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« Sous couvert de lutte contre le terrorisme, l’extraterritorialité du droit américain est une arme de guerre économique »
Chronique
auteur
Stéphane Lauer
Editorialiste
Depuis 2010, les entreprises françaises ont payé plus de 14 milliards de dollars à la justice américaine dans le cadre du Foreign Corrupt Practices Act. Une loi dont le but est d’affaiblir la concurrence étrangère, affirme Stéphane Lauer, éditorialiste au « Monde », dans sa chronique.
Publié le 30 décembre 2019 à 03h11 -
Jeudi 28 avril, au lendemain de l’adoption par la Centrafrique du bitcoin comme monnaie officielle, le Fonds monétaire international (FMI) a appelé à ne pas voir la cryptomonnaie « comme une panacée contre les défis économiques » auxquels l’Afrique fait face.
« Dans l’hypothèse d’un mouvement bien préparé vers la numérisation et par le biais de l’utilisation des monnaies numériques des banques centrales », les cryptomonnaies « peuvent contribuer à un système de paiement plus robuste » sur le continent, a indiqué le directeur du département Afrique du FMI, Abebe Aemro Selassie, au cours d’une conférence de presse. Or « adopter simplement la possibilité d’utiliser le bitcoin est quelque chose qui doit être surveillé de manière très, très attentive, a-t-il poursuivi. Il faut s’assurer que le cadre législatif, la transparence financière et la gouvernance sont bien en place. »
Le président ukrainien Zelensky fait fermer trois chaînes prorusses
Le chef de l’Etat a pris cette décision, sans précédent jusqu’ici, au nom de la « sécurité nationale » face à l’influence du Kremlin.
Par Faustine Vincent
Publié le 05 février 2021 à 14h00
L’image et le son ont disparu d’un coup. Peu avant minuit, mardi 2 février, les trois chaînes prorusses diffusées en Ukraine, Zik TV, NewsOne et 112 Ukraine, sont soudain devenues silencieuses, avec une mire en fond d’écran. Quelques heures plus tôt, le président, Volodymyr Zelensky, a signé un décret interdisant ces trois chaînes de télévision, détenues officiellement par le député Taras Kozak, mais contrôlées, dans les faits, par l’un des hommes les plus influents et les plus riches du pays : le député Viktor Medvedchouk, chef de la plate-forme d’opposition prorusse Pour la vie et ami intime de Vladimir Poutine – le président russe est le parrain de sa fille.
Avec cette décision sans précédent, qui suit les recommandations du Conseil national de sécurité et de défense, Volodymyr Zelensky affirme vouloir lutter contre l’influence de la Russie, avec laquelle l’Ukraine est en guerre depuis 2014 dans le Donbass et qui a annexé la Crimée. « L’Ukraine soutient la liberté d’expression. Pas la propagande financée par le pays agresseur, qui sape les efforts [du pays] sur le chemin de l’Union européenne et l’intégration euro-atlantique », a-t-il écrit sur Twitter.
L’argent de la Fondation Gates destiné aux programmes médiatiques a été divisé en plusieurs sections, présentées par ordre numérique décroissant, et comprend un lien vers la subvention correspondante sur le site Web de l’organisation.
Récompenses directement aux médias :
Radio publique nationale — 24 663 066 $ .
The Guardian (y compris TheGuardian.org ) – 12 951 391 $ .
Médias publics en cascade — 10 895 016 $ .
Public Radio International (PRI.org/TheWorld.org) — 7 719 113 $ .
La conversation — 6 664 271 $ .
Univision — 5 924 043 $ .
Der Spiegel (Allemagne) — 5 437 294 $.
Syndicat de projet — 5 280 186 $ .
Semaine de l’éducation — 4 898 240 $ .
WETA – 4 529 400 $ .
NBCUniversal Media — 4 373 500 $ .
Nation Media Group (Kenya) — 4 073 194 $ .
Le Monde (France) — 4 014 512 $ .
Bhekisisa (Afrique du Sud) — 3 990 182 $ .
El País — 3 968 184 $ .
BBC — 3 668 657 $ .
CNN — 3 600 000 $ .
KCET — 3 520 703 $ .
Population Communications International (population.org) — 3 500 000 $ .
Le Daily Telegraph — 3 446 801 $ .
Chalkbeat – 2 672 491 $ .
The Education Post — 2 639 193 $ .
Rockhopper Productions (Royaume-Uni) — 2 480 392 $ .
Société de radiodiffusion publique — 2 430 949 $ .
Upworthy – 2 339 023 $ .
Financial Times — 2 309 845 $ .
Les 74 médias — 2 275 344 $ .
Texas Tribune — 2 317 163 $ .
Punch (Nigéria) — 2 175 675 $ .
Nouvelles profondément – 1 612 122 $ .
L’Atlantique – – 1 403 453 $ .
Radio publique du Minnesota — 1 290 898 $ .
YR Media — 1 125 000 $ .
Le nouvel humanitaire — 1 046 457 $ .
Sheger FM (Éthiopie) – 1 004 600 $ .
Al-Jazeera — 1 000 000 $ .
ProPublica — 1 000 000 $ .
Médias publics croisés — 810 000 $ .
Magazine Grist — 750 000 $ .
Kurzgesagt — 570 000 $ .
Educational Broadcasting Corp — 506 504 $.
Classique 98,1 — 500 000 $.
PBS – 499 997 $ .
Gannett – 499 651 $.
Mail and Guardian (Afrique du Sud) — 492 974 $ .
À l’intérieur de l’enseignement supérieur. — 439 910 $.
Jour ouvrable (Nigéria) — 416 900 $ .
Medium.com — 412 000 $ .
Nutopia — 350 000 $.
Independent Television Broadcasting Inc. — 300 000 $ .
Service de télévision indépendant, Inc. — 300 000 $ .
Caixin Media (Chine) — 250 000 $ .
Service d’information du Pacifique — 225 000 $ .
Journal national — 220 638 $.
Chronique de l’enseignement supérieur — 149 994 $.
Belle et Wissell, Co. — 100 000 $.
Fiducie des médias — 100 000 $.
Radio publique de New York — 77 290 $.
KUOW – Radio publique Puget Sound – 5 310 $.
Ensemble, ces dons totalisent 166 216 526 $. L’argent est généralement dirigé vers des problèmes qui tiennent à cœur aux Gates.
Par exemple, la subvention de 3,6 millions de dollars de CNN a été consacrée à « un reportage sur l’égalité des sexes avec un accent particulier sur les pays les moins avancés, en produisant du journalisme sur les inégalités quotidiennes subies par les femmes et les filles à travers le monde », tandis que le Texas Tribune a reçu des millions pour « accroître la sensibilisation et l’engagement du public sur les questions de réforme de l’éducation au Texas. »
La fondation Gates est l’acteur non étatique le plus puissant de la planète. Sa dotation financière est d’environ 46,8 milliards de dollars en 2018, un montant supérieur au produit intérieur brut (PIB) de la Côte d’ivoire, de la Jordanie ou encore de l’Islande. Si la fondation Gates était un Etat, selon les données de la Banque mondiale, elle serait le 91e plus riche du monde.
Son poids est particulièrement important dans le domaine de la santé, son cœur d’activité. La Fondation Bill et Melinda Gates est le deuxième plus important contributeur au budget biennal de l’OMS, et s’apprête à passer premier après le gel des financements américains. Elle est par ailleurs, devant les Etats-Unis, le principal financeur de l’alliance GAVI, l’Alliance pour les vaccins.
La fondation Gates est le deuxième contributeur direct au budget de l’OMS
A part les Etats-Unis, aucun pays ni aucune ONG n’a davantage contribué au budget de l’OMS sur l’exercice 2018-2019.
Etats-UnisFondation Bill et Melinda GatesAlliance GAVIRoyaume-UniAllemagneBureau des affaires humanitaires (ONU)Rotary InternationalCommission européenneBanque mondialeJapon
515
15,18
12,12
8,18
7,91
5,33
4,48
3,32
3,05
3
2,59
Source : OMS
La Fondation Bill et Melinda Gates a procédé à 37 versements à l’OMS en 2019, pour un montant total de 194 millions de dollars. Cette influence est aussi indirecte, puisque l’ONG investit dans de nombreux pays (comme le Nigeria) ou des organisations (comme l’alliance GAVI pour la vaccination mondiale, les programmes de développement des Nations unies ou, par le passé, le National Philanthropic Trust) qui figurent parmi les principaux donateurs minoritaires au budget de l’OMS.
Par Yves Mamou
Publié le 15 décembre 2005 à 14h49 - Mis à jour le 19 janvier 2007 à 09h21
A partir d'un don initial de 750 millions de dollars, vite augmenté à 1 milliard, la fondation Gates a redynamisé la politique de vaccinations. Gouvernements, organisations internationales, ONG... siègent au GAVI et ont accepté de remettre au pot dans le but d'enrayer le déclin des grandes campagnes de vaccination des années 1980-1990.
Entre 2000 et mars 2005, le GAVI et le Vaccine Fund ont rassemblé 1,3 milliard de dollars. La fondation Gates a promis un autre chèque de 750 millions de dollars pendant que les mêmes ont promis d'unir leurs efforts une seconde fois pour rassembler 570 millions de dollars. Soit une somme globale de 2, 5 milliards de dollars qui devait être progressivement rassemblée entre 2000 et 2010.
Le GAVI a financé la distribution de 1,2 milliard de seringues autobloquantes — pour éviter leur réutilisation — ou bien donné 20 dollars pour chaque enfant qu'un gouvernement d'Afrique, d'Asie ou d'Amérique latine s'engage à vacciner : 10 dollars d'avance, le reste étant distribué après qu'un audit indépendant a attesté de la réalité de la vaccination.
Autre technique : un pays qui prouve un taux de couverture vaccinale d'au moins 50 % peut bénéficier de subventions qui viendront financer l'introduction de nouveaux vaccins.
Le GAVI a également élargi la palette des vaccins et permis d'engager des programmes sur des produits sous-utilisés contre l'hépatite B, les maladies respiratoires, la méningite et la fièvre jaune. GAVI ou pas, les deux études montrent que le système de financement actuel arrive à bout de souffle. "La santé des enfants sur l'ensemble de la planète oblige à trouver d'autres solutions", conclut M. Peny. Il serait vain d'attendre de la philanthropie de quelques milliardaires l'éradication d'une demi-douzaine de maladies mortelles ou invalidantes.
Actuellement un tiers des coûts de vaccination sont pris en charge par les gouvernements des pays pauvres. Il est logique que les pays riches leur demandent de maintenir cet effort, et même de l'accroître lorsqu'ils le peuvent. Mais il est aussi de l'intérêt des pays riches de continuer d'investir dans la santé des populations démunies. Ne serait-ce que parce que les courants migratoires des pays pauvres vers les pays riches atteignent une telle ampleur aujourd'hui qu'ils peuvent réactiver en Europe et aux Etats Unis des maladies que l'on croyait depuis longtemps disparues
« Ils veulent convertir » : le combat d’un village du Lot face au projet d’implantation de One Nation
Le mouvement complotiste est en passe d’acquérir un terrain de 200 hectares à Sénaillac-Lauzès, suscitant l’inquiétude des habitants et du maire.
Par Samuel Laurent et Lucie Soullier(Sénaillac-Lauzès (Lot), envoyée spéciale)
Publié le 18 octobre 2021 à 00h34 - Mis à jour le 18 octobre 2021 à 17h45
Temps de Lecture 10 min.
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AUREL
Autour du poêle d’une maison ensoleillée au centre du bourg, on compte les signatures. Plus de 500 en à peine une journée, « c’est plus que le nombre d’habitants », s’amuse le maire de Sénaillac-Lauzès, Christophe Bénac, jeudi 15 octobre. Dans ce petit village tranquille du Lot – « parfois un peu trop » –, une pétition a été lancée contre le rachat d’un domaine de 200 hectares par un groupe qui se revendique d’un mouvement qui est dans le collimateur de plusieurs associations et activistes antisectes, comme le site Debunkers de hoax : One Nation.
Sénaillac-Lauzès compte à peine 128 habitants, selon le recensement de 2018. En plein hiver, il se réduit à dix ou quinze maisons habitées, au cœur des causses du Quercy. « Ici, c’est 40 °C l’été et − 5 °C l’hiver », lâche un Sénaillacois pour résumer le paysage ; celui d’une terre rude à cultiver, où pacagent quelques troupeaux de vaches, mais où l’on croise surtout ces brebis aux lunettes noires typiques du pays.
Lire aussi Article réservé à nos abonnés « En souhaitant acquérir un domaine dans le Lot, One Nation monte à un nouvel échelon, celui du rassemblement “physique” »
Et bientôt, peut-être, une communauté d’« êtres souverains ». C’est du moins l’ambition d’Alice Pazalmar, de son vrai nom Alice Martin Pascual, 35 ans, et de son compagnon, Sylvain Outlow, de son vrai nom Sylvain Charles, un ancien réalisateur de films documentaires de 33 ans. Tous deux sont les leaders d’un groupe à tendance conspirationniste sinon sectaire baptisé One Nation. Se considérant comme des « citoyens souverains » non astreints aux lois de la République, le couple vit depuis début 2020 de façon nomade, sillonnant la France en compagnie des deux jeunes enfants d’Alice Pazalmar, dans un van aménagé surnommé Free Baba. Ils ont volontairement brûlé leurs papiers d’identité et ôté les plaques minéralogiques de leur camion, et diffusent des vidéos comptant plusieurs dizaines, parfois plusieurs centaines, de milliers de vues.
etc...
L’idée que des variations de l’activité solaire puissent expliquer le changement climatique en cours, bien qu’invalidée, est très répandue dans la blogosphère climatosceptique.
Est-il vrai que Facebook rémunère «le Monde» et «Libération» pour aider à trier les fake news ?
Le réseau social demande en effet à plusieurs médias français de vérifier certains contenus. Un système qui n'empêche pas «Libération» d'écrire des articles de manière critique concernant Facebook.
La Fondation Gates donne 1,9 million d’euros au «Monde»
8 octobre 2019 Par Laurent Mauduit
Comme toute la presse, Le Monde est gorgé de subventions publiques et d’aides apportées par Facebook. Mais pour son supplément Afrique, le quotidien perçoit aussi des subsides de la Fondation Gates: 2,1 millions de dollars en 2019.
La rédaction du Monde s’est enflammée ces dernières semaines quand elle a appris que le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky pourrait racheter les parts du banquier Matthieu Pigasse et entrer comme actionnaire direct du groupe de presse. Si le conflit s’est finalement apaisé, après la signature d’un droit d’agrément préalable à l’entrée de tout nouvel actionnaire, la dépendance du journal à l’égard de mécènes qui ne sont pas toujours désintéressés n’en reste pas moins spectaculaire. Et de cela, il est moins souvent question au sein de la même rédaction, même si le journal est gorgé de subventions privées, comme en atteste les dons effectués par le milliardaire américain Bill Gates au profit du supplément « Afrique » du journal.
Il assumera la codirection du comité d’audit, chargé de superviser les experts qui évaluent les performances du géant du commerce électronique et rédigent les rapports boursiers trimestriels. L’une des missions de ce comité est de « contrôler les qualifications, l’indépendance et les performances des auditeurs indépendants de l’entreprise », comme le précise Amazon.
Les vaccins bactériens sont « généralement obtenus par la fermentation des bactéries sur des milieux de cultures d’origine synthétique », explique-t-on à la DGS. C’est ainsi le cas des vaccins contre la diphtérie, la coqueluche ou encore la bactérie Haemophilus influenzae de type b.
Les virus, en revanche, sont incapables de se multiplier de façon autonome et « ne peuvent être cultivés et amplifiés que sur des cellules vivantes ». C’est à ce titre que les vaccins contre les virus sont produits sur des cellules de rein de singe (par exemple le vaccin contre la polio), sur des cellules d’embryon de poulet (rougeole et oreillons), des cellules de levure (hépatite B) ou des cellules diploïdes humaines (rubéole). D’autres vaccins sont également produits sur des œufs embryonnés de poule (vaccins grippaux).
SCOOP :
Scandale des tests “arrangés” :
les “décodeurs” du Monde confirment !
EXTRAITS :
“En France, les tests pratiqués réalisent entre 40 et 45 cycles, selon le conseil scientifique Covid-19. Le sujet était évoqué dans un avis publié le 27 juillet : « Des valeurs de CT élevées sont souvent le reflet d’une quantité de virus faible ou nulle (débris de virus) signalant que la personne testée ne présente pas de risque. »”
…
“Les données sur le nombre de cycles des tests PCR n’apparaissent pas dans les statistiques publiées par les autorités sanitaires, ni aux Etats-Unis ni en France.”
…
“« La question, c’est de savoir à quels niveaux de valeur CT on peut considérer qu’un patient n’est plus contagieux », explique au Monde M. Yazdanpanah. Selon lui, il est « presque acquis » actuellement qu’au-dessous d’une valeur CT de 24, « on est contagieux » et que le risque diminue progressivement au-delà. On pourrait donc considérer que les personnes testées positives avec une valeur CT supérieure à 30 sont très peu, voire pas contagieuses”
RAPPEL
En France, les tests pratiqués font entre 40 et 45 cycles, selon le conseil scientifique.
Alors que la plupart des tests pratiqués aux Etats-Unis font 37 ou 40 cycles, plusieurs spécialistes interrogés par le New York Times estiment que la limite devrait être fixée à 35 ou 30 cycles, voire encore moins, pour considérer un test comme « positif » – ou, du moins, pour considérer qu’un patient serait contagieux.
En France, les tests pratiqués réalisent entre 40 et 45 cycles, selon le conseil scientifique Covid-19. Le sujet était évoqué dans un avis publié le 27 juillet : « Des valeurs de CT élevées sont souvent le reflet d’une quantité de virus faible ou nulle (débris de virus) signalant que la personne testée ne présente pas de risque. »
« Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de personnes. On devrait atteindre 9 milliards. Avec de très bons résultats sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, le contrôle des naissances, on pourrait le réduire de peut-être, 10 ou 15 %, mais on gardera un facteur d’augmentation d’environ 1,3. »
Attention, ce n’est pas la population que Bill Gates espère réduire de 10 à 15 %, mais son accroissement, qui est actuellement très rapide (le facteur de 1,3 correspond à une hausse de 30 % qu’il espère voir ralentir).
Cette vidéo rappelle une autre séquence très relayée sur Internet, tirée d’un entretien à CNN en 2011, au cours de laquelle Bill Gates aurait déclaré que « les vaccins étaient la meilleure solution pour faire baisser la population ». En fait, ses propos ont été déformés. Il ne s’agit pas d’utiliser les vaccins pour « tuer » ou « stériliser » la population, bien au contraire.
Selon lui, et il a développé ce raisonnement à plusieurs reprises, M. Gates estime que la réduction de la mortalité infantile par le développement de la vaccination peut freiner la croissance démographique dans le monde. Il considère que ce progrès conduira, à terme, les parents à concevoir moins d’enfants, s’ils savent qu’ils vivront longtemps et en pleine santé. A terme, cela réduirait donc l’accroissement de la population mondiale.
le "vieux" monde des banques n'est pas encore mort.... il est encore assez puissant pour limiter facebook dans son envie de créer une monnaie globale... et "libre"...
Le projet est segmenté en plusieurs branche. Il y a aura donc libra euro... libra dollar... etc...
Une monnaie globale adossée sur un panier ne passait pas....
J'ai déjà toujours trouvé marrant que sur le site web officiel de libra, on voit plein de noirs.... le projet se profile clairement comme était un moyen de paiement destiné à ceux qui n'ont pas de compte en banque.. donc surtout en afrique.
C'est une manière gentille de dire aux banques que le but n'est pas de les remplacer, mais d'être complémentaire..
... et là on voit que les banques ne sont pas naives... et donc elles poussent libra à se cantonner à être une nouvelle version de Western Union plutôt que la nouvelle monnaie mondiale...
La datation des ossements au radiocarbone et les analyses d'ADN mitochondrial extrait de la pulpe d'une des molaires de Naia, révèlent que son origine génétique est asiatique. « Cela prouve que les premiers occupants des Amériques sont venus de Sibérie en traversant la bande de terre reliant l'Asie et l'Alaska, aujourd'hui immergée sous le détroit de Behring », assure Mme Erreguerana. Mieux, cette découverte confirme le lien entre ces Paléoaméricains et les Amérindiens contemporains.