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L'augmentation de la vapeur d'eau contribue également à pousser les
températures à la hausse.
La quantité moyenne de vapeur d'eau à la surface de la Terre augmente à cause de l'activité humaine, contribuant à l'effet de serre et influe sur l'intensité et la répartition des pluies, selon une étude publiée mercredi dans Nature.
De 1976 à 2004, pendant que la température moyenne à la surface
de la Terre s'accroissait de 0,49 degré celsius, la quantité de
vapeur d'eau présente dans l'atmosphère augmentait de 2,2%, ont
calculé les chercheurs britanniques auteurs de l'étude. Et d'ici à
2100, cette quantité pourrait encore augmenter de 10%, a précisé à
l'AFP l'un de ces chercheurs, Nathan Gillett, de l'université
d'East Anglia.
Sciences-Tech.
Publié le 23 octobre 2007 à 15:15 - Modifié le 28 juin 2010 à 14:14
Climat: le réchauffement augmente l'humidité
Cette tendance à la hausse de la vapeur d'eau a été observée "sur
la plupart des régions de la planète, l'Australie et l'océan
Antarctique étant les principales exceptions", selon l'étude.
Un mois supplémentaire s'est ajouté à la pause de la température mondiale, selon les mesures précises par satellite compilées par le Dr Roy Spencer, scientifique de l'Université d'Alabama et de la NASA (voir ci-dessus). La pause dure maintenant depuis 90 mois. En fait, un petit mouvement à la baisse est maintenant perceptible, puisque la tendance mesurée au cours des 90 derniers mois est de moins 0,01°C, ce qui équivaut à moins 0,14°C par siècle. Il faut toutefois noter que ces petits mouvements, bien que largement utilisés par les alarmistes climatiques dans le sens de la hausse, se situent dans la marge d'erreur.
Comme je l'ai noté dans des articles récents, les données de Spencer ont été retirées de Google AdSense pour "revendications non fiables et nuisibles". Cette mesure a démonétisé la page de mise à jour mensuelle des satellites du Dr Spencer en supprimant toute publicité fournie par Google. Google affirme qu'il interdira tous les sites qui sont sceptiques à l'égard du "consensus scientifique bien établi". Les commentateurs soucieux de leur agenda ignorent presque invariablement les données satellitaires, qui ont toujours montré un réchauffement moindre que les mesures de surface.
Les mesures de la température de l'atmosphère par satellite sont généralement considérées comme plus précises, car elles évitent les distorsions de la chaleur urbaine communes aux mesures de surface. Il est suggéré que ces mesures ont été poussées à la hausse au fil du temps, car les stations de mesure fixes sont entourées par le développement urbain croissant. Par exemple, les mesures de température sont courantes dans les aéroports très fréquentés. Avant l'arrivée des avions à Chicago O'Hare, l'un des aéroports les plus fréquentés au monde, il s'agissait de champs de vergers ruraux (comme l'indique son code IATA, ORD).
Il est toutefois intéressant de noter que l'immobilisme de la température mondiale commence à se manifester dans les données de surface, telles que mesurées (ci-dessus) par la base de données HadCrut du Met Office. Ici, nous ne voyons pratiquement aucun mouvement au cours des 96 derniers mois. L'augmentation de 0,04°C au cours du siècle est très certainement dans la marge d'erreur ! Mais il semblerait que le Met Office ne discute pas de ces tendances significatives. Cela pourrait être considéré comme surprenant, car au Royaume-Uni, nous savons que les températures locales plafonnent depuis un certain temps. La température moyenne des années 2010, à 9,17 °C, était plus froide que celle des années 2000, à 9,31 °C.
Écrivant sur le dernier statu quo dans Watts Up With That ?, le journaliste et ancien conseiller politique Christopher Monckton a décrit cette pause comme "l'un des secrets les mieux gardés" du journalisme. Ancien rédacteur en chef de l'Evening Standard, Christopher Monckton ne mâche pas ses mots. Les dirigeants des deux côtés de l'Atlantique n'osent pas perdre la face sur la politique du changement climatique, a-t-il suggéré. "Ils ne peuvent se résoudre à admettre qu'ils ont eu tort, qu'ils ont été trompés et qu'ils ont inutilement et coûteusement mis fin au marché libre de l'approvisionnement énergétique", a-t-il ajouté.
Il y a deux mois, l'enregistrement satellitaire sur sept ans montrait encore une minuscule tendance au réchauffement, l'objectif "net zéro" de 1,5°C pouvant être atteint dans 400 ans. Hélas, pour les thermogédonistes du monde entier, même cette petite consolation n'est plus disponible.
Chris Morrison est le rédacteur en chef de l'environnement du Daily Sceptic.
Par Chris Morrison / 4 avril 2022 - 17.03
Alarmisme climatique Changement climatique Réchauffement climatique
Des températures plus élevées qu'aujourd'hui, sur une période de plusieurs millénaires, ont été enregistrées le plus récemment au cours de la dernière période interglaciaire, il y a environ 129 000 à 116 000 ans. Cependant, le moment et l'ampleur du réchauffement pendant cet intervalle de temps sont incertains. Nous présentons ici une reconstitution des températures dans les Alpes suisses pendant toute la durée de la dernière période interglaciaire, basée sur les isotopes d'hydrogène provenant d'inclusions fluides dans des spéléothèmes précisément datés. Nous constatons que les températures étaient jusqu'à 4,0 °C plus élevées pendant la période du dernier interglaciaire que pendant la période de référence actuelle, de 1971 à 1990. L'instabilité climatique, y compris un brusque refroidissement il y a environ 125 500 ans, a interrompu cet optimum thermique, mais les températures sont restées jusqu'à 2,0 °C plus chaudes qu'aujourd'hui. Nous suggérons que les zones de haute altitude peuvent être plus sensibles au réchauffement que les zones de basse altitude, et que cela peut également s'appliquer à un climat futur forcé par des niveaux croissants de gaz à effet de serre.
Je, Guillermo Fernandez, né le 25.11.1974 à Lausanne, citoyen suisse,
Me mettrai en grève de la faim sur la place fédérale, jusqu'à ce que le Conseil Fédéral satisfasse aux demandes exigeantes, mais nécessaires de Extinction Rebellion Suisse.
J'entreprends cette démarche de ma propre initiative, sans coordination avec aucun groupe, parti ou association.
C'est ma réponse à la Terreur causée par la compréhension de ce que sera la vie de mes enfants, de nos enfants, dans la paralysie irresponsable dans laquelle nous nous maintenons.
C'est avec espérance et amour que je remets ma vie entre vos mains, dans l'espoir que notre génération prendra ses responsabilités avec générosité vis-à-vis de nos descendants.
Il est indigne, immoral et inacceptable que nous condamnions nos enfants à cette seule certitude: Demain sera pire qu'aujourd'hui, toujours pire, pour les siècles des siècles.
27.03.2017 – 08:00
Des simulations numériques suggèrent que les variations de l'activité solaire pourraient avoir un effet mesurable sur le climat. Selon les travaux financés par le Fonds national suisse, le réchauffement terrestre induit par les activités humaines pourrait accuser un léger ralentissement au cours des prochaines décennies. Un rayonnement solaire plus faible pourrait contribuer à une baisse de la température d'un demi-degré.
Des variations naturelles du climat accompagnent le réchauffement anthropique, c'est-à-dire induit par l'être humain. Le Soleil constitue un paramètre de taille dans les fluctuations des températures terrestres, qui suit différents cycles. Les oscillations de son activité modifient l'intensité du rayonnement qui parvient sur Terre. Déterminer si ces variations exercent ou non une influence mesurable sur le climat terrestre constitue l'une des questions centrales de la recherche climatique. Les rapports du GIEC partent du principe que l'activité solaire enregistrée dans un passé récent, comme celle à venir dans un futur proche, n'est pas significative pour le réchauffement climatique.
Une étude soutenue par le Fonds national suisse (FNS) remet ce postulat en cause. Des chercheuses et chercheurs de l'Observatoire physico-météorologique de Davos (PMOD), de l'Eawag, de l'ETH Zurich et de l'Université de Berne se sont appuyés sur des numérisations informatiques complexes et sont parvenus à établir une estimation solide de l'influence du Soleil sur la température globale au cours des cent prochaines années. Ils ont pour la première fois pu mettre en évidence des effets notables: un refroidissement d'un demi-degré lorsque l'activité solaire atteindra son prochain minimum.
Cet effet ne compensera en aucun cas la hausse des températures provoquée par les activités humaines, mais reste très important, selon Werner Schmutz, directeur du PMOD et responsable de ce projet: "Nous pourrions gagner un temps précieux si l'activité du Soleil décroît et que la hausse des températures ralentit ainsi un peu. Cela pourrait nous aider à composer avec les conséquences du réchauffement climatique". Ce répit ne sera cependant que passager, met en garde Werner Schmutz: après un minimum d'activité solaire vient forcément un maximum.
Expliquer le climat du passé
Les scientifiques concernés se retrouvent à la fin du mois de mars 2017 pour une conférence à Davos afin de discuter des résultats finaux du projet. Ce dernier regroupe les savoir-faire de différentes institutions en matière de modélisation des effets climatiques: le PMOD a calculé le forçage radiatif du Soleil en prenant en compte son rayonnement électromagnétique mais aussi particulaire, l'ETH Zurich a étudié les autres répercussions sur l'atmosphère et l'Université de Berne a examiné les interactions entre l'atmosphère et les océans.
Les chercheurs suisses sont partis de l'hypothèse que le rayonnement parvenant sur Terre accuse des variations bien plus importantes que prédites par les modèles antérieurs. "C'est la seule approche qui permette d'expliquer les variations climatiques naturelles des derniers millénaires", avance Werner Schmutz. Pour lui, les autres hypothèses qui s'appuient entre autres sur les effets d'éruptions volcaniques majeures sont moins concluantes.
Savoir comment le Soleil se comportera au cours des prochaines années relève cependant toujours de la spéculation: les séries de données ne sont disponibles que depuis quelques décennies et ne révèlent pas de variations sur cette période. "Nos derniers résultats demeurent donc une hypothèse, souligne Werner Schmutz. Il reste toujours difficile pour les physiciens solaires de prévoir le prochain cycle". Toutefois, étant donné que nous observons depuis 1950 une phase de grande intensité, il est probable que nous connaissions à nouveau un creux au cours des cinquante à cent prochaines années. Celui-ci pourrait être aussi marqué que le minimum de Maunder, qui a correspondu à une période particulièrement froide au XVIIe siècle.
L'importance des données historiques
La perspective historique a également été intégrée au projet de recherche. Le Centre Oeschger de recherche sur le climat de l'Université de Berne a comparé des séries de données sur l'activité solaire passée à des conditions climatiques concrètes. Les taches solaires, dont le nombre est en étroite corrélation avec l'activité du Soleil, font l'objet de relevés depuis plus de trois siècles. Il est toutefois beaucoup plus difficile d'estimer la température de l'époque. "Nous savons que les hivers étaient extrêmement rigoureux lors du dernier minimum, en tout cas en Europe du Nord", note Werner Schmutz. Il faudra néanmoins encore du travail pour établir une image détaillée du rapport entre l'activité solaire et le climat global - qu'il s'agisse de notre passé ou de notre avenir.
Sinergia: rendre la recherche interdisciplinaire possible
Au travers du programme Sinergia, le FNS soutient la coopération entre deux et quatre groupes menant des recherches interdisciplinaires visant une recherche pionnière. Le financement dépend du nombre de groupes de recherche et de la durée d'un projet. Il varie entre 50 000 et 3,2 millions de francs. Les projets durent entre un et quatre ans.
Contact:
Werner Schmutz
Observatoire physico-météorologique de Davos
Dorfstrasse 33
CH-7260 Davos Dorf
E-mail werner.schmutz@pmodwrc.ch
Tel. +41 58 467 5145
"likely", "low confidence", la Sainte Bible du GIEC ne semble pas autant dans le "crucial" que vous.
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L'effet de l'activité du soleil sur le changement climatique a été soit à peine connu, soit négligé. Dans ce livre capital - publié pour la première fois en allemand sous le titre Die kalte Sonne en 2012 - le professeur Fritz Vahrenholt et le docteur Sebastian Lüning démontrent que la cause essentielle du changement de la température mondiale a été, et continue d'être, l'activité du soleil. Vahrenholt et Lüning révèlent que quatre cycles solaires simultanés maîtrisent la température de la Terre - une réalité climatique sur laquelle les émissions de carbone de l'homme ont peu d'importance. La phase actuelle de refroidissement du soleil, précisément suivie dans cet ouvrage, rend impossible les perspectives catastrophiques avancées par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations unies et l'agenda alarmiste dominant dans la politique occidentale contemporaine.
L'effet de l'activité du soleil sur le changement climatique a été soit à peine connu, soit négligé. Dans ce livre capital - publié pour la première fois en allemand sous le titre Die kalte Sonne en 2012 - le professeur Fritz Vahrenholt et le docteur Sebastian Lüning démontrent que la cause essentielle du changement de la température mondiale a été, et continue d'être, l'activité du soleil. Vahrenholt et Lüning révèlent que quatre cycles solaires simultanés maîtrisent la température de la Terre - une réalité climatique sur laquelle les émissions de carbone de l'homme ont peu d'importance. La phase actuelle de refroidissement du soleil, précisément suivie dans cet ouvrage, rend impossible les perspectives catastrophiques avancées par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations unies et l'agenda alarmiste dominant dans la politique occidentale contemporaine.
Des simulations numériques suggèrent que les variations de l'activité solaire pourraient avoir un effet mesurable sur le climat. Selon les travaux financés par le Fonds national suisse, le réchauffement terrestre induit par les activités humaines pourrait accuser un léger ralentissement au cours des prochaines décennies. Un rayonnement solaire plus faible pourrait contribuer à une baisse de la température d'un demi-degré.
Des variations naturelles du climat accompagnent le réchauffement anthropique, c'est-à-dire induit par l'être humain. Le Soleil constitue un paramètre de taille dans les fluctuations des températures terrestres, qui suit différents cycles. Les oscillations de son activité modifient l'intensité du rayonnement qui parvient sur Terre. Déterminer si ces variations exercent ou non une influence mesurable sur le climat terrestre constitue l'une des questions centrales de la recherche climatique. Les rapports du GIEC partent du principe que l'activité solaire enregistrée dans un passé récent, comme celle à venir dans un futur proche, n'est pas significative pour le réchauffement climatique.
Une étude soutenue par le Fonds national suisse (FNS) remet ce postulat en cause. Des chercheuses et chercheurs de l'Observatoire physico-météorologique de Davos (PMOD), de l'Eawag, de l'ETH Zurich et de l'Université de Berne se sont appuyés sur des numérisations informatiques complexes et sont parvenus à établir une estimation solide de l'influence du Soleil sur la température globale au cours des cent prochaines années. Ils ont pour la première fois pu mettre en évidence des effets notables: un refroidissement d'un demi-degré lorsque l'activité solaire atteindra son prochain minimum.
Cet effet ne compensera en aucun cas la hausse des températures provoquée par les activités humaines, mais reste très important, selon Werner Schmutz, directeur du PMOD et responsable de ce projet: "Nous pourrions gagner un temps précieux si l'activité du Soleil décroît et que la hausse des températures ralentit ainsi un peu. Cela pourrait nous aider à composer avec les conséquences du réchauffement climatique". Ce répit ne sera cependant que passager, met en garde Werner Schmutz: après un minimum d'activité solaire vient forcément un maximum.