire non ?
La question du fonctionnement de l’esprit est au cœur des sciences cognitives. Ces dernières visent à comprendre et à expliquer les processus complexes sous-tendant la perception, la prise de décision et l’apprentissage, trois domaines fondamentaux de la cognition. La théorie du cerveau bayésien, une approche computationnelle issue des principes du traitement prédictif (PP, Predictive Processing), propose une formulation mécanistique et mathématique de ces processus cognitifs. Cette théorie suppose que le cerveau encode des croyances (états probabilistes) pour générer des prédictions à propos des entrées sensorielles, puis utilise les erreurs de prédictions pour mettre à jour ses croyances. Dans cet article, nous présentons une introduction aux principes fondamentaux de la théorie du cerveau bayésien. Nous montrons comment cette théorie innovante hybride des concepts hérités de la philosophie de l’esprit et les données expérimentales issues des neurosciences, et comment elle traduit des processus cognitifs complexes comme la perception, l’action, l’émotion, et la croyance, ou encore la symptomatologie psychiatrique.
L'atrophie des neurones du cortex préfrontal (CPF) joue un rôle clé dans la pathophysiologie de la dépression et des troubles connexes. On a supposé que la capacité à promouvoir la plasticité structurelle et fonctionnelle dans le CPF sous-tendait les propriétés antidépressives à action rapide de la kétamine, un anesthésique dissociatif. Ici, nous rapportons que, comme la kétamine, les psychédéliques sérotoninergiques sont capables d'augmenter de manière robuste la neuritogenèse et/ou la spinogenèse à la fois in vitro et in vivo. Ces modifications de la structure neuronale s'accompagnent d'une augmentation du nombre et de la fonction des synapses, mesurée par microscopie à fluorescence et électrophysiologie. Les changements structurels induits par les psychédéliques semblent résulter de la stimulation des voies de signalisation TrkB, mTOR et 5-HT2A et pourraient expliquer l'efficacité clinique de ces composés. Nos résultats soulignent le potentiel thérapeutique des psychédéliques et, surtout, identifient plusieurs échafaudages principaux pour les efforts de chimie médicinale visant à développer des composés favorisant la plasticité en tant que traitements sûrs, efficaces et rapides pour la dépression et les troubles connexes.
En bref
Ly et al. démontrent que les composés psychédéliques tels que le LSD, le DMT et le DOI augmentent la complexité des tiges dendritiques, favorisent la croissance des épines dendritiques et stimulent la formation de synapses. Ces effets cellulaires sont similaires à ceux produits par la kétamine, un antidépresseur à action rapide, et soulignent le potentiel des psychédéliques pour traiter la dépression et les troubles connexes.
Malgré les grands progrès réalisés dans le domaine des neurosciences, il reste des questions fondamentales sans réponse sur le cerveau, notamment sur l'origine de l'expérience subjective et de la conscience. Certaines réponses pourraient reposer sur de nouveaux mécanismes physiques. Étant donné que des biophotons ont été découverts dans le cerveau, il est intéressant d'examiner si les neurones utilisent la communication photonique en plus des signaux électrochimiques bien étudiés. Une telle communication photonique dans le cerveau nécessiterait des guides d'ondes. Nous passons ici en revue les travaux récents [S. Kumar, K. Boone, J. Tuszynski, P. Barclay et C. Simon, Scientific Reports 6, 36508 (2016)] suggérant que les axones myélinisés pourraient servir de guides d'ondes photoniques. La transmission de la lumière dans l'axone myélinisé a été modélisée, en tenant compte de ses imperfections réalistes, et des expériences ont été proposées in-vivo et in-vitro pour tester cette hypothèse. Les implications potentielles pour la biologie quantique sont discutées.