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Mme Blanche Merz a écrit plusieurs ouvrages concernant une nouvelle approche de la science avec la spiritualité.
Blanche MERZ nous invite a découvrir une sélection d'une centaine de hauts - lieux cosmo telluriques les plus représentatifs dans toute la Suisse, classés par cantons. Les randonneurs en quête de ces sites pourront également mieux comprendre les préoccupations religieuses de nos ancêtres. Renonçer à un tourisme de consommation pour un tourisme multi - dimensionnel englobant la quête de l'énergie cosmo - tellurique, c'est apprendre à respecter à nouveau la nature et reconnaître les nouvelles valeurs du troisième millénaire.
Un certain nombre de chercheurs, comme les docteurs Hartmann et Curry, comme le physicien Bovis, ont mis en évidence, il y a quelques dizaines d'années, des champs de forces telluriques puis cosmo - telluriques. Ainsi sont nés les réseaux Hartmann, les réseaux Curry, dont les croisements ou "points étoiles" constituent un danger pour les êtres humains qui y séjournent un certain temps, tout comme les eaux souterraines et les cheminées cosmo - telluriques. D'autres travaux ont abouti à la théorie des ondes de forme. Ainsi est née la géobiologie en Occident, prolongement de la radiesthésie ; les chinois connaissaient la science de ces sujets depuis des millénaires, sous le nom de Feng Shui, avec une approche un peu différente.
L'étude géobiologique des lieux sacrés, comme les églises romanes et les cathédrales gothiques, a permis de comprendre les secrets des bâtisseurs d'autrefois. Ainsi, les églises sont bâties sur le croisement de deux rivières souterraines, ou quelquefois sur des galeries qui en tiennent lieu. Normalement, ces endroits sont néfastes. L'art des bâtisseurs était de retourner en positif ces énergies par des ondes de forme, le symbolisme des chapiteaux, les couleurs des vitraux, l'orientation de l'édifice, la présence de statues saintes... Ensuite, cette énergie a été entretenue par les offices répétés, par les prières des fidèles créant des égrégores. A l'intérieur des édifices qui "vivent" spirituellement parlant, les mailles des réseaux sont déformés et reportés près des murs et à l'extérieur. Il a été montré d'autre part que tous les hauts lieux sont situés sur un réseau dit "réseau sacré" reliant entre eux des centres spirituels de la terre entière.
L'énergie de ces lieux ne se livre pas automatiquement, comme celles des mégalithes, des pierres druidiques, des pierres précieuses. Il faut en effet demander à la recevoir, l'accueillir avec la conscience nécessaire, avec une démarche intérieure. Le "parcours énergétique" à l'intérieur d'une église, selon un protocole particulier, quelquefois appelé "chemin de vie", un travail spécifique de "lecture" symbolique de formes et de couleurs des vitraux, peuvent procurer des moments de plénitude, avec toutefois des risques (malaises, sanglots, impossibilité de continuer le parcours) pour des personnes mal préparées ou perturbées. Cela doit être fait avec un guide hautement expérimenté et responsable.
Mme Blanche Merz et la science tellurique Cascad10
L'aspect probablement le plus intéressant de la géobiologie n'est pas son côté pseudo scientifique, mais la manière par laquelle elle a réussi à s'imposer comme étant crédible aux yeux d'une partie de la population. Heureusement, elle ne s'est guère répandue au-delà des frontières de l'Allemagne, de la France et de la Suisse.
En Suisse romande, cette implantation est principalement l'oeuvre d'une seule personne, particulièrement dynamique, Mme Blanche Merz de Chardonne. Décédée en 2002, ses élèves poursuivent son travail à Lausanne. Au travers de leur institut, de quelques publications et surtout d'un grand nombre d'articles de presse, rédigés souvent par des journalistes avec peu d'esprit critique, les courants telluriques apparaissent maintenant comme une réalité pour un grand nombre de personnes.
Mme Merz et une majorité d'autres géobiologistes sont certainement des gens de bonne foi, dans le sens où il s'agit bien ici d'une croyance et non de science. Ils sont eux-mêmes tellement convaincus qu'ils réussissent même à devenir très convaincants. Leurs démonstrations et leurs explications peuvent en effet paraître rigoureuses auprès de gens qui n'ont que peu de connaissances scientifiques.
Quelques géobiologistes utilisent l'échelle dite de Bovis qui est basée sur le mouvement d'un pendule au-dessus d'un graphique gradué. Mais une telle mesure ne peut être considérée comme scientifique car elle dépend de la personne qui manie le pendule.
La Terre est au centre d'un champ vibratoire harmonique formé de 2 forces qui se complètent et s'équilibrent : la force cosmique, provenant du ciel qui vient neutraliser la force tellurique, provenant du centre de la Terre et qui se diffuse dans les premières couches de l'atmosphère. Cette harmonie du champ vibratoire est fragile et peut être perturbée : par exemple, les ondes électromagnétiques, les failles, courants d'eau souterrains, modification du champ géomagnétique, ...
La Terre est comparable à un corps humain et on peut reporter par analogie les méridiens de l'acuponcture chinoise aux méridiens que sont les rayons telluriques. Sur l'homme, ces rayons d'énergie sont appelés chez les orientaux des nadis. Ils sont la contre - partie éthérique des systèmes nerveux. Ainsi notre corps est vitalisé par ces nadis, et la maladie provient souvent d'un déséquilibre des nadis : ceux-ci ne vitalisent plus les organes physiques de notre corps qui tombe malade. Cela implique bien sur que le rééquilibre de nos énergies vitales entraîne un retour à la santé. Nous possédons beaucoup de nadis mais il en est 3 très importants : Sushumna, Ida et Pingala. Ces nadis sont parcourus par une énergie appelée Prana. Lorsque ces nadis se croisent de façon intense, il se forme des centres énergétiques : 7 majeurs où les nadis se croisent 21 fois et 21 mineurs où les nadis se croisent 14 fois. Ces 7 centres majeurs sont appelés Chakras :
- Centre Coccygien, Muladhara, situé à la base de la colonne vertébrale
- Centre Sacré, Svadhistana, situé aux organes sexuels
- Centre Solaire, Manipura, situé au plexus solaire
- Centre Cardiaque, Anahata, situé au niveau du coeur
- Centre Laryngé, Visuddha, au niveau de la thyroïde
- Centre Frontal, Ajna, le 3ème oeil, entre les 2 yeux
- Centre Coronal, Sarasrara, au sommet du crâne
Ainsi la Terre est parcourue de rayons telluriques et possède tout comme l'homme des centres vitaux.
Pour mémo :
Vers la fin de la deuxième guerre mondiale, le docteur Ernst Hartmann mit en évidence un réseau tellurique qui porte depuis son nom : le réseau Hartmann. Ce réseau quadrille la Terre : il se présente comme une structure de murs verticaux invisibles et radioactifs d'une largeur de 21 cm chacun. Ces murs quadrillent le sol en maille de 2m en direction nord/sud et 2,50m en direction est/ouest. Le noeud Hartmann est tout simplement l'endroit où se coupent 2 murs : ce point est généralement géopathogène. L'eau souterraine joue le rôle d'amplificateur du noeud Hartmann. Entre les murs, sur une maille de 2 m sur 2,50 m, nous avons une zone neutre. Ces noeuds ont d'autres particularités : par exemple, 24 heures avant une basse pression, l'émission de rayonnement gamma double sur le noeud et peut même quadrupler sur sol volcanique.
Pour mesurer les taux vibratoires, on utilise le biomètre de Bovis: c'est une sorte de réglette que l'on utilise avec un pendule et qui fut conçue par le physicien Bovis. Elle détermine la valeur en Unité Bovis d'un lieu (UB). Le biomètre nous donne trois dimensions :
• de 0 à 10 000 UB : niveau physique
• de 10 000 à 13 500 UB : niveau du corps éthérique, des nadis et des chakras
• de 13 500 à 18 000 UB : domaine du spirituel, hauts lieux cosmo - telluriques, perceptible seulement dans les plus grands sanctuaires.
Un lieu moyennement équilibré, donc neutre, présente 6 500 UB. En- dessous, le lieu est affaibli et peut devenir nocif. Au dessus de 8 000, le lieu est trop fort pour l'homme : il ne peut y rester trop longtemps sans se déséquilibrer énergétiquement. On peut aussi mesurer la vitalité de l'homme avec le biomètre : à 3 000 UB , l'homme est malade, à 2 000 UB, il est très malade, et à partir de 1 000 UB, il a un pied dans la tombe. Entre 7 000 et 8 000 , il est en pleine forme !
Voici le lien d’un site détracteur et controverse pour les chercheurs en géobiologie qui fourni d’explications rationnelles et cartésiennes :
http://www-sst.unil.ch/musee/geosciences/grands/geologie/geobiologie/index.htm
Un excellent site sur la géobiologie :
http://www.geobiologie-masini.org/index.htm
Le site de l’institut de recherche en géobiologie de Lausanne :
http://www.lieudevie.ch/index.php
Attention : Jelt c’est rendu à l’institut de recherche en géobiologie de Lausanne se situant au château de Chardonne, en Suisse, mais n’a pu rencontrer l’administration de l’institut car l’institut est actuellement fermé, dans ce lieu.
En l'état des connaissances d'aujourd'hui, aucune formation complète n'existe. Dans la majorité des cas les formations existantes comblent leurs ignorances par des notions pseudo - ésotériques. Je vous conseil dans un premier temps d'étudier la géologie et la géophysique.
"La géobiologie étudie l'influence de la terre, du lieu précis sur tout ce qui vit : l'Homme, l'animal, la plante". Blanche Merz.
Le moment est venu de nous pencher sur la géonomie, ou science des mouvements de la Terre. Aussi nommée Gaïa ou Gaéa, elle est une entité possédant un corps phy- sique doté d'un système osseux (les montagnes), sanguin (les mers et les rivières) et nerveux (les courants telluriques).
Cette hypothèse fut lancée il y a une vingtaine d'années par un médecin américain, James Lovelock. Selon lui, notre planète possède sa propre vie.
Cette personnification de la Terre existe dans la majo- rité des traditions. Elle se trouve en plein accord avec la mémoire celto-druidique. La sacralisation des éléments ne pouvant s'admettre qu'en fonction d'un plan d'en- semble dont la Terre-Mère représente un élément clé.
Pour trouver l'origine de ces courants telluriques, il faut fouiller dans les traditions de l'occultisme grec. Bien dissimulées sous un voile de légendes, les informations que nous recherchons figurent sous une forme imagée. Trois cyclopes dénommés Argès, Brontès et Stéropès tra- vaillent nuit et jour dans les forges d'Héphaïstos, ou Vul- cain, sous l'Etna.
Ces trois cyclopes seraient des planétoïdes de matières très denses qui tourneraient en sens inverse de la rotation de la terre. Ces mouvements auraient un effet simi- laire à celui produit par le rotor tournant dans son stator. Cela aurait comme effet d'engendrer des courants qui vont se propager dans la planète entière.
Le plus étonnant dans cette affaire est que l'on ait une idée des masses de ces satellites subterrestres, et que l'on connaisse leurs trajectoires.
Ainsi, Brontès évolue sui- vant une sinusoïde passant sous les îles Hawaï dans le Pacifique pour rejoindre le pôle magnétique Nord, de là il passe sous l'Italie, puis il gagne les parages du pôle magnétique Sud et retourne à Hawaï.
Stéropès croise entre le tropique du Cancer et celui du Capricorne. Il passe lui aussi dans les parages d'Hawaï, puis file sous le Mexique, le milieu de l'Afrique et de l'Indonésie.
L'orbite d'Argès est sensiblement symétrique de celle de Brontès par rapport au tropique du Cancer. Ses prin- cipaux points de passage sont : la Nouvelle-Zélande, la Bolivie, la Côte-d'Ivoire, la Méditerranée, la Sibérie cen- trale et le Japon.
Cette hypothèse de masses erratiques aux trajectoires particulières au sein de la planète peut nous sembler d'autant plus curieuse qu'elle ne figure dans aucun livre d'école. Mais que connaissons-nous de l'intimité de notre planète mère ?
Nous savons que, sous son manteau se cache un océan de fer liquide de deux mille kilomètres d'épaisseur. La température y avoisine les 5 000 oc. Les mouvements du fer en fusion créent un champ électrique. Comme tout champ électrique induit un champ magnétique, il se pro- duit un effet similaire à celui d'un gigantesque aimant qui serait enfoui en son centre. Nous connaissons bien ce champ puisqu'il fait dévier l'aiguille des boussoles.
Mais ceci n'explique ni la présence des satellites vaga- bonds ni leurs curieuses émissions.
Pour mieux connaître les mouvements internes du globe, revenons 4 milliards 550 millions d'années en arrière. Lors de sa formation, la Terre a enfermé en son sein des éléments radioactifs qui continuent à se désintégrer, et à produire de la chaleur.
Les éruptions volcaniques sont des mouvements d'autorégulation calorifique interne. Il se passe donc sous nos pieds des tourbillons à fort potentiel électro- magnétique. Ces flux agissent directement sur la polarité de la planète. On sait ainsi que les pôles s'inversent réguièrement, ce qui s'est produit il y a 780 000 ans.
Rien ne nous interdit donc, a priori, de penser qu'il existe dans le magma des matières hétérogènes se mou- vant suivant des trajectoires particulières. Les raisons de ces déplacements peuvent être d'ordre électromagnétique combinés à des phénomènes de courants. Il en résulterait une variété particulière du champ magnétique terrestre dont nous pouvons dire :
- qu'elle émerge dans certains endroits;
- que nous connaissons ses grands trajets.
Et qu'elle possède des propriétés bien particulières dont l'une des plus remarquables est de favoriser la vie sur la Terre.
Cette énergie se propage sous la surface du globe à la manière des eaux d'un fleuve. C'est pourquoi l'on parle de courant tellurique.