170 liens privés
La latitude de la mecque est à la proportion dorée entre les pôles.
Sur la ligne de solstice de la mecque, les distances orientales et occidentales sont en proportion dorée.
Verset 96 de la sourate 3: la famille d'Al-imran. https://www.le-coran.com/coran-francais-sourate-3-0.html
"La première Maison qui ait été édifiée pour les gens, c'est bien celle de Bakka (la Mecque) bénie et une bonne direction pour l'univers. "
Il y a 47 lettres dans ce verset et l'on arrive à 29 jusqu'au mot "Kaaba" (je suppose que c'est la version arabe. Je vois pas ça en français !)
Martouf le Synthéticien, qui consacre sur son site une très longue vidéo à la Géométrie sacrée, ne donne pas de définition claire [11]. Cette vidéo est d’ailleurs très décevante, car il nous promet de tout nous expliquer, mais ne donne qu’une définition très vague en liant l’étymologie du mot « géomètre » et en reprenant l’idée que le terme de « sacré » est issu de la langue des oiseaux, en l’assimilant avec la locution « ça crée » [12]. Pour lui, c’est donc la géométrie qui est créatrice en elle-même ; cela n’a pas de sens.
Louis XVI, roi de France, a signé le décret d’unification des poids et mesures le 8 mai 1790. Jusqu’à cette date, chaque région utilisait sa propre mesure. L’utilisation de l’étalon « mètre » précède de loin le XVIIIème siècle puisqu’il préside à l’édification des pyramides d’Egypte.
La pensée matérialiste rationaliste a confondu les avantages du système décimal avec le principe géométrique consistant à diviser le cercle d’un jour en quatre parties et chacune d’elles en dix. Le mètre « historique correspond donc bien à un ¼ du 10.000.000e de la circonférence terrestre. La « coudée locale » d’un 40.000.000e de la longueur du parallèle à la latitude égyptienne est donc bien d’une mètre mais à la latitude, par exemple de Naples, la coudée locale mesure 0,745 mètre.
petit précis de géométrie ancienne
Pour toute pré-commande, vous pouvez me contacter à l'adresse : pcoussy at yahoo .com
6/5
La conversion des coordonnées horizontales en coordonnées équatoriales et inversement peut être dérivée des propriétés du triangle sphérique ZNS délimité par le Zénith, le Pôle Nord et le Soleil.
Les angles et côtés du triangle sphérique, mesurés respectivement à la surface et au centre de la sphère céleste, sont donnés par:
ang S = ?; ZN = 90°-φ
ang Z= 180°-a; NS = 90°-δ
ang N = τ; ZS = 90°-h
Nous obtenons, à partir de la géométrie sphérique les trois formules essentielles suivantes:
sin(ang Z)×sin(ZS) = sin(ang N)×sin(NS)
sin(180°-a)×sin(90°-h)=sin(τ)×sin(90°-δ)
sin(a)×cos(h) = sin(τ)×cos(δ) (1)
cos(ZS) = cos(ZN)×cos(NS)+sin(ZN)×sin(NS)×cos(ang N)
cos(90°-h) = cos(90°-φ)×cos(90°-δ)+sin(90°-φ)×sin(90°-δ)×cos(τ)
sin(h) = sin(φ)×sin(δ)+cos(φ)×cos(δ)×cos(τ) (2)
cos(NS) = cos(ZN)×cos(ZS)+sin(ZN)×sin(ZS)×cos(ang Z)
cos(90°- δ) = cos(90°-φ)×cos(90°-h)+sin(90°-φ)×sin(90°-h)×cos(180°-a)
sin(δ) = sin(φ)×sin(h)-cos(φ)×cos(h)×cos(a) (3)
L'article suivant rappelle les calculs de base pour la détermination de la position des astres sur la sphère céleste. Ces éléments permettent, en particulier, d'évaluer les dimensions du rectangle “solsticial”, un rectangle joignant les positions du Soleil levant et couchant aux solstices et jouant un rôle essentiel dans les traditions orientées vers le l'est comme les formes celtique, biblique, romaine et chrétienne.
Conformément à la description de la sphère céleste, la position de l'observateur sur Terre est déterminée par la latitude φ (phi). Il sera en mesure d'identifier la position des étoiles et autres astres sur la sphère céleste à partir de deux systèmes de coordonnées se rapportant soit à l'horizon soit à l'équateur.
Coordonnées horizontales
Hauteur h: Distance angulaire au dessus de l'horizon:
0 ≤ h ≤ 90°
Azimut a: Distance angulaire mesurée le long de l'horizon à partir du point sud et en direction de l'est:
0 ≤ a < 360°
Coordonnées équatoriales
Déclinaison δ (delta): Distance angulaire mesurée le long du méridien de l'étoile, en direction du nord ou du sud par rapport à l'équateur:
0 ≤ δ ≤ 90°, au nord de l'équateur;
- 90° ≤ δ < 0, au sud de l'équateur.
Angle horaire τ (tau): Distance angulaire mesurée le long de l'équateur entre le méridien de l'observateur et celui de l'étoile:
0 ≤ τ < 360°
Ces trois formules nous permettent d'exprimer a et h en fonction de δ et τ et inversement. Elles seront utiles pour déterminer la position apparente du Soleil à son lever et coucher ainsi qu'au zénith. Rappelons que le plan de l'écliptique, parcouru par le Soleil dans son mouvement apparent autour de la du Terre, fait un angle de 23,5° avec celui de l'équateur. Il s'ensuit que la déclinaison du Soleil varie entre -23,5° et 23,5°
Au lever et coucher, h = 0, et la dernière formule revêt la simple forme:
sin(δ) = - cos(φ)×cos(a)
cos(a) = - sin(δ)/cos(φ)
En nous limitant aux positions du Soleil aux solstices et aux équinoxes, nous obtenons les résultats suivants:
Azimuth du Soleil levant et couchant
- Au solstice d'été, δ = 23,5° et
cos(a) = - sin(23,5°)/cos(φ)
- Au solstice d'hiver, δ = - 23,5° et
cos(a) = sin(23,5°)/cos(φ)
- À l'équinoxe de printemps, δ = 0 et
a = 90°
- À l'équinoxe d'automne, δ = 0 et
a = 270°
La figure ci-dessus décrit le “Rectangle solsticial” pour Jérusalem située à la latitude φ = 31,8°.
Le “rectangle solsticial” devient un carré si a = 45° et cos(φ) = sin(23,5°)/cos(45°), c'est-à-dire à la latitude φ = 55,7° correspondant, par exemple, à la pointe nord de l'Irlande.