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LES NAVIGATEURS D'IL Y A 30 000 ANS
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Qui a été le premier peuple à coloniser les Amériques ? Jusqu'à il y a quelques années, on croyait que la première culture américaine était celle des Clovis, les ancêtres des Amérindiens d'Amérique du Nord. De plus, on pensait que les humains étaient arrivés sur ce continent au plus tôt il y a environ 14 000 ans. Ainsi, dans cette "reconstruction" de l'histoire, les premières civilisations auraient été nord-américaines, tandis que les Aztèques, les Mayas et les Incas seraient venus bien plus tard.
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Les découvertes récentes, y compris l'analyse de l'ADN, ont plutôt mis en évidence à quel point l'archéologie se trompait une fois de plus. Les premières civilisations des Amériques étaient les peuples d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud, au moins 15 000 à 20 000 ans plus tôt qu'on ne le croyait auparavant. Et ces populations sont venues PAR MER (oui, vous avez bien lu, "par mer"), de Sibérie et du Sundaland (le continent disparu à cause du dégel, qui correspond à l'actuelle Indonésie et aux îles environnantes).
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En fait, vers 2020, certains chercheurs ont publié les résultats de la découverte de restes humains dans la grotte de Chiquihuite au Mexique. Les fouilles ont commencé en 2012. Des fouilles plus approfondies ont été menées en 2016 et 2017. Les travaux ont été publiés dans la revue Nature. Ce qui a été trouvé dans la grotte a complètement révolutionné l'opinion des archéologues. L'étude, présentée par Ciprian Ardelean, archéologue à l'Université autonome de Zacatecas (Mexique), et ses collègues, suggère que des gens vivaient dans le centre du Mexique il y a au moins 26 500 ans. Le professeur dit: "Il faut des siècles, voire des millénaires, pour que les gens traversent la Béringie et arrivent au milieu du Mexique." Il ajoute plus tard: "Il leur faut de nombreuses années de présence préalable pour y arriver, qu'ils soient venus par mer ou par terre." Cela signifie que les humains étaient probablement en Amérique centrale bien avant il y a 30 000 ans.
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Mais ce n'est pas tout. Un autre centre de recherche a découvert que les populations indigènes d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud n'ont pas seulement un ancêtre, mais qu'elles en ont deux. Pour ainsi dire, ils ont un «peuple mère», qui est identifié comme «population Y», et qui sont les premiers habitants du Sundaland d'un passé lointain, à l'époque du dégel. Mais ils ont aussi un "peuple père", qui sont les Iñupiat, venus de Sibérie.
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Ces découvertes révolutionnent fondamentalement toutes les croyances archéologiques sur le passé des Amériques. A qui appartenaient les plus anciennes ruines découvertes sur ces terres ? Quelle civilisation du passé a réussi à créer des géopolymères au sommet des Andes ? Qui a créé les gigantesques dessins de Nazca, et surtout dans quel but ? Et surtout : s'il y a 30 000 ans, les gens pouvaient voyager de l'Australie à l'Amérique centrale, qu'est-ce qui les empêchait d'aller de l'Amérique centrale à l'Égypte, comme semblent aujourd'hui l'indiquer divers témoignages ? Nous vous apportons quelques réponses.
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L'article se poursuit dans le livre :
HOMO RELOADED - L'histoire cachée des 75 000 dernières années
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L'auteur de la théorie Gaia offre la vision d'une époque future où les humains et l'intelligence artificielle contribueront ensemble à la survie de la Terre.
James Lovelock, créateur de l'hypothèse Gaia et le plus grand penseur environnemental de notre époque, a élaboré une nouvelle théorie stupéfiante sur l'avenir de la vie sur Terre. Il affirme que l'Anthropocène - l'ère au cours de laquelle les humains ont acquis des technologies à l'échelle de la planète - touche à sa fin, après 300 ans. Une nouvelle ère, le Novacène, a déjà commencé.
Dans le Novacène, de nouveaux êtres émergeront des systèmes d'intelligence artificielle existants. Ils penseront 10 000 fois plus vite que nous et nous considéreront comme nous considérons aujourd'hui les plantes. Mais il ne s'agira pas de la prise de contrôle cruelle et violente de la planète par les machines, telle qu'imaginée par la science-fiction. Ces êtres hyperintelligents seront aussi dépendants de la santé de la planète que nous le sommes. Tout comme nous, ils auront besoin du système de refroidissement planétaire de Gaïa pour se protéger de la chaleur croissante du soleil. Et Gaïa dépend de la vie organique. Nous serons partenaires dans ce projet.
Selon Lovelock, il est essentiel que l'intelligence de la Terre survive et prospère. Il ne pense pas qu'il existe d'extraterrestres intelligents, et nous sommes donc les seuls êtres capables de comprendre le cosmos. Selon lui, le Novacène pourrait même être le début d'un processus qui aboutira finalement à ce que l'intelligence imprègne l'ensemble du cosmos. À l'âge de 100 ans, James Lovelock a produit l'œuvre la plus importante et la plus convaincante de sa vie.
Depuis des siècles, nous nous racontons sur les origines de l’inégalité une histoire très simple. Pendant l’essentiel de leur existence sur terre, les êtres humains auraient vécu au sein de petits clans de chasseurs-cueilleurs. Puis l’agriculture aurait fait son entrée, et avec elle la propriété privée. Enfin seraient nées les villes, marquant l’apparition non seulement de la civilisation, mais aussi des guerres, de la bureaucratie, du patriarcat et de l’esclavage. Or ce récit pose un gros problème : il est faux.
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De la chaux.
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Après avoir explique de quelle utilité pouvaient être les différentes espèces de sable, il faut maintenant nous occuper de la chaux, et voir si elle doit être faite avec des pierres blanches ou des cailloux. Celle qu'on fait avec une pierre dure et compacte est bonne pour la maçonnerie ; celle que fournit une pierre spongieuse vaut mieux pour les enduits. Quand la chaux sera éteinte, il faudra la mêler avec le sable : si c'est du sable fossile, dans la proportion de trois parties de sable et d'une de chaux ; si c'est du sable de rivière ou de mer, dans la proportion de deux parties de sable sur une de chaux : c'est là la juste proportion de leur mélange. Si au sable de rivière ou de mer on voulait ajouter une troisième partie de tuileaux pilés et sassés, on obtiendrait un mélange d'un usage encore meilleur.
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Pourquoi la chaux, en se mêlant à l'eau et au sable, donne-t-elle à la maçonnerie tant de solidité ? En voici, je crois, la raison. Les pierres, comme tous les autres corps, sont composées des éléments ; celles qui contiennent ou plus d'air, ou plus d'eau, ou plus de terre, ou plus de feu, sont ou plus légères, ou plus molles, ou plus dures, ou plus fragiles. Remarquons que si des pierres, avant d'être cuites, ont été pilées et mêlées à du sable, puis employées dans une construction, elles ne prennent aucune consistance et ne peuvent en lier la maçonnerie ; mais que si, jetées dans un four, elles viennent à perdre leur première solidité par l'action violente du feu auquel elles sont soumises, alors, par suite de cette chaleur qui en consume la force, elles se remplissent d'une infinité de petits trous. Ainsi l'humidité répandue dans ces pierres ayant été absorbée, et l'air qu'elles contenaient s'étant retiré, ne renfermant plus alors que la chaleur qui y reste cachée, qu'on vienne à les plonger dans l'eau avant que cette chaleur ne soit dissipée, elles reprennent leur force : l'eau qui y pénètre de tous côtés produit une ébullition ; puis le refroidissement fait sortir de la chaux la chaleur qui s'y trouvait.
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Voilà pourquoi le poids des pierres à chaux, au moment où on les jette dans le four, ne peut plus être le même quand on les en retire : si on les pèse après la cuisson, on les trouvera, bien qu'elles aient conservé le même volume, diminuées environ de la troisième partie de leur poids. Ainsi, grâce à tous ces trous, à tous ces pores, elles se mêlent promptement au sable, y adhèrent fortement, s'attachent en séchant aux moellons, et donnent à la maçonnerie une grande solidité.
- De la pouzzolane.
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Il existe une espèce de poudre à laquelle la nature a donné une propriété admirable. Elle se trouve au pays de Baïes et dans les terres des municipes qui entourent le mont Vésuve. Mêlée avec la chaux et le moellon, non seulement elle donne de la solidité aux édifices ordinaires, mais encore les môles qu'elle sert à construire dans la mer acquièrent sous l'eau une grande consistance. Voici comment j'en explique la cause. Sous ces montagnes et dans tout ce territoire, il y a un grand nombre de fontaines bouillantes ; elles n'existeraient pas, sil ne se trouvait au fond de la terre de grands feux produits par des masses de soufre, ou d'alun, ou de bitume en incandescence. La vapeur qui s'exhale de ces profonds réservoirs de feu et de flamme, se répandant brûlante par les veines de la terre, la rend légère, et le tuf qui en est produit est aride et spongieux. Ainsi, lorsque ces trois choses que produit de la même manière la violence du feu, viennent par le moyen de l'eau à se mêler et à ne plus faire qu'un seul corps, elles se durcissent promptement ; et prennent une solidité telle, que ni les flots de la mer ni la poussée des eaux ne peuvent les désunir.
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70% des livres édités en maison d’édition se vendent à moins de 500 exemplaires papier (même chez les grands éditeurs)
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La plupart des livres édités le sont à perte. Les éditeurs ne parviennent à la rentabilité que grâce aux très rares ouvrages qui se vendent à plus de 1 000 exemplaires et dont les bénéfices couvrent les pertes qu’ils réalisent sur le reste de leur production.
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En France, seuls 40 écrivains (une centaine selon d’autres sources) vivraient de leurs ouvrages.
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Près de 65% des auteurs perçoivent moins de 10% de droits d’auteur sur le prix public des livres.
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200 à 300 nouveaux titres paraissent chaque jour en France
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Donc chaque jour, 200 à 300 nouveaux titres viennent disputer sa place et son classement à votre livre
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de 70 000 nouveaux titres paraissent chaque année en France
Lorys Elmayan a importé un fichier.
Je vous joins le manuscrit de mon livre "Contes et Pandémies" dans lequel je retrace l'histoires de plusieurs d'entre elles, à partir de 1915, à travers les vécus des humains qui les subirent. Vous y verrez qu'il y eut des secrets, des retards d'annonces lorsque d'autres intérêts étaient en jeu, des solutions écartées d'emblé de n'être pas assez "attrayantes", des recherches et des erreurs lors de vaccinations qui conduiront à un nombre impressionnant de personnes malades ou décédées, des découvertes médicales majeurs par des médecins qui refusaient de renoncer, les combats de tous, les mauvaises intentions, et l'acharnement de certains pour détruire ceux qui sont jugés différents de n'être que malades (1ère vague de génocide par Hitler). J'avais entamé la rédaction de ce livre en mars 2019, n'en pouvant plus de n'avoir pas les mêmes droits qu'un autre humain, ayant constaté comme nous étions légion à subir cela depuis des décennies, par l'indifférence polie et le déni. Je découvris qu'il y avait de grandes pandémies telles que celle du SIDA qui pouvait être enrayées, mais pour lesquelles les moyens n'étaient pas mis en place, malgré un nombre de patients compté en dizaine de millions et un nombre programmé de morts à venir, étourdissant. J'en suis restée à une version romancée pour respecter les vies privées des personnages et pour libérer l'écriture des contraintes scientifiques qui auraient nécessité, dans cet ouvrage, trop d'explications imbuvables. Mais j'ai conservé tous mes sujets de recherches et depuis, appris que ce que j'avais imaginé en 2019 comme une solution à une pandémie que je pu nommer "Covid" en mars 2020, n'était pas sans rappeler l'un des plus vaste secret scientifique de ces 15 dernières années: l'existence des contrôleurs VIH. (secret levé officiellement par l'OMS et l'ONUSIDA en mars 2020
Les coopératives alimentaires de consommation DIONY-COOP s’incrivent dans une démarche économique et politique.
Il s’agit tout d’abord de donner aux habitants de St-Denis la possibilité d’acheter des produits bio et du commerce équitable à des prix raisonnables. Pour ce faire le millier de références qui est en rayons dans nos coopératives est revendu au prix d’achat sans aucune marge ajoutée.
Il s’agit aussi d’expérimenter des pratiques issues de l’éducation populaire et d’une approche libertaire de l’organisation et des rapports humains.
Dans nos coopératives, l’accent est mis sur la responsabilité individuelle. Chacun peut prendre des responsabilités et les assumer au profit du collectif. Il n’y a pas d’espace de pouvoir puisqu’il n’y a pas de structure juridique active avec des Présidents, bureau, commission, assemblée générale et autres, enfin tout ce qui permet au nom de la « responsabilité collective » de déléguer ses responsabilités et à certains d’exprimer leur volonté de pouvoir.
Dans l’ouvrage à paraître sur les monnaies royales et de la Révolution française frappées entre 1610 et 1794, plusieurs notes seront consacrées à certains faux. Il y a bien entendu les faux chinois de Louis XIV et de Louis XV qui sont apparus vers 2006 et qui ont été référencés sur le site de Franck Chétail. Ceux-ci ont donné lieu à de nombreuses publications dans le Bulletin Numismatique. Les faux d’époque sont tout aussi problématiques. Avec Charles Froidevaux, nous avons mis en évidence qu’il existait à la fin du règne de Louis XIV en Suisse une industrie très développée de la fausse monnaie. Derrière ces fabriques étaient établis des financiers, des banques et une bonne partie de l’oligarchie suisse organisés autour de vastes réseaux1. À titre d’exemple, Jean-Jacques Schmied, graveur établi à Neuchâtel, a déclaré avoir à lui seul fait 200 000 faux louis d’or, et le graveur de la Monnaie de Lyon de conclure, à l’examen des monnaies de Schmied, qu’elles étaient fausses car mieux gravées que les siennes ! Autant dire que face à de telles révélations le travail du numismate professionnel se trouve sérieusement compliqué.
En particulier l’auteur, avec le concours de notre
ami Arnaud Clairand, jette une nouvelle lumière sur l’activité
de l’atelier royal de Besançon et la fabrication de faux louis
d’or durant la période des réformations (1689-1723).