208 liens privés
Les activités de la CIA et du FBI sur Wikipédia ont été rendues publiques pour la première fois par un étudiant en programmation nommé Virgil Griffith ℹ️ en 2007. M. Griffith a mis au point un programme appelé WikiScanner ℹ️, qui permet de localiser les ordinateurs utilisés pour modifier les articles de Wikipédia. Il a découvert que la CIA, le FBI et un grand nombre de grandes entreprises et d’agences gouvernementales nettoyaient l’encyclopédie en ligne de toute information compromettante.
William Colby ℹ️
Les ordinateurs de la CIA ont été utilisés pour supprimer le nombre de victimes de la guerre en Irak, tandis qu’une machine du FBI a été utilisée pour supprimer les images aériennes et satellitaires de la prison américaine de Guantanamo Bay ℹ️, à Cuba. Les ordinateurs de la CIA ont été utilisés pour modifier des centaines d’articles, notamment sur le président iranien de l’époque, Mahmoud Ahmadinejad ℹ️, le programme nucléaire chinois et la marine argentine.
Certaines modifications étaient plus mesquines, l’ancien chef de la CIA William Colby ℹ️ ayant apparemment modifié sa propre entrée pour allonger la liste de ses réalisations.
“Les agences de renseignement paient les personnes les plus influentes pour qu’elles fassent avancer leurs programmes, avec lesquels elles sont déjà en grande partie en phase, ou bien elles développent leurs propres talents au sein de la communauté [du renseignement], apprennent le jeu de Wikipédia et font ensuite avancer ce qu’elles veulent dire auprès de leurs propres collaborateurs”, a déclaré M. Sanger à M. Greenwald.
“Une grande partie du renseignement et de la guerre de l’information est menée en ligne”, a-t-il poursuivi, “sur des sites web comme Wikipédia”.
Réflexion intéressante sur radio libre:
Est-ce que le conseiller fédéral Alain Berset subit des pressions de l'extérieur ? (sexe ?) Pendant la crise covid il était en lien direct avec les médias de Ringier, semble-t-il pour faire sortir dans le presse les nouvelles mesures anti-covid, avant que ce ne soit discuté au conseil fédéral.
A méditer..
Voici le texte repris de radiolibre.ch:
La Suisse a probablement trouvé son petit Machiavel.
Alain Berset fût très zélé comme chef d’orchestre de la crise Covid, avec apparemment des paquets de mesures stricts sorti d’on ne sait pas bien où et qu’il a su imposer à ses autres collègues du Conseil fédéral.
Mais comment s’y prenait-il ? C’est un article de Covidhub.ch, intitulé « Covidleaks: président suisse sous enquête parlementaire » qui en parle, se basant sur des articles parus dans la presse alémanique. Presse alémanique qui fait passer la presse romande pour une muette lorsqu’il s’agit de parler des frasques de Berset.
Parce qu’ici en Romandie, on aime avoir des chouchous, et Berset en est un pour la presse. De plus en Romandie, on a un peu la mentalité centralisée française, on obéit, c’est ce qu’on sait faire de mieux quand même, pourquoi s’en priver, ce qui compte, c’est sauver les apparences. Pour le sourire de Berset.. sourire qui se fait de plus en plus rare il faut dire. Et à raison.
Selon la presse alémanique, un collaborateur d’un autre Conseiller fédéral aurait dit que si l’affaire des fuites d’informations vers le groupe de presse Ringier pendant le Covid avait été connue avant l’élection de Berset comme président de la Confédération, il n’aurait pas été élu. On se rappelle qu’une centaine de députés sur les 242 que compte le parlement n’ont pas soutenu la nomination de Berset à la présidence du pays. Un camouflet pour celui que certains adulent, mais qui cumule les faux-pas depuis plusieurs années.
Que c’est-il passé de si grave me direz-vous? Et bien premier constat, de mars à novembre 2020, le collaborateur le plus proche de Berset, Peter Lauener, son chef de la communication pendant 10 ans, qui a étrangement quitté son poste juste avant d’être mis en examen par un procureur spécial dans le cadre d’une autre affaire de fuite, et bien ce cher collaborateur, qui accompagnait Berset partout, a informé avant tout le monde le chef du groupe de presse Ringier, Marc Walder, des propositions de mesures de Berset.
Le chef de presse était donc informé avant même les collègues de Berset au Conseil fédéral, brisant ainsi la collégialité. Et pourquoi Lauener faisait-il ça? Et bien certains médias alémaniques pensent que c’était pour faire pression sur le reste du Conseil fédéral pour qu’ils acceptent les paquets de mesures stricts proposées Berset. Et c’est là que c’est machiavélique. Berset, via Lauener, informait son ami Marc Walder de ses projets de nouvelles mesures la veille, pour que le jour où le Conseil fédéral se réunissait pour négocier et voter les mesures de Berset, il y avait déjà des articles dans la presse à leur sujet, parlant favorablement de ces nouvelles propositions.
Du coup, les Conseillers fédéraux qui était pour des mesures moins sévères étaient pris en otage et devait s’aligner, pour éviter que l’opinion publique n’ait l’impression que le Conseil fédéral change d’avis comme une girouette sur un sujet aussi important. Si on annonce dans la presse que le Conseil fédéral va imposer le port du masque dans les transports publics par exemple, si le lendemain on doit lire l’inverse dans la presse, ça donne mauvais genre.
Mais vous me direz, comment est-on certain que Berset avait besoin de ça pour faire passer ses mesures? Et bien la réponse se trouve dans un des e-mails de Lauener à Ringier. On y apprend je cite qu’*obtenir une majorité au Conseil fédéral n’est guère réaliste pour le moment ». Sous-entendu, sans un petit coup de pouce du groupe Ringier?
Et comment on peut dire que Berset était au courant ? Idem, email de Lauener à Walder, qui transmet ses « Salutations amicales, aussi du conseiller fédéral Berset ». Berset fait semblant maintenant de ne pas avoir été au courant de ces échanges mais les connaisseurs des coulisses du pouvoir à Berne ne croient pas une seconde à ses propos. Walder et Berset sont de plus considérés comme des amis de longue date.
Walder avait été épinglé dans une vidéo censée restée en cercle restreint en train d’avouer qu’il avait donné comme instruction à ses rédactions, de soutenir la politique Covid des gouvernements. Ringier emploie plus de 6000 personnes en Suisse et à l’étranger. Marc Walder justement, en janvier 2023, vient d’être démis de ses fonctions à cause de cette affaire d’échanges d’email avec Lauener. Ce sont apparemment les journalistes du groupe Ringier qui ont fait pression pour regagner leur indépendance rédactionnelle vis-à-vis de la direction. C’est une décision forte vu que Walder est également en partie propriétaire du groupe et est un ami de Michael Ringier. Affaire à suivre.
Quand au parlement, il réagit enfin, avec la création d’un groupe de travail chargé d’enquêter sur ces fuites impliquant Lauener et très certainement Berset. Berset, cet homme mystérieux, partant seul en France en avion de tourisme, où en soirée échangiste avec sa maitresse de l’époque, en voiture de fonction, avec chauffeur payé par nos impôts, maîtresse qui recevra plus tard la visite de l’unité de police d’élite Tigris, pour une simple affaire privée. Il aura ensuite placé à la tête de Swissmedic son ami qui a mené la Task force mise sur pied pour gérer cette affaire. Entre autres frasques et mensonges, dont celui sur l’efficacité du vaccin, la vie de Berset ressemble à celle d’un agent secret. On le voit au dernier forum économique mondial à Davos en photo avec Mme Zelensky, Mme Ursula von der Leyen et le vénérable maître du nouvel ordre élitiste mondial, Klaus Schwab. Est-il sous influence ? Est-ce que quelqu’un fait pression sur lui avec du matériel issu de ces fameuses soirées échangistes ? La question mérite d’être posée dans un monde qui a déjà connu pire scandale dans les hautes sphères du pouvoir.
« Sous couvert de lutte contre le terrorisme, l’extraterritorialité du droit américain est une arme de guerre économique »
Chronique
auteur
Stéphane Lauer
Editorialiste
Depuis 2010, les entreprises françaises ont payé plus de 14 milliards de dollars à la justice américaine dans le cadre du Foreign Corrupt Practices Act. Une loi dont le but est d’affaiblir la concurrence étrangère, affirme Stéphane Lauer, éditorialiste au « Monde », dans sa chronique.
Publié le 30 décembre 2019 à 03h11 -
Nous avons utilisé des jeux expérimentaux incitatifs pour manipuler le pouvoir des leaders, c'est-à-dire le nombre d'adeptes et la discrétion dont ils disposent pour faire respecter leur volonté. Les leaders disposaient d'une autonomie complète pour décider des paiements à verser à eux-mêmes et à leurs partisans. Bien que les leaders puissent prendre des décisions prosociales au profit du bien public, ils pouvaient également abuser de leur pouvoir en invoquant des décisions antisociales, ce qui réduisait le total des versements au groupe mais augmentait les gains des leaders. Dans l'étude 1 (N = 478), nous avons constaté que tant le nombre de suiveurs que les choix discrétionnaires prédisaient indépendamment la corruption des dirigeants. Dans l'étude 2 (N = 240), nous avons examiné comment le pouvoir et les différences individuelles (par exemple, la personnalité, les hormones) affectaient la corruption du leader au fil du temps ; le pouvoir interagissait avec la testostérone endogène pour prédire la corruption, qui était la plus élevée lorsque le pouvoir du leader et la testostérone de base étaient tous deux élevés. L'honnêteté a permis de prédire le niveau initial des décisions antisociales du leader ; cependant, l'honnêteté n'a pas protégé les leaders de l'effet corrupteur du pouvoir.
Les résultats, parus dans la revue spécialisée The Leadership Quarterly sont sans équivoques. Ceux-ci ont montré que plus le pouvoir augmentait – c’est-à-dire le nombre de personnes soumises aux décisions du leader ou les choix décisionnels à la disposition du leader – plus le leader était influencé par son propre intérêt, aux dépens des personnes dont il était responsable. Même ceux qui avaient une attitude honnête et socialement acceptable au moment de leur accession au poste de leader changeaient assez facilement de perspectives morales une fois qu’ils avaient goûté au pouvoir.
Mais ce n’est pas tout. L’étude a permis de révéler que des déterminants individuels, tels que le taux de testostérone que d’autres études liaient déjà plus ou moins indirectement aux comportements associaux ou égocentriques ainsi qu’à une baisse des capacités d’empathie, avait une influence tout aussi grande sur les décisions prises par les dirigeants. Spécifiquement, les dirigeants étaient particulièrement corrompus quand ils avaient beaucoup de pouvoir et un haut taux de testostérone. Il serait donc possible de prédire le comportement d’un dirigeant en prenant en compte ces deux facteurs, soit la dimension du pouvoir et les déterminants individuels.
les médecine reçoivent des commission pour chaque vaccination...
L’argent de la Fondation Gates destiné aux programmes médiatiques a été divisé en plusieurs sections, présentées par ordre numérique décroissant, et comprend un lien vers la subvention correspondante sur le site Web de l’organisation.
Récompenses directement aux médias :
Radio publique nationale — 24 663 066 $ .
The Guardian (y compris TheGuardian.org ) – 12 951 391 $ .
Médias publics en cascade — 10 895 016 $ .
Public Radio International (PRI.org/TheWorld.org) — 7 719 113 $ .
La conversation — 6 664 271 $ .
Univision — 5 924 043 $ .
Der Spiegel (Allemagne) — 5 437 294 $.
Syndicat de projet — 5 280 186 $ .
Semaine de l’éducation — 4 898 240 $ .
WETA – 4 529 400 $ .
NBCUniversal Media — 4 373 500 $ .
Nation Media Group (Kenya) — 4 073 194 $ .
Le Monde (France) — 4 014 512 $ .
Bhekisisa (Afrique du Sud) — 3 990 182 $ .
El País — 3 968 184 $ .
BBC — 3 668 657 $ .
CNN — 3 600 000 $ .
KCET — 3 520 703 $ .
Population Communications International (population.org) — 3 500 000 $ .
Le Daily Telegraph — 3 446 801 $ .
Chalkbeat – 2 672 491 $ .
The Education Post — 2 639 193 $ .
Rockhopper Productions (Royaume-Uni) — 2 480 392 $ .
Société de radiodiffusion publique — 2 430 949 $ .
Upworthy – 2 339 023 $ .
Financial Times — 2 309 845 $ .
Les 74 médias — 2 275 344 $ .
Texas Tribune — 2 317 163 $ .
Punch (Nigéria) — 2 175 675 $ .
Nouvelles profondément – 1 612 122 $ .
L’Atlantique – – 1 403 453 $ .
Radio publique du Minnesota — 1 290 898 $ .
YR Media — 1 125 000 $ .
Le nouvel humanitaire — 1 046 457 $ .
Sheger FM (Éthiopie) – 1 004 600 $ .
Al-Jazeera — 1 000 000 $ .
ProPublica — 1 000 000 $ .
Médias publics croisés — 810 000 $ .
Magazine Grist — 750 000 $ .
Kurzgesagt — 570 000 $ .
Educational Broadcasting Corp — 506 504 $.
Classique 98,1 — 500 000 $.
PBS – 499 997 $ .
Gannett – 499 651 $.
Mail and Guardian (Afrique du Sud) — 492 974 $ .
À l’intérieur de l’enseignement supérieur. — 439 910 $.
Jour ouvrable (Nigéria) — 416 900 $ .
Medium.com — 412 000 $ .
Nutopia — 350 000 $.
Independent Television Broadcasting Inc. — 300 000 $ .
Service de télévision indépendant, Inc. — 300 000 $ .
Caixin Media (Chine) — 250 000 $ .
Service d’information du Pacifique — 225 000 $ .
Journal national — 220 638 $.
Chronique de l’enseignement supérieur — 149 994 $.
Belle et Wissell, Co. — 100 000 $.
Fiducie des médias — 100 000 $.
Radio publique de New York — 77 290 $.
KUOW – Radio publique Puget Sound – 5 310 $.
Ensemble, ces dons totalisent 166 216 526 $. L’argent est généralement dirigé vers des problèmes qui tiennent à cœur aux Gates.
Par exemple, la subvention de 3,6 millions de dollars de CNN a été consacrée à « un reportage sur l’égalité des sexes avec un accent particulier sur les pays les moins avancés, en produisant du journalisme sur les inégalités quotidiennes subies par les femmes et les filles à travers le monde », tandis que le Texas Tribune a reçu des millions pour « accroître la sensibilisation et l’engagement du public sur les questions de réforme de l’éducation au Texas. »
Gates continue également de souscrire à un vaste réseau de centres de journalisme d’investigation, totalisant un peu plus de 38 millions de dollars, dont plus de la moitié sont allés au Centre international des journalistes basé à Washington pour étendre et développer les médias africains.
Ces centres comprennent :
Centre international des journalistes — 20 436 938 $ .
Premium Times Center for Investigative Journalism (Nigéria) — 3 800 357 $ .
Le Pulitzer Center for Crisis Reporting — 2 432 552 $ .
Fondation EurActiv Politech — 2 368 300 $ .
Fondation internationale des femmes dans les médias — 1 500 000 $ .
Centre de reportage d’investigation — 1 446 639 $ .
Institut InterMedia Survey — 1 297 545 $ .
Le Bureau du journalisme d’investigation — 1 068 169 $ .
Réseau Internews — 985 126 $ .
Centre des médias du Consortium des communications — 858 000 $ .
Institute for Nonprofit News — 650 021 $ .
Le Poynter Institute for Media Studies — 382 997 $ .
Centre Wole Soyinka pour le journalisme d’investigation (Nigéria) — 360 211 $ .
Institut d’études avancées en journalisme — 254 500 $ .
Forum mondial pour le développement des médias (Belgique) — 124 823 $ .
Mississippi Center for Investigative Reporting — 100 000 $ .
En plus de cela, la Fondation Gates offre également de l’argent aux associations de presse et de journalisme, à hauteur d’au moins 12 millions de dollars. Par exemple, la National Newspaper Publishers Association — un groupe représentant plus de 200 points de vente — a reçu 3,2 millions de dollars.
La liste de ces organisations comprend :
Association des écrivains en éducation — 5 938 475 $ .
Association nationale des éditeurs de journaux — 3 249 176 $ .
Fondation nationale de la presse — 1 916 172 $ .
Conseil de l’information de Washington — 698 200 $ .
Fondation de l’American Society of News Editors — 250 000 $ .
Comité des journalistes pour la liberté de la presse — 25 000 $ .
Cela porte notre total cumulé à 216,4 millions de dollars.
La fondation finance également la formation directe de journalistes du monde entier, sous forme de bourses, de cours et d’ateliers.
Aujourd’hui, il est possible pour un individu de suivre une formation de journaliste grâce à une subvention de la Fondation Gates, de trouver du travail dans un point de vente financé par Gates et d’appartenir à une association de presse financée par Gates.
Cela est particulièrement vrai des journalistes travaillant dans les domaines de la santé, de l’éducation et du développement mondial, ceux dans lesquels Gates lui-même est le plus actif et où l’examen minutieux des actions et des motivations du milliardaire est le plus nécessaire.
Les subventions de la Fondation Gates relatives à l’instruction des journalistes comprennent :
Université Johns Hopkins — 1 866 408 $ .
Teachers College, Columbia University – 1 462 500 $ .
Université de Californie à Berkeley – 767 800 $.
Université Tsinghua (Chine) — 450 000 $ .
Université de Seattle – 414 524 $ .
Institut d’études avancées en journalisme — 254 500 $.
Université de Rhodes (Afrique du Sud) — 189 000 $ .
Université d’État de Montclair — 160 538 $ .
Fondation universitaire panatlantique — 130 718 $ .
Organisation mondiale de la santé — 38 403 $ .
Le projet Aftermath — 15 435 $ .
La BMGF finance également un large éventail de campagnes médiatiques spécifiques à travers le monde. Par exemple, depuis 2014, elle a fait un don de 5,7 millions de dollars à la Population Foundation of India afin de créer des pièces de théâtre qui promeuvent la santé sexuelle et reproductive, dans le but d’augmenter les méthodes de planification familiale en Asie du Sud.
Pendant ce temps, il a alloué plus de 3,5 millions de dollars à une organisation sénégalaise pour développer des émissions de radio et du contenu en ligne contenant des informations sur la santé.
Les partisans considèrent que cela aide des médias gravement sous-financés, tandis que les opposants pourraient considérer qu’il s’agit d’un milliardaire utilisant son argent pour diffuser ses idées et ses opinions dans la presse.
Projets médias soutenus par la Fondation Gates :
Centre européen de journalisme — 20 060 048 $ .
Entraide universitaire mondiale du Canada — 12 127 622 $ .
Well Told Story Limited — 9 870 333 $ .
Solutions Journalism Inc. — 7 254 755 $ .
Fondation de l’industrie du divertissement — 6 688 208 $.
Fondation de la population de l’Inde — 5 749 826 $ .
Médias participants — 3 914 207 $ .
Réseau Africain de l’Éducation pour la santé- — 3 561 683 $ .
Nouvelle Amérique — 3 405 859 $ .
Fondation AllAfrica — 2 311 529 $ .
Étapes internationales — 2 208 265 $ .
Centre de plaidoyer et de recherche — 2 200 630 $ .
L’atelier de sésame — 2 030 307 $ .
Institut Panos Afrique de l’Ouest — 1 809 850 $.
Laboratoire des villes ouvertes — 1 601 452 $.
Université Harvard — 1 190,527 $ .
Questions d’apprentissage — 1 078 048 $ .
Le Centre de recherche Aaron Diamond sur le sida — 981 631 $ .
Fondation des médias Thomson — 860 628 $ .
Centre des médias du Consortium des communications — 858 000 $ .
Histoires – 799 536 .
Centre de stratégies rurales — 749 945 $ .
Le nouveau fonds de capital-risque — 700 000 $.
Helianthus Media — 575 064 $.
Université de Californie du Sud — 550 000 $ .
Organisation mondiale de la santé — 530 095 $ .
Phi Delta Kappa International — 446 000 $ .
Ikana Media — 425 000 $ .
Fondation de Seattle — 305 000 $ .
ÉducationNC — 300 000 $ .
Pékin Guokr Interactive – 300 000 $.
Montée en flèche — 246 918 $ .
L’Académie africaine des sciences — 208 708 $.
À la recherche d’applications modernes pour une transformation réelle (SMART) — 201 781 $ .
Coalition vidéo de la région de la baie — 190 000 $ .
Fondation PowHERful — 185 953 $ .
Congrès des parents et des enseignants de la PTA en Floride — 150 000 $.
ProSocial — 100 000 $.
Université de Boston — 100 000 $ .
Centre national pour l’apprentissage des familles — 100 000 $.
Development Media International — 100 000 $ .
Université Ahmadu Bello — 100 000 $ .
Société indonésienne de cybersanté et de télémédecine — 100 000 $ .
La collaboration des cinéastes — 50 000 $ .
Fondation pour la radiodiffusion publique en Géorgie Inc. — 25 000 $ .
SIFF — 13 000 $ .
Total : 97 315 408 $
319,4 millions de dollars et (beaucoup) plus
On s'inquiète de plus en plus du fait que la plupart des résultats de recherche publiés actuellement sont faux. La probabilité qu'une affirmation de recherche soit vraie peut dépendre de la puissance et de la partialité de l'étude, du nombre d'autres études sur la même question et, surtout, du rapport entre les relations vraies et les relations fausses parmi les relations étudiées dans chaque domaine scientifique. Dans ce cadre, un résultat de recherche a moins de chances d'être vrai lorsque les études menées dans un domaine sont plus petites ; lorsque la taille de l'effet est plus faible ; lorsqu'il y a un plus grand nombre et une présélection moindre des relations testées ; lorsqu'il y a une plus grande flexibilité dans les conceptions, les définitions, les résultats et les modes d'analyse ; lorsqu'il y a un plus grand intérêt financier et autre et des préjugés ; et lorsque plus d'équipes sont impliquées dans un domaine scientifique dans la recherche de la signification statistique. Les simulations montrent que pour la plupart des plans et des cadres d'étude, il est plus probable qu'une affirmation de recherche soit fausse que vraie. En outre, pour de nombreux domaines scientifiques actuels, les résultats de recherche revendiqués peuvent souvent être simplement des mesures précises du biais dominant. Dans cet essai, j'examine les implications de ces problèmes pour la conduite et l'interprétation de la recherche.