207 liens privés
Je fais le point sur le rôle de la vapeur d'eau dans le changement climatique. Qu'est-ce qui fixe le contenu en vapeur d'eau dans l'atmosphère ? La vapeur d'eau peut-elle causer un changement climatique ? Peut-elle agir sur les changements climatiques sans être une cause ? Son rôle est-il étudié par les climatologues ? Est-ce que les émissions de vapeur d'eau par les sociétés humaines ont une influence sur le climat ?
0:00 • Introduction
0:34 • Quelques bases physiques sur la vapeur d'eau
3:17 • Limite à la quantité de vapeur d'eau dans une masse d'air
9:05 • Vapeur d'eau et changements climatiques
11:33 • L'effet amplificateur de la vapeur d'eau
17:06 • Pourquoi on n'en parle pas ?
18:42 • Pourquoi la vapeur d'eau n'est pas étudiée ?
20:05 • Est-ce que nos émissions de vapeur d'eau affectent le climat ?
25:35 • Conclusion
27:00 • Outro
Précisions:
J'ai volontairement évité le terme de "boucle de rétroaction". Ce terme est très peu utilisé dans la littérature scientifique (on trouve plutôt "rétroaction climatique" dans les rapports du GIEC par exemple). Ce terme (et sa représentation cyclique) induit, à mon avis, pas mal de mécompréhensions sur le fonctionnement de la machine climatique. Je pense que parler d'amplification pour décrire le rôle de la vapeur d'eau induit moins de mécompréhensions.
12:38 La quantification des rétroactions est basée sur les estimations centrales du tableau 7.10 du chapitre 7 (AR6, GTI). J'ai fait le choix de ne pas présenter les forçages mais la part dans un réchauffement d'1°C parce que je pense ça plus clair. C'est aussi par simplicité que je n'ai pas représenter les incertitudes. La rétroaction négative "Planck" donne le forçage nécessaire par °C à l'équilibre du système Terre. En soustrayant les rétroactions données, on obtient la quantité nécessaire de forçage pour augmenter d'1°C la température globale à l'équilibre. Ces notions n'ont rien d'intuitives et rejoignent d'autres sujets complexes (forçage radiatif, rétroaction, sensibilité climatique... etc) détaillés dans le chapitre 7.
17:57 Comme indiqué, j'ai fait l'hypothèse que la part d'amplification était la même que pour le système à l'équilibre. Cette hypothèse est discutable. C'est possible que l'amplification du réchauffement climatique en cours soit inférieur à celle observée dans la situation d'équilibre puisqu'une partie des rétroactions (changement d'albédo des sols) est lente. Mais, cette amplification est très probablement supérieure à 2 vu le rôle de la vapeur d'eau...
https://lereveilleur.com/rechauffement-climatique-le-role-de-la-vapeur-deau/
https://docs.google.com/document/d/1pO4hQkeKDPeYwHOXVOgbXqcmBH6oEu4374r5pz1OHVQ/edit
Changement dans les alertes canicule de la Confédération
Communiqué aux médias31 mai 2021
À partir de juin 2021, le nouveau concept d’alerte canicule s’appuiera sur la température moyenne journalière et pourra également émettre une alerte de degré 2. L’Office fédéral de météorologie et de climatologie MétéoSuisse adapte ainsi les alertes canicule aux nouvelles connaissances scientifiques pour accroître l’utilité de ces alertes. Le nouveau concept prend notamment en considération la température nocturne et permet l’émission d’alerte pour des épisodes de température élevée même pendant une courte période.
La chaleur peut représenter un risque à prendre au sérieux pour la population, la nature et les infrastructures. En raison du changement climatique, il est prévu que les périodes de stress thermique important deviendront plus intenses, plus longues et plus fréquentes (Scénarios climatiques pour la Suisse CH2018). Dans ce cadre, MétéoSuisse revoit en permanence ses concepts d’alerte afin de prévenir correctement la population. De récentes découvertes épidémiologiques ont révélé que des températures élevées pendant la nuit, de même que pendant le jour mettent le corps humain à rude épreuve. En outre, des périodes de température élevée, même brèves, produisent un effet aussi négatif sur la santé que des canicules de plusieurs jours.
"Une autre nouveauté réside dans l’alerte canicule de degré 2. Sachant que les périodes de chaleur intense même brèves peuvent provoquer une incidence délétère sur la santé,"
=> donc dire qu'il y a plus souvent des canicules qu'avant en se basant sur les alertes météoSuisse c'est faux !
Le plus grand parti de Suisse renoue avec le succès. L’Union démocratique du centre (UDC / droite conservatrice) gagne 1,5 point de pourcentage par rapport aux dernières élections fédérales, révèle le troisième baromètre électoral de la SSR en vue des législatives d’octobre, réalisé par l'institut de recherche Sotomo. Cela lui permettrait d’atteindre 27,1% des voix, soit le troisième meilleur score de son histoire, et de compenser une partie des pertes réalisées en 2019 (-3,8 points de pourcentage).
Les trois sujets qui suscitent le plus d’agacement sont toutefois les mêmes parmi les Suisses vivant au pays et celles et ceux qui vivent à l’étranger: la mauvaise gestion de la banque Credit Suisse et les bonus excessifs accordés à ses cadres, les activistes du climat qui se collent la main sur le bitume et les débats autour du genre ou du «wokisme».
1 - La quantité de CO2 de l'air provenant des émissions anthropiques ne représente aujourd'hui pas plus de 5% du CO2 total de l'air au lieu des 25 à 30% annoncés par le GIEC.
2 - La durée de vie des molécules de CO2 dans l'atmosphère est d'environ 5 ans au lieu des 100 ans annoncés par le GIEC. Le carbone fossile se repartie le carbone naturel à : 2% dans l'air, 7% dans la végétation, 91% dans les océans.
3 - Au cours de certaines périodes géologiques, la teneur en CO2 a été jusqu'à 20 fois supérieure à celle d'aujourd'hui, et il n'y a pas eu d'augmentation brutale de la température ! Pourquoi nos émissions de CO2 auraient-elles un impact cataclysmique ?
4 - Le point chaud dans la haute troposphère intertropicale est, selon tous les modèles et les rapports du GIEC, la preuve indubitable de l'amplification du réchauffement par rétroaction de la vapeur d'eau : il n'a pas été observé et n'existe pas.
5 - Selon les modèles du GIEC l'augmentation des GES est censée AUGMENTER la couverture nuageuse et provoquer un rétroaction positive. Mais, plus de nuages est une rétroaction négative. La couverture nuageuse est modulé par l'activité magnétique solaire
6 - Les températures ont toujours entraîné la teneur en CO2 de l'air, jamais l'inverse. Un effet ne peut précéder une cause. De nos jours, l'augmentation nette de la teneur en CO2 de l'air suit de très près l'anomalie de température intertropicale.
7 - Les modèles climatiques informatiques “exclus” ou “négliges” les nuages qui sont pourtant le principal moteur des températures de surface. L'albédo de la Terre a diminué depuis 1984 en synchronisation avec la température moyenne globale.
8 - Les prévisions des modèles climatiques divergent de plus en plus des observations. Un modèle n'est pas une preuve scientifique d'un fait et s'il est prouvé faux par les observations (ou falsifié) il doit être écarté, ou vérifié et corrigé.
9 - Comme dit le GIEC en 2001 : “Nous avons affaire à un système chaotique non linéaire...la prédiction à long terme des états climatiques futurs n'est pas possible”. Cet état de fait a-t-il changé depuis 2001 ? Sûrement pas pour des raisons scientifiques.
10 - Le CO2 n'est pas un polluant et ne pourra jamais être un polluant. le CO2 entretient toute vie, rend l'agriculture possible et nous donne l'air que nous respirons. L'augmentation du CO2 verdit le monde, c'est tout.
11 - Il n'existe aucune preuve avec les allégations d'amplification polaire (fonte des glaces) résultant de l'augmentation des émissions de CO2 comme le revendique le GIEC.
12 - Personne n'a jamais démontré que les émissions humaines de CO2 sont à l'origine du réchauffement climatique. L'affirmation du GIEC selon laquelle le CO2 réchauffe l'air de 7,2°C à 358 ppm, a été complètement inventé. Il n'y a pas eu de test/modèle.
13 - Les gaz à l'état de traces ne peuvent pas chauffer la surface. Qu'une source plus froide puisse transférer de l'énergie rayonnante à un objet plus chaud...est une mauvaise application de l'équation de Stefan-Boltzmann et une violation de la 2e loi de la thermodynamique.
14 - La théorie de l’effet de serre n’a aucune confirmation expérimentale directe, ni preuves empiriques de nature matérielle. Ainsi, la notion de réchauffement de la planète dû aux émissions de CO2 humain, n’a aucun fondement réel.
15 - L'hypothèse selon laquelle une atmosphère librement convective pourrait retenir (piéger) la chaleur rayonnante est basée sur une conjecture théorique qui n'a jamais été prouvée expérimentalement.”
16 - Nahle a trouvé que le “libre parcours moyen” pour qu'une onde quantique traverse l'atmosphère avant d'entrer en collision avec une molécule de CO2 est d'environ 33 mètres. Ce qui sape la visualisation du CO2 fonctionnant comme une couverture.
17 - Des preuves expérimentales dans le monde réel montrent que le CO2 n'est ni plus ni moins un gaz actif IR que l'oxygène, l'azote (air) ou l'argon. Ce n'est pas “spécial”.
18 - Il y a eu peu, voire aucune corrélation entre le CO2 et la température au cours la période 1979 à 2021. La conceptualisation popularisée du CO2 en tant que moteur du réchauffement s'avère obsolète et incorrecte.
19 - Une signature humaine n'est pas apparue en 40 ans d'observations. “Il n'est pas possible de soutenir la vision de la présence du réchauffement climatique dans le sens d'un effet de serre accru dû aux activités humaines.”
20 - Il y a NON-corrélation à 97,4 % entre le forçage radiatif du CO2 et la température au cours des 425 derniers millions d'années. Soit la température diminue lorsque le CO2 augmente, le CO2 diminue lorsque la température augmente, ou aucune corrélation
21 - “Nous n'avons pas pu trouver une empreinte claire du bétail, ni dans la distribution géographique du méthane, ni dans l'évolution historique de la concentration moyenne de méthane dans l'atmosphère.”
22 - Le GIEC nous dit que les émissions humaines de CO2 entraînent l'acidification des océans (OA) ou la baisse du pH. Mais, l'acidité de l'océan était plus importante pendant l'Holocène, lorsque le CO2 était de 260 ppm.
23 - Le GIEC affirme aussi que les émissions humaines sont à l'origine des modifications du contenu thermique des océans. Or, ni les GES, ni le CO2 ne chauffe l'eau. Nulle part il n'a été démontré que le CO2 chauffe l'eau. C'est une croyance.
24 - Depuis 1980, une diminution de la couverture nuageuse a permis à davantage de rayonnement solaire d'être absorbé, ce qui explique les tendances de réchauffement récent. Le changement climatique anthropique n'existe pas dans la pratique.
25 - Il n'y a aucune preuve pour étayer les affirmations alarmistes selon lesquelles l'étendue des glaciers modernes est sans précédent ou inhabituelle. Les glaciers existants aujourd'hui ont été absents pendant presque toutes les 10 000 dernières années.
26 - Les ours polaires se portent mieux depuis que leur chasse a été interdite et surveillé, ce n'était pas à cause du changement climatique. Leur état corporel et leurs sous-populations se sont améliorés, en croissance.
27 - Des ajustements massifs sans aucun scrupule sont apportés pour transformer des données historiques en mensonges modernes et ainsi fabriquer de fausses courbes pour coller au récit, ne s'agit pas de science, mais d'une fraude scientifique orwellienne.
28 - Si nous étendons UNIQUEMENT les données proxy jusqu'au présent, la récente forte hausse disparaît. C'est pourquoi ils doivent "hide the decline" en effaçant les données.
29 - Il n'existe aucune preuve pour affirmer que d'arriver à +2°C causeraient une apocalypse. l'Holocène précoce, plus chaud de 4 à 6°C a été appelé “Optimum climatique de l'Holocène”, car les conditions étaient plus favorables aux habitants de la Terre.
30 - L'extinction de masse du Permien était due au refroidissement global. Le niveau de la mer a baissé > de 100 mètres. Idem pour l'extinction de la "Snowball Earth" de l'Ordovicien. L'histoire nous apprend que nous devons craindre le froid pas le chaud.
Publié jeudi 27 avril 2023 à 07:46
Modifié jeudi 27 avril 2023 à 16:06
Le climat, parent pauvre de l'AG de la Banque nationale suisse
MATHILDE FARINE
BANQUE CENTRALE Il n'y aura pas de votes sur trois résolutions déposées par des actionnaires à l'occasion de l'assemblée générale de la BNS qui se tient aujourd'hui. Le sujet devrait néanmoins animer les interventions, de même que celui du sauvetage de Credit Suisse et des pertes en 2022
Après la perte record de 2022 (132,5 milliards de francs), la Banque nationale suisse (BNS) est de retour dans les chiffres noirs. Pour le premier trimestre 2023, elle a réalisé un bénéfice de 26,9 milliards de francs, a dévoilé la banque centrale dans un communiqué publié jeudi matin. Si l'année commence bien, c'est grâce à la hausse des actions, de l'obligataire et de l'or. L'évolution du franc a en revanche pesé sur le bénéfice.
Les résultats financiers seront l'un des sujets de l'assemblée générale (AG) qui doit se tenir aujourd'hui à Berne. D'autant plus que la perte abyssale de 2022 empêchera toute distribution de bénéfice. Mais ce ne sera pas le seul sujet.
Plan de transition
Début février dernier, quelque 150 actionnaires, réunis par l'Alliance climatique suisse, déposaient trois résolutions en vue de l'assemblée générale de la Banque nationale suisse. Ces petits porteurs demandaient avant tout à l'institution de se montrer plus « respectueuse de l'environnement et responsable face à la crise climatique », selon les termes de Myriam Grosse, collaboratrice spécialisée dans la place financière et le climat pour l'Alliance climatique suisse.
Si les actionnaires remplissaient les conditions pour déposer leurs questions, ces dernières ne figureront pourtant pas à l'ordre du jour de l'assemblée. Contactée, la Banque nationale suisse ne donne pas d'explications et renvoie à son ordre du jour, dans lequel les questions ne figurent effectivement pas.
Les actionnaires souhaitaient notamment que la banque centrale s'aligne sur les objectifs de l'Accord de Paris sur le climat et élabore un plan de transition pour elle-même d'ici à la fin de l'année, de même que des mesures réglementaires pour le secteur financier de façon à intégrer les risques liés au climat et à la biodiversité. La Banque nationale suisse exclut les investissements dans le charbon, par exemple, mais pas ceux dans le pétrole ou d'autres secteurs fortement polluants.
Malgré le refus de mettre ces questions à l'ordre du jour, l'ONG et les actionnaires promettent d' « exiger de la direction générale de la BNS une politique climatique et environnementale cohérente dans leurs interventions à l'assemblée générale », selon un communiqué diffusé mi-avril.
Ils veulent notamment montrer comment les « investissements de la Banque nationale suisse dans les entreprises fossiles ont un impact réel sur la réalité de la vie d'innombrables personnes » à l'instar de TotalEnergies, dans lequel elle a investi un demi-milliard, selon leurs calculs. Or le groupe français veut construire un oléoduc de 1443 kilomètres en Ouganda et en Tanzanie qui représente selon l'Alliance une « destruction de l'environnement » qui suscite une forte opposition dans les deux pays de même qu'en République démocratique du Congo.
Rôle dans le sauvetage de Credit Suisse
Autre sujet qui sera certainement abordé dans des interventions, celui du rôle de la Banque nationale suisse dans le sauvetage de Credit Suisse. Elle lui a mis à disposition des dizaines de milliards de liquidités avant et après le rachat par UBS. Lors de la publication des résultats de Credit Suisse, lundi, on apprenait qu'elle avait emprunté jusqu'à 168 milliards. Elle en a déjà remboursé près de 80 milliards.
Fait rare parmi les banques centrales, la Banque nationale suisse est cotée en bourse, ce qui explique la tenue de cette assemblée générale. Mais les droits des actionnaires sont plus limités que ceux des entreprises classiques. Le dividende, par exemple, est plafonné, même s'il n'y en aura de toute façon certainement pas cette année. En outre, les votes des actionnaires privés sont limités à 100 actions. Ce sont les cantons qui ont la majorité (près de 60% des voix). L'un d'entre eux, Neuchâtel, avait d'ailleurs annoncé qu'il soutiendrait les propositions de l'Alliance climatique. Mais c'était avant de savoir qu'aucun vote sur ce sujet n'aurait finalement lieu.
26,9 milliards
Au premier trimestre 2023, la Banque nationale suisse a gagné 26,9 milliards de francs.
«La plancha». Voilà comment certains visiteurs ont renommé l’esplanade de Plateforme 10 le week-end dernier, lors de son inauguration en grande pompe. La température dépassait les 32 °C. Et pour cause: sous l’action du soleil, le site de 25 000 m² (soit cinq terrains de football), dont 20 000 m² sont goudronnés ou construits, transforme les affamés de culture en vulnérables merguez. Une situation qui intrigue, alors que les effets du réchauffement climatique s’intensifient et que Lausanne cultive une image de ville écologique, à grand renfort de moutons brouteurs et de toitures végétalisées.
Allez en ce jour de Pâques, voici des conseils pour mener à la résurrection de notre monde.
Voici les 7 cycles de l'eau. (non y'en a pas qu'un comme on te l'a appris à l'école..)
Cultiver de l'eau permet de résoudre quasi tous les problèmes du monde. Donc ça vaut la peine de creuser le sujet.
En vidéo....
https://www.youtube.com/watch?v=ZhtQ89NzOjs
C'est là que tu apprends que la limace fait partie du cycle de l'eau !!! .. on sait enfin à quoi elle sert...
... et les champignons tout comme les arbres sont le coeur du système de gestion de l'eau: synthèse, purification, stockage, transport en mode souterrain et en mode aérien avec les rivières volantes.
Pour la version écrite c'est ici:
https://interculturelles.org/wp-content/uploads/2022/07/Comprendre-les-cycles-hydrologiques-et-cultiver-l-eau-v1-WEB.pdf
C'est là qu'on apprends par exemple que selon une étude dans les forêts suisses, 15 à 30% de l'eau de source vient de la photosynthèse. Donc les arbres créent de l'eau.
Alors que 90% de l'évaporation de l'eau de mer qui devient de la pluie retombe sur la mer.
=> Pour l'eau de source, l'eau issue de la photosynthèse (et de la décomposition du bois) est plus importante que l'eau issue de l'évaporation des mers. (le cycle classique expliqué à l'école)
Conclusion: couper un arbre, c'est scier la branche sur laquelle on est assis !
... et là c'est le drame.
Car les Chinois est les Russes, (pays les plus souvent critiqués dans les médias occidentaux) ont décidé de ne plus exporter de bois. Ils protègent leur forêt comme ressources stratégique, et pour lutter contre la désertification.
Depuis 2017 la Chine a mis une interdiction d'exploitation commerciale du bois des forêts naturelles chinoises. Soit 2/3 des forêts de Chine. (138 millions d'hectares).
La Russie a commencé en 2021 a restreindre ses exportations, puis en 2022, en réponses aux sanctions qui lui ont été imposées, a cessé l'exportation de bois brut.
Contrecoup de tout ça... la déforestation augmente massivement en France.... la patrie du chêne.
C'est un saccage.
Quand on pense que Colbert, le ministre du roi Louis XIV, au 17ème siècle, à planté des milliers de chênes pour assurer les ressources nécessaires à la marine du XXème siècle !! ça c'est une vision à long terme.
Ironie du sort... aujourd'hui 2/3 du bois coupé en France – trop souvent illégalement – part en chine... sur des bateaux en acier..
Donc la France qui est déjà en guerre de l'eau – il y a littéralement des guérillas autour des méga bassines, manifestants contre policiers en armure et quads – se crée encore plus de problèmes..... la désertification guette !!
(voir les vidéos en commentaires ci-dessous)
Quand je vois le bétonnage qui se fait, l'urbanisation galopante, ça me rend triste. Je pige pas qu'on puisse imaginer et réaliser des cours d'école, esplanade de stade ou de musées sous forme de gigantesques zone de désert goudronné...
Après faut pas s'étonner que la température grimpe... Il parait que c'est le réchauffement climatique du au CO2.... faut payer la taxe carbone ça va tour régler !.... heu... avant ça faut cesser de détruire les arbres qui nous rafraichissent et fournissent de l'eau pour les remplacer par un désert qui augmente l'évaporation de l'eau...
Je le rappelle, la vapeur d'eau est le principal gaz à effet de serre... bien avant le Co2 !! (et le GIEC ne l'utilise pas dans ses équation... il y songe depuis que l'institut Pierre-Simon Laplace l'a fait...)
Bref.. On reste sur le positif, la solution à tout (ou presque) c'est simple et abordable: plante des arbres !
Cultive de l'eau !
Le changement de végétation peut modifier le bilan énergétique de surface et, par la suite, affecter le climat local.
Cet impact biophysique a été bien étudié pour les cas de boisement, mais le signe et la magnitude pour le verdissement persistant de la terre restent controversés.
Sur la base d'observations de télédétection à long terme, nous quantifions l'impact unidirectionnel du verdissement de la végétation sur la température radiométrique de surface sur la période 2001-2018.
Nous montrons ici une réponse négative globale de la température avec une grande variabilité spatiale et saisonnière. La couverture neigeuse, le verdissement de la végétation et le rayonnement des ondes courtes sont les principaux facteurs de la sensibilité de la température en régulant la dominance relative des processus radiatifs et non radiatifs.
Combiné à la tendance observée du verdissement, nous trouvons un refroidissement global de -0.018 K/décennie, qui ralentit 4.6 ± 3.2% du réchauffement global.
Au niveau régional, cet effet de refroidissement peut compenser 39,4 ± 13,9% et 19,0 ± 8,2% du réchauffement correspondant en Inde et en Chine. Ces résultats soulignent la nécessité de prendre en compte cet effet climatique biophysique lié à la végétation lors de l'élaboration de stratégies locales d'adaptation au climat.
intro:
Introduction
D'après les observations par satellite, la terre connaît un verdissement généralisé de la végétation depuis les années 1980, principalement en raison du changement climatique à grande échelle et des effets de la fertilisation au CO2.
Ce verdissement pourrait atténuer le réchauffement de la planète en déclenchant une rétroaction biochimique négative sur le système climatique, c'est-à-dire en augmentant l'élimination du CO2 de l'atmosphère par le processus de photosynthèse de la végétation.
Parallèlement, le verdissement de la terre pourrait également modifier les propriétés biophysiques de la surface, notamment la diminution de l'albédo (qui augmente l'absorption du rayonnement à ondes courtes, connu sous le nom de processus radiatif) et la diminution de la résistance aérodynamique ou de surface (qui augmente l'efficacité de l'évaporation de l'eau ou de la convection de la chaleur entre la surface de la terre et l'atmosphère, connu sous le nom de processus non radiatif), affectant ainsi la température locale.
Ces rétroactions biophysiques pourraient intensifier, compenser ou même inverser la force biochimique contre le réchauffement climatique et ont donc attiré beaucoup d'attention ces dernières années.
...
Des données fascinantes ont été publiées, qui montrent que la récente augmentation du dioxyde de carbone dans l'atmosphère a provoqué un certain refroidissement sur de vastes zones de la planète, ainsi qu'une augmentation significative et généralisée de la végétation.
Cette augmentation de la végétation, qui a permis de soulager la famine et la faim et a contribué à faire monter en flèche la production alimentaire mondiale au cours des dernières décennies, a entraîné une tendance au refroidissement de la planète de -0,018 °C par décennie. Il existe d'importantes marges d'erreur, à la hausse comme à la baisse, mais on estime que cela a compensé environ 4,6 % du réchauffement planétaire. Cependant, dans le cas de l'Inde et de la Chine, il a permis de compenser ~39,4 % et ~19 % respectivement.
Dans un article publié le mois dernier, 11 climatologues chinois notent que la Terre a connu un "verdissement généralisé de la végétation" depuis les années 1980 en raison des effets de la fertilisation par le CO2. Ce verdissement pourrait atténuer le réchauffement climatique "en déclenchant une rétroaction biochimique négative sur le système climatique". Selon les scientifiques, le vert plus foncé de la végétation absorbe davantage la chaleur du soleil, tandis que les processus d'évaporation de l'eau ou de convection de la chaleur entre la surface et l'atmosphère font également baisser les températures locales.
La Terre a indubitablement reverdi au cours des 40 dernières années, les niveaux de CO2 dans l'atmosphère ayant entamé une lente remontée après une période d'effondrement dangereux, selon certains scientifiques.
Le niveau actuel de CO2 dans l'atmosphère est d'environ 419 parties par million et est proche du niveau le plus bas jamais enregistré dans les archives paléontologiques. Dans le passé, les niveaux ont été jusqu'à 20 fois plus élevés, mais en dessous d'environ 180 ppm, la vie végétale et humaine commençait à mourir. Il est généralement admis qu'il y a eu une augmentation récente de la végétation mondiale d'environ 14%.
En 2016, une importante étude scientifique internationale impliquant 32 scientifiques a noté qu'il y avait eu une "augmentation persistante et généralisée" du verdissement en saison de croissance sur 25 à 50 % de la surface végétalisée mondiale. Certains scientifiques sont détendus quant à l'augmentation des niveaux de CO2 qui en découle. Roy Spencer, ancien chercheur principal à la NASA, note que "bien que le CO2 soit nécessaire à l'existence de la vie sur Terre, il y en a très peu dans l'atmosphère terrestre".
L'étude chinoise a estimé la réponse de la température à des niveaux plus élevés de végétation entre 2001 et 2018 en examinant les enregistrements de température par satellite et les données sur la surface foliaire. Les autres éléments pris en compte sont les conditions climatiques locales, les types de plantes et les facteurs annuels et saisonniers. Un signal estimé a ensuite été comparé aux enregistrements historiques des températures "afin d'évaluer les avantages climatiques potentiels du verdissement à l'échelle mondiale et régionale".
Le graphique ci-dessus montre les régions du monde où le verdissement "peut atténuer considérablement le changement climatique". Il est à noter que ces régions comprennent l'Europe, la Chine, l'Inde et le sud du Brésil.
Ces régions devraient également dominer l'écologisation mondiale après le 21e siècle. L'Inde et la Chine seraient les deux premiers pays où un verdissement important "induit de forts effets de refroidissement", respectivement de -0,14°C et -0,059°C par décennie. Comme je l'ai indiqué plus haut, cela entraîne un refroidissement du réchauffement de la surface de ~39,4 % et ~19 % respectivement. Il ne s'agit que d'une observation anecdotique, bien sûr, mais ces deux pays augmentent rapidement leur consommation locale d'énergie fossile, et nombreux sont ceux qui seront tentés d'établir un lien avec le refroidissement.
D'un point de vue plus général, cet article constitue une contribution importante au débat sur le changement climatique et sur l'affirmation selon laquelle le CO2 d'origine humaine est le principal bouton de commande du réchauffement récent de l'atmosphère.
Au cours de 600 millions d'années, le CO2 a été progressivement extrait de l'atmosphère et séquestré dans la croûte terrestre. Le problème de l'hypothèse du réchauffement anthropique - outre l'absence de preuve réelle - est qu'elle ne permet pas d'établir de corrélation entre les températures et les niveaux de CO2 dans le passé actuel, historique ou paléolithique.
Les arguments selon lesquels le gaz devient "saturé" à certains niveaux et que ses propriétés de réchauffement diminuent sur une échelle logarithmique peuvent fournir une explication plus convaincante des observations passées.
Loin du récit scientifique "établi" - une fiction politique conçue pour étouffer le débat et promouvoir le "Net zéro" - les scientifiques étudient les nombreuses influences qui provoquent le changement climatique. Il est hautement improbable que l'augmentation du CO2 dans l'atmosphère provoque un "dérèglement" climatique, car cela n'a jamais été le cas dans le passé.
L'atmosphère est un lieu chaotique, non linéaire, et de nombreuses influences, dont l'échange de chaleur et les courants océaniques, jouent un rôle très important. Le climat semble également posséder des mécanismes d'autorégulation - le CO2 atmosphérique stimulant la croissance des plantes, qui à son tour refroidit l'environnement de surface local, n'est qu'un exemple parmi d'autres.
Chris Morrison est le rédacteur en chef de l'environnement du Daily Sceptic.
La théorie astronomique du climat est importante pour le développement durable de la civilisation. L'enthousiasme des scientifiques intéressés a maintenu l'idée de la théorie en vie pendant des décennies de doute. Cependant, le danger vient du rôle exagéré des mathématiques. Nous pouvons trouver la physique derrière les mathématiques avec l'introduction de la mécanique céleste vortique et de la thermodynamique vortique. Les trois niveaux de la théorie du climat astronomique - celui de Croll/Milankovitch/Berger, celui de Blizard/Landscheidt/Charvátová et le niveau galactique - sont abordés ici en bref du point de vue de la mécanique céleste de DesCartes et des phénomènes d'influences cosmiques à longue portée.
Berne, 02.11.2022 - Le 2 novembre 2022, le Conseil fédéral a approuvé le train d’ordonnances agricoles 2022. Entre autres dispositions, la culture de pois chiches et de lentilles destinés à l’alimentation humaine sera désormais soutenue, les dispositions relatives à l’économie alpestre sont modifiées et les émoluments de la banque de données sur le trafic des animaux sont augmentés. Par ailleurs, le Conseil fédéral a chargé le DEFR de mettre en œuvre le versement direct des suppléments laitiers aux producteurs de lait.
Au total, 19 ordonnances du domaine agricole sont modifiées. Les nouvelles dispositions entreront pour la plupart en vigueur le 1er janvier 2023.
––––
Soutien aux cultures de protéagineux destinés à l'alimentation humaine
Afin de tenir compte de la hausse de la demande en protéines alimentaires végétales, les contributions à des cultures particulières seront également versées pour les cultures de protéagineux destinés à l'alimentation humaine. La culture des pois chiches ou des lentilles sera par exemple soutenue. L'objectif est d'encourager le développement de l'offre d'aliments riches en protéines végétales de production suisse.
À propos de
Nous fabriquons des nuages réfléchissants, de haute altitude et biodégradables qui refroidissent la planète. En imitant les processus naturels, nos "nuages brillants" vont empêcher le réchauffement catastrophique de la planète.
Concrètement : nous libérons un composé naturel via des ballons réutilisables pour créer des nuages réfléchissants dans la stratosphère. Ils sont réellement efficaces : 1 gramme de nos nuages compense le réchauffement que crée 1 tonne d'émissions de CO₂ pendant un an. Après trois ans, nos nuages se compostent et retombent sur Terre.
Parce que nous livrons nos nuages via des ballons réutilisables, nous sommes en mesure de compenser les émissions de CO₂ à <1% du coût des autres solutions. Ce qui est unique, c'est que nous pouvons aussi compenser totalement le réchauffement climatique.
Nous pouvons compenser le réchauffement dû à toutes les émissions annuelles mondiales de CO₂ avec ~30 millions de dollars de nos nuages, et chaque milliard de dollars de nos nuages refroidira le monde de ~0,1°F !
Cela ressemble à de la science-fiction ? Ce n'est pas le cas : nous avons déjà lancé nos premiers nuages, et nous compenserons une quantité substantielle de réchauffement en 2023 !
Informations sur la société
Fondée en octobre 2022, Make Sunsets est soutenue par Boost VC, Pioneer Fund et d'autres amis.
––––––––––––––
FAQ
Que faites-vous ?
On utilise des ballons pour lancer des nuages réfléchissants dans la stratosphère.
Pourquoi ?
Si nous ne réfléchissons pas la lumière du soleil (amélioration de l'albédo), des dizaines de millions de personnes mourront et plus de 20 % des espèces pourraient disparaître. Nous utilisons le moyen le plus efficace de réfléchir la lumière du soleil que nous avons trouvé et que nous pouvons nous permettre de déployer (coût de démarrage <50 000 $).
Comment savez-vous que cela va fonctionner ?
Nous copions la nature : les nuages que vous voyez dans le ciel utilisent le même processus et ont été étudiés pendant des années.
La géo-ingénierie n'est-elle pas mauvaise ?
Toute émission de dioxyde de carbone d'origine humaine relève de la géo-ingénierie : la Terre se réchauffe un peu plus à chaque fois que vous prenez l'avion. Nous pensons que c'est une erreur de tirer un trait soudain sur la stratosphère : nous avons bousillé l'atmosphère, et nous avons maintenant l'obligation morale de réparer les choses !
Pourquoi ne pas planter des arbres et passer aux panneaux solaires ?
Nous devons absolument prendre ces mesures et toutes les autres mesures efficaces de réduction du carbone et d'énergie propre. Cependant, nous devons également refroidir immédiatement le monde. Même si nous arrêtions comme par magie toutes les émissions de carbone maintenant, nous atteindrions probablement 2,3°C ! Étant donné que les émissions de gaz à effet de serre augmentent chaque année, nous devons commencer à refroidir le monde immédiatement.
Combien de temps les nuages de Make Sunsets restent-ils dans le ciel ?
Selon l'altitude et la latitude à laquelle nous les relâchons, entre six mois et trois ans.
Pourquoi personne ne l'a encore fait ?
Nous l'avons fait. 😉 D'autres ont essayé depuis le milieu universitaire mais ont été annulés en raison d'un activisme bien intentionné mais malavisé et de litiges relatifs aux brevets.
Ne serait-il pas plus efficace d'installer des miroirs géants dans l'espace, de fabriquer des avions spéciaux à haute altitude ou d'installer un tube captif dans la stratosphère ?
Peut-être ! Nous n'avons aucune religion sur la façon de produire le refroidissement dont nous avons besoin et nous voulons le plus de refroidissement par $ que nous pouvons réaliser rapidement et en toute sécurité. Personnellement, nous n'avons pas les coûts de démarrage de plus de 1 milliard de dollars (et un capital politique substantiel) pour ces autres méthodes. Si vous ou votre gouvernement tentez de manière crédible de construire l'une de ces méthodes, nous serions heureux de collaborer !
Je voudrais que vous arrêtiez de faire cela.
Et nous aimerions un avenir équitable avec un air respirable et sans événements à bulbe humide pour les générations à venir. Convainquez-nous qu'il existe un moyen plus efficace de nous donner le temps d'y parvenir et nous arrêterons. Nous serons heureux de débattre avec n'importe qui sur ce sujet, il suffit de confirmer une audience d'au moins 200 personnes et nous trouverons le temps d'essayer de vous convaincre 😉 .
Quelle est l'efficacité de ces nuages ?
En raccourci, " un gramme compense une tonne " : un gramme de soufre délivré à 20km d'altitude crée autant de forçage radiatif qu'une tonne de CO₂ libérée dans l'atmosphère en un an. Il y a beaucoup d'incertitudes et d'hypothèses ici (y compris une différence de 3x entre les scientifiques du GIEC sur le réchauffement global par unité de CO₂ ). En effectuant davantage de rejets, nous en apprendrons beaucoup plus sur notre efficacité. Cependant, l'incertitude n'est pas une excuse pour l'inaction.
Comment allez-vous mesurer l'impact de vos efforts ?
Nous ferons voler tous les instruments de test raisonnables que les chercheurs voudront et nous publierons ouvertement nos données. N'hésitez pas à nous contacter si vous avez un régime d'essai que vous aimeriez que nous utilisions !
Combien faut-il pour ne pas aggraver le problème ?
Nous pouvons créer un refroidissement suffisant pour compenser le nouveau réchauffement de cette année pour environ 30 millions de dollars par an : 7 millions de dollars de soufre + les coûts de déploiement. Vous pouvez en acheter ici.
Combien cela coûterait-il de compenser tout le réchauffement climatique d'origine humaine ?
Moins de 50 milliards de dollars par an : ~12 milliards de dollars de soufre + coûts de déploiement.
La situation est-elle vraiment si grave ?
Non, elle est probablement bien pire. Il est très peu probable que nous arrêtions d'exploiter les réserves pétrolières prouvées, et même les projections les plus pessimistes du GIEC (4°C d'ici 2100) ne tiennent pas compte des rejets naturels massifs de gaz à effet de serre (méthane de la toundra, etc.). Nous devons agir maintenant pour refroidir le monde !
Qu'en est-il de l'ozone ?
La modélisation montre une diminution légère mais significative de l'ozone. Nous suivrons cette évolution de près, mais il est important de noter que les scénarios les plus pessimistes en matière d'appauvrissement de l'ozone sont de 5 à 10 % en moyenne. Cela représente moins de la moitié de ce que les CFC ont provoqué et pourrait être au moins partiellement compensé par l'impact positif du réchauffement climatique sur l'ozone.
S'agit-il vraiment de nuages ?
Ce n'est pas de la vapeur d'eau, donc techniquement non. Dans un sens "nuage de poussière", ils le sont ;)
Les plantes ne vont-elles pas pousser plus lentement ?
La modélisation préliminaire montre en fait le contraire : une augmentation nette d'environ 10 %.
Comment puis-je acheter un crédit de refroidissement ?
Allez ici ! Si vous souhaitez discuter de plus grandes quantités, veuillez contacter andrew@makesunsets.com.
Pour qui avez-vous fait cela ?
Nous avons effectué deux vols d'essai internes avec <10g de nuages chacun.
Je veux vous aider / comment puis-je m'impliquer ?
Nous suivons le mantra de Y Combinator : Faire quelque chose que les gens veulent. Nous avons fait ceci, et maintenant nous devons prouver que les gens le veulent. Il serait très utile de présenter des entreprises qui souhaitent acheter des crédits de refroidissement et/ou des pays qui souhaitent accueillir des sites de lancement de ballons.