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Bienvenue sur la documentation Open Data de MétéoSuisse.
A partir du 22 mai 2025, MétéoSuisse rend progressivement ses données accessibles en tant qu'Open Government Data (OGD). Les données disponibles peuvent être téléchargées manuellement ou obtenues automatiquement sous forme de fichiers.
Nous commençons par
- A – Données de mesures au sol
- C – Données climatiques : Séries de mesures homogènes
- E – Données de prévision : Modèle numérique de prévision météorologique ICON-CH1/2-EPS
D'autres jeux de données seront publiés dans les mois suivants. Le trimestre prévu pour chaque ensemble de données sera annoncé sur notre page d'accueil Open Data.
Nous travaillons également à permettre l'accès à certaines données par des requêtes API individuelles. Toutefois, cette option ne sera pas disponible avant 2026.
Anciennement : https://github.com/MeteoSwiss/publication-opendata
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57:05
Grock pour d'ailleurs c'est ce que dit Fabrice épboin donc lui il dit carrément grog va courcircuiter les médias parce que comme il a accès au micro dépêche
57:12
que sont les les posts sur X et pas les autres ia
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d'après xavia Albert le patron de France Soir c'était
57:18
une des raisons pour lesquelles Musk avait vite changé le nom de domaine twitter.com parce que'il y avait des accès
57:24
privilégiés pour exploiter les données de X de Twitter quand c'était twitter.com il y avait plein d'accès et Musk pouvait pas les auditer tous alors que changer le nom de domaine à x.com ça facilitait la coupure des ponts avec tous les parasites qui exploitaient ces données.
et on l'a vu sur la question des likes hein les fameux likes que par exemple c'est ce que c'est ce que Thierry Breton a retenu contre contre Twitter il a dit vous n'ouvrez pas vos données aux organisations non lucratives de l'Union européenne qui sont en fait des des trucs du type l'Institute for strategic dialogue
La question de savoir qui est "responsable" ou "à blâmer" pour le changement climatique fait l'objet d'une lutte incessante. Cela conduit souvent à des débats sur la question de savoir qui doit prendre des mesures pour lutter contre ce phénomène.
Mais il n'existe pas de mesure unique qui permette de déterminer la répartition des émissions de CO2 dans le monde, aujourd'hui ou dans le passé.
Nous pouvons comparer les émissions totales des pays chaque année. Mais cela ne tient pas compte de la taille de la population ; on s'attendrait à ce qu'un pays plus peuplé ait des émissions plus élevées. Même dans ce cas, les comparaisons des émissions totales ou par habitant aujourd'hui ne tiennent pas compte des contributions historiques. Certains pays qui ont aujourd'hui des émissions relativement faibles ont eu des émissions élevées pendant des siècles.
Ces mesures nous disent des choses différentes.
Pour que les gens puissent discuter en toute connaissance de cause de la complexité des émissions mondiales, nous les mettons toutes à disposition sur Notre monde en données. Vous pouvez les explorer plus en détail dans notre Explorateur de données sur les émissions de gaz à effet de serre.
Mais ici, je vais également donner un aperçu rapide des principales mesures.
Émissions de CO2 par habitant
Les émissions nationales annuelles ne tiennent pas compte de la taille de la population. Toutes choses étant égales par ailleurs, on peut s'attendre à ce qu'un pays plus peuplé ait des émissions plus élevées.
Les émissions par personne sont souvent considérées comme un moyen de comparaison plus équitable. Historiquement - et c'est encore le cas aujourd'hui dans les pays à revenu faible ou moyen - les émissions de CO2 et les revenus ont été étroitement liés. Cela signifie que de faibles émissions par habitant ont été un indicateur de faibles revenus et de niveaux de pauvreté élevés.
Les pays à fortes émissions par habitant - qui sont généralement beaucoup plus riches - doivent donc réduire rapidement leurs émissions afin de laisser aux pays plus pauvres la possibilité de se développer. De nombreux pays riches y parviennent (mais pas assez rapidement).
Comme vous pouvez le voir sur la carte, il existe de grandes inégalités dans les émissions par personne dans le monde.
Combien de lits d'hôpitaux la Suisse compte-t-elle en comparaison internationale? - SWI swissinfo.ch
De nombreux pays ont réduit le nombre de lits d’hôpitaux au cours des dernières années. Une stratégie qui pourrait constituer un problème pour faire face à la crise du coronavirus. Quelle est la situation en Suisse?
Ce contenu a été publié le 06 avril 2020 - 16:42 06 avril 2020 - 16:42
Jonas Glatthard
Partout dans le monde, les infrastructures de santé sont mises sous pression par la pandémie. La Suisse est l'un des pays où le nombre de cas confirmés de Covid-19 est le plus élevé par rapport au nombre d'habitants. Les hôpitaux sont donc confrontés à un défi majeur. Comme le montre le graphique ci-dessous, le nombre de lits d'hôpitaux disponibles pour les soins aigus, c'est-à-dire les soins généraux et chirurgicaux, la gynécologie, la néonatologie et la pédiatrie, est en baisse constante depuis plusieurs années.
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L'une des raisons de cette tendance est que le nombre total de lits dans ce secteur diminue légèrement chaque année. D'autre part, la population résidente en constante augmentation en Suisse joue un rôle important: bien que le nombre absolu de lits reste inchangé, il y a de moins en moins de lits disponibles pour chaque résident.
La Suisse suit la tendance internationale à la baisse
La Suisse n’est pas la seule à suivre cette tendance: les lits d’hôpitaux par rapport au nombre d’habitants diminuent dans toute l’Europe. On constate le même phénomène sur les autres continents, avec quelques exceptions. L'exemple le plus frappant est celui de la Corée du Sud, qui dispose aujourd'hui de beaucoup plus de lits en soins aigus qu'il y a dix ans.
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Si l'on examine les derniers chiffres disponibles pour les pays de l'OCDE, la Suisse se situe à un niveau similaire à celui de l'Estonie, de la Grèce ou du Luxembourg. Le Japon et la Corée du Sud ont une capacité considérablement plus élevée. Leurs hôpitaux disposent de plus de deux fois plus de lits par habitant.
Contenu externe
Nombre de lits dans les unités de soins intensifs
De nombreuses questions tournent actuellement autour de la capacité des unités de soins intensifs. Ces données sont plus difficiles à obtenir et les chiffres varient probablement beaucoup en fonction de la situation. Néanmoins, en 2012, un groupe de scientifiques a essayé de rassembler ces chiffres pour l'Europe.
Selon cette étude datant de 2012, le nombre de lits en soins intensifs en Suisse était légèrement inférieur à la moyenne européenne. Mais ces chiffres ont certainement changé depuis lors.
Toujours moins de lits d'hôpitaux en Suisse
Nombre de lits d'hôpitaux suisses dans les centres de soins aigus et de naissance pour 100'000 habitants.
Jahr,Betten_ht
2010,311
2011,301
2012,297
2013,289
2014,285
2015,280
2016,277
2017,276
2018,270
Tendance internationale à la baisse
Lits en soins aigus pour 100'000 habitants, pays sélectionnés
https://data.oecd.org/healtheqt/hospital-beds.htm
Année,Autriche,Suisse,Allemagne,Espagne,France,Italie,Japon,Corée du Sud
2010,616,390,615,249,346,303,809,641
2011,610,379,625,243,343,293,801,677
2012,600,373,624,238,339,284,799,700
2013,587,366,621,236,334,275,796,706
2014,578,362,618,237,327,265,788,729
2015,565,358,611,241,321,264,785,702
2016,555,349,606,239,315,262,782,710
2017,545,356,602,243,309,262,779,714
Cellebrite est présente aux États-Unis en fournissant notamment le FBI depuis 2009, ainsi que d’autres services comme le Secret Service, la DEA et le service des douanes et de la protection des frontières4. L’Union américaine pour les libertés civiles (ACLU) fait valoir à plusieurs occasions que l’utilisation des outils comme ceux de Cellebrite devrait être encadrée et limitée au cadre d’enquêtes en cours (comme c’est le cas pour les investigations sur des ordinateurs personnels), et non systématique9,10.
La fuite de données de 2017 révèle parmi les utilisateurs de Cellebrite la présence de la police turque, des ministères de l’intérieur du Bahreïn et des Émirats Arabes Unis6. Dans le cas du Bahreïn, il est avéré que les logiciels Cellebrite ont servi contre des opposants politiques comme Abdali al-Singace11.
En 2017 également, elle est utilisée par la junte birmane contre deux journalistes qui enquêtaient sur les exaction contre la minorité musulmane Rohingya selon des documents versés au dossiers de leur avocats12.
En Europe, les autorités allemandes utilisent Cellebrite ainsi que des produits concurrents13, tout comme leurs homologues autrichiens14. Certains pays comme l’Allemagne et l’Autriche, le Danemark, le Royaume-Uni et la Norvège utilisent massivement Cellebrite sur les téléphones de migrants et de demandeurs d’asile pour tenter de mieux comprendre leur passé et leurs intentions15.
En juin 2019, la France achète pour sept millions d’euros d’équipement à l’entreprise, afin d’équiper les services de police, de gendarmerie ou des douanes16. Les outils fournis sont testés sur des cas précis, comme le G7 de Biarritz, avant d’être déployés partout en France16.
Fin de la comptabilisation des cas de grippe en 2020, car trop proche du coronavirus,....
"C'est pourquoi, les rapports sur la grippe seront interrompus avec effet immédiat. "
Remarque concernant l'interprétation des données
La pandémie actuelle de COVID-19 influence la collecte des données relatives aux affections grippales. Les symptômes du COVID-19 étant similaires à ceux d'une infection à influenza, il est possible que la statistique Sentinella des affections grippales inclut des cas de COVID-19. De plus, la situation actuelle peut influencer le comportement de consultation médicale des personnes malades. Cela doit être pris en considération lors de l'interprétation des données. Pour ces raisons, les données sont de moins en moins représentatives pour influenza. C'est pourquoi, les rapports sur la grippe seront interrompus avec effet immédiat. Des données sur les cas de COVID-19 rapportés par le système de surveillance Sentinella seront publiées dans le 'Rapport sur la situation épidémiologique' disponible sur le site Internet de l'OFSP.
Semaine 11/2020 (état de données 17.03.2020)
La propagation des affections grippales en Suisse est actuellement largement répandue. Durant la semaine 11, 146 médecins du système de surveillance Sentinella ont rapporté 25,6 cas d'affections grippales pour 1000 consultations. Extrapolé à l'ensemble de la population, ce taux correspond à une incidence de 199 consultations dues à une affection grippale pour 100 000 habitants, avec une tendance constante. Le seuil épidémique saisonnier de 69 cas d'affections grippales pour 100 000 habitants est dépassé depuis la semaine 2 (Figure 1).
Figure 1: Nombre de consultations hebdomadaires dues à une affection grippale, extrapolé pour 100 000 habitants
Déclarations de suspicion d'influenza Données pour toute la Suisse
Données par région de Sentinella
L'incidence était la plus élevée dans la classe d'âge des 15 à 29 ans. La tendance était ascendante chez les persones âgées de 15 à 64 ans et descendante chez les autres (Tableau 1). La propagation de la grippe variait selon les régions. La tendance était descendante dans les régions 1, 2, et 3 et ascendante ailleurs (Figure 2, Encadré). Comme expliqué précédemment, cette augmentation est probablement un effet de la pandémie actuelle de COVID-19.