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À l’origine le terme « documenteur » fait référence dans la littérature à un métrage de fiction, ou encore un canular, reprenant les codes du documentaire. Internet et l’économie de l’attention ont cependant fait émerger un nouveau type de documenteur. Si leurs motivations peuvent varier, allant du pécuniaire à l’idéologie, leur objectif est d’être utilisé dans le cadre d’une guerre informationnelle à remporter, notamment en éteignant l’esprit critique du spectateur pour susciter un maximum d’adhésion.
Cette publication a pour objectif de permettre le décryptage de ces objets, pour mieux les identifier, mais aussi mettre en évidence une guerre informationnelle. Est proposée une nouvelle terminologie, ainsi qu’une matrice d’analyse constituée de plusieurs critères, déclinés au fil d’un « continuum d’engagement », qui permettra de déterminer, pour un documentaire, si ce dernier est à tendance informative, engagée, sensationnaliste ou documenteur. Trois documentaires à succès ayant été produits dans le cadre de guerres de l’information seront analysés : Loose Change, La Révélation des Pyramides, Hold-Up.
heu,..... là ils vont un peu loin... ils comprennent pas l'humour !!!
Faustine BOULAY, Association de Lutte contre la Désinformation en Histoire, Histoire de l’Art et Archéologie , ALDHHAA.
Faudrait grandir un jour.... Noël.... ça n'a rien à voir avec le père noël...
C'est avant tout la fête du solstice d'hiver. Un mot qui signifie que le soleil s'arrête...
Si tous les jours tu regardes les couchers de soleil, tu verras un décalage vers la gauche... et au solstice, il s'arrête..... enfin presque...... pendant ~3 jours on ne voit plus de différence significative et le soleil repart dans l'autre sens. La durée du jour qui diminuait recommence a augmenter.
On assiste là à la mort du soleil et à sa résurrection après 3 jours.
Ça rappelle pas qq'un ?? ... un certain Jésus....
Ainsi c'est probablement pour ça qu'on fête son anniversaire le 25 décembre....
Bon, c'est aussi par ce que l'empire romain a calqué la religion chrétienne sur la religion du "sol invictus" le soleil invaincu incarné par Mithra.
Donc bref... le père Noël ça ne me parle pas...
La source de l'idée des cadeaux, c'est les rois mages... et non.. c'est pas le père Noël...
https://martouf.ch/2010/01/le-nom-des-rois-mages/
Donc cette vidéo montre bien l'idéologie dominante dans cette "Organisation Mondiale"..... l'infantilisation !
Alexis Favre Merci déjà f'avoir ouvert la brèche médiatique et de parler du sujet des milliards de la BNS. Si le format du débat ne convient pas, alors pouvez vous informer vos collègues d'autres émissions pour aborder le sujet ?
En mai 2018, lors d'un passage au palais fédéral pour voir quelques parlementaires et discuter du sujet de la redistribution du bénéfice de la BNS, j'ai déjà discuté du sujet avec Pietro Bugnon... mais depuis toujours rien dans les médias jusqu'à vous.
Lors de la dernière AG de la BNS j'ai posé une question simple:
- Il y a 2 types de réserve. Une pour la politique monétaire... et une pour la redistribution futures. La BNS éponge les dette avec la redistribution future !!! Pourquoi elle n'utilise pas la réserve pour la politique monétaire pour faire de la politique monétaire ?
→ réponse à côté de la plaque de Jean Studer, alors président du conseil de banque... il n'a pas compris la question. Où plutôt il a tenté de faire une réponse avant que je pose la question avec les mots clés qu'on doit écrire avant de poser publiquement la question.
→ J'ai reposé ma question lors du buffet à Thomas Jordan. Réponse plus claire. La réserve pour la politique monétaire n'a pas le droit de diminuer !!!! ... mais alors à quoi sert une réserve dans laquelle on a pas le droit de piocher dedans !!!????
Une des explications que j'ai à ça, c'est le fait que la réserve correspond à une règle de 8% du PIB... donc si le PIB ne baisse pas.. la réserve ne baisse pas.....
Avec les AAA+ Assemblée des Actionnaires Actifs Positifs ça fait depuis 2015 que nous tentons de comprendre ce qui cloche avec la BNS et sa gestion.
Nous sommes déjà très heureux d'avoir pu faire revivre l'AG qui n'était plus qu'un Buffet.... en 2016 le site web du Matin avait déjà publié le compte rendu de l'AG à 10h01... alors que celle-ci commence à 10h !! .. le soir dans l'émission Forum sur la RTS Blaise Rossellat membre de notre collectif s'est retrouvé dans un débat surréaliste avec un journaliste qui n'avait connaissance que du communiqué de presse de la BNS ne reflétant absolument pas les faits de la journée....
Depuis là nous sommes heureux d'avoir pu susciter l'intérêt des médias. En 2017, nous avons eu à nouveau les médias présent à l'AG. :) Merci.
Les questions des placements non éthiques et non écologiques ont pu être abordée. C'est la partie simple.
Mais il reste encore la question de la création monétaire qui est totalement incomprise de la majorité de la population et des médias. (heureusement l'initiative monnaie pleine à fait avancer les choses)
Mais il reste aussi la question de la redistribution du "bénéfice NET" de la BNS. (selon la constitution)... qui est bafoué dans la loi.... sous forme de 2/3 d'un bénéfice convenu entre le DFF et la BNS... ainsi une convention est plus forte que la constitution !!
Notre collectif AAA+ a interpellé le conseil fédéral via des parlementaires et via des lettres directes... la langue de bois règne... et même les fake news... Alain Berset rencontré après une conférence sur les fakes news a dit n'avoir jamais vu la lettre qu'il a signée...
L'explication détaillée de cette histoire est sur cette page. Il y a aussi l'explication de Jean Studer qui explique qu'en Suisse une loi (et du coup une convention mentionnée dans la loi) est plus forte que la constitution si elle n'a pas été remise en question dans le délai référendaire... Vraiment ?
https://aaapositifs.ch/alain-berset-cree-des-fake-news-a-propos-du-benefice-de-la-banque-nationale-suisse/
Ainsi, le sujet est certes compliqué et technique au premier abord. Mais surtout politique:
Est-ce que le peuple suisse à le droit de choisir sa politique monétaire ?? ... → on dirait pas ! C'est la doctrine des banque centrales indépendantes qui règne... renforcée en 2004 par Kaspar Villiger avant qu'il passe du conseil fédéral au conseil d'Administration d'UBS..
La BNS a bien agit en situation d'urgence avec une politique monétaire pour sauver l'industrie d'exportation. Mais au bout de 11 ans de politique non-conventionnelle, est-ce que l'on ne devrait pas avoir un vrai débat de fond ?
Le système est virtuellement mort. Suivre l'€ et le $ en masse monétaire infinie est absurde... Planifier une transition de système fera moins mal que de la subir avec une crise majeure.
C'est là que seuls les médias peuvent vraiment avoir le poids de lancer le débat et informer le public de la réalité. C'est là que nous comptons sur vous.
Je vous remercie déjà énormément d'oser aborder le sujet. Et j'espère que ce long commentaire vous inspirera pour la suite.
Mon souhait est que l'on puisse rediscuter de la convention entre la BNS et le DFF sur la redistribution du bénéfice car cette convention doit être refaite en 2020.
Mon souhait c'est que le peuple suisse puisse ne pas se faire arnaquer dans l'urgence quand des banques systémiques font faillite... Il est hallucinant que l'on ai de quoi sauver les banques mais pas de quoi faire des politiques environnementales et sociale...
Pourquoi sauver les banques et leur permettre de tout recommencer comme avant..... ne faudrait il pas cesser le chantage au too big to fail... et laisser les banques assumer leur politique irresponsable ?
Pourquoi on évoque aussi rarement le fait que crédit suisse à fait faillite en 2008 et s'est "prêté" à lui même CHF 10 milliards.... ??
Si ça ne pose aucun soucis... alors pourquoi ne pas faire pareil pour d'autres projets ??
Voici le genre de débat de fond sur la politique monétaire que j'aimerai voir dans les médias.
https://aaapositifs.ch/qui-se-souvient-de-la-faillite-du-credit-suisse-en-2008/
Merci de m'avoir lu. Bonne journée
Alexis Favre · c’est vrai. Et dans un monde parfait, nous aurions dû l’aborder. Pourquoi les provisions pour réserves monétaires (70 milliards) n’épongent pas les pertes? La question mérite vraiment d’être posée. Mais nous sommes là dans une discussion d’architecture comptable difficilement compatible avec le format du débat.