207 liens privés
Au moment où j’écris ce papier, le rouble a déjà énormément chuté et se négocie à 112 roubles pour un dollar. Encore la semaine dernière, 1 dollar valait 75 roubles, ce qui était déjà beaucoup.
De toute évidence, tant que durera la guerre, Apple ne vendra plus à la Russie. IKEA ferme ses hyper-marchés. Les cartes VISA, MasterCard et autres cartes américaines ne fonctionnent plus. Facebook est coupé à moins d’utiliser un VPN. Twitter suit apparemment la même voix.
Et…
Après tout, c’est peut-être une bonne chose.
Pfizer partenaire de la lutte contre la «désinformation» sur Facebook
Depuis le début de la pandémie de Covid, les utilisateurs du réseau social de Mark Zuckerberg sont nombreux à connaître la censure. Le National Pulse révèle que, parmi les partenaires du géant bleu dans la lutte contre la désinformation, on trouve notamment l’industrie pharmaceutique la plus en vue de ces dernières années.
Début février 2021, Facebook annonçait avoir durci ses règles de modération contre les fake news, afin de soutenir les campagnes de vaccination. Ces renforcements – qui s’appliquent également à Instagram – sont toujours en cours et consistent à supprimer toute information qui mettrait en doute l’innocuité des vaccins.
Les utilisateurs du réseau social sont nombreux à avoir subi des représailles après avoir partagé des contenus jugés «contraires aux règles de la communauté». Celles-ci se matérialisent sous la forme de blocage ou de suppression des publications, de bannissement pour une période donnée, jusqu’à l’exil définitif de la plateforme.
Pour s’aider dans cette tâche, Facebook a conclut des partenariats avec plusieurs organismes censés assurer un fact-checking, dont l’International Center for Journalists (ICFJ). Comme le rapporte le National Pulse, ce dernier est notamment sponsorisé par… Pfizer.
La relation financière de l’ICFJ avec Pfizer remonte au moins à 2008, lorsque le centre s'est associé à la firme pharmaceutique pour un «atelier de formation sur la couverture journalistique des questions de santé» dans toute l'Amérique latine. Pfizer était alors l’unique sponsor de l’atelier, qui contenait également des reportages sur les «maladies cardiovasculaires».
«Les liens financiers découverts entre Pfizer et l'opération de vérification des faits de Facebook font suite à d'autres conflits d'intérêts entre le géant pharmaceutique et des organes d'information, dont Reuters», rapportent nos confrères.
En Suisse aussi, des liens entre médias et industries pharmaceutiques existent. Le Temps et Heidi.news appartiennent désormais à la fondation Aventinus. Laquelle est notamment financée par la fondation Jan Michalski «pilotée par l’éditrice Vera Michalski-Hoffmann qui est aussi une des héritières des fondateurs de la pharma Roche», écrivait l’Agefi en novembre 2020. Quant aux liens de la NZZ avec Novartis, celle-ci se refuse à commenter.
Est-il vrai que Facebook rémunère «le Monde» et «Libération» pour aider à trier les fake news ?
Le réseau social demande en effet à plusieurs médias français de vérifier certains contenus. Un système qui n'empêche pas «Libération» d'écrire des articles de manière critique concernant Facebook.
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Philippe Lachaise
1t7fndSpon hsuormhaeadi ·
LA MONNAIE AUTOGRAPHE
Lors de mon dernier voyage dans le futur proche j’avais oublié de me munir de mon portefeuille. Chagriné de m’en apercevoir, je n’en ai finalement pas eu besoin et cela m’a bien instruit.
Cette fois ci j’allais visiter une petite ville du Morvan, pas loin du clocher qui avait servi de décor à l’affiche de François Mitterrand en 1981. Le clocher avait été raboté sur la photo, car il n’était pas question qu’il dépassât la tête de Tonton, futur Dieu de la France.
Arrivé sur place j’allais droit chez mon brocanteur préféré dont la caverne d’Ali Baba serait sûrement encore là dans ce futur proche. Je maugréais contre mon oubli qui allait me forcer à revenir bredouille mais qu’importe.
C’était ouvert. J’entrais dans cet univers de trésors poussiéreux.
Le tenancier était derrière son comptoir, aussi encombré d’objets que l’ensemble des étagères. Je le saluais.
- Bonjour.
- Bien le bonjour. Ah ben vous n’avez pas mis longtemps à r’venir me voir !
J’étais surpris car je n’étais pas venu depuis des mois. Des mois de mon temps même. J’acquiesçait vaguement et je rentrais dans le royaume de la brocante.
Toujours ennuyé d’avoir les poches vides je parcourais les allées, feuilletant un magasine de L’Illustration qui détaillait le luxe du paquebot Normandie et sentait bon le papier moisi. Je jouais avec un pulvérisateur manuel de Fly-Tox, pareil à celui avec lequel dans mon enfance, à cause des moustiques, ma grand mère empoisonnait tous les soirs l’air de ma chambre en appelant ce nuage infect du flitox.
Soudain je tombais en arrêt devant un étui d’obus sculpté. Un superbe travail de bosselage représentant un femme coiffée d’un chapeau et fumant une cigarette. Sous le fond de l’étui, gravé en rond autour de l’amorce percutée, “Düsseldorf 1917”. Un obus Allemand donc. Combien d’heures avait il passé à ciseler ce chef d’oeuvre au fond de sa tranchée ce Feldgrau anonyme ?
Hors de question de repartir sans cette trouvaille ! Puisque le maître des lieux paraissait bien se souvenir de moi il serait sûrement possible de s’arranger. Je marchais vers le comptoir. - Je veux vous prendre ceci mais j’ai un léger problème, j’ai oublié mon porte monnaie.
- Ah bon. Tenez.
Il me tendait un bout de papier blanc.
Comme je le regardais interloqué il ajouta : - C’est dix.
- C’est dix ?
- Oui c’est dix.
- Mais … dix quoi ?
- Ben c’est dix. Ça vaut dix.
Je fixais le bout de papier qu’il me tendait toujours. Devant mon air de plus en plus ahuri il s’étonna : - C’est y donc que vous avez oublié comment on écrit de la monnaie ?
Comme je plongeais dans une abîme de stupidité manifeste: - Mais d’où c’est y donc que vous venez pour avoir tout oublié ?
À ce moment me revint à l’esprit sa remarque en entrant. Je compris à demi la méprise : - Vous devriez plutôt me demander de quand je viens. je crains que vous n’allez pas me croire cependant.
Son visage s’éclaira et il s’esclaffa : - Crénom de Dieu j’y suis ! Vous m’avez déjà tout expliqué les autres fois sur vos voyages dans le temps. J’avais eu un peu de mal à vous suivre alors, mais maintenant je n’suis plus étonné de rien. Vous venez pour la première fois ici dans votre futur à vous mais vous venez plus tard que les fois précédentes.
Il avait raison. J’avais cafouillé dans mes voyages. En fait j’allais plus exactement cafouiller en venant plus tôt les fois suivantes et … Ah la barbe ! Je voulais cet étui d’obus maintenant !
Il revint de lui même à l’objet de mon désir : - Donc c’est cette fois ci que je dois vous expliquer comment on utilise la monnaie autographe. Allons y donc.
Il prit un air légèrement doctoral qui tranchait avec son personnage habituel : - D’abord il faut que vous sachiez qu’on utilise presque plus votre monnaie des banques. Elle sert toujours pour les salaires, les impôts, les paiement à distances ou les très gros achats, mais sinon on ne s’en sert plus entre nous ni chez les commerçants.
Il tenait toujours son bout de papier blanc. - On a arrêté de se servir pour tout de la monnaie des banques le jour ou ils ont supprimé l’argent liquide. Ils voulaient nous obliger à tout payer avec des cartes, des téléphones et même des saloperies de puces qu’ils voulaient nous coller sous la peau.
- Oui dans mon temps on sent bien venir ce sale coup…
- En plus vous savez quoi ? Une fois qu’il nous avaient retirés nos sous ils prétendaient ne nous en donner que si on disait amen à tout ce qu’ils voulaient. Pas content ? Pas d’argent ! Heureusement que cette fois ci on s’est tous fâchés ensemble.
- Vous … enfin nous les avons vaincus ?
- Oui. Ils ont essayé bien des saletés et des coups fourrés mais on avait le nombre pour nous. Ils ont même bloqué face-de-bouc, cui-cui et le reste mais on s’en moquait bien. Vous pouvez point empêcher des gens qui sont tous d’accord entre eux d’échanger comme ça leur chante.
Il continuait : - Après ça on les a même pas pendus. Vous savez quoi ? Si vous passez en ville vous verrez un gars toujours assis sur le perron de l’église. On l’appelle “t’as pas un milliard” rapport à ce qu’il était la première fortune ne France et p’tet même du monde, j’y sais plus trop bien.
- On a laissé les banquiers corrects continuer à manipuler l’argent pour les gros trucs et pour tous les jours on a pris l’habitude de la monnaie autographe. J’sais plus qui qu’a eu c’t’idée. Paraîtrait qu’c’est un gars qui travaillait dans les ordinateurs avant puis qui y en a eu marre de tous ces trucs plus compliqués qu’on en a besoin.
Réalisant qu’il avait toujours son bout de papier entre le pouce et l’index: - Bon alors allons y. J’vous y montre.
Il m’expliquait presque comme à un enfant : - Voilà comment ça se passe. Moi je vous donne cet objet qui a une valeur à vos yeux. Vous allez donc me donner une preuve que vous tenez cette valeur de moi. Cette valeur ce sera dix si vous êtes d’accord.
- …
- Ah oui. Ça vous surprend. La valeur n’a pas de nom. Dix ou vingt ou cinquante ça suffit, du moment qu’on est d’accord sur le chiffre.
- Et alors, le papier.
Il me le tendit. Je le pris, hésitant. De l’autre mains il me tendit un stylo. - Venons y. Marquez 10 en chiffres bien gros, au beau milieu.
Je m’exécutais en soignant ma calligraphie. - Maintenant vous aller signer à gauche ce billet de dix. Mais attention, pas votre signature habituelle. Quelqu’un pourrait en faire mauvais usage. Il faut vous inventer un signature pour la monnaie que vous créez.
J’improvisais un gribouillage que je pensais pouvoir reproduire ensuite et je lui tendais le nouveau billet. Je m’apprêtais déjà à prendre congé en emportant mon butin. Il m’interrompit : - Nous n’avons pas fini. Ce billet n’existera que lorsque nous l’aurons tous deux signé. Je dois le signer côté droit, voilà. La monnaie que nous venons de créer représente la valeur de ce que vous emportez de chez moi. Nous venons tous les deux de créer dix.
On peut aussi améliorer le billet. En bas on peut mettre la date, l’endroit et l’objet. - “La femme à la cigarette” ?
- Oui, très bien !
Il enchaina: - J’vous avoue qu’il m’a fallu un moment pour comprendre comment c’t’argent q’on fabrique en échangeant de objets ou des services les uns avec les autres peut valoir quelque chose. Il m’a fallu retourner ça dans ma caboche pas mal de fois mais ça a fini par rentrer !
Pendant longtemps il m’semblait qu’était rien que du vent. Mais non c’est pas du vent. C’t’étui d’obus pour vous il vaut dix et ce papier qu’on a fait ensemble il dit que je vous ai donné quelque chose qui valait dix.
Maintenant je peux aller chez le boulanger et prendre pour dix de pain. C’est pas du vent ce papier puisque vous repartez avec un objet. Peut être qu’un jour ce billet de dix reviendra vers vous en échange d’un autre objet ou d’un travail que vous vendrez dix.
Maintenant je voulais vraiment en savoir plus : - Et pour les centimes ?
- Peuh ! On s’embête pas avec ça. C’est rare qu’on descende en dessous de cinq. Un peu plus un fois, un peu moins une autre, au bout du compte on s’y retrouve toujours.
Soudain j’eus un doute : - Mais alors, il est trop facile de faire de la fausse monnaie !
- Mais non. On ne peut pas faire de la fausse monnaie. Soit toute la monnaie est fausse soit elle est toute vraie. Puisque c’est nous tous qui la faisons.
Et rappelez vous qu’il faut être deux pour écrire un billet. Il faut les deux signatures et avoir échangé quelque chose contre la nouvelle monnaie.
Là ça devenait vraiment intéressant :
Bien sur il est toujours possible de tricher mais c’est pas pire qu’autrefois.
Du temps d’où vous venez les gros bonnets et les banques trichaient sur des sommes astronomiques. On fabriquait des milliers de milliards de faux argent pour laisser les riches jouer à la bourse et ça a tenu longtemps.
Il se mit à rire: - D’ici qu’on écrive autant de billets qu’ils on fabriqué des sous électroniques avec leurs ordinateurs. On aura les mains pleines d’ampoules bien avant d’y arriver !
Il ajouta, avec un sourire malicieux : - Bien entendu on ne peut pas écrire un billet d’un milliard. Le plus gros c’est cent. Au dessus personne ne le prendra.
J’avais un nouveau doute : - Mais si je peux toujours créer un nouveau billet et ne jamais rien donner et si tout le monde peut faire pareil, alors on ne produit plus rien.
- C’est vrai, mais vous n’avez peut être pas envie qu’on ne produise plus rien et donc que même en créant des billets vous ne pourrez plus rien avoir. Donc vous ferez en sorte d’en gagner en produisant des choses.
Puis vous n’aurez pas non plus envie d’être connu comme celui qui ne sort jamais un billet de sa poche.
Jusqu’ici ça se tenait mais il restait quelques interrogations : - Et si j’ai besoin d’un outil qui est fabriqué loin ou d’un sac de ciment ou même d’un vélo neuf ?
- Pour ça on utilise encore le viel argent. Comme on l’utilise beaucoup moins qu’avant et qu’on peut presque s’en passer les banques qui ont survécu travaillent correctement. C’est compliqué d’acheter une machine avec de la monnaie autographe, par contre pour des piquets en châtaignier coupés ici et taillés sur place y’a pas de problème.
Plus je comprenais, plus il me venait de questions à l’esprit : - Mais alors, on peut convertir nos billets en viel argent ?
- Non. Ça ne servirait pas à grand chose puisqu’on n’achète pas les mêmes chose avec le viel argent qu’avec la monnaie autographe. Vous pouvez toujours demander à quelqu’un de payer pour vous en viel argent s’il est d’accord et qu’il a besoin d’acheter des choses de tous les jours.
- Mais alors, comment fixe-t-on la valeur des choses ?
- Simple. La monnaie autographe n’est pas convertible, mais pour utiliser nos habitudes on imagine que c’est grosso-modo des euros ou des dollars. On gagne rien en pratique à être plus précis. On ne va plus s’amuser à des bêtises comme 9,99.
J’allais demander comment on faisait pour emprunter mais je réalisais la stupidité de ma question avant d’ouvrir la bouche et posais une autre question : - Et quand les billets autographes sont usés ?
- C’est pas ben compliqué : on trouve une autre personne et, tout en partageant un canon, on recopie et on signe ensemble les nouveaux billets et on brûle les vieux.
J’allais parler des voleurs mais, là aussi, c’était stupide et je me mordis la langue.
Les yeux de mon interlocuteur se mirent à briller : - Donc nous y voilà ! C’était vraiment pas si compliqué et pourtant il nous aura fallu tout ces millénaires de guerres, de rapines, ces rois, empereurs et présidents bandits pour en arriver à vivre en bonne intelligence grâce à des bouts de papier griffonnés ensemble en trinquant !
On aura mis tout ce temps là pour comprendre que si on faisait autant confiance aux autres qu’on se faisait confiance à soi même, on pouvait se débarrasser de tout ce qui nous empêchait de vivre et qui nous forçait à engraisser des vautours.
Le viel argent, cet argent-prison permettait à des gens de connivence avec les rois et les présidents de fabriquer de la monnaie exactement comme on vient de le faire, sans même échanger des objets. Ils l’entouraient de règles très compliqué et en faisaient quelque chose de sacré. Du coup on ne pensait même pas à faire pareil et ils nous tenaient prisonnier avec leur fausse monnaie à eux.
Maintenant je me souviens bien comment ça a basculé.
Avant ça on était tous élevés dans l’idée que tout les autres allaient se mettre à tricher si la monnaie n’était pas sous le contrôle des gardiens du temple. D’ailleurs, à propos de temple, regardez à quoi ressemblaient les bâtiments des bourses d’échange.
Ça marchait bien leur système. Chacun se méfiait de chacun et on continuait à utiliser l’argent-prison parce qu’on avait encore moins confiance en son voisin qu’en la banque.
C’est le jour ou ils nous ont imposé la monnaie tout électronique que ça a basculé. On les voyait venir depuis un moment et la grogne commençait à bien enfler. Tout d’un coup on s’est tous mis à avoir plus confiance en nos voisins qu’en ces institutions. Ils étaient le Diable et on ne pouvait plus trouver pire nulle part.
A ce moment là l’idée des bouts de papier est sortie on ne sait pas d’où et la monnaie autographe s’est répandu partout sans crier gare.
Le temps qu’ils nous inventent des lois pour interdire d’avoir dans nos poches des bouts de papier avec des chiffes dessus, leurs sous à eux ne valaient déjà plus rien. Ils ne pouvaient même plus payer leurs flics et on les a mis dehors vite fait bien fait. - Je peux vous prendre le vaporisateur de flitox, en plus ?
- Bien sûr. On va faire un billet de 5. C’est la plus petite coupure qu’on utilise.
Étourdi et curieusement heureux je finis par prendre congé et m’engageais à pied sur le bord de la route. Le brocanteur me héla : - Ah, dernière chose ! Si vous pouvez r’venir les autres fois dans l’ordre du temps ça sera plus pratique pour qu’on sache où on en est.
- Oui. Promis. À bientôt !
Une de mes trouvailles dans chaque mains je marchais longtemps rêveur et le regard perdu au loin sur le bord de la route. Puis un résolution s’imposa dans mon esprit : - Dès que je rentre en 2020 je laisse tomber l’informatique et je fais connaître aux gens la monnaie autographe !
Philippe Lachaise. 17 mai 2020
Mark Zuckerberg : Si quelqu'un dit que l'hydroxychloroquine est un remède contre le COVID, nous l'éliminerons
Facebook passe outre l'opinion des médecins.
Si vous en avez assez da culture de l'annulation et de la censure, abonnez-vous à Reclaim The Net.
Lors d'une audition de la commission judiciaire de la Chambre des représentants sur la loi antitrust avec les PDG d'Amazon, Apple, Facebook et Google, le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, a déclaré que les posts positionnant l'hydroxychloroquine comme un remède contre les coronavirus seraient supprimés.
"Nous ne voulons pas devenir les arbitres de la vérité. Je pense que ce serait une mauvaise position pour nous et non ce que nous devrions faire", a déclaré Zuckerberg. "Mais en ce qui concerne les allégations spécifiques, si quelqu'un va dire qu'il est prouvé que l'hydroxychloroquine guérit le COVID, alors qu'en fait il n'a pas été prouvé qu'elle guérit le COVID, et que cette déclaration pourrait amener les gens à prendre un médicament qui, dans certains cas, certaines données suggèrent qu'il pourrait être nocif pour les gens, nous pensons que nous devrions le retirer".
Le membre du Congrès Jim Sensenbrenner a défié Zuckerberg et a suggéré qu'il s'agissait d'un "sujet de discussion légitime" et que les patients et leurs médecins devraient décider si l'hydroxychloroquine est le bon médicament :
"Il y a encore un débat sur l'efficacité de l'hydroxychloroquine pour le traitement ou la prévention de la COVID-19 et je pense que c'est un sujet de discussion légitime et qu'il reviendrait au patient et à son médecin de déterminer si l'hydroxychloroquine est le bon médicament, vous savez, compte tenu des circonstances."
Mais M. Zuckerberg a insisté sur le fait que Facebook prendrait la décision finale, indépendamment de l'opinion de certains médecins sur la question, et que la position de sa société est la suivante : "Déclarer qu'il existe un remède prouvé pour COVID alors qu'il n'y en a pas, pourrait encourager quelqu'un à aller prendre quelque chose qui pourrait avoir un effet négatif, donc nous le retirons".
Les commentaires de Zuckerberg surviennent moins de deux jours après qu'une conférence de presse virale mettant en scène plusieurs médecins soutenant l'hydroxychloroquine comme option de traitement des coronavirus ait été censurée par Facebook, YouTube et Twitter.
Le Dr Simone Gold, médecin et avocate certifiée, qui était l'organisatrice principale de la conférence de presse censurée, a déclaré qu'"il y a toujours des points de vue opposés en médecine" et que les options de traitement des coronavirus devraient être débattues et discutées, et non pas censurées et réduites au silence.
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le "vieux" monde des banques n'est pas encore mort.... il est encore assez puissant pour limiter facebook dans son envie de créer une monnaie globale... et "libre"...
Le projet est segmenté en plusieurs branche. Il y a aura donc libra euro... libra dollar... etc...
Une monnaie globale adossée sur un panier ne passait pas....
J'ai déjà toujours trouvé marrant que sur le site web officiel de libra, on voit plein de noirs.... le projet se profile clairement comme était un moyen de paiement destiné à ceux qui n'ont pas de compte en banque.. donc surtout en afrique.
C'est une manière gentille de dire aux banques que le but n'est pas de les remplacer, mais d'être complémentaire..
... et là on voit que les banques ne sont pas naives... et donc elles poussent libra à se cantonner à être une nouvelle version de Western Union plutôt que la nouvelle monnaie mondiale...