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Une fuite dans un laboratoire est probablement à l'origine de la pandémie de Covid-19, selon le ministère de l'énergie
L'évaluation révisée de l'agence américaine s'appuie sur de nouveaux renseignements.
vendredi 11 mars 2022
CONFIRMATION. Les États-Unis prévoient d'utiliser des oiseaux migrateurs et des insectes pour infecter la Russie
"Le but du projet UP-4 était d'étudier la propagation d'infections particulièrement dangereuses par les oiseaux migrateurs, y compris la grippe H5N1 hautement pathogène, dont la mortalité chez l'homme atteint 50 pour cent, ainsi que la maladie de Newcastle.
"Avec un haut degré de probabilité, on peut dire que l'une des tâches des États-Unis et de leurs alliés est de créer des bio-agents capables d'infecter sélectivement divers groupes ethniques de la population, et , en particulier, les slaves."
Briefing de l'armée russe
En raison du fait que l'Ukraine a une situation géographique unique où les routes de migration transcontinentales se croisent, 145 espèces biologiques ont été étudiées dans le cadre de ce projet.
Dans le même temps, au moins deux espèces d'oiseaux migrateurs ont été identifiées, dont les itinéraires passent principalement par le territoire de la Russie. Des informations sur les routes migratoires passant par les pays d'Europe de l'Est ont également été résumées.
De toutes les méthodes développées aux États-Unis pour déstabiliser la situation épidémiologique, celle-ci est l'une des plus imprudentes et irresponsables, car elle ne permet pas de contrôler l'évolution ultérieure de la situation.
Ceci est confirmé par le déroulement de la pandémie d'une nouvelle infection à coronavirus, dont la survenue et les caractéristiques soulèvent de nombreuses questions.
De plus, le projet R-781 est intéressant, où les chauves-souris sont considérées comme porteuses d'agents potentiels d'armes biologiques. Parmi les priorités identifiées figure l'étude des pathogènes bactériens et viraux pouvant être transmis des chauves-souris à l'homme : pathogènes de la peste, de la leptospirose, de la brucellose, ainsi que des coronavirus et des filovirus.
La recherche a été menée à proximité des frontières de la Russie - les régions de la côte de la mer Noire et du Caucase. Le projet est mis en œuvre avec la participation non seulement de laboratoires ukrainiens, mais également de laboratoires géorgiens contrôlés par le Pentagone, en coopération avec le Virginia Polytechnic Institute et le Service géopolitique américain.
Les documents analysés sur le projet UP-8 visant à étudier le virus de la fièvre hémorragique Congo-Crimée et les hantavirus, en Ukraine, réfutent clairement la déclaration publique américaine selon laquelle seuls les scientifiques ukrainiens travaillent dans les biolabs du Pentagone en Ukraine sans l'intervention de biologistes américains.
L'un des documents confirme que toutes les études sérieuses à haut risque sont menées sous la supervision directe de spécialistes des États-Unis.
Le décompte de paie pour le travail effectué par les collaborateurs ukrainiens montre clairement le schéma de leur financement.
Le fait que le département américain de la Défense verse directement des fonds pour la participation à la recherche, sans l'intervention d'intermédiaires, est confirmé. L'attention est attirée sur les salaires extrêmement modestes, selon les normes américaines. Cela indique une faible appréciation du professionnalisme des spécialistes ukrainiens et un mépris à leur égard de la part de leurs collègues américains.
En outre, les documents étudiés contiennent des propositions visant à étendre encore plus largement le programme biologique militaire américain sur le territoire de l'Ukraine. Ainsi, il y avait des preuves de la poursuite des projets biologiques achevés UP-2, UP-9, UP-10, visant à étudier les agents pathogènes de l'anthrax et de la peste porcine africaine.
Le Pentagone s'intéresse également aux insectes vecteurs capables de propager des maladies infectieuses dangereuses. L'analyse des matériaux obtenus confirme le fait que plus de 140 conteneurs contenant des ectoparasites de chauves-souris - puces et tiques - ont été transférés à l'étranger depuis le biolab de Kharkiv. Il est caractéristique que des études similaires aient été menées dans les années 40 du siècle dernier lors de la création de composants d'armes biologiques par le détachement japonais 731, dont les membres ont ensuite fui aux États-Unis après avoir été poursuivis pour crimes de guerre, où ils ont tranquillement poursuivi leurs recherches à l’image des savants nazis.
Je rappelle que les représentants des États occidentaux sont extrêmement prudents quant au transfert de leurs biomatériaux. Dans le même temps, les documents disponibles confirment de nombreux cas de transfert d'échantillons biologiques de citoyens ukrainiens à l'étranger. Ainsi, 350 cryo-conteneurs contenant des échantillons de sérum sanguin ont été transférés du Centre de santé publique du Ministère ukrainien de la santé au Laboratoire de référence des maladies infectieuses de l'Institut australien Doherty sous prétexte de déterminer les titres d'anticorps.
Un autre exemple est le projet financé par l'Allemagne n° 68727 EN sur l'étude des agents pathogènes de la fièvre hémorragique du Congo-Crimée et des hantavirus. Dans son cadre, un millier d'échantillons de sérum sanguin de citoyens de différentes régions d'Ukraine appartenant exclusivement à l'ethnie slave ont été transférés à l'Institut de médecine tropicale Bernard Nocht (Hambourg).
Avec un haut degré de probabilité, on peut dire que l'une des tâches des États-Unis et de ses alliés est de créer des bio-agents capables d'infecter sélectivement divers groupes ethniques de la population. Lors des auditions tenues le 8 mars devant la commission des affaires étrangères du Sénat américain, la sous-secrétaire d'État Victoria Nuland a fait état de la présence d'installations biologiques en Ukraine où des recherches dans le domaine de la biosécurité étaient menées. Elle s'est dite préoccupée par la possibilité de la récupération de ces laboratoires et du matériel par les forces armées russes.
Selon les informations disponibles, les Américains ont déjà réussi à évacuer la majeure partie de la documentation des laboratoires de Kiev, Kharkiv et Odessa, y compris les bases de données, les biomatériaux et les équipements, vers l'Institut de recherche d'épidémiologie et d'hygiène de Lviv et vers le consulat américain à Lviv.
La possibilité de déplacer une partie de la collection sur le territoire de la Pologne n'est pas exclue. En fait, avec sa déclaration, Nuland a indirectement confirmé la mise en œuvre par le Pentagone d'un programme biologique militaire en Ukraine, contournant les accords internationaux existants.
Source Henry Makow
https://www.henrymakow.com/2022/03/US-Planned-to-Use-Migratory-Birds-to-Infect-Russia.html
https://www.youtube.com/watch?v=KQW83MNEwpo
Biolabs financé par les États-Unis en Ukraine
En fait, en disant que la Russie serait responsable d'une "attaque à l'arme biologique ou chimique", la stupide Nuland a admis ce que le gouvernement russe a toujours dit , à savoir que des Biolabs financés par les États-Unis travaillent au développement d'armes biologiques en Ukraine dans le but d'exterminer les Russes slaves.
L'ambassade du gouvernement américain en Ukraine a déclaré, par ailleurs, qu'elle finançait des programmes de recherche en Ukraine qui travaillent sur "les agents pathogènes les plus dangereux au monde".
En détruisant ces laboratoires de la mort, les Russes essaient non seulement de sauver leur peau, mais ils rendent aussi un fier service aux Européens et au Monde entier.
En effet, les oiseux migrateurs et les insectes ne connaissent pas de frontières. Mais il est évident que ces animaux, partant d'Ukraine, et suivant les vents dominants (effet Coriolis) vont en très grande majorité, vers l'Est : la Russie.
Mais personne ne peut garantir que ces animaux s'arrêteraient, par exemple, juste à la frontière d'un pays comme la France, comme paraît-il, le nuage nucléaire de Tchernobyl.
H. Genséric
CHRONIQUE — Les dernières révélations mises à jour par le New York Post ne laissent plus de place au doute. La famille du président des États-Unis — en l'occurrence Hunter Biden, son fils, est impliquée dans un gigantesque schéma de création de laboratoires d’armes biologiques en Ukraine portant sur 24 pathogènes. "Les affirmations russes selon lesquelles le fils du président Joe Biden, Hunter, serait en train de financer des laboratoires biologiques sont véridiques", affirme le New York Post. Ces informations pourraient ouvrir sur le plus grand scandale du siècle, obligeant à remettre en perspective tous les événements depuis le début de la crise russo-ukrainienne.
Les activités d'Hunter Biden en Ukraine
Le New York Post est le journal qui, en octobre 2020, avait mis la main sur l’ordinateur portable d'Hunter Biden. On y apprenait déjà, entre autres collusions de très haut niveau, la nomination du fils au sein du Comité de Direction de la société ukrainienne Burisma, en 2014.
Cette fois, l’entreprise mise en cause dans l’investissement en armes biologiques n’est autre que Rosemont Seneca Technology Partners, dont le fond appartient en propre au fils du président. Celle-ci aurait investi 500 000 dollars, une somme qui paraît modique, dans Metabiota, une start-up de recherche de pathogènes. Rosemont s’est ensuite attelée à lever des fonds beaucoup plus conséquents auprès de la Banque Goldman Sachs. L’entregent du fils aurait aussi permis de lever 23.9 millions de la part du gouvernement américain, et de faire levier auprès de l’équipementier pour les laboratoires biologiques du Pentagone, Black and Veatch, lequel disposait depuis 2010 d’une patte en Ukraine, dans la ville d'Odessa, au travers d’un laboratoire de "surveillance d’attaques bioterroriste, d’épidémies et de pandémies".
Toujours selon le Post et les mails découverts, Hunter aurait introduit Metabiota auprès de ses associés de Burisma, en Ukraine. Le directeur de Burisma, Vadim Pozharskyi, qualifie le projet de Metabiota, dans un mail adressé à Hunter Biden en mai 2014, de "ton soi-disant projet scientifique pour l’Ukraine".
https://www.facebook.com/myret.zaki/posts/10159187956633190
PANDÉMIE
"L’enjeu est de taille : celui qui possède un antidote (vaccin, traitement) contre un virus qu’il est le seul à connaître, et dont il est le seul à pouvoir disposer, possède une arme biologique redoutable…" - extrait
Ceci n'est pas un complot, c'est une affaire militaire !
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Article de : Bruno Canard & Étienne Decroly
Directeurs de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), laboratoire Architecture et fonction des macromolécules biologiques. - -
Extraits :
Ces expériences visant à fabriquer des virus génétiquement modifiés sont qualifiées de « gains de fonction »
Les programmes de recherches comme Predemics et Prepare pour l’Union européenne, Preempt et Predict pour les États-Unis, prévoient que si la « clé » d’un virus n’arrive pas à ouvrir la « serrure » d’une cellule humaine, les chercheurs vont l’y aider. En cas de succès, on peut mieux comprendre comment cela pourrait éventuellement se produire et se préparer à y répondre. On peut raisonnablement penser que ces opérations ont lieu dans le confinement sécurisé d’un établissement spécialement équipé pour ce type d’études : un laboratoire sécurisé pour pathogènes de classe 4 (P4).
Une arme biologique :
Une fois les technologies disponibles et en l’absence de régulation éthique, elles sont utilisées par les chercheurs. Suspendues aux États-Unis par un moratoire en octobre 2014, de telles expériences ont pu reprendre à partir de 2017. Même si des garde-fous sont mis en place, certains les enjambent allègrement, comme l’illustre la modification des génomes d’embryons humains conduite en secret par le généticien He Jiankui, afin de les rendre résistants au virus du sida (VIH) (4). Si ce généticien a été condamné à trois ans de prison pour « exercice illégal de la médecine », la réflexion et le débat de société semblent n’avoir que peu de poids devant la perspective d’une « grande découverte », ou d’une publication dans un journal à fort indice de citation. Nous devons aussi compter sur l’explosion du mouvement de laboratoires informels ou non affiliés, dans lesquels des expériences pourraient être conduites sans aucun réel contrôle.
L’enjeu est de taille : celui qui possède un antidote (vaccin, traitement) contre un virus qu’il est le seul à connaître, et dont il est le seul à pouvoir disposer, possède une arme biologique redoutable…
Les différentes parties de la « clé » ont été particulièrement étudiées. Pour certains virus, il est apparu qu’elle possède une sorte de « cran de sécurité » — pour filer la métaphore. Une fois à proximité de la « serrure », cette fonction doit être ôtée pour que la « clé » puisse entrer et tourner. Ce « cran de sécurité » est fourni par un détail moléculaire remarquable, long de quelques acides aminés, situé au milieu du spicule, un « site de coupure » accessible à des enzymes « ciseaux » : les convertases de pro-protéines. L’une de ces convertases, la furine, vient couper le « cran de sécurité » au niveau du « site de coupure », et ainsi, la clé peut tourner dans la serrure. Le virus peut entrer dans la cellule et commencer à se reproduire.
Avant l’identification du SRAS-CoV-2 fin 2019, les virus de la famille du SRAS-CoV-1 (à l’origine de l’épidémie de SRAS, en 2002) avaient un « cran de sécurité » mal reconnu par la furine et les autres convertases, ce qui limitait les contaminations. En 2012, six personnes tombent malades après avoir nettoyé des fientes de chauve-souris dans une grotte de la région de Tongguanzhen (province du Yunnan), à 1 500 kilomètres au sud-ouest de Wuhan. Trois d’entre elles succombent à une infection due à un coronavirus différent du SRAS-CoV-1 et issu de chauves-souris. La pathologie est décrite dans une thèse réalisée à l’hôpital de Kunming, près de Tongguanzhen, et publiée en 2013 (5). Des échantillons (biopsies des mineurs malades, déjections et lavages broncho-alvéolaires de chauve-souris collectées à multiples reprises dans la grotte) sont rapportés à l’institut de virologie de Wuhan, qui identifie partiellement la séquence d’un nouveau coronavirus, baptisé RaTG13, et cousin le plus proche du SRAS-CoV-2.
Le 3 février 2020, des chercheurs de l’institut de virologie de Wuhan comparent le génome du SRAS-CoV-2 avec le plus proche coronavirus connu jusqu’à présent : le RaTG13 (6). Curieusement, les auteurs ne mentionnent pas la grotte, les six malades, les trois morts, et le fait qu’ils avaient déjà trouvé à l’époque un morceau de génome identique à celui du nouveau SRAS-CoV-2. La protéine S de ce dernier est comparée avec les spicules des virus les plus proches, incluant le RaTG13. Elle en est clairement distincte, comme on peut le constater dans le schéma publié par les auteurs.
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Un virus « augmenté » - PAS SI FOU QUE CELA LUC MONTAGNIER
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Une effervescence particulière a marqué les quelques jours qui ont suivi la mise à disposition de la première séquence du génome du SRAS-CoV-2, le 12 janvier 2020. Le professeur Shan Gao et ses collègues avaient détecté ce « cran de sécurité » sensible à la furine (7).
De manière indépendante, nous avions également détecté cette insertion unique en notant qu’elle n’apparaissait dans aucun autre coronavirus de cette sous-famille des Sarbecovirus, et qu’elle introduisait un « site de coupure » potentiellement fonctionnel (😎. Ni sa séquence ni sa position ne sont anodines : les « sites de coupure » polybasiques permettent une bien meilleure dissémination virale, une pathogénicité accrue et tout un tas de joyeusetés augmentant fortement la dangerosité virale. La première insertion artificielle dans un virus SRAS-CoV a été réalisée en 2006 (9). Le virus fut effectivement « augmenté » avec une meilleure diffusion de cellule à cellule. Cela fonctionne aussi très bien pour le virus de la grippe.
Ces multiples omissions interrogent et expliquent la mobilisation de plusieurs scientifiques de renom pour qu’une enquête complète puisse être menée en Chine sur l’origine du virus responsable du Covid-19. Alors que la pandémie a causé plusieurs millions de morts et bouleversé la vie quotidienne, l’humanité mérite de connaître la raison pour laquelle cette insertion n’a pas été mentionnée, et donc pas discutée, dans l’article séminal sur la découverte du SRAS-CoV-2, qui comptait tout de même vingt-neuf auteurs issus de quatre laboratoires chinois d’excellence.
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Il demeure étonnant de constater combien une partie de la communauté scientifique semble, elle aussi, vouloir oublier, ou ne pas savoir, laissant ainsi le champ libre aux théories du complot, voire les alimentant. Il est possible qu’un virus très proche du SRAS-CoV-2 soit trouvé dans la nature, sur une autre espèce « intermédiaire », avec un « site de coupure » voisin ou identique. Cela ne dira pas comment il est arrivé là. Les questions concernant cet oubli restent et resteront pertinentes. Les chercheurs ont tout intérêt à faire leur travail : étudier et comprendre, pour éviter d’être les victimes en retour de la défiance de celles et ceux qui leur confient un devoir d’information éclairée et accessible. -
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Ce que dit cet article c'est que ceux qui savaient tant du côté chinois qu'américains se sont tus laissant le pangolain se faire accusé.
Que les millions de morts du Covid sont imputables aux scientifiques qui développent des virus augmentés et ceux qui ont financé ces "recherches".
Enfin et surtout la finalité de ces armes virales pour quel dessein ?!
Là encore, les mensonges vont continuer...
Reste que la Justice Internationale doit poursuivre et inculper pour meurtres de masse. Là encore on mesurera à quel point les Juges sont corrompus !
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