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Un accident de laboratoire en Chine est probablement à l'origine du Covid-19 selon le ministère américain de l'Énergie.
Les médias relèvent toutefois que cette nouvelle analyse est publiée "avec un faible niveau de confiance".
La Chine s'est estimée "salie" par ces nouvelles accusations américaines.
L'hypothèse selon laquelle la pandémie de Covid-19 aurait fuité d'un laboratoire de Wuhan refait surface. De nouveaux éléments de renseignement révélés dimanche par le Wall Street Journal, le New York Times et CNN, auraient en effet permis au ministère américain de l'Énergie de faire basculer son analyse en faveur d'un accident de laboratoire en Chine.
Dès lundi, Pékin a vigoureusement contesté ces nouvelles accusations. "Il convient de cesser d'agiter cette théorie d'une fuite de laboratoire, d'arrêter de salir la Chine et d'arrêter de politiser la recherche des origines du virus", a affirmé le porte-parole du ministère des Affaires étrangères chinois, Mao Ning, lors d'un point de presse régulier. "Des experts de la Chine et de l'OMS, sur la base de visites sur le terrain dans des laboratoires de Wuhan et d'échanges approfondis avec des chercheurs, ont établi la conclusion, qui fait autorité, selon laquelle l'option d'une fuite d'un laboratoire est hautement improbable", a-t-il insisté.
"Aucune réponse définitive"
Les médias américains, qui citent des sources anonymes, insistent cependant sur le fait que cette nouvelle analyse est publiée "avec un faible niveau de confiance" par le ministère, qui chapeaute des laboratoires de biologie.
par le Dr Joseph Mercola
Résumé
Un nombre croissant de personnes ayant besoin de transfusions sanguines demandent du sang provenant de personnes n’ayant pas reçu de vaccin anti-COVID-19.
Le Dr Ryan Cole, pathologiste, a comparé les inconnues actuelles concernant le « sang des vaccinés » au sang contaminé par le VIH qui était utilisé pour les transfusions dans les années 1980.
Les dons dirigés et les dons autologues, ou autodons, sont des options pour recevoir du sang exempt d’ARNm, mais dans les deux cas, il faut que votre médecin soumette un formulaire d’ordre de prélèvement spécial de la Croix-Rouge.
Une campagne de don « Safe Blood » a également été mise sur pied pour mettre en relation les donneurs et les receveurs de sang qui n’ont pas été vaccinés contre le COVID-19.
La recherche de diagnostics, de vaccins et de traitements potentiels à base d'anticorps pour le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère pandémique (SRAS-CoV-2) s'est concentrée presque exclusivement sur les protéines spike (S) et nucléocapside (N). Les protéines de la membrane du coronavirus (M), ORF3a et ORF8 sont des immunogènes humoraux chez d'autres coronavirus (CoVs) mais restent largement inexplorées pour le SRAS-CoV-2. Nous utilisons ici la cartographie de microréseaux peptidiques ultradenses pour montrer que l'infection par le SRAS-CoV-2 induit des réponses anticorps robustes contre des épitopes dans l'ensemble du protéome du SRAS-CoV-2, en particulier chez M, où un épitope a permis d'obtenir une excellente précision diagnostique. Nous avons cartographié 79 épitopes des lymphocytes B dans l'ensemble du protéome du SRAS-CoV-2 et démontré que les anticorps qui se développent en réponse à l'infection par le SRAS-CoV-2 se lient à des séquences peptidiques homologues dans les 6 autres CoV humains connus. Nous confirmons également la réactivité contre 4 de nos épitopes les plus importants par un test immuno-enzymatique (ELISA). La gravité de la maladie est corrélée à une augmentation de la réactivité à 9 épitopes du CoV SRAS-2 dans S, M, N et ORF3a dans notre population. Nos résultats démontrent l'existence d'épitopes de cellules B hautement réactifs, inconnus jusqu'alors, dans l'ensemble du protéome du SRAS-CoV-2 et d'autres protéines du CoV.
De mars à décembre 2021, quelque 1400 personnes ont été hospitalisées avec un diagnostic d’effets indésirables de vaccins contre le Covid-19 en Suisse. La cause principale chez les moins de 50 ans était liée à l’appareil circulatoire.
Pour un test rapide antigénique :
Signification : Vous avez contracté le coronavirus et êtes actuellement très probablement contagieux. Vous trouverez de plus amples informations sur la page Voici comment nous protéger.
Certificat COVID : Si vous avez contracté le coronavirus, il vous est recommandé de vous faire vacciner. Vous pouvez ainsi demander un certificat COVID pour personnes vaccinées. Vous pouvez demander un certificat pour personnes guéries si le résultat d'un test rapide antigénique nasopharyngé est positif. En Suisse, la validité commence le 11e jour suivant le résultat positif et dure 180 jours à compter du prélèvement de l'échantillon. À l’étranger, d’autres règles de validité peuvent valoir. Vous trouverez des informations détaillées au sujet de la vaccination et du certificat COVID sur les pages Certificat COVID.
Donc si j'ai choppé le virus, que je fais un test rapide, qu'il est positif.
La recommandation de l'autorité de santé suisse, c'est:
"Si vous avez contracté le coronavirus, il vous est recommandé de vous faire vacciner."
=> faites vous vacciner !!
Dans ma compréhension de ce qu'est un vaccin, c'est un virus atténué, qui du coup fait "comme si on avait la maladie", mais sans l'avoir vraiment. C'est ça l'avantage du vaccin.
Les vaccins fonctionnent avec des maladies qui sont immunisantes, des maladies qui une fois qu'on l'a eue... on ne l'attrape plus. Comme la plupart des maladies infantiles, varicelle, oreillons, etc....
Donc si le vaccin "fait comme si j'ai eu la maladie", je trouve qu'il est absurde d'aller se faire vacciner quand on a eu la maladie !!!
D'ailleurs, si il y a des certificats pour personne guéries, c'est bien que c'est pareil que d'avoir le vaccin ?!? non ?
Là, franchement je doute des capacités de raisonnement des autorités sanitaires du pays. Je comprend le complotiste qui trouve que la seule explication c'est un plan caché qui vise à vacciner le maximum de monde....
Libre à chacun de tirer sa conclusion, entre l'absurdité et le plan machiavélique....
https://www.adrreports.eu/fr/covid19_message.html
https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/comirnaty#safety-updates-section
p7.
As of 29 May 2022, EudraVigilance contained the following:
• Comirnaty: a total of 786,983 cases of suspected side effects
spontaneously reported from EU/EEA countries; 7,935 of these reported
a fatal outcome6,7 (by 15 May 2022, about 640 million doses of
Comirnaty had been given to people in the EU/EEA8)
Au 29 mai 2022, EudraVigilance contenait les éléments suivants :
- Comirnaty : un total de 786 983 cas d'effets secondaires suspectés.
signalés spontanément par les pays de l'UE/EEE ; 7 935 d'entre eux ont eu une issue fatale.
(au 15 mai 2022, environ 640 millions de doses de Comirnaty avaient été administrées).
=> (786983/640000000)*100 = 12%
Et pour ce qui est juste "cardovasculaire" ?
Taux de mortalité 'COVID-19' en Suisse
Selon les statistiques tirées du site www.covid19.admin.ch, parmi les cas, hospitalisations et décès confirmés en laboratoire, le taux de mortalité* par tranche d’âge est :
*du 20 février 2020 au 5 janvier 2021 : période pré-vaccination
0-9 ans = 0.042 %
10-19 ans = 0.000 %
20-29 ans = 0.004 %
30-39 ans = 0.01 %
40-49 ans = 0.03 %
50-59 ans = 0.16 %
60-69 ans = 1.03 %
70-79 ans = 5.21 %
80+ ans = 16.12 %
À noter que l’espérance de vie en Suisse est de 83 ans.
Samia porte un masque tout le temps.
Samia garde une distanciation sociale.
Samia aère son bureau toutes les demi-heures.
Samia a muni son bureau d’un appareil à mesurer le CO2.
Samia a été vaccinée 5 fois.
Samia a quand même attrapé un rhume. C’est le COVID.
=>
Dimanche: un peu de rhume, je renonce à aller voir mes parents. Auto-test négatif, mais prudence
Lundi: gros rhume, dans le coton, test PCR positif. Très heureuse d'avoir été prudente hier. Et surtout très soulagée d'avoir pu être vaccinée avant contre le #COVID19
https://twitter.com/samiahurst/status/1538918384821317632
=>
Etape suivante: message à toutes les personnes que j'ai vues les dernières 48h pour les avertir
Le bon côté c'est que je suis bien entourée. J'en suis reconnaissante. Le mauvais côté c'est que je constate que nos contacts sont à nouveau nombreux.
Heureusement qu'on est lundi
Au passage, je suis aussi heureuse d'avoir mis le masque pour faire mes courses. Si vous m'avez croisée à la Migros samedi, voilà: je ne vous ai pas passé le #SARSCoV2
=>
...
https://captainfact.io/videos/4Bo7
[à propos de Peter Daszak ] qui travaille avec différents laboratoires, dont l’institut de virologie de Wuhan avec lequel il bosse sur les coronavirus, et notamment sur l'évolution [...], en faisant ce qu'on appelle des gains de fonction
Peter Daszak a effectivement travaillé sures coronavirus avec d'autres chercheurs dont certains travaillaient au laboratoire de Wuhan.
JOURNAL OF VIROLOGYBat Severe Acute Respiratory Syndrome-Like Coronavirus WIV1 Encodes an Extra Accessory Protein, ORFX, Involved in Modulation of the Host Immune Response
https://journals.asm.org/doi/full/10.1128/JVI.03079-15
Publication dans : VOLUME 21 | NUMBER 12 | DECEMBER 2015nature medicine
Titre : A SARS-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence
Premier auteur : Vineet D Menachery
https://www.nature.com/articles/nm.3985
[Peter Daszak] Il a écrit une tribune qui a été publiée dans le Lancet dans laquelle il assimile l'hypothèse d'une fuite à une théorie du complot.
Peter Daszak a effectivement signé une tribune assimilant les personnes évoquant la fuite d'un laboratoire comme origine du virus à des conspirationnistes.
https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30418-9/fulltext
Sous l'administration Biden Il y a quand même le gouvernement Américain qui a émis quelques réserves concernant les origines du virus , ils disent que faut pas retirer des hypothèses une fuite de labo'
[à propos de la transmission initiale du SARS COV-2 à l'homme] En fait des pistes même d'élevages sont beaucoup plus probables (...] que de la viande de brousse.
nombreuses études ont présenté des raisons pour lesquelles la transmission du virus provenant de la chauve-souris a pu être transmis à des espèces animales d'élevages : destruction de l'habitat des chauve-souris, proximité de fermes, etc...
Un groupe qui s'appelle D.R.A.S.T.I.C
La base de données du WIV
La baisse d'activité d'octobre ne peut-elle pas dues aux vacances des chinois à cette période?
Le 15eme jour du 8eme mois du calendrier lunaire, soit courant septembre, début octobre. Avec le Nouvel An Chinois, la fête de la mi-automne est l’une des fêtes les plus importantes en Chine. Elle est aussi connue sous le nom de fête de la Lune. Elle est l’occasion d’offrir et de manger des gâteaux de Lune qui symbolisent la réunion de la famille.
https://www.china-roads.fr/fetes-traditionnelles/
Comme si ce virus avait été préparé pour être adapté à l'Homme
https://www.seuil.com/ouvrage/l-ironie-de-l-evolution-thomas-c-durand/9782021311655
Son papier n'a pas été accepté à la publication
https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2020.05.01.073262v1.article-info
le quatrième ils l'ont trouvé nulle part, et le quatrième c'est le site furine
d'après leur papier, en effet ils n'ont pas réussi à expliquer son origine probable, contrairement aux autres insertions
https://www.medecinesciences.org/fr/articles/medsci/pdf/2020/07/msc200195.pdf
ll [Montagnier] parlait d'un accident, ça n'avait rien de complotiste, ce qu'il disait relevait d'un accident.
JC Perez et Montagnier ont affirmé dans le papier :
CONCLUSIONS:
This region has been “manipulated” by Humans.
Ils ne parlent donc pas d'accident.
https://zenodo.org/record/3975589#.YKfQqnnivIV
Oui, tout dépend de ce que l'on entend par accident. Il s'agissait pour lui d'un élément modifié par l'humain sciemment, mais qui aurait fuité par accident. "Selon Luc Montagnier, la pandémie mondiale serait le fruit "d’un accident industriel” au laboratoire de Wuhan. "L’hypothèse est que ce virus est sorti du laboratoire parce qu’il a échappé à ses promoteurs, c’est un travail d’apprenti-sorcier”, a-t-il clamé dans l'entretien."
https://twitter.com/CNEWS/status/1251080850562834432
Faux, "il affirme que le virus Sars-CoV-2 (responsable de l'épidémie de Covid-19) a été fabriqué artificiellement en injectant des fragments du virus VIH dans un coronavirus dan"
CRISPR/Cas9 [...] n'est pas très utilisé pour les Coronavirus
CRISPR/Cas9 ne fonctionne que sur l'ADN
Et les coronavirus sont des virus à ARN (Cependant, d'autres protéines de la famille des CRISPR peuvent agir sur l'ARN (par exemple CRISPR/Cas13)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cas9
https://fr.wikipedia.org/wiki/Coronavirus
Ils [le ministère de la défense] m'ont pas dit pourquoi les soldats n'avaient pas le droit de parler.
Euh, l’obligation de réserve peut-être ?
"il n'y a pas un site furine sur le virus"
La référence démontre qu'en ajoutant (artificiellement) un site de clivage furine au SRAS 1, on augmente son infectiosité et potentiellement infecter plus d'espèces différentes
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC2660061/
c'est sûr qu'il n'y a jamais eu de site furine sur un virus de type SARS
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1873506120304165
Également retrouvé dans le cas du MERS (Middle East respiratory syndrome) dans un papier de 2014 :
«We identify, by bioinformatics and peptide cleavage assays, two cleavage sites for furin, a ubiquitously expressed protease, which are located at the S1/S2 interface and at the S2′ position of the S protein.»
En bref issus de captainfact: "La référence démontre qu'en ajoutant (artificiellement) un site de clivage furine au SRAS 1, on augmente son infectiosité et potentiellement infecter plus d'espèces différentes"
La protéine spike (S) du coronavirus joue un rôle clé dans les premières étapes de l'infection virale, le domaine S1 étant responsable de la liaison avec le récepteur et le domaine S2 de la fusion membranaire. Dans certains cas, la protéine S est clivée par protéolyse à la frontière S1-S2. Dans le cas du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV), il a été démontré que l'entrée du virus nécessite la protéase endosomale cathepsine L ; cependant, il a également été constaté que l'infection du SARS-CoV pouvait être fortement induite par un traitement à la trypsine. Dans l'ensemble, le traitement protéolytique de la protéine S du SRAS-CoV n'est pas clair quant à la manière dont le clivage pourrait activer la fusion membranaire. Nous identifions ici un site de clivage protéolytique dans le domaine S2 (S2′, R797) de SARS-CoV. La mutation de R797 a spécifiquement inhibé la fusion dépendante de la trypsine dans les essais de fusion cellule-cellule et d'entrée de pseudovirions. Nous avons également introduit un site de clivage de la furine à la fois sur le site de clivage de S2′ dans S2 793-KPTKR-797 (S2′), ainsi qu'à la jonction de S1 et S2. L'introduction d'un site de clivage de la furine à la position S2′ a permis la fusion cellulaire indépendante de la trypsine, qui a été fortement augmentée par la présence d'un second site de clivage de la furine à la position S1-S2. Ensemble, ces données suggèrent un nouveau mécanisme d'amorçage pour une protéine de fusion virale, avec un événement de clivage protéolytique critique sur la protéine S du SRAS-CoV à la position 797 (S2′), agissant de concert avec le site de clivage S1-S2 pour médier la fusion membranaire et l'infectivité du virus.
Mots clés : fusion membranaire, traitement protéolytique, entrée du virus.
Le conseiller fédéral Alain Berset testé positif au coronavirus
Berne, 09.03.2022 - -
Le conseiller fédéral Alain Berset a été testé positif au coronavirus mercredi après-midi, après avoir ressenti de légers symptômes. Le chef du Département fédéral de l’intérieur s’est mis en isolement et poursuivra son travail à domicile. Il participera virtuellement à la séance du Conseil fédéral de vendredi. M. Berset a annulé sa participation à toutes les manifestations prévues ces prochains jours, notamment à la session de la Commission de la condition de la femme (CSW), qui se tiendra à New York.
Pfizer partenaire de la lutte contre la «désinformation» sur Facebook
Depuis le début de la pandémie de Covid, les utilisateurs du réseau social de Mark Zuckerberg sont nombreux à connaître la censure. Le National Pulse révèle que, parmi les partenaires du géant bleu dans la lutte contre la désinformation, on trouve notamment l’industrie pharmaceutique la plus en vue de ces dernières années.
Début février 2021, Facebook annonçait avoir durci ses règles de modération contre les fake news, afin de soutenir les campagnes de vaccination. Ces renforcements – qui s’appliquent également à Instagram – sont toujours en cours et consistent à supprimer toute information qui mettrait en doute l’innocuité des vaccins.
Les utilisateurs du réseau social sont nombreux à avoir subi des représailles après avoir partagé des contenus jugés «contraires aux règles de la communauté». Celles-ci se matérialisent sous la forme de blocage ou de suppression des publications, de bannissement pour une période donnée, jusqu’à l’exil définitif de la plateforme.
Pour s’aider dans cette tâche, Facebook a conclut des partenariats avec plusieurs organismes censés assurer un fact-checking, dont l’International Center for Journalists (ICFJ). Comme le rapporte le National Pulse, ce dernier est notamment sponsorisé par… Pfizer.
La relation financière de l’ICFJ avec Pfizer remonte au moins à 2008, lorsque le centre s'est associé à la firme pharmaceutique pour un «atelier de formation sur la couverture journalistique des questions de santé» dans toute l'Amérique latine. Pfizer était alors l’unique sponsor de l’atelier, qui contenait également des reportages sur les «maladies cardiovasculaires».
«Les liens financiers découverts entre Pfizer et l'opération de vérification des faits de Facebook font suite à d'autres conflits d'intérêts entre le géant pharmaceutique et des organes d'information, dont Reuters», rapportent nos confrères.
En Suisse aussi, des liens entre médias et industries pharmaceutiques existent. Le Temps et Heidi.news appartiennent désormais à la fondation Aventinus. Laquelle est notamment financée par la fondation Jan Michalski «pilotée par l’éditrice Vera Michalski-Hoffmann qui est aussi une des héritières des fondateurs de la pharma Roche», écrivait l’Agefi en novembre 2020. Quant aux liens de la NZZ avec Novartis, celle-ci se refuse à commenter.
Parmi les nombreuses différences de mutation ponctuelle entre le SARS-CoV-2 et le coronavirus RaTG13 de la chauve-souris, seul le site de clivage de la furine (FCS) de 12 nucléotides dépasse 3 nucléotides. Une recherche BLAST a révélé qu'une portion de 19 nucléotides du génome de SARS.Cov2 englobant le site de clivage de la furine est une correspondance complémentaire à 100 % à une séquence propriétaire optimisée au niveau du codon qui est le complément inverse de l'homologue mutS humain (MSH3). La séquence complémentaire inverse présente dans le SARS-CoV-2 peut être aléatoire, mais d'autres possibilités doivent être envisagées. La recombinaison dans un hôte intermédiaire est une explication peu probable. Les virus à ARN simple brin tels que le SARS-CoV-2 utilisent des matrices d'ARN à brin négatif dans les cellules infectées, ce qui pourrait conduire, par recombinaison par choix de copie avec un ARN de SARS-CoV-2 à sens négatif, à l'intégration du brin négatif de MSH3, y compris le FCS, dans le génome viral. Quoi qu'il en soit, la présence d'une longue séquence d'ARN de 19 nucléotides, y compris le FCS, présentant une identité de 100 % avec le complément inverse de l'ARNm MSH3, est très inhabituelle et nécessite des recherches supplémentaires.
De nouveaux soupçons concernant la possibilité que le Covid ait été modifié en laboratoire sont apparus aujourd'hui après que des scientifiques ont découvert du matériel génétique appartenant à Moderna dans la protéine spike du virus.
Ils ont identifié un minuscule bout de code identique à une partie d'un gène breveté par le fabricant de vaccins trois ans avant la pandémie.
Il a été découvert dans le site de clivage unique de la furine du SRAS-CoV-2, la partie qui le rend si efficace pour infecter les gens et qui le sépare des autres coronavirus.
Cette structure a été l'un des points centraux du débat sur l'origine du virus, certains scientifiques affirmant qu'elle ne pouvait pas avoir été acquise naturellement.
L'équipe internationale de chercheurs suggère que le virus a pu muter pour avoir un site de clivage de la furine lors d'expériences sur des cellules humaines en laboratoire.
Ils affirment qu'il y a une chance sur trois milliards que la séquence de Moderna soit apparue au hasard de l'évolution naturelle.
Mais la question de savoir si cette correspondance est aussi rare que le prétend l'étude fait débat, d'autres experts la décrivant comme une coïncidence "bizarre" plutôt que comme une "preuve irréfutable".
Moderna a déposé le brevet en février 2016 dans le cadre de sa division de recherche sur le cancer, selon les dossiers. La séquence brevetée fait partie d'un gène appelé MSH3 qui est connu pour affecter la façon dont les cellules endommagées se réparent dans le corps. Il a été approuvé le 7 mars de l'année suivante
Dans la dernière étude, publiée dans Frontiers in Virology, les chercheurs ont comparé la composition de Covid à des millions de protéines séquencées dans une base de données en ligne.
Le virus est constitué de 30 000 lettres de code génétique qui portent les informations dont il a besoin pour se propager, appelées nucléotides.
C'est le seul coronavirus de ce type à porter 12 lettres uniques qui permettent à sa protéine spike d'être activée par une enzyme commune appelée furine, ce qui lui permet de se propager facilement entre les cellules humaines.
L'analyse du génome original de Covid a révélé que le virus partage une séquence de 19 lettres spécifiques avec une section génétique appartenant à Moderna, qui compte un total de 3 300 nucléotides.
La société pharmaceutique américaine a déposé le brevet en février 2016 dans le cadre de sa division de recherche sur le cancer, selon les dossiers.
La séquence brevetée fait partie d'un gène appelé MSH3 qui est connu pour affecter la façon dont les cellules endommagées se réparent dans le corps.
Les scientifiques ont mis en évidence cette voie comme une cible potentielle pour de nouveaux traitements contre le cancer.
Douze des lettres partagées constituent la structure du site de clivage de la furine de Covid, le reste étant une correspondance avec des nucléotides sur une partie voisine du génome.
Dans leur article, dirigé par le Dr Balamurali Ambati, de l'université de l'Oregon, les chercheurs ont déclaré que le code correspondant pourrait avoir été introduit à l'origine dans le génome de Covid par des cellules humaines infectées exprimant le gène MSH3.
Le professeur Lawrence Young, virologue à l'université de Warwick, a admis que la dernière découverte était intéressante mais a affirmé qu'elle n'était pas assez significative pour suggérer une manipulation en laboratoire.
Il a déclaré au MailOnline : "Nous parlons d'un très, très, très petit morceau composé de 19 nucléotides.
Pour être franc, cela ne signifie pas grand-chose. Si vous faites ce genre de recherches, vous trouverez toujours des correspondances.
Parfois, ces choses arrivent par hasard, parfois c'est le résultat d'une évolution convergente (lorsque des organismes évoluent indépendamment pour avoir des caractéristiques similaires afin de s'adapter à leur environnement).
C'est une observation originale, mais je ne l'appellerais pas une preuve irréfutable, car elle est trop petite.
Il a ajouté : "Cela ne nous fait pas avancer dans le débat sur la question de savoir si Covid a été fabriqué.
Le Dr Simon Clarke, microbiologiste à l'Université de Reading, s'est demandé si la découverte était aussi rare que le prétend l'étude.
Il a déclaré au MailOnline : " Il ne peut y avoir qu'un certain nombre de [combinaisons génétiques dans] les sites de clivage de la furine.
Ils fonctionnent comme une serrure et une clé dans la cellule, et les deux ne s'assemblent que dans un nombre limité de combinaisons.
C'est donc une coïncidence intéressante, mais c'est sûrement une coïncidence totale".
MailOnline a contacté Moderna pour un commentaire.
Des preuves circonstancielles ont longtemps soulevé des questions sur l'origine de Covid et son lien avec l'Institut de virologie de Wuhan.
Cet établissement était connu pour mener des expériences sur des souches de coronavirus de chauve-souris similaires à celle responsable de la pandémie.
La Chine a insisté très tôt et très souvent sur le fait que le virus ne s'était pas échappé du laboratoire, affirmant que le passage à l'homme avait dû se produire dans un "marché humide" de Wuhan qui vendait des animaux vivants.
Peut-être poussés par l'animosité envers le président américain de l'époque, Donald Trump, qui a très tôt adhéré à la théorie de la fuite du laboratoire, les médias grand public et les universitaires occidentaux ont dédaigné cette possibilité, la qualifiant de théorie du complot déséquilibrée.
Mais des courriels ayant fait l'objet d'une fuite ont montré que des scientifiques de haut niveau conseillant les gouvernements britannique et américain avaient exprimé en privé leurs préoccupations quant au récit officiel.
Sir Jeremy Farrar, un éminent expert britannique qui a publiquement dénoncé la théorie de la "conspiration", a admis dans un courriel privé en février 2020 qu'une "explication probable" était que le virus était d'origine humaine.
Le conseiller du gouvernement britannique de l'époque avait déclaré qu'il était "70:30 ou 60:40" en faveur d'une diffusion accidentelle par rapport à une origine naturelle.
Dans le courriel, envoyé aux responsables américains de la santé, les docteurs Anthony Fauci et Francis Collins, Sir Jeremy affirmait qu'il était possible que le Covid ait évolué en laboratoire à partir d'un virus de type Sars.
Il a ajouté que ce processus apparemment bénin pouvait avoir "accidentellement créé un virus prêt à se transmettre rapidement entre humains".
Mais le scientifique britannique s'est vu opposer une fin de non-recevoir par ses homologues américains, qui ont prévenu que la poursuite du débat sur les origines du virus pourrait nuire à "l'harmonie internationale".
Dernier rebondissement en date, une étude réalisée au début du mois a trouvé des traces d'échantillons de Covid contenant du matériel génétique provenant d'humains, de hamsters et de singes et qui pourraient être antérieurs à la chronologie officielle de la pandémie.
QU'EST-CE QUE LE SITE DE CLIVAGE DE LA FURINE ?
Le SRAS-CoV-2, qui est à l'origine du Covid, porte toutes les informations nécessaires à sa propagation dans environ 30 000 lettres du code génétique, appelé ARN.
Mais il est le seul coronavirus de ce type à porter 12 lettres uniques qui lui permettent d'être activé par une enzyme commune appelée furine.
Cela permet au virus d'envahir plus facilement les cellules voisines.
Le site de clivage de la furine est situé sur la protéine spike du virus, la structure qui se lie aux cellules humaines en premier lieu.
Les scientifiques ajoutent parfois cet élément aux virus de laboratoire pour les rendre plus infectieux, mais dans la nature, les agents pathogènes peuvent l'acquérir en échangeant leur code génétique avec d'autres membres de leur famille.
La furine a été le point central de l'intrigue de nombreux scientifiques étudiant les origines du virus, car aucun autre membre connu de la famille de Covid - un groupe appelé Sarbecovirus - ne possède ce site.
La chronologie officielle de la pandémie de coronavirus en Chine et les preuves qui la mettent à mal
Chronologie officielle
8 décembre 2019 - Date la plus ancienne à laquelle la Chine a reconnu une infection.
31 décembre - La Chine signale pour la première fois à l'Organisation mondiale de la santé une " pneumonie de cause inconnue ".
1er janvier 2020 - Fermeture du marché des fruits de mer de Wuhan pour désinfection.
7 janvier - Le président Xi Jinping discute de l'épidémie de coronavirus avec son Politburo.
9 janvier - La Chine rend public le génome du coronavirus
11 janvier - La Chine signale son premier décès
13 janvier - Le premier cas hors de Chine est confirmé
20 janvier - La Commission nationale de la santé de la Chine confirme la transmission interhumaine.
23 janvier - Fermeture de Wuhan
31 janvier - L'OMS déclare une " flambée épidémique de portée internationale ", la Chine admettant avoir des milliers de cas.
23 février - L'Italie signale des cas groupés, première flambée importante en Occident.
29 mai - La Chine affirme que le virus n'est pas né sur les marchés mais dans les chauves-souris chinoises avant de passer à l'homme via un " animal intermédiaire ".
31 juillet - Un chercheur chinois admet que certaines expériences sur le coronavirus ont été menées dans des laboratoires de moindre sécurité biologique.
16 décembre - L'OMS annonce qu'elle se rendra à Wuhan pour étudier les origines du virus en janvier.
5 janv. 2021 - La Chine refuse l'entrée à l'équipe d'enquêteurs de l'OMS
9 février - L'OMS rejette la théorie selon laquelle le virus a fui d'un laboratoire et soutient l'affirmation de la Chine selon laquelle il a été importé à partir de viande congelée.
28 mars - Selon un ancien responsable de la sécurité nationale des États-Unis, les renseignements montrent que Pékin a donné l'ordre direct de détruire tous les échantillons de virus au laboratoire de Wuhan.
Nouvelles preuves
2012 : Six mineurs sont atteints d'un mystérieux syndrome grippal dans la grotte de Mojiang, dans le Yunnan.
Il s'avère qu'ils ont été infectés par le plus proche parent connu de Covid, partageant 97 % de ses gènes.
Les échantillons RATG13 sont envoyés à l'Institut de virologie de Wuhan pour être étudiés.
Sep 2019- Des échantillons de sang sont prélevés dans le cadre d'un essai de dépistage du cancer du poumon en Italie, qui sont ensuite testés positifs pour le coronavirus.
Oct - Le lanceur d'alerte Wei Jingsheng affirme que la Chine a délibérément propagé le Covid lors des Jeux militaires mondiaux à Wuhan en octobre, deux mois avant que le reste du monde ne soit au courant du virus.
Oct - Le régime autoritaire de Xi Jinping a tenté désespérément de faire taire les dénonciateurs comme M. Jingsheng. Toute référence à un nouveau virus du SRAS ou à une "épidémie" dans les médias sociaux est censurée.
Oct-Déc - Augmentation des cas de "grippe et de pneumonie" dans le nord de l'Italie, qui pourraient être liés au coronavirus.
Nov - Le dénonciateur M. Jingsheng affirme qu'il a fait part de ses inquiétudes concernant les jeux militaires à de hauts responsables de l'administration Trump, mais qu'il a été ignoré.
Nov - Un rapport de renseignement transmis aux agences de Washington affirme que trois membres du personnel de l'Institut de virologie de Wuhan ont demandé un traitement hospitalier en novembre 2019 après avoir présenté des symptômes correspondant au Covid.
Nov - Des échantillons d'eaux usées prélevés à Florianópolis, au Brésil, suggèrent la présence du virus.
10 novembre - Une femme milanaise subit une biopsie de la peau, produisant un échantillon qui montrera plus tard des signes du virus.
17 novembre - Des documents ayant fait l'objet d'une fuite suggèrent qu'un cas a été détecté en Chine à cette date.
Décembre - Des médecins chinois, dont Li Wenliang, signalent l'existence d'un nouveau type d'infection respiratoire. Mais la police chinoise l'arrête, ainsi que huit de ses collègues, pour les interroger, au lieu de publier les rapports et d'avertir le public.
1er décembre - Des chercheurs chinois signalent une infection à cette date dans une étude évaluée par des pairs, mais Pékin ne l'a pas reconnue.
18 décembre - Des échantillons d'eaux usées prélevés à Milan et à Turin suggèrent que le virus circule dans ces villes.
26 décembre - Des échantillons analysés suggèrent qu'un nouveau type de SRAS circule dès le 26 décembre, mais la ville de Wuhan n'est pas fermée avant le 22 janvier.
2020 janvier - Des échantillons d'eaux usées prélevés à Barcelone suggèrent que le virus était présent dans la ville.
3 janvier - Les infections au virus Covid-19 commencent à se propager dans d'autres pays, y compris les États-Unis, alors que l'OMS qualifie l'épidémie d'urgence de santé publique de portée internationale.
Mai - Des scientifiques d'un laboratoire gouvernemental en Californie concluent que le Covid-19 pourrait s'être échappé d'une installation à Wuhan.
Juillet - Le chef de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, déclare que la Chine n'a pas partagé des données brutes essentielles au cours de son enquête à Wuhan. La Chine a réfuté ces affirmations.
Juin 2021 : Des courriels rendus publics révèlent que le Dr Anthony Fauci, grand spécialiste américain des virus, a été averti que Covid avait peut-être été fabriqué en laboratoire.
Août : Le Dr Peter Embarek, chef de l'OMS, déclare que le premier patient au monde atteint du virus Covid-19 pourrait avoir été infecté par une chauve-souris alors qu'il travaillait pour un laboratoire de Wuhan, en Chine.
Août : Un rapport accablant rédigé par des républicains américains affirme que le coronavirus s'est échappé de l'Institut de virologie de Wuhan, peu après que l'établissement a tenté d'améliorer la sécurité de l'air et les systèmes de traitement des déchets.
Le rapport cite également de " nombreuses preuves " que les scientifiques du laboratoire travaillent à modifier les coronavirus pour infecter les humains et que cette manipulation peut être dissimulée.
Octobre : L'enquête des services de renseignement américains sur les origines de la pandémie ne permet pas de déterminer si le virus est apparu par transmission de l'animal à l'homme ou par une fuite en laboratoire.
Les responsables chinois ont qualifié le rapport de "politique et faux".
Janvier 2022 : Des fuites de courriels du scientifique britannique Sir Jeremy Farrar montrent qu'il a admis en février 2020 que l'origine humaine du virus était une "explication probable". Mais il a ensuite qualifié cette théorie de "conspirationniste".
Février : Sir Farrar est appelé à être interrogé sous serment au Congrès américain. Les autorités veulent qu'il explique pourquoi il s'est détourné de la théorie de la fuite en laboratoire.
Quelle est la position de l’OMS sur l’usage du matériel végétal d’Artemisia pour la prévention ou le traitement du paludisme et/ou de la COVID-19 ?
Les traitements antipaludiques les plus largement utilisés, les combinaisons thérapeutiques à base d’artémisinine (ACT), sont produits en utilisant le principe actif, l’artémisinine, extrait de la plante Artemisia annua. Certaines informations ont circulé, suggérant que des produits à base de matériel végétal d’Artemisia ou des extraits de celui-ci (infusions ou produits d’herboristerie en comprimés, par exemple) pourraient avoir un effet préventif ou curatif à l’égard de la COVID-19.
Toutefois, les données in vitro disponibles laissent entendre que les composés purifiés d'artémisinine ou les produits ou extraits de la plante A.annua, ne présentent pas un effet significatif contre la COVID-19 aux concentrations qui seraient sans risque chez l'être humain. Par conséquent, les données actuellement disponibles ne peuvent légitimer l'utilisation de l'artémisinine ou des produits ou extraits d'A. annua comme antiviral pour lutter contre la COVID-19.
L’OMS appelle à une extrême prudence vis-à-vis de ces informations vantant l’efficacité de tels produits. Comme l’OMS l’a expliqué dans une note d'information, il n’existe pas de données scientifiques probantes pour appuyer l’utilisation de formes non pharmaceutiques d’Artemisia pour la prévention ou le traitement du paludisme. Les données ne permettent pas non plus d’avancer que la COVID-19 peut être évitée ou traitée par des produits fabriqués à partir de la plante Artemisia.