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Manipulation du système nerveux par les champs électromagnétiques des moniteurs
Résumé
Des effets physiologiques ont été observés chez un sujet humain en réponse à la stimulation de la peau par de faibles champs électromagnétiques pulsés à certaines fréquences proches de ½ Hz ou 2,4 Hz, de manière à exciter une résonance sensorielle.
De nombreux écrans d'ordinateur et tubes de télévision, lorsqu'ils affichent des images pulsées, émettent des champs électromagnétiques pulsés d'amplitudes suffisantes pour provoquer une telle excitation.
Il est donc possible de manipuler le système nerveux d'un sujet en pulsant des images affichées sur un écran d'ordinateur ou un téléviseur situé à proximité. Dans ce dernier cas, la pulsation de l'image peut être intégrée dans le programme ou être superposée en modulant un flux vidéo, soit sous forme de signal RF, soit sous forme de signal vidéo.
L'image affichée sur un écran d'ordinateur peut être pulsée efficacement par un simple programme informatique. Pour certains moniteurs, des champs électromagnétiques pulsés capables d'exciter des résonances sensorielles chez des sujets proches peuvent être générés alors même que les images affichées sont pulsées avec une intensité subliminale.
- Les particules ont des charges électriques.
- elles échangent des photons virtuels.
- action = réaction => répulsion ou attraction
- un champ électrique permet de déplacer des électrons = électricité.
- si au bord du fil, il y a ... une pomme ! ... elle bouge pas. => rien de spécial
- si la pomme bouge. => relativité restreinte. => longeur qui se contractent.
- les électrons du courant électrique qui se déplacent dans le même sens ne se contractent pas.
- les protons du fil, du point de vue de l'observateur s'allongent...
- déséquilibre entre proton et électron => force de répulsion de la pomme
- c'est une force magnétique.
- chaque particule, électron qui se déplace génère un champ magnétique.
- maxwell a 4 équations: définition de la charge comme source électrique, définition d'une polarisation obligatoire du champ magnétique, nord et sud. Induction électrique depuis une perturbation du champ magnétique on a une mise en mouvement du champ électrique, variation de champ électrique (courant) perturbe le champ magnétique... qui lui même perturbe le champ électrique... et hop... c'est parti on a généré une onde électro-magnétique !
ésumé : L'hypothèse directrice de ce travail est la possibilité d'une action des champs électromagnétiques basse fréquence sur les propriétés physico-chimiques de l'eau et via son activité sur des systèmes biologiques. Cette hypothèse a été induite par le grand nombre de publications sur ces sujets parues au cours de ces dix dernières années, mais aussi par la difficulté d'en tirer des conclusions du fait du caractère contradictoire de certains résultats ou de conditions expérimentales mal explicitées et parfois mal contrôlées. Dans la première partie de notre étude, des expériences de diffusion Raman et de photoluminescence réalisées sur des échantillons d'eau pure nous ont permis d'identifier la présence de polluants chimiques provenant des récipients servant au stockage des échantillons. Sous le contrôle de ces techniques extrêmement sensibles, nous avons mis au point un protocole de préparation des échantillons rigoureux permettant de limiter ces artéfacts. Les efforts ont notamment porté sur : (i) la purification de l'eau par osmose inverse et par une étape finale appelée « polissage », (ii) le contrôle de l'environnement atmosphérique (boîte à gants avec atmosphère contrôlée), électromagnétique et acoustique (boîtes de traitement et de stockage du type cage de Faraday avec revêtement de mu-métal et isolation acoustique), (iii) l'inertie chimique des récipients (utilisation exclusive de silice fondue de haute pureté de qualité optique). La seconde partie du travail a porté sur l'étude de l'effet des champs électromagnétiques sur les échantillons d'eau préparés en suivant le protocole caractérisé dans la première partie. Nous avons choisi des champs électromagnétiques sinusoïdaux de basse fréquence (< 1 kHz), délivrés en train d'ondes de quelques secondes et appliqués pendant six heures avec des intensités faibles (champ magnétique d'environ 1 mT et champs électrique d'environ 4 mV/m). Parmi toutes les expériences de caractérisation réalisées, seules celles de diffusion élastique de la lumière et de photoluminescence ont permis d'observer des effets notables à savoir une baisse importante, de l'ordre de 30%, pour l'intensité de diffusion et d'environ 70% pour l'intensité de photoluminescence après exposition au champ électromagnétique. Des expériences complémentaires de diffusion dynamique de la lumière et de dégazage des échantillons ont permis de conclure que l'action du champ électromagnétique avait porté principalement sur les bulles de gaz présentes dans les échantillons d'eau, entraînant notamment une forte baisse d'une population de nanobulles d'environ 300 nm de diamètre. L'ensemble de ces résultats suggère que les champs électromagnétiques basse fréquence pulsés agiraient sur l'interface gaz/eau, principalement en perturbant la double-couche ionique qui stabilise les nanobubbles de gaz dans l'eau. La photoluminescence des échantillons résulterait de l'excitation de ces composés ioniques hydratés concentrés autour des bulles de gaz.
47.081569, 7.269081