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avec nous la gouvernance partagée c’est…
de la formation, de la facilitation et de l’accompagnement pour des changements en profondeur, vers une nouvelle organisation plus efficiente et plus joyeuse
des structures et outils de fonctionnement qui libèrent et permettent d’atteindre les objectifs en se réalisant individuellement et collectivement
de nouveaux modèles sur mesure qui replacent la confiance, la sérénité et l’agilité au centre de la collaboration
Le déclin de la confiance rend plus difficile de relever les grands défis
Ces derniers temps, de nombreuses personnes m'ont demandé si j'étais toujours optimiste quant à l'avenir. La réponse est oui, mais être optimiste ne signifie pas ignorer les problèmes. Je suis profondément troublé par un défi en particulier.
La pandémie a été un test massif de gouvernance. Lorsque la pandémie prendra enfin fin, ce sera un hommage au pouvoir de la coopération et de l'innovation mondiales. Dans le même temps, cette époque nous a montré comment le déclin de la confiance dans les institutions publiques crée des problèmes tangibles et complique nos efforts pour relever les défis. Sur la base de ce que j'ai vu ces deux dernières années, je suis plus inquiet que je ne l'ai jamais été quant à la capacité des gouvernements à accomplir de grandes choses.
Nous avons besoin que les gouvernements agissent si nous voulons progresser dans des domaines tels que la prévention d'une catastrophe climatique ou de la prochaine pandémie. Mais le déclin de la confiance les empêche d'être efficaces. Si vos collaborateurs ne vous font pas confiance, ils ne soutiendront pas les nouvelles initiatives importantes. Et lorsqu'une crise majeure survient, ils sont moins susceptibles de suivre les conseils nécessaires pour surmonter la tempête.
Est-ce que quelqu'un pourrait légitimement se sentir lésé si je ne l'informe pas, ne le consulte pas ou ne sollicite pas son consentement ?
L’Économique (en grec ancien Οἰκονομικός / Oikonomikós « L'art et la manière de bien gérer un grand domaine agricole ») est une œuvre de Xénophon dans la forme des dialogues socratiques, qui traite de la gestion d'un grand domaine foncier, sur le plan humain et technique.
L'organisation économique des États archaïques tourne donc autour de plusieurs domaines nommés é (« maison »), qui rappellent le système de l'oikos de la Grèce antique : on serait donc plus en présence d'une économie domaniale que d'une économie palatiale ou templière58. Ces institutions, principalement les temples et le palais royal, organisent la production, emploient la population dans les activités agricoles, l'élevage, mais aussi dans l'artisanat, entreprennent des opérations de commerce. Les terres des institutions, qui sont la partie la plus importante de leur domaine, sont divisées en trois groupes suivant un principe qui perdure durant tout le IIIe millénaire : des terres exploitées en régie directe par des dépendants payés en rations d'entretien ; des terres attribuées à des personnes exerçant un service administratif, artisanal, commercial ou militaire pour le compte de l'institution et dont le produit leur sert de salaire ; et des terres concédées à des exploitants contre le versement d'un fermage. À côté de cela, il est difficile d'exclure l'existence de maisonnées ou de communautés vivant en dehors du cadre institutionnel, rien ne prouvant que les grandes institutions contrôlent la totalité ni même la majorité de l'économie. Quelques actes de vente de terres privées sont connus dans les corpus du DA III A et leur nombre limité ne doit pas forcément être interprété comme indiquant qu'ils ne regroupent qu'une minorité de terres. Du reste, il semble que les terres de service aient été patrimonialisées par leurs détenteurs, leur permettant ainsi de se constituer un domaine héréditaire qu'ils pouvaient même aliéne
l s'agit à la fois d'une unité familiale élargie — des parents aux esclaves — et d'une unité de production agricole ou artisanale. Il est le centre d'un pouvoir, et l'art de « gérer un oikos » — l'économie, du grec oikonomía — revêt une importance particulière dans la Grèce antique1. Xénophon écrit par exemple un long dialogue à ce sujet, l'Économique.