170 liens privés
Rapport de la Commission d'enquête spéciale (SIC)
La Commission d'enquête spéciale (SIC) a remis son rapport à Althingi le 12 avril 2010. La Commission a été créée par la loi n° 142/2008 par Althingi, le Parlement islandais, en décembre 2008, afin d'enquêter et d'analyser les processus ayant conduit à l'effondrement des trois principales banques en Islande. Les membres de la Commission sont M. Páll Hreinsson, juge de la Cour suprême, M. Tryggvi Gunnarsson, médiateur parlementaire de l'Islande, et Mme Sigríður Benediktsdóttir Ph.D., maître de conférences et chaire associée à l'Université de Yale, aux États-Unis.
KynningEnsku.pdf
Effet de levier des propriétaires des banques
La Commission d'enquête spéciale est d'avis que les propriétaires des trois grandes banques ont eu un accès anormalement facile aux prêts dans ces banques, apparemment en leur qualité de propriétaires.
Les plus grands débiteurs de Glitnir, Kaupthing Bank et Landsbanki étaient les principaux propriétaires des banques.
- Cela soulève la question de savoir si les prêts sont accordés en toute indépendance.
- À bien des égards, les opérations des banques ont été caractérisées par la maximisation du bénéfice des actionnaires majoritaires, qui tenaient les rênes des banques, plutôt que par la gestion de banques fiables en tenant compte des intérêts de tous les actionnaires et en faisant preuve de responsabilité envers les créanciers.
- Fin 2007 et en 2008, les banques ont commencé à connaître des problèmes de financement. Il semble que les frontières entre les intérêts des banques et ceux des actionnaires étaient souvent floues et que les banques ont mis l'accent sur le soutien de leurs propriétaires plus que ce qui peut être considéré comme acceptable.
- L'examen des investissements réalisés par les fonds du marché monétaire gérés par les sociétés de gestion des trois banques révèle que leurs principaux investissements comprenaient des titres et des dépôts liés aux plus grands propriétaires de la banque. Ces décisions d'investissement ne peuvent pas avoir été déterminées par la seule coïncidence.
RNAvefKafli2Enska.pdf
Chap 2.
Lorsque Landsbanki s'est effondrée, Björgólfur Thor Björgólfsson et les sociétés qui lui sont affiliées étaient les principaux débiteurs de la banque.
Björgólfur Guðmundsson était le troisième plus grand débiteur de la banque. Au total, leurs obligations envers la banque s'élevaient à bien plus de 200 milliards ISK. Ce montant était supérieur aux fonds propres du groupe Landsbanki.
M. Thor Björgólfsson était également le principal actionnaire de Straumur- Burðarás et le président du conseil d'administration de cette banque.
M. Björgólfur Thor Björgólfsson et M. Björgólfur Guðmundsson figuraient tous deux, avec des parties affiliées, parmi les principaux débiteurs de la banque et constituaient ensemble le principal groupe d'emprunteurs de la banque.
si malgré nos 92% d'adultes vaccinés et 65% des plus de 70 ans triple-vaccinés, il existe encore un risque de saturation hospitalière temporaire, la solution est peut-être d'accepter cette saturation - et à moyen-terme, d'armer l'hôpital pour y faire fac - plutôt que de confiner tous les hivers et de faire souffrir perpétuellement des enfants.
En mars 2021, un papier publié dans Nature par Bauer, Brugger et König démontre que 98,3% des décès en Europe et aux États-Unis concernent les plus de 40 ans et que le taux de mortalité du Cocid-19 augmente exponentiellement. Constat que les données de mortalité françaises semblent confirmer puisqu'au premier janvier 2021, les plus de 80 ans (6,3% de la population) représentaient 74,9% des décès, tandis que les plus de 90 ans (1,4% de la population) en représentaient 32%. On peut énoncer deux répercussions statistiques contre-intuitives de cette augmentation exponentielle du risque avec l'âge.
1) Le taux de mortalité en cas d'infection au Covid-19 est pour la très grande majorité de la population inférieur au taux de mortalité moyen du Covid-19.
2) Le Covid-19 peut être en moyenne bien plus létal que la grippe tout en étant moins létal que celle-ci pour plus de 50% de la population.
Ce n'est donc pas parce que le Covid-19 pose un problème d'ordre collectif plus grave que la grippe qu'il est pour les enfants plus dangereux que la grippe - raisonnement théorique confirmé par les données.
extrait des demandes:
Par cette lettre, je vous demande de reconsidérer urgemment les points suivants en regard des connaissances scientifiques énoncées ci-dessus afin de redéfinir avec vos partenaires une vraie politique sanitaire visant à une sortie de crise rapide dans le respect de nos valeurs démocratiques :
• Définir une utilisation appropriée des vaccins actuellement sur le marché en Suisse, dans le respect du choix de chaque citoyen.
• Évaluer la balance bénéfice/risque de ces vaccins pour chaque tranche d’âge par des experts indépendants et en informer le public.
• Considérer l’achat de vaccins traditionnels conférant une immunité plus large que celle basée sur l’unique protéine spike.
• Réviser la stratégie consistant en l’absence de soin avant l’hospitalisation, survenant souvent plus de 10 jours après le début des symptômes.
• Mettre en place des lignes directrices de traitements précoces pour les médecins généralistes afin de lutter contre l’engorgement des hôpitaux.
• Mettre en place des mesures de prévention pharmaceutique complémentaires aux vaccins, potentiellement utile pour les cas contacts ou lors de forte circulation virale.
• Informer le public des options pharmaceutiques complémentaires à la vaccination.
• Sécuriser les lieux à hauts risques de contamination.
• Mettre en place une politique sanitaire protégeant les personnes à risque.
• Abandonner les mesures sociales expérimentales discriminatoires.
• Donner les moyens aux hôpitaux de pouvoir s’adapter face à un éventuel afflux de patients en cas de nouvelle vague épidémique en automne 2022.