239 liens privés
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Grock pour d'ailleurs c'est ce que dit Fabrice épboin donc lui il dit carrément grog va courcircuiter les médias parce que comme il a accès au micro dépêche
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que sont les les posts sur X et pas les autres ia
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d'après xavia Albert le patron de France Soir c'était
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une des raisons pour lesquelles Musk avait vite changé le nom de domaine twitter.com parce que'il y avait des accès
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privilégiés pour exploiter les données de X de Twitter quand c'était twitter.com il y avait plein d'accès et Musk pouvait pas les auditer tous alors que changer le nom de domaine à x.com ça facilitait la coupure des ponts avec tous les parasites qui exploitaient ces données.
et on l'a vu sur la question des likes hein les fameux likes que par exemple c'est ce que c'est ce que Thierry Breton a retenu contre contre Twitter il a dit vous n'ouvrez pas vos données aux organisations non lucratives de l'Union européenne qui sont en fait des des trucs du type l'Institute for strategic dialogue
Nouvelles exigences concernant le TCF de l'IAB
Les éditeurs devront s'assurer qu'ils collaborent avec une plate-forme de gestion du consentement (CMP, Consent Management Platform) certifiée par Google pour diffuser des annonces auprès des utilisateurs de l'Espace économique européen (EEE) ou du Royaume-Uni. Les CMP certifiées par Google sont évaluées par Google selon les critères de certification Google axés sur la conformité avec le TCF.
Calendrier
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À partir de mai 2023 : Google a entamé le processus de certification des CMP qui collaborent avec nos éditeurs partenaires. Google collaborera avec les CMP pour les certifier sur la base des critères de certification.
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À compter du 16 janvier 2024, en plus de nos Règles relatives au consentement de l'utilisateur dans l'UE, les éditeurs et les développeurs qui ont recours à Google AdSense, Ad Manager ou AdMob devront utiliser une plate-forme de gestion du consentement (CMP) certifiée par Google qui intègre le Transparency and Consent Framework (TCF) de l'IAB pour diffuser des annonces auprès des utilisateurs de l'Espace économique européen (EEE) ou du Royaume-Uni. Nous vous communiquerons ultérieurement plus d'informations sur les délais.
-À partir du 1er février 2024 : les nouvelles exigences concernant les CMP entreront en vigueur pour les partenaires qui utilisent nos produits d'annonces sur le Réseau de Recherche destinés aux éditeurs (AdSense pour les recherches, AdSense pour les domaines ou Programmable Search Engine). Pour en savoir plus, consultez les Exigences concernant la gestion du consentement pour les éditeurs d'annonces sur le Réseau de Recherche (APR/APD/ProSE) ci-dessus ainsi que cette annonce.
La future loi sur la protection des données divise les experts
ANOUCH SEYDTAGHIA
TECHNOLOGIE Mercredi, le Conseil fédéral a tranché: la future loi sur la protection des données entrera en vigueur le 1er septembre 2023. Trois experts analysent d'un oeil critique le texte de la législation à venir, moins contraignant que le RGPD européen
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Cette fois, c'est officiel: c'est le 1er septembre 2023 qu'entrera en vigueur la nouvelle loi sur la protection des données. C'est donc dans un an que la Suisse sera dotée d'une législation modernisée. Esquissée par les autorités en mars, la date de septembre 2023 a été définitivement validée par le Conseil fédéral mercredi, qui en a profité pour faire quelques adaptations à la suite d'une procédure de consultation. Des experts, contactés par Le Temps, jugent sévèrement ce texte.
D'abord, le contexte. La loi actuellement en vigueur date de... 1992. Il aura donc fallu attendre trente et un ans pour sa révision. Sa mise en route date de 2011, mais le parlement ne l'a adoptée qu'en septembre 2020. Depuis, le Conseil fédéral n'a eu de cesse de dire qu'il fallait laisser du temps aux entreprises pour s'adapter au nouveau cadre. Il leur reste donc encore un an.
Nouvelles obligations
Les nouveautés sont nombreuses. « La loi prévoit de nouvelles obligations pour la personne responsable du traitement des données, comme une obligation de notification en cas de violation de sécurité, et introduit des principes de protection des données par défaut et dès la conception, concepts qui n'étaient pas présents dans l'ancienne loi », résume Juliette Ancelle, avocate spécialisée dans la propriété intellectuelle et la technologie.
Les entreprises suisses seront concernées de près. « Elles devront allouer davantage de moyens à la protection des données, pour recenser les données qu'elles traitent, comprendre les flux de données, s'assurer qu'elles sont en mesure de respecter les droits des personnes concernées. Elles devront aussi documenter tous les traitements et les transferts des données à l'étranger et assurer la sécurité de leurs systèmes de traitement », poursuit Juliette Ancelle. L'experte prévient: « C'est une activité qui prend beaucoup de temps et qui requiert un certain degré de spécialisation, ce qui peut vite représenter un coût important pour des PME. L'ordonnance semble alléger certaines obligations pour ces dernières (notamment l'obligation de tenir un registre des données), mais cela ne signifie pas qu'elles n'auront aucune mesure à adopter. »
Paul-Olivier Dehaye, directeur de Hestia.ai, la société qui gère le projet HestiaLabs, spécialisée dans les données, estime qu' « une mise à jour complète de la connaissance dans ces domaines et un changement de nombreuses pratiques sont plus que jamais nécessaires et urgents pour les entreprises n'ayant pas encore entamé cette démarche » . Son collègue chez Hestia.ai Yann Heurtaux avertit: avec la nouvelle loi, « le risque lié à la sous-traitance de services numériques pour les entreprises qui souhaitent être exemplaires augmente fortement » . Yann Heurtaux estime qu'il faut par exemple « cartographier tous les outils numériques internes et externes de son entreprise, et tenir cette cartographie à jour », mais aussi renoncer aux services tiers en infraction avec l'esprit et la lettre de la loi, pour préférer des acteurs locaux (suisses ou européens). « Et enfin cesser définitivement la collecte de certaines données sensibles, pour s'en tenir à la frugalité la plus stricte », conclut le spécialiste.
La future loi suisse a souvent été décrite comme une sorte de version allégée du RGPD européen. Que pensent les experts? « Cette nouvelle loi reprend de nombreux concepts du RGPD, jusque dans la terminologie, et l'objectif est d'ailleurs une compatibilité avec ce dernier. La différence principale réside dans le régime de mise en oeuvre et les sanctions en cas de non-conformité, la nouvelle loi suisse ne prévoyant par exemple pas des amendes en pourcentage du chiffre d'affaires global, comme c'est le cas du RGPD », répond Juliette Ancelle. En Suisse, l'amende maximale sera de 250 000 francs contre un individu au sein d'une entreprise, mais pas contre celle-ci.
Davantage de protection
Pour Paul-Olivier Dehaye, « c'est un RGPD avorté. Un simulacre d'obligations essayant de copier le RGPD, mais ne procurant pas le minimum essentiel pour assurer une base de confiance et essayer de construire une nouvelle économie de la donnée. »
De son côté, Juliette Ancelle estime que « par rapport à la loi actuelle, les internautes suisses bénéficieront d'un régime légal plus favorable, avec des nouveaux droits, un régime de droit d'accès à leurs données facilité, une plus grande transparence en cas de cyberattaques, etc. La question se posera toutefois de savoir si cela est suffisant et si une loi nationale, visant uniquement la protection des données personnelles, est un outil adéquat à l'ère du big data et de la globalisation des échanges de données »
« Vu les nouvelles obligations, la loi pourra vite représenter un coût important pour des PME »
JULIETTE ANCELLE, AVOCATE
« C'est un simulacre d'obligations essayant de copier le RGPD mais ne procurant pas le minimum »
PAUL-OLIVIER DEHAYE, DIRECTEUR DE HESTIA.AI
Fin de la comptabilisation des cas de grippe en 2020, car trop proche du coronavirus,....
"C'est pourquoi, les rapports sur la grippe seront interrompus avec effet immédiat. "
Remarque concernant l'interprétation des données
La pandémie actuelle de COVID-19 influence la collecte des données relatives aux affections grippales. Les symptômes du COVID-19 étant similaires à ceux d'une infection à influenza, il est possible que la statistique Sentinella des affections grippales inclut des cas de COVID-19. De plus, la situation actuelle peut influencer le comportement de consultation médicale des personnes malades. Cela doit être pris en considération lors de l'interprétation des données. Pour ces raisons, les données sont de moins en moins représentatives pour influenza. C'est pourquoi, les rapports sur la grippe seront interrompus avec effet immédiat. Des données sur les cas de COVID-19 rapportés par le système de surveillance Sentinella seront publiées dans le 'Rapport sur la situation épidémiologique' disponible sur le site Internet de l'OFSP.
Semaine 11/2020 (état de données 17.03.2020)
La propagation des affections grippales en Suisse est actuellement largement répandue. Durant la semaine 11, 146 médecins du système de surveillance Sentinella ont rapporté 25,6 cas d'affections grippales pour 1000 consultations. Extrapolé à l'ensemble de la population, ce taux correspond à une incidence de 199 consultations dues à une affection grippale pour 100 000 habitants, avec une tendance constante. Le seuil épidémique saisonnier de 69 cas d'affections grippales pour 100 000 habitants est dépassé depuis la semaine 2 (Figure 1).
Figure 1: Nombre de consultations hebdomadaires dues à une affection grippale, extrapolé pour 100 000 habitants
Déclarations de suspicion d'influenza Données pour toute la Suisse
Données par région de Sentinella
L'incidence était la plus élevée dans la classe d'âge des 15 à 29 ans. La tendance était ascendante chez les persones âgées de 15 à 64 ans et descendante chez les autres (Tableau 1). La propagation de la grippe variait selon les régions. La tendance était descendante dans les régions 1, 2, et 3 et ascendante ailleurs (Figure 2, Encadré). Comme expliqué précédemment, cette augmentation est probablement un effet de la pandémie actuelle de COVID-19.
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