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Le présent article vise à présenter une analyse remarquable, publiée en 2015 par l’équipe de Willie Soon (Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, Cambridge, USA), qui démontre que l’effet de chaleur urbain a grandement influencé les enregistrements de température terrestre depuis le début de l’ère industrielle. Cette étude, qui mériterait d’être plus largement diffusée, a été publiée dans la revue Earth-Science Reviews. Ce travail ne fait que renforcer la présomption d’innocence du CO2 dans la lente augmentation de la température globale
- Une urbanisation galopante
Un récent rapport des Nations Unies (World Urbanization Prospects 2018) nous indique qu’environ 55% de la population mondiale vit actuellement dans des villes (soit ± 4,3 milliards de personnes). On recense environ un million de villes dans le monde, parmi lesquelles 4 231 qui comptent plus de 100 000 habitants (voir ici). Mais en 1950, le chiffre était beaucoup plus bas avec seulement 30% de la population qui était urbaine (soit 750 millions de personnes sur 2,5 milliards). La courbe impressionnante de l’urbanisation est illustrée à la Figure 1.
Par contre, en 2050, on prévoit que la proportion urbaine passera à 68% (Figure 1).
Nos patronymes ont-ils une influence sur notre vie ? D’aucuns le pensent, puisqu’ils se choisissent un nom de guerre ou un nom de plume.
Son principal adversaire n’aurait jamais dû s’appeler Hitler, mais Schicklgruber. C’était en effet le patronyme de sa grand-mère quand elle mit au monde un fils naturel. Le nom signifie, dans un dialecte autrichien, « celui qui creuse des puits ». La dame épousa ensuite un nommé Hiedler, dont le nom désigne « celui qui habite près d’une rivière souterraine ». Son mari cependant ne reconnut pas l’enfant. Ce dernier, bien plus tard, décida de prendre le nom de son beau-père afin de faciliter une procédure d’héritage. Mal orthographié par un employé de mairie, le nom devint Hitler.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les alliés ne se privèrent pas de se gausser de la chose. Des milliers de tracts furent largués sur les villes allemandes. Il est certains que les grands rassemblements nazis n’auraient pas eu le même retentissement si la foule avait scandé Heil Schicklgruber !
Côté patronyme, les Anglais avaient Dieu de leur côté. Churchill, « la colline de l’église », avec son allitération, passait bien sur les ondes.
En Chine,Mao n’a pas craint de conserver son patronyme qui signifie « poil ». Ses parents mirent leur ambition dans le prénom : Zedong signifie « qui tient son potentiel de l’Est », sous-entendu « du Soleil ».
Enfin De Gaulle, malgré sa référence homophonique à la Gaule, n’a rien d’un nom celte. Il vient du néerlandais Van de Walle, « du rempart ». Une image qui ne devait pas déplaire au grand Charles.
Cette fameuse vidéo filmée au Sasquatch Music Festival 2009 est souvent montrée dans des entreprises, des classes ouvrières en équipe, etc. et elle montre en fait un aspect intéressant en psychologie : le rôle de diriger par l'exemple (même si bizarre) et l'imitation
Article 42-6
Version en vigueur depuis le 27 octobre 2021
Modifié par LOI n°2021-1382 du 25 octobre 2021 - art. 33
L'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique peut, après mise en demeure, prononcer la sanction de résiliation unilatérale de la convention conclue en application du I de l'article 33-1 de la présente loi avec une personne morale contrôlée, au sens de l'article L. 233-3 du code de commerce, par un Etat étranger ou placée sous l'influence de cet Etat si le service ayant fait l'objet de ladite convention porte atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation, dont le fonctionnement régulier de ses institutions, notamment par la diffusion de fausses informations. Pour apprécier cette atteinte, l'autorité peut tenir compte des contenus que la société avec laquelle elle a conclu la convention, ses filiales, la personne morale qui la contrôle ou les filiales de celle-ci éditent sur d'autres services de communication au public par voie électronique, sans toutefois pouvoir fonder sa décision sur ces seuls éléments.
27.03.2017 – 08:00
Des simulations numériques suggèrent que les variations de l'activité solaire pourraient avoir un effet mesurable sur le climat. Selon les travaux financés par le Fonds national suisse, le réchauffement terrestre induit par les activités humaines pourrait accuser un léger ralentissement au cours des prochaines décennies. Un rayonnement solaire plus faible pourrait contribuer à une baisse de la température d'un demi-degré.
Des variations naturelles du climat accompagnent le réchauffement anthropique, c'est-à-dire induit par l'être humain. Le Soleil constitue un paramètre de taille dans les fluctuations des températures terrestres, qui suit différents cycles. Les oscillations de son activité modifient l'intensité du rayonnement qui parvient sur Terre. Déterminer si ces variations exercent ou non une influence mesurable sur le climat terrestre constitue l'une des questions centrales de la recherche climatique. Les rapports du GIEC partent du principe que l'activité solaire enregistrée dans un passé récent, comme celle à venir dans un futur proche, n'est pas significative pour le réchauffement climatique.
Une étude soutenue par le Fonds national suisse (FNS) remet ce postulat en cause. Des chercheuses et chercheurs de l'Observatoire physico-météorologique de Davos (PMOD), de l'Eawag, de l'ETH Zurich et de l'Université de Berne se sont appuyés sur des numérisations informatiques complexes et sont parvenus à établir une estimation solide de l'influence du Soleil sur la température globale au cours des cent prochaines années. Ils ont pour la première fois pu mettre en évidence des effets notables: un refroidissement d'un demi-degré lorsque l'activité solaire atteindra son prochain minimum.
Cet effet ne compensera en aucun cas la hausse des températures provoquée par les activités humaines, mais reste très important, selon Werner Schmutz, directeur du PMOD et responsable de ce projet: "Nous pourrions gagner un temps précieux si l'activité du Soleil décroît et que la hausse des températures ralentit ainsi un peu. Cela pourrait nous aider à composer avec les conséquences du réchauffement climatique". Ce répit ne sera cependant que passager, met en garde Werner Schmutz: après un minimum d'activité solaire vient forcément un maximum.
Expliquer le climat du passé
Les scientifiques concernés se retrouvent à la fin du mois de mars 2017 pour une conférence à Davos afin de discuter des résultats finaux du projet. Ce dernier regroupe les savoir-faire de différentes institutions en matière de modélisation des effets climatiques: le PMOD a calculé le forçage radiatif du Soleil en prenant en compte son rayonnement électromagnétique mais aussi particulaire, l'ETH Zurich a étudié les autres répercussions sur l'atmosphère et l'Université de Berne a examiné les interactions entre l'atmosphère et les océans.
Les chercheurs suisses sont partis de l'hypothèse que le rayonnement parvenant sur Terre accuse des variations bien plus importantes que prédites par les modèles antérieurs. "C'est la seule approche qui permette d'expliquer les variations climatiques naturelles des derniers millénaires", avance Werner Schmutz. Pour lui, les autres hypothèses qui s'appuient entre autres sur les effets d'éruptions volcaniques majeures sont moins concluantes.
Savoir comment le Soleil se comportera au cours des prochaines années relève cependant toujours de la spéculation: les séries de données ne sont disponibles que depuis quelques décennies et ne révèlent pas de variations sur cette période. "Nos derniers résultats demeurent donc une hypothèse, souligne Werner Schmutz. Il reste toujours difficile pour les physiciens solaires de prévoir le prochain cycle". Toutefois, étant donné que nous observons depuis 1950 une phase de grande intensité, il est probable que nous connaissions à nouveau un creux au cours des cinquante à cent prochaines années. Celui-ci pourrait être aussi marqué que le minimum de Maunder, qui a correspondu à une période particulièrement froide au XVIIe siècle.
L'importance des données historiques
La perspective historique a également été intégrée au projet de recherche. Le Centre Oeschger de recherche sur le climat de l'Université de Berne a comparé des séries de données sur l'activité solaire passée à des conditions climatiques concrètes. Les taches solaires, dont le nombre est en étroite corrélation avec l'activité du Soleil, font l'objet de relevés depuis plus de trois siècles. Il est toutefois beaucoup plus difficile d'estimer la température de l'époque. "Nous savons que les hivers étaient extrêmement rigoureux lors du dernier minimum, en tout cas en Europe du Nord", note Werner Schmutz. Il faudra néanmoins encore du travail pour établir une image détaillée du rapport entre l'activité solaire et le climat global - qu'il s'agisse de notre passé ou de notre avenir.
Sinergia: rendre la recherche interdisciplinaire possible
Au travers du programme Sinergia, le FNS soutient la coopération entre deux et quatre groupes menant des recherches interdisciplinaires visant une recherche pionnière. Le financement dépend du nombre de groupes de recherche et de la durée d'un projet. Il varie entre 50 000 et 3,2 millions de francs. Les projets durent entre un et quatre ans.
Contact:
Werner Schmutz
Observatoire physico-météorologique de Davos
Dorfstrasse 33
CH-7260 Davos Dorf
E-mail werner.schmutz@pmodwrc.ch
Tel. +41 58 467 5145
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L'effet de l'activité du soleil sur le changement climatique a été soit à peine connu, soit négligé. Dans ce livre capital - publié pour la première fois en allemand sous le titre Die kalte Sonne en 2012 - le professeur Fritz Vahrenholt et le docteur Sebastian Lüning démontrent que la cause essentielle du changement de la température mondiale a été, et continue d'être, l'activité du soleil. Vahrenholt et Lüning révèlent que quatre cycles solaires simultanés maîtrisent la température de la Terre - une réalité climatique sur laquelle les émissions de carbone de l'homme ont peu d'importance. La phase actuelle de refroidissement du soleil, précisément suivie dans cet ouvrage, rend impossible les perspectives catastrophiques avancées par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations unies et l'agenda alarmiste dominant dans la politique occidentale contemporaine.
Des simulations numériques suggèrent que les variations de l'activité solaire pourraient avoir un effet mesurable sur le climat. Selon les travaux financés par le Fonds national suisse, le réchauffement terrestre induit par les activités humaines pourrait accuser un léger ralentissement au cours des prochaines décennies. Un rayonnement solaire plus faible pourrait contribuer à une baisse de la température d'un demi-degré.
Des variations naturelles du climat accompagnent le réchauffement anthropique, c'est-à-dire induit par l'être humain. Le Soleil constitue un paramètre de taille dans les fluctuations des températures terrestres, qui suit différents cycles. Les oscillations de son activité modifient l'intensité du rayonnement qui parvient sur Terre. Déterminer si ces variations exercent ou non une influence mesurable sur le climat terrestre constitue l'une des questions centrales de la recherche climatique. Les rapports du GIEC partent du principe que l'activité solaire enregistrée dans un passé récent, comme celle à venir dans un futur proche, n'est pas significative pour le réchauffement climatique.
Une étude soutenue par le Fonds national suisse (FNS) remet ce postulat en cause. Des chercheuses et chercheurs de l'Observatoire physico-météorologique de Davos (PMOD), de l'Eawag, de l'ETH Zurich et de l'Université de Berne se sont appuyés sur des numérisations informatiques complexes et sont parvenus à établir une estimation solide de l'influence du Soleil sur la température globale au cours des cent prochaines années. Ils ont pour la première fois pu mettre en évidence des effets notables: un refroidissement d'un demi-degré lorsque l'activité solaire atteindra son prochain minimum.
Cet effet ne compensera en aucun cas la hausse des températures provoquée par les activités humaines, mais reste très important, selon Werner Schmutz, directeur du PMOD et responsable de ce projet: "Nous pourrions gagner un temps précieux si l'activité du Soleil décroît et que la hausse des températures ralentit ainsi un peu. Cela pourrait nous aider à composer avec les conséquences du réchauffement climatique". Ce répit ne sera cependant que passager, met en garde Werner Schmutz: après un minimum d'activité solaire vient forcément un maximum.
62 ans cycle d'envoie de neutrino dans le noyau cristallin de la terre... et ça le réchauffe de quelques centaines de degrés. Ce qui met 8 mois à arriver au moho. ceci est généralement compensé par la capacité de l'océan à absorber le co2 de l'atmosphère.. mais à cause du plastique.. ça ne marche plus.