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Je fais le point sur le rôle de la vapeur d'eau dans le changement climatique. Qu'est-ce qui fixe le contenu en vapeur d'eau dans l'atmosphère ? La vapeur d'eau peut-elle causer un changement climatique ? Peut-elle agir sur les changements climatiques sans être une cause ? Son rôle est-il étudié par les climatologues ? Est-ce que les émissions de vapeur d'eau par les sociétés humaines ont une influence sur le climat ?
0:00 • Introduction
0:34 • Quelques bases physiques sur la vapeur d'eau
3:17 • Limite à la quantité de vapeur d'eau dans une masse d'air
9:05 • Vapeur d'eau et changements climatiques
11:33 • L'effet amplificateur de la vapeur d'eau
17:06 • Pourquoi on n'en parle pas ?
18:42 • Pourquoi la vapeur d'eau n'est pas étudiée ?
20:05 • Est-ce que nos émissions de vapeur d'eau affectent le climat ?
25:35 • Conclusion
27:00 • Outro
Précisions:
J'ai volontairement évité le terme de "boucle de rétroaction". Ce terme est très peu utilisé dans la littérature scientifique (on trouve plutôt "rétroaction climatique" dans les rapports du GIEC par exemple). Ce terme (et sa représentation cyclique) induit, à mon avis, pas mal de mécompréhensions sur le fonctionnement de la machine climatique. Je pense que parler d'amplification pour décrire le rôle de la vapeur d'eau induit moins de mécompréhensions.
12:38 La quantification des rétroactions est basée sur les estimations centrales du tableau 7.10 du chapitre 7 (AR6, GTI). J'ai fait le choix de ne pas présenter les forçages mais la part dans un réchauffement d'1°C parce que je pense ça plus clair. C'est aussi par simplicité que je n'ai pas représenter les incertitudes. La rétroaction négative "Planck" donne le forçage nécessaire par °C à l'équilibre du système Terre. En soustrayant les rétroactions données, on obtient la quantité nécessaire de forçage pour augmenter d'1°C la température globale à l'équilibre. Ces notions n'ont rien d'intuitives et rejoignent d'autres sujets complexes (forçage radiatif, rétroaction, sensibilité climatique... etc) détaillés dans le chapitre 7.
17:57 Comme indiqué, j'ai fait l'hypothèse que la part d'amplification était la même que pour le système à l'équilibre. Cette hypothèse est discutable. C'est possible que l'amplification du réchauffement climatique en cours soit inférieur à celle observée dans la situation d'équilibre puisqu'une partie des rétroactions (changement d'albédo des sols) est lente. Mais, cette amplification est très probablement supérieure à 2 vu le rôle de la vapeur d'eau...
https://lereveilleur.com/rechauffement-climatique-le-role-de-la-vapeur-deau/
https://docs.google.com/document/d/1pO4hQkeKDPeYwHOXVOgbXqcmBH6oEu4374r5pz1OHVQ/edit
Voici un être assez exceptionnel.
C'est l'inventeur de la technologie de capture et stockage de carbone la plus efficace à ce jour.
Il est aussi à l'origine de procédés innovants de stockage de l'eau et de restauration des sols et contribue activement à préserver la biodiversité.
Doté d'un esprit de coopération inédit, il n'hésite pas à offrir une partie de ses ressources à ses voisins dans le besoin et héberge gratuitement tous ceux qui le sollicitent.
Enfin, il n’a de cesse de partager ses connaissances en transmettant des informations précieuses à l’immense réseau auquel il est connecté.
Plus que jamais, nous devrions donc lui être reconnaissant pour toutes ses œuvres.
PS : et sinon le Monsieur juste devant lui, c'est Bill Gates.
Via Alexis Treilhes
HELIO WATER : https://www.heliowater.fr/
Il y a quelques jours, le 22 mars exactement, nous avons fêté la journée mondiale de l’eau.
Si vous l’avez ratée, il est encore temps, alors bonne fête l’eau !
Evidemment, entre l’escalade dans le conflit russo-ukrainien, la chute des valeurs bancaires, l’inflation et les mouvements sociaux qui ont agité l’actualité ces dernières semaines, l’évènement est passé un peu inaperçu et personne ne vous en voudra, mais c’est très dommage, car quel enjeu plus crucial, quel sujet plus important que celui de notre source vitale, l’eau, au centre de toutes les attentions en ce début de printemps ?
L’hiver est terminé, la crise énergétique a été surmontée, il est temps de s’occuper de la suite et l’urgence maintenant, à l’aube d’une nouvelle saison agricole, c’est le problème de l’eau.
L’eau ne devrait jamais être un problème, mais dans la pratique, les choses sont différentes quand il y en a trop au même moment au même endroit, ou au contraire pas assez pendant trop longtemps, et ce genre de phénomène a tendance à se produire de plus en plus souvent, chaque fois plus intensément.
Pour sa fête le 22 mars dernier, l’eau a reçu de bien mauvaises nouvelles sur son état de santé.
Le World Water Report publié par l’Unesco cette année n’annonce ni plus ni moins qu’une crise de plus, la crise mondiale de l’eau.
Non contents d’avoir réussi à bouleverser notre climat et dégradé notre environnement avec nos activités incessantes, nous avons vampirisé nos sources, goutte après goutte, et bouleversé le cycle de l’eau celui qui nous maintenait en vie jusqu’à maintenant.
Les conséquences se font déjà sentir partout dans le monde, y compris en Europe, et même en France.
Heureusement, nous en avons pris conscience, nous savons que la situation est délicate, et que si on ne fait rien, c’est la vie de milliards de personnes qui est menacée, oui, oui, des milliards.
Je me suis basée sur le rapport de l’Unesco pour faire un point rapide sur la situation hydrique, et je n’ai pas l’intention d’utiliser des euphémismes pour minimiser la gravité des faits : il y a urgence, on s’en doutait, maintenant on le sait.
On va avoir soif.
Signe d'Eau : Cancer, Scorpion, Poissons
Signe d'Air : Gémeaux, Balance, Verseau
Signe de Feu : Bélier, Lion, Sagittaire
Signe de Terre : Taureau, Vierge, Capricorne
Pompe biotique
Les flux de vapeur se meuvent sous l’influence d’un jeu de changements de pression complexes entre l’océan Atlantique et la forêt, mécanisme nommé «pompe biotique» par les scientifiques. On pourrait le résumer comme suit: en s’échappant des feuilles, la vapeur d’eau monte en altitude jusqu’à environ 4000 mètres, où le froid provoque sa condensation sous forme liquide. Cette disparition d’une grande quantité de gaz raréfie l’air. Un tel déficit de pression aspire l’air au niveau du sol. C’est alors que le phénomène se répète au sol: l’air se raréfie, la pression baisse, ce qui attire de l’air, cette fois en provenance de l’océan. Fraîche et humide, cette bouffée marine entraîne d’importantes précipitations.
Que les arbres pompent d’importantes masses d’air frais n’a que récemment été mis en évidence par les scientifiques dans plusieurs articles. Ce phénomène aurait une importance cruciale pour les écosystèmes locaux: on estime en effet que dans les zones forestières continentales de l’Amazonie, jusqu’à 70% des précipitations proviennent de la forêt, et non directement de l’océan.
Découvertes il y a une vingtaine d’années, les immenses masses de vapeur d’eau qui survolent l’Amazonie, baptisées "rivières volantes", fascinent les chercheurs. Leur devenir pourrait être intimement lié à l’évolution du climat.
Poumon vert de la planète avec ses centaines de milliards d’arbres interconnectés, la forêt amazonienne est aussi, on le sait moins, un "océan vert" : depuis les racines des arbres jusqu’à la canopée, elle concentre la plus grande réserve d'eau douce de la Terre. Car la région sud-américaine est survolée par de gigantesques flux de vapeur d’eau, surnommées "rivières volantes", qui suscitent depuis une vingtaine d’années la curiosité des chercheurs. Inventeur du terme, le scientifique brésilien Antonio Donato Nobre a consacré sa carrière à étudier leur mécanisme, et à élucider le rôle complexe joué par la forêt dans le climat mondial. Deux grandes questions orientent ses recherches : pourquoi ne trouve-t-on pas de déserts sur le continent sud-américain, une exception à ces latitudes ? Et pourquoi les vents venus de l'hémisphère Nord parviennent-ils à traverser l'Équateur, qui sur le reste du globe agit comme un mur infranchissable ? Pour y répondre, le professeur Nobre s'est intéressé à la théorie récente de la "pompe biotique", selon laquelle les forêts, en créant une pression atmosphérique faible, déplacent l'air humide à l'intérieur des terres et aident à générer des précipitations. Autant de découvertes qui obligent à réécrire quelques chapitres des manuels scientifiques…
Énigmes géographiques
De la jungle amazonienne aux forêts boréales d’Europe du Nord, et jusqu’aux plus grands laboratoires et centres de recherche, ce film soulève de passionnantes énigmes géographiques pour révéler le fonctionnement de ces mystérieuses "rivières volantes" d’Amazonie, dont l'influence pourrait s’avérer majeure sur le climat mondial. Un argument supplémentaire pour préserver d’urgence cette région exceptionnelle, menacée par la déforestation.
Une nouvelle hypothèse suggère que le couvert forestier joue un rôle beaucoup plus important que prévu dans la détermination des précipitations. Elle explique comment les régions forestières génèrent des flux de vapeur d'eau atmosphérique à grande échelle. Selon cette hypothèse, les fortes précipitations qui se produisent à l'intérieur des continents, comme dans les bassins de l'Amazone et du Congo, ne sont dues qu'à une couverture forestière quasi ininterrompue de l'intérieur des terres à la côte. Le mécanisme sous-jacent met l'accent sur le rôle de l'évaporation et de la condensation dans la création de différences de pression atmosphérique et explique plusieurs phénomènes négligés par les modèles existants. Il suggère que la perte de forêts, même localisée, peut parfois faire basculer un continent humide dans des conditions arides. Si elle résiste à un examen approfondi, cette hypothèse transformera notre vision de la disparition des forêts, du changement climatique, de l'hydrologie et des services environnementaux. Elle offre de nouvelles pistes de recherche en macroécologie et en écologie du paysage, en hydrologie, en restauration des forêts et en paléoclimats. Elle fournit également une nouvelle motivation convaincante pour la conservation des forêts.
À l'aide d'une solide base de données sur les précipitations mondiales, nous analysons la distribution des précipitations saisonnières de la côte à l'intérieur des principales régions forestières du monde. Nous constatons que le fonctionnement actif des forêts boréales en été est associé à un transport intense d'humidité de l'océan vers la terre, qui diminue en hiver lorsque le fonctionnement de la forêt est minimal. Ce changement saisonnier se manifeste par une modification de la longueur de l'échelle exponentielle de la distribution des précipitations, qui dépasse 15 × 103 km en été mais diminue à (3-4) × 103 km en hiver. Dans les forêts pluviales équatoriales, qui sont photosynthétiquement actives tout au long de l'année, les précipitations annuelles restent à peu près constantes, tandis que le coefficient de variation des précipitations mensuelles diminue considérablement vers l'intérieur du continent. Les précipitations sur les forêts pendant les périodes de fonctionnement actif des forêts sont toujours plus élevées que sur l'océan adjacent. De tels modèles de précipitations soutiennent le concept de pompe biotique selon lequel la couverture forestière stimule le transport de l'humidité atmosphérique de l'océan vers la terre à l'échelle continentale.
Allez en ce jour de Pâques, voici des conseils pour mener à la résurrection de notre monde.
Voici les 7 cycles de l'eau. (non y'en a pas qu'un comme on te l'a appris à l'école..)
Cultiver de l'eau permet de résoudre quasi tous les problèmes du monde. Donc ça vaut la peine de creuser le sujet.
En vidéo....
https://www.youtube.com/watch?v=ZhtQ89NzOjs
C'est là que tu apprends que la limace fait partie du cycle de l'eau !!! .. on sait enfin à quoi elle sert...
... et les champignons tout comme les arbres sont le coeur du système de gestion de l'eau: synthèse, purification, stockage, transport en mode souterrain et en mode aérien avec les rivières volantes.
Pour la version écrite c'est ici:
https://interculturelles.org/wp-content/uploads/2022/07/Comprendre-les-cycles-hydrologiques-et-cultiver-l-eau-v1-WEB.pdf
C'est là qu'on apprends par exemple que selon une étude dans les forêts suisses, 15 à 30% de l'eau de source vient de la photosynthèse. Donc les arbres créent de l'eau.
Alors que 90% de l'évaporation de l'eau de mer qui devient de la pluie retombe sur la mer.
=> Pour l'eau de source, l'eau issue de la photosynthèse (et de la décomposition du bois) est plus importante que l'eau issue de l'évaporation des mers. (le cycle classique expliqué à l'école)
Conclusion: couper un arbre, c'est scier la branche sur laquelle on est assis !
... et là c'est le drame.
Car les Chinois est les Russes, (pays les plus souvent critiqués dans les médias occidentaux) ont décidé de ne plus exporter de bois. Ils protègent leur forêt comme ressources stratégique, et pour lutter contre la désertification.
Depuis 2017 la Chine a mis une interdiction d'exploitation commerciale du bois des forêts naturelles chinoises. Soit 2/3 des forêts de Chine. (138 millions d'hectares).
La Russie a commencé en 2021 a restreindre ses exportations, puis en 2022, en réponses aux sanctions qui lui ont été imposées, a cessé l'exportation de bois brut.
Contrecoup de tout ça... la déforestation augmente massivement en France.... la patrie du chêne.
C'est un saccage.
Quand on pense que Colbert, le ministre du roi Louis XIV, au 17ème siècle, à planté des milliers de chênes pour assurer les ressources nécessaires à la marine du XXème siècle !! ça c'est une vision à long terme.
Ironie du sort... aujourd'hui 2/3 du bois coupé en France – trop souvent illégalement – part en chine... sur des bateaux en acier..
Donc la France qui est déjà en guerre de l'eau – il y a littéralement des guérillas autour des méga bassines, manifestants contre policiers en armure et quads – se crée encore plus de problèmes..... la désertification guette !!
(voir les vidéos en commentaires ci-dessous)
Quand je vois le bétonnage qui se fait, l'urbanisation galopante, ça me rend triste. Je pige pas qu'on puisse imaginer et réaliser des cours d'école, esplanade de stade ou de musées sous forme de gigantesques zone de désert goudronné...
Après faut pas s'étonner que la température grimpe... Il parait que c'est le réchauffement climatique du au CO2.... faut payer la taxe carbone ça va tour régler !.... heu... avant ça faut cesser de détruire les arbres qui nous rafraichissent et fournissent de l'eau pour les remplacer par un désert qui augmente l'évaporation de l'eau...
Je le rappelle, la vapeur d'eau est le principal gaz à effet de serre... bien avant le Co2 !! (et le GIEC ne l'utilise pas dans ses équation... il y songe depuis que l'institut Pierre-Simon Laplace l'a fait...)
Bref.. On reste sur le positif, la solution à tout (ou presque) c'est simple et abordable: plante des arbres !
Cultive de l'eau !
Jean-Marc Hauth nous explique le cycle de l'eau en 7 minutes, pourquoi et comment favoriser une meilleure infiltration de l'eau dans les sous-sols, avant de vouloir la remonter par des pompages/forages
l'eau est repoussée par un aimant !
Conditions des eaux souterraines et de l'humidité du sol issues de l'assimilation des données GRACE-FO pour les États-Unis contigus et les terres du globe
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De la chaux.
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Après avoir explique de quelle utilité pouvaient être les différentes espèces de sable, il faut maintenant nous occuper de la chaux, et voir si elle doit être faite avec des pierres blanches ou des cailloux. Celle qu'on fait avec une pierre dure et compacte est bonne pour la maçonnerie ; celle que fournit une pierre spongieuse vaut mieux pour les enduits. Quand la chaux sera éteinte, il faudra la mêler avec le sable : si c'est du sable fossile, dans la proportion de trois parties de sable et d'une de chaux ; si c'est du sable de rivière ou de mer, dans la proportion de deux parties de sable sur une de chaux : c'est là la juste proportion de leur mélange. Si au sable de rivière ou de mer on voulait ajouter une troisième partie de tuileaux pilés et sassés, on obtiendrait un mélange d'un usage encore meilleur.
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Pourquoi la chaux, en se mêlant à l'eau et au sable, donne-t-elle à la maçonnerie tant de solidité ? En voici, je crois, la raison. Les pierres, comme tous les autres corps, sont composées des éléments ; celles qui contiennent ou plus d'air, ou plus d'eau, ou plus de terre, ou plus de feu, sont ou plus légères, ou plus molles, ou plus dures, ou plus fragiles. Remarquons que si des pierres, avant d'être cuites, ont été pilées et mêlées à du sable, puis employées dans une construction, elles ne prennent aucune consistance et ne peuvent en lier la maçonnerie ; mais que si, jetées dans un four, elles viennent à perdre leur première solidité par l'action violente du feu auquel elles sont soumises, alors, par suite de cette chaleur qui en consume la force, elles se remplissent d'une infinité de petits trous. Ainsi l'humidité répandue dans ces pierres ayant été absorbée, et l'air qu'elles contenaient s'étant retiré, ne renfermant plus alors que la chaleur qui y reste cachée, qu'on vienne à les plonger dans l'eau avant que cette chaleur ne soit dissipée, elles reprennent leur force : l'eau qui y pénètre de tous côtés produit une ébullition ; puis le refroidissement fait sortir de la chaux la chaleur qui s'y trouvait.
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Voilà pourquoi le poids des pierres à chaux, au moment où on les jette dans le four, ne peut plus être le même quand on les en retire : si on les pèse après la cuisson, on les trouvera, bien qu'elles aient conservé le même volume, diminuées environ de la troisième partie de leur poids. Ainsi, grâce à tous ces trous, à tous ces pores, elles se mêlent promptement au sable, y adhèrent fortement, s'attachent en séchant aux moellons, et donnent à la maçonnerie une grande solidité.
- De la pouzzolane.
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Il existe une espèce de poudre à laquelle la nature a donné une propriété admirable. Elle se trouve au pays de Baïes et dans les terres des municipes qui entourent le mont Vésuve. Mêlée avec la chaux et le moellon, non seulement elle donne de la solidité aux édifices ordinaires, mais encore les môles qu'elle sert à construire dans la mer acquièrent sous l'eau une grande consistance. Voici comment j'en explique la cause. Sous ces montagnes et dans tout ce territoire, il y a un grand nombre de fontaines bouillantes ; elles n'existeraient pas, sil ne se trouvait au fond de la terre de grands feux produits par des masses de soufre, ou d'alun, ou de bitume en incandescence. La vapeur qui s'exhale de ces profonds réservoirs de feu et de flamme, se répandant brûlante par les veines de la terre, la rend légère, et le tuf qui en est produit est aride et spongieux. Ainsi, lorsque ces trois choses que produit de la même manière la violence du feu, viennent par le moyen de l'eau à se mêler et à ne plus faire qu'un seul corps, elles se durcissent promptement ; et prennent une solidité telle, que ni les flots de la mer ni la poussée des eaux ne peuvent les désunir.
https://www.lucistrust.org/fr/the_electric_bridge/electric_tension_and_sacred_space_part_2
Après avoir présenté une vue d'ensemble de la tension électrique et de l'espace sacré, il convient de faire le lien avec les autres thèmes du Pont électrique, en premier lieu le système sanguin cosmique. Ici, des correspondances ont été établies entre l'éther interstellaire et l'eau, notant que l'éther est de l'eau à l'état primordial ; et dans les deux cas, une tension électromagnétique est en jeu sur la base de la géométrie sacrée de l'hexagone.
Le corps humain est composé d'environ deux tiers d'eau en volume. Comme l'eau constitue 90 % du plasma sanguin et qu'elle entoure l'ensemble de l'ADN et des chaînes de protéines du corps, l'eau est le fondement de l'organisme humain. En fait, la molécule d'eau représente 99 % de toutes les molécules du corps humain.
Dans le Dictionnaire de la langue sacrée de toutes les Écritures et de tous les Mythes, il existe un symbole appelé "La robe des eaux" qui représente le vêtement de la Sagesse enveloppant le Soi libéré... Le Soi est considéré comme un centre où tous les rayons de la Vie divine sont concentrés en une Lumière céleste, et autour de la nature divine se trouve le vêtement... de la Vérité [représentée par] l'eau".
Après avoir présenté un aperçu de la tension électrique et de l'espace sacré , il convient de le relier aux autres thèmes du pont électrique, en premier lieu la circulation sanguine cosmique . Ici, des correspondances ont été établies entre l'éther interstellaire et l'eau, notant que l'éther est l'eau dans son état primordial; et dans les deux cas, la tension électromagnétique est en jeu à partir de la géométrie sacrée de l'hexagone.
Le corps humain est composé d'environ deux tiers d'eau en volume. Comme l'eau constitue 90% du plasma sanguin et entoure toutes les chaînes d'ADN et de protéines du corps, l'eau est le fondement de l'organisme humain. En fait, la molécule d'eau représente 99 % de toutes les molécules du corps humain.
Dans le Dictionnaire de la Langue Sacrée de toutes les Écritures et Mythes , il y a un symbole appelé "La Robe des Eaux" qui représente le vêtement de Sagesse enveloppant le Soi libéré… Le Soi est considéré comme un centre où tous les rayons de la Vie Divine est concentrée dans une Lumière Supernale, et autour de la nature Divine se trouve le vêtement… de la Vérité [représentée par] l'eau.
En plus d'être une belle image, ce symbole transmet également la réalité que si la vie d'un organisme se trouve au centre de la forme, à l'extérieur se trouve un «vêtement de vérité» - une robe d'éther qui construit, soutient et informe la manifestation conformément à sa part dans le Plan Divin. Cette robe est composée de deux tissus, l'éther et l'eau, le premier s'interpénétrant dans le second qui fournit alors des informations à toutes les cellules du corps.
La recherche de Gerald Pollack , professeur de bio-ingénierie à l'Université de Washington, est essentielle pour montrer comment il en est ainsi. Lui et son équipe de recherche ont mené de nombreuses expériences sur l'eau afin d'étudier sa tension superficielle élevée. Jusqu'à présent, on pensait qu'il y avait quelques niveaux moléculaires de charge statique à la surface de l'eau, mais cela a toujours semblé insuffisant pour créer une tension de surface telle que des artefacts aussi lourds que des pièces de monnaie puissent y flotter, ou des créatures telles que le bien nommé Jésus. lézard peut le traverser (bien qu'assez rapidement).
http://cp12.nevsepic.com.ua/78-5/1355629406-1145130-www.nevsepic.com.ua.jpg
Mais maintenant, des expériences ont montré qu'à sa surface, l'eau prend un quatrième état. Alors que les autres états sont les familiers glace, eau et vapeur, ce quatrième état a la qualité d'un cristal liquide. C'est une structure semblable à un gel et pas seulement quelques couches moléculaires épaisses, mais quelque chose de beaucoup plus étendu, de l'ordre de deux ou trois millions de couches. Cette eau est une substance visqueuse qui a une structure ordonnée et porte une charge électrique négative. Son énergie et sa capacité de commande proviennent de diverses sources lumineuses telles que le soleil et la lumière infrarouge qui nous entoure. Mais ce qui est particulièrement intéressant, c'est que cette eau absorbe la lumière à 270 nanomètres.
Cette longueur d'onde est la partie ultraviolette du spectre - la lumière ultraviolette étant le pont de communication entre la lumière visible et la lumière invisible des niveaux éthériques du plan physique à partir desquels les corps énergétiques de toutes les formes vivantes sont construits. Les informations du corps éthérique sont transmises à travers un pont de lumière ultraviolette directement dans l'eau qui entoure chaque cellule du corps physique. C'est là que se trouve probablement la véritable source d'information derrière le code génétique et l'ADN.
La façon dont l'eau retient ces informations passe par un état de tension électrique basé sur la géométrie de l'hexagone. Parce que ce quatrième état de l'eau est un cristal liquide, il agit comme un semi-conducteur. Il peut contenir des informations à travers ses structures en forme d'anneau hexagonal - ces structures étant connues pour être associées à l'absorption de la lumière ultraviolette à environ 270 nanomètres.
Gerald Pollack a découvert que ce quatrième état de l'eau est formé de feuilles de ces hexagones superposées comme un nid d'abeilles. De plus, l'angle de chaque feuille se déplace de soixante degrés et lorsque les couches d'hexagones s'empilent, elles créent une structure hélicoïdale formant une robe parfaite pour entourer chaque molécule d'ADN et d'ARN dans le corps.
Décalage vers la droite de la zone d'exclusion
Hélice de zone d'exclusion
C'est ici que se trouve le secret de la mémoire de l'eau qui a intrigué les chercheurs récents comme Jacques Beneviste ainsi que le transfert de l'énergie de la pensée à l'eau comme en témoignent les expériences du Dr Masaru Emoto . L'énergie de la pensée se précipitant à travers les éthers continuerait naturellement à descendre dans l'eau, car comme nous l'avons expliqué ailleurs dans les pages du pont électrique, lorsque vous regardez l'eau - ce liquide transparent, insipide et inodore adaptable avec toutes ses qualités remarquables - vous regardez directement à l'éther dans sa forme la plus dense.
Étant donné que l'eau constitue quatre-vingt-dix pour cent du plasma sanguin, et qu'une grande partie se trouve dans cette quatrième phase d'un cristal liquide chargé électriquement, nous pouvons trouver ici des preuves scientifiques que c'est l'action électrique qui est principalement responsable de la circulation du sang plutôt que de la cœur. Le cœur n'est pas une pompe forçant le sang inerte à se déplacer sous l'effet de la pression, mais le sang est propulsé par son propre élan biologique et s'auto-alimente grâce à un « élan induit » du cœur. 1En 1932, Bremer de Harvard a filmé le sang circulant en spirales dans un très jeune embryon – avant que le cœur ne fonctionne ! Cependant, il a été tellement impressionné par le schéma du flux sanguin en spirale qu'il a ignoré les implications plus larges - que le sang a son propre élan inhérent - le cœur servant à le stimuler avec des impulsions en spirale. 2 Les recherches de scientifiques russes montrent que « le cœur aurait besoin de 10 6 fois la pression pour fonctionner comme une pompe ». Les recherches de Gerald Pollack suggèrent que l'énergie infrarouge rayonnant dans le sang depuis l'environnement aide à conduire la circulation sanguine. Et cette recherche va dans la bonne direction, même si du point de vue de la science ésotérique, la source d'énergie provient principalement des niveaux éthériques.