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https://fr.wikipedia.org/wiki/Patate_douce
La voie « kumara », d'après le terme désignant la patate douce en quechua et dans les langues polynésiennes et maories, est un transfert de la patate douce entre le nord de l'Amérique du Sud et l'est de la Polynésie (îles Marquises) datant de l'époque précolombienne probablement entre 1000 et 1100 après J.-C.12. Ce transfert a pu être effectué par des voyageurs péruviens ou plus probablement polynésiens. De la Polynésie, la plante a ensuite été répandue dans les îles du Pacifique jusqu'à Hawaï, l'île de Pâques et la Nouvelle-Zélande.
https://en.wikipedia.org/wiki/Sweet_potato
Au Pérou et en Bolivie, le terme général en quechua pour désigner la patate douce est apichu, mais il existe des variantes telles que khumara, kumar (quechua d'Ayacucho) et kumara (quechua de Bolivie)[16], qui ressemblent de manière frappante au nom polynésien kumara et à ses équivalents océaniques régionaux (kumala, umala, ʻuala, etc.)[17], ce qui a conduit certains chercheurs à soupçonner un contact transocéanique précolombien[18]. Cette théorie est également étayée par des preuves génétiques[19].
In Peru and [[Bolivia]], the general word in Quechua for the sweet potato is {{lang|qu|apichu}}, but there are variants used such as {{lang|quy|khumara}}, {{lang|quy|kumar}} ([[Ayacucho Quechua]]), and {{lang|quh|kumara}} (Bolivian Quechua),<ref>{{Cite web|last=Diccionario Quechua Simi Taqe AMLQ|date=|title=Quechua: apichu|url=https://www.runa-simi.org/simitaqe/id-327-apichu.html|access-date=2 February 2021|website=www.runa-simi.org|language=Spanish}}</ref> strikingly similar to the Polynesian name {{Lang|mis|kumara}} and its regional Oceanic cognates ({{lang|to|kumala}}, {{lang|sm|umala}}, {{lang|haw|ʻuala}}, etc.<ref>{{Cite web |title=Ipomoea batatas |url=http://www.hear.org/pier/species/ipomoea_batatas.htm |access-date=2023-07-01 |website=Hawaiian Ecosystems at Risk: Pacific Island Ecosystems at Risk}}</ref>), which has led some scholars to suspect an instance of [[Pre-Columbian trans-oceanic contact#Words related to axes|pre-Columbian trans-oceanic contact]].<ref>{{Cite news|last=Doucleff|first=Michaeleen|date=23 January 2013|title=How The Sweet Potato Crossed The Pacific Way Before The Europeans Did|language=en|work=[[NPR]]|url=https://www.npr.org/sections/thesalt/2013/01/22/169980441/how-the-sweet-potato-crossed-the-pacific-before-columbus|access-date=15 October 2021}}</ref> This theory is also supported by genetic evidence.<ref>{{cite web |url=https://arstechnica.com/science/2013/01/polynesians-reached-south-america-picked-up-sweet-potatoes-went-home |title=Polynesians reached South America, picked up sweet potatoes, went home |last=Timmer |first=John |date=21 January 2013 |website=[[Ars Technica]]|access-date=8 July 2020}}</ref>
Komorebi (japonais)
La lumière du soleil qui passe entre les feuilles des arbres
Lagom (suédois)
Cela indique la quantité parfaite, le juste milieu, quelque chose qui n’est ni trop peu, ni trop. Cela indique qu’il y a assez pour soi-même et pour les autres. C’est un mot très représentatif de l’art de vivre suédois.
Flype (écossais)
L’action de plier ses chaussettes à l’envers par paires
Hyggelig (danois):
Quelque chose de confortable et chaud, une ambiance douce et douillette, typiquement représentée par un feu qui brûle dans la cheminée d’un salon, des couvertures moëlleuses… Assez proche du mot allemand Gemütlich qui désigne quelque chose de chaleureux, accueillant, comme une soirée de Noël ou une bougie à la fenêtre d’une maison. Egalement proche du mot norvégien Koselig.
Gökotta (suédois) :
Se réveiller tôt le matin pour sortir dans les bois et entendre le premier chant des oiseaux.
Shinrin-Yoku: la relaxation dûe au contact avec la nature.
Sohwakhaeng (coréen) : un petit bonheur simple, mais certain. Caractérise la joie des petites choses du quotidien.
Dauwtrappen (hollandais) :
Se lever tôt et marcher pied nu sur l’herbe encore fraîche de la rosée du matin
Pambahay (tagalog)
Les vêtements confortables qu’on ne porte que chez soi (jogging, pull large…)
Smultronställe (suédois) :
Un endroit rien qu’à soi où l’on vient se détendre et se relaxer ; signifie littéralement « le lieu des fraises sauvages »
Merak (mot d’origine arabe utilisé dans les langues balkaniques et le turc) :
Un sentiment d’unité avec l’univers venant des petits plaisirs de la vie. Sensation d’être dans une autre dimension, faite de douceur et d’empathie.
Paracosm (anglais)
Un monde imaginaire inventé par un enfant possédant ses propres langue, histoire et géographie
https://www.youtube.com/watch?app=desktop&v=Z8IOIPaI8k8
https://www.youtube.com/watch?v=lVi4OEmklWE
En égyptien les noms "porte" et "étoile" sont homophone
"sbȝ"
le basque c'est du vascon.... de vasconie ..https://fr.wikipedia.org/wiki/Vasconie
basco
vascon... bv pareil
Langue et perception économique selon beaucoup de « frugaux » allemands, autrichiens, néerlandais, par ma collègue germanophone Nicole Hermann. 2) Verdienen signifie à la fois « gagner » et « mériter » .
Leçon d’économie vue par les « frugaux » allemands, autrichiens, néerlandais, par ma collègue germanophone Nicole Hermann. 1) Schuld veut dire à la fois « dette » et « faute »
« Si cette langue, tant cherchée et cherchée si loin, cette langue composée des racines de toutes les langues, n’existe plus nulle part dans sa pureté originelle, le français, cependant, est celle qui s’en rapproche le plus, et la seule à l’aide de laquelle on puisse l’entendre » (p. 12). « Il est bien indispensable de retenir que, dans la comparaison des mots anciens de notre langue avec ceux des autres langues, et de notre écriture avec l’écriture hiéroglyphique, qui n’avait point de lettres, mais seulement des sons, il ne faut tenir compte que des sons, et nullement de l’orthographe » (p. 23). « Ce qui n’est pas douteux, c’est que la même syllabe peut être donnée par vingt objets divers, choisis selon le caprice du compositeur, selon l’espace dont il disposait, selon la nature du sujet traité dans l’inscription » (p. 7). « Les grands tableaux sont souvent allégoriques en même temps que phonétiques, c’est-à-dire qu’en même temps que chacun de leurs détails exprime un son, leur ensemble exprime une idée ». (p. 9). « Ce qui n’est pas intelligible pour tout le monde, c’est la valeur des diverses parties de la gravure, qui réunies, forment une très longue phrase » (p. 9). « Les hiéroglyphes en tableaux avaient cet avantage sur notre écriture conventionnelle qu’ils servaient admirablement aussi bien à la décoration des monuments publics qu’à l’instruction des hommes. Un temple égyptien était un livre où tout se lisait depuis le faîte jusqu’à la base » (p. 10). « Rien de plus travaillé que les inscriptions hiéroglyphiques ; aussi faut-il presque toujours y chercher autre chose que ce qui frappe au premier abord, le sens étant presque toujours, non pas seulement équivoque, mais encore à double visage » (p. 99). « Les Egyptiens aimaient à comprendre dans une syllabe unique toutes les qualités d’un objet » (p. 156).
« Le latin et le grec sont un perfectionnement du gaulois, et non pas le gaulois une altération du grec et du latin » (p. 29).
« Il faut observer que, quoique le fond de la langue, comme sa forme, soit le gaulois, il se trouve néanmoins, dans les hiéroglyphes, certains mots qui n’existent plus chez nous, et qu’il faut aller chercher dans le grec, ou dans le latin, et surtout dans l’anglais » (p. 30 et 31).
« Toutes ces règles, qui paraissent effrayantes dans la théorie, le sont beaucoup moins dans la pratique, pour qui a un peu, en fait de langues, l’habitude de la décomposition » (p. 31).
Et, en guise de résumé et de conclusion : « Si cette langue, tant cherchée et cherchée si loin, cette langue composée des racines de toutes les langues, n’existe plus nulle part dans sa pureté originelle, le français, cependant, est celle qui s’en rapproche le plus, et la seule à l’aide de laquelle on puisse l’entendre » (p. 12). « François ou Français signifie vraie voix ou vraie langue » (p.157). Voilà qui est dit !