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Le Haarp a été construit afin d'étudier les plus hautes strates de l'atmosphère, à savoir le thermosphère et l'ionosphère. L'observatoire utilise un réseau d'antennes phasées, composée de 180 antennes réparties sur 12 à 16 hectares, avec une puissance maximale de 3,6 mégawatts. Du 4 au 8 novembre, plusieurs expériences ont été menées pour créer des luminescences artificielles afin d'étudier les aurores boréales. Les chercheurs ont émis des séries pulsations d'ondes radio à différentes fréquences comprises entre 2,8 et 10 mégahertz.
Les analyses des chercheurs du MIT montrent que ces fragments sont en réalité constitués de diverses formes de carbonate de calcium. Et qu'ils ont été formés à des températures extrêmes. Des indices qui les poussent à penser que les Romains utilisaient de la chaux vive dans leur mélange. À la place ou en plus de la chaux éteinte. Avec deux avantages à la clé : autoriser des réactions chimiques impossibles avec la seule chaux éteinte et permettre une prise du béton et donc des constructions plus rapides.
Une apatite supraconductrice à base de plomb ?
Les chercheurs coréens ont appelé leur possible trouvaille LK-99, les initiales étant celles des noms des deux découvreurs, Lee Seok-bae et le Dr Kim Ji-hoon, les deux chiffres faisant référence à l'année de la découverte (1999). Le nouveau matériau, de formule Pb9Cu(PO4)6O est clairement un phosphate de plomb et de cuivre, on peut même dire que c'est une forme d'apatite à base de plomb.
Des chercheurs britanniques proposent de fabriquer des piles faites de diamants renfermant un cœur de carbone-14 radioactif, un matériau provenant du graphite de centrales nucléaires démantelées. Aucune substance chimique, aucune pièce mobile : juste un cristal de carbone qui génère de l'électricité durant des milliers d'années. C'est donc un générateur bêtavoltaïque. On attend, cependant, de mieux comprendre et de voir au moins un prototype...
Des vaccins qui causent des myofasciites à macrophages ?
Les travaux menés depuis la fin des années 1990 par Romain Gherardi ont permis d'identifier une nouvelle pathologie, la myofasciite à macrophages, une inflammation grave des muscles qui se traduit par des douleurs musculaires et articulaires et une forte fatigue, chez des personnes génétiquement prédisposées.
Les symptômes, étudiés chez 585 adultes, apparaissent en moyenne 11 mois après l'inoculation du vaccin, selon Romain Gherardi. Il estime qu'ils pourraient toucher jusqu'à 5 % de la population, alors même que le nombre de vaccins recommandés ne cesse d'augmenter, avec près de 200 produits en développement.
L'Académie nationale de médecine avait reconnu en juin que de l'aluminium pouvait pénétrer dans le cerveau mais s'était déclarée hostile à tout moratoire, estimant que celui-ci rendrait impossible la majorité des vaccinations alors que des solutions de rechange ne pourraient être prêtes que dans 5 ou 10 ans.
André Cicolella, président du Réseau environnent santé (RES), a dénoncé lundi la « position obscurantiste » des autorités sanitaires qui tendent à « marginaliser les experts ».
« Tant que les agences gouvernementales ne convaincront pas la population que tout est mis en œuvre pour explorer toutes les pistes, tous les signaux d'alarme, la population votera avec ses pieds et ira de moins en moins se faire vacciner » a regretté Romain Gherardi.
Depuis longtemps, les sels d'aluminium sont suspectés d'être cancérigènes pour l'Homme. Une étude récente montre que des cellules de mammifères exposées au chlorure d'aluminium développent des anomalies chromosomiques, comme cela est observé dans certains cancers.
Mécanismes biologiques de l'horloge interne
En effet, différents paramètres, comme la température, la pression artérielle, la vigilance, le métabolisme, varient en fonction de l'heure de la journée. Ces phénomènes cycliques dépendent de l'horloge biologique interne. L'horloge interne est réglée sur une période d'une journée, grâce aux stimuli extérieurs (alternance jour-nuit). La lumière sert à synchroniser l'horloge interne.
Chez les animaux, l'alimentation et le sommeil dépendent du jour et de la nuit. Les migrations, la période de reproduction peuvent dépendre des saisons.
Horloge interne humaine
Des individus placés pendant plusieurs semaines dans des conditions proches de l'obscurité continuent à respecter un rythme de repos et d'activité proche du rythme circadien : celui-ci dépend donc de l'organisme lui-même. Chez l'Homme, c'est l'hypothalamus qui impose le rythme circadien de l'organisme.
[=> perso je trouve que la conclusion est hâtive, la microgravité due la lune est aussi captée quand on est dans une grotte sans lumière. Le cycle n'est donc pas forcément interne. C'est observé chez les plantes.]
Horloge interne humaine déréglée et mélatonine
La lumière peut faire varier la sécrétion d'une hormone, la mélatonine. La sécrétion de mélatonine suit un rythme circadien : elle augmente en fin de journée pour favoriser l'endormissement, et diminue le matin. Pour lutter contre l'insomnie, certains traitements renferment de la mélatonine.
La vie sur Terre fonctionne au rythme de l'alternance jour-nuit, liée à la rotation de notre planète. Les êtres vivants, y compris l'Homme, possèdent une horloge biologique, ou horloge interne, qui leur permet de s'adapter à ce rythme. Mais comment fonctionne-t-elle ? C'est ce champ de recherche qu'ont exploré les trois chercheurs américains lauréats du prix Nobel 2017 de physiologie ou de médecine.
Ces derniers ont utilisé la mouche du vinaigre, ou drosophile, comme organisme modèle. En 1984, ils ont isolé le gène period qui contrôle le rythme biologique circadien. Jeffrey Hall et Michael Rosbash ont mis en évidence la protéine PER, codée par le gène period, qui s'accumule dans la cellule la nuit et est dégradée le jour.
En 1994, Michael Young a découvert un deuxième gène, timeless, qui code la protéine TIM, nécessaire à un rythme circadien normal. Il a aussi montré que TIM se lie à PER ; les deux protéines entrent dans le noyau de la cellule et bloquent l'activité du gène period grâce à un rétrocontrôle négatif.
« L'hypothèse communément admise selon laquelle le volume des océans est resté presque constant au cours de l'évolution géologique doit être réexaminée », assurent Junjie Dong et ses collègues de l'université de Harvard et de Californie.
92 % de la planète recouverte d’eau
Or, à ses débuts, le manteau terrestre avait une température environ 300 degrés supérieure à celle d'aujourd'hui. À de telles températures et niveaux de pression, les modélisations montrent que les minéraux du manteau ont une capacité d'absorption d'eau bien moindre. De plus, au fur et à mesure que la température décroît, l'abondance de ces minéraux augmente dans le manteau, ce qui contribue à accroître encore sa capacité d'absorption. Au total, le manteau terrestre actuel peut stocker 3,18 fois plus d'eau qu'à l'époque primitive en valeur médiane, ont calculé les chercheurs. « Avec une configuration terrestre [taille et hauteur] similaire à celle d'aujourd'hui, les continents auraient été submergés à 92 % », avancent les auteurs (contre 70 % aujourd'hui).
Cela fait presque un siècle que l'on sait que la Terre possède un noyau constitué d'un alliage de fer et de nickel, contenant une graine centrale solide entourée d'une partie liquide. Mais selon de nouvelles analyses des données issues de la sismologie, la graine elle-même aurait une double structure dont on ne comprend pas encore très bien la signification.