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Les ingénieurs de la poste britannique inspectent l'équipement de télégraphie sans fil (radio) de Guglielmo Marconi, lors d'une manifestation sur l'île de Flat Holm, le 13 mai 1897. C'était la première démonstration au monde de la transmission de signaux radio en pleine mer, entre Lavernock Point et Flat Holm Île, une distance de 3 miles. À l'arrière-plan se trouve l'émetteur d'éclateur, une bobine d'induction (à droite) qui génère des impulsions haute tension qui créent des étincelles entre les billes de l'éclateur de Righi (à gauche), qui excite des courants oscillants dans une antenne fil suspendue en haut par le pôle vu au centre, ratifiant les ondes radio. Les informations sont transmises en allumant et éteignant l'émetteur rapidement à l'aide d'un interrupteur appelé clé télégraphique (non visible), épelant les messages texte en code Morse. Au premier plan se trouve le récepteur. Lors de la réception de la station Lavernock, la tension oscillante de l'antenne est appliquée à un cohéreur; un détecteur d'ondes radio primitif constitué d'un petit tube contenant deux électrodes avec de la limaille métallique entre elles. Lorsqu'une onde radio d'un émetteur éloigné frappe l'antenne et est appliquée au cohéreur, les dépôts s'agglutinent et conduisent l'électricité. Un deuxième circuit est attaché au cohéreur constitué d'une batterie qui actionne un relais (objets cylindriques sur les côtés), qui à son tour envoie une impulsion de courant à un magnétophone en papier Morse (au centre). Lorsqu'une onde radio active le cohéreur, elle envoie une impulsion à l'enregistreur, qui fait une marque sur une bande de papier. Le message de code Morse de l'émetteur à distance peut être lu sur la bande, comme le fait l'homme assis. Les relais sont contenus dans des blindages métalliques cylindriques pour empêcher leurs étincelles d'interférer avec le cohéreur sensible. Informations tirées de la rétrospective: ondes radio sur l'eau, TheFreeLibrary.com
Tablette cunéiforme, toujours dans son étui d'argile : affaire judiciaire de Niqmepuh, roi d'Iamhad (Alep) concernant l'héritage de deux maisons ; les empreintes de sceaux de dix témoins (dont le roi) survivent sur l'étui fragmentaire. Des rainures encadrant les mêmes empreintes ont été faites par des capuchons métalliques, probablement en or.
1720 av. J.-C.,
Poids d'une demi-mine (poids réel : 248 gr.) consacré par le roi Shulgi et portant l'emblème du croissant de lune ; utilisé dans le temple du dieu-lune à Ur. Période d'Ur III.
Translittération:
{d} Nanna
lugal-a-ni
{d} šul-gi
nitah kalag-ga
lugal urim-ma
lugal an-ub-da-limmu-ba-ke
ba ma-na
mu-na-gi-in
Traduction:
pour {le dieu} Nanna son roi,par {le dieu} Shulgi, l'homme fort,Roi d'Ur, Roi des Quatre Coins,
(ce) demi-mina
a été vérifiée
Diorite
poids: 248g
vers 2094-2047 av. J.-C.
-3100 uruk