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Les coopératives alimentaires de consommation DIONY-COOP s’incrivent dans une démarche économique et politique.
Il s’agit tout d’abord de donner aux habitants de St-Denis la possibilité d’acheter des produits bio et du commerce équitable à des prix raisonnables. Pour ce faire le millier de références qui est en rayons dans nos coopératives est revendu au prix d’achat sans aucune marge ajoutée.
Il s’agit aussi d’expérimenter des pratiques issues de l’éducation populaire et d’une approche libertaire de l’organisation et des rapports humains.
Dans nos coopératives, l’accent est mis sur la responsabilité individuelle. Chacun peut prendre des responsabilités et les assumer au profit du collectif. Il n’y a pas d’espace de pouvoir puisqu’il n’y a pas de structure juridique active avec des Présidents, bureau, commission, assemblée générale et autres, enfin tout ce qui permet au nom de la « responsabilité collective » de déléguer ses responsabilités et à certains d’exprimer leur volonté de pouvoir.
Dans l’ouvrage à paraître sur les monnaies royales et de la Révolution française frappées entre 1610 et 1794, plusieurs notes seront consacrées à certains faux. Il y a bien entendu les faux chinois de Louis XIV et de Louis XV qui sont apparus vers 2006 et qui ont été référencés sur le site de Franck Chétail. Ceux-ci ont donné lieu à de nombreuses publications dans le Bulletin Numismatique. Les faux d’époque sont tout aussi problématiques. Avec Charles Froidevaux, nous avons mis en évidence qu’il existait à la fin du règne de Louis XIV en Suisse une industrie très développée de la fausse monnaie. Derrière ces fabriques étaient établis des financiers, des banques et une bonne partie de l’oligarchie suisse organisés autour de vastes réseaux1. À titre d’exemple, Jean-Jacques Schmied, graveur établi à Neuchâtel, a déclaré avoir à lui seul fait 200 000 faux louis d’or, et le graveur de la Monnaie de Lyon de conclure, à l’examen des monnaies de Schmied, qu’elles étaient fausses car mieux gravées que les siennes ! Autant dire que face à de telles révélations le travail du numismate professionnel se trouve sérieusement compliqué.
En particulier l’auteur, avec le concours de notre
ami Arnaud Clairand, jette une nouvelle lumière sur l’activité
de l’atelier royal de Besançon et la fabrication de faux louis
d’or durant la période des réformations (1689-1723).
Histoire économique et monétaire en Suisse occidentale (1589-1818) FROIDEVAUX Charles lh90 Librairie
Avec cet ouvrage en trois volumes, Charles Froidevaux propose une histoire monétaire de la Suisse occidentale et un catalogue des monnaies neuchâteloises.
Le premier volume propose une histoire monétaire de la Suisse occidentale. Cette étude se situe au carrefour de plusieurs domaines : l’histoire, l’histoire de la pensée économique, l’histoire des crises monétaires et des affaires critiques de faux-monnayage qui en découlent à Berne, Bâle, Neuchâtel et Genève, la numismatique, la statistique, la métrologie et la généalogie.
En plus de présenter une histoire monétaire globale de la Suisse occidentale sur plusieurs siècles, le livre se veut aussi une sorte d’encyclopédie et donne des outils pour comprendre l’histoire monétaire, les crises monétaires, les dévaluations, les équivalences entre les différentes monnaies – notamment avec le royaume de France –, ainsi que les relations entre les monnaies des États de Suisse occidentale. Pour la première fois, une analyse de la monnaie de Romagne (Romandie) est formulée. Monnaie de compte, elle permettait de synchroniser les monnaies entre les régions de langue française et celles de langue allemande de la partie occidentale du Corps helvétique. Le deuxième volume est un catalogue incontournable des monnaies neuchâteloises, tant pour les chercheurs en numismatique que pour les collectionneurs. Pour chaque monnaie neuchâteloise, il propose une présentation selon les normes actuelles de la numismatique.
Les monnaies sont inventoriées selon la collection dans laquelle elles sont conservées, avec numéro d’inventaire, provenance, dimension et poids s’ils sont disponibles. Les collections privées sont séparées des collections publiques pour permettre aux collectionneurs d’évaluer la rareté des variantes et leur potentiel d’apparition sur le marché. Un tableau de correspondances entre les références de l’ouvrage de Wavre, Demole et Montandon publié en 1939 et celles de ce catalogue-ci permet aux musées et aux collectionneurs de mettre leur inventaire à jour.
Le troisième volume est consacré aux sources, aux bases documentaires et à l’analyse détaillée des éléments présentés dans les deux premiers. Les documents essentiels cités dans le premier volume ou dans le catalogue y sont transcrits ou photographiés. L’auteur a rassemblé des tableaux généalogiques, plusieurs documents sur le faux-monnayage (dont la correspondance y impliquant des membres du Conseil d’État neuchâtelois) et sur les conséquences des conférences monétaires, sous l’Ancien Régime, pour les différents États de la partie occidentale du Corps helvétique. Les techniques de lecture des documents monétaires anciens y sont développées, de même que la transcription des abréviations et la manière de déchiffrer les mandats affichant les cours des espèces dans la partie occidentale du Corps helvétique. Le lecteur y trouvera encore une présentation des techniques de fabrication des monnaies et du rôle des maîtres-monnayeurs et graveurs, ainsi que les comptes de fabrication et les volumes de production de l’atelier de Neuchâtel. La dernière partie du volume analyse les relations entre l’industrie du faux-monnayage et les familles au pouvoir à Neuchâtel.
p.75
Sa'd el-Loghaoui, dans son livre De la Biographie des peuples, rapporte que
toutes les sciences connues avant le déluge avaient été enseignées par le premier
Hermès qui habitait dans le Saïd supérieur de l'Egypte. Cet Hermès fut le pre-
mier à traiter des substances célestes et du mouvement des étoiles ; le premier
il éleva des temples pour y adorer Dieu; lepremier il s'occupa de la science de la médecine et composa pour'ses contemporains des poèmes bien mesurés sur.
les choses terrestres et célestes. On dit encore qu'il fut le premier à prévoir le
déluge, et à pressentir qu'un cataclysme céleste allait s'abattre sur la terre, sous
la forme de feu ou d'eau; aussi, craignant l'anéantissement des sciences et là dis-
parition des procédés industriels, il construisit les pyramides et les temples -de
la Haute-Egypte, y représenta les métiers et les outils, et y grava l'explication
des sciences, dans le but de les transmettre à ceux qui viendraient après lui et
par crainte de les voir disparaître du monde. Cet Hermès est le même qu'Edris.
UN GRAND MOMENT !😆
Aux Pays-Bas🇳🇱, un nouveau député Gideon van Meijeren demande au Premier ministre Mark Rutte ce qu’il pense du livre de Klaus Schwab, The Great Reset et dévoile, preuve à l'appui, le mensonge de ce dernier !