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Le Nouveau Journal, c'est quoi ?
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David Pujadas était l'invité de l'émission «Culture Médias» diffusée sur Europe 1 ce lundi 3 janvier 2022.
«Les médias, globalement, entretiennent un climat de peur»
Philippe Vandel: «David Pujadas, vous estimez que les médias entretiennent un climat de panique ?» David Pujadas: «Oui. J'estime que les médias, globalement, entretiennent un climat de peur. La peur fait vendre, la peur est l'alliée du commerce. Les émotions font vendre, et la peur est l'émotion la plus immédiatement perceptible, celle qui suscite le plus de réactions ; pas seulement les médias d'ailleurs, mais une partie de la classe politique, une partie aussi des scientifiques et des médecins.» Philippe Vandel: «Les scientifiques ?» David Pujadas: «Pour des raisons différentes, les scientifiques et les médecins ont intérêt à annoncer le pire pour se couvrir et pour qu'il n'y ait que des bonnes surprises et préserver l'état de l'hôpital.»
Une vidéo secrète le montre : le CEO Marc Walder a forcé toutes les rédactions des médias Ringier du monde entier à suivre la voie du gouvernement.
Les lecteurs se demandent depuis longtemps d'où vient l'extrême proximité des médias Ringier avec l'Etat et sa politique de Corona. Aujourd'hui, une vidéo secrète le montre : Marc Walder, CEO de Ringier, a ordonné aux rédactions de faire allégeance au gouvernement.
L’argent de la Fondation Gates destiné aux programmes médiatiques a été divisé en plusieurs sections, présentées par ordre numérique décroissant, et comprend un lien vers la subvention correspondante sur le site Web de l’organisation.
Récompenses directement aux médias :
Radio publique nationale — 24 663 066 $ .
The Guardian (y compris TheGuardian.org ) – 12 951 391 $ .
Médias publics en cascade — 10 895 016 $ .
Public Radio International (PRI.org/TheWorld.org) — 7 719 113 $ .
La conversation — 6 664 271 $ .
Univision — 5 924 043 $ .
Der Spiegel (Allemagne) — 5 437 294 $.
Syndicat de projet — 5 280 186 $ .
Semaine de l’éducation — 4 898 240 $ .
WETA – 4 529 400 $ .
NBCUniversal Media — 4 373 500 $ .
Nation Media Group (Kenya) — 4 073 194 $ .
Le Monde (France) — 4 014 512 $ .
Bhekisisa (Afrique du Sud) — 3 990 182 $ .
El País — 3 968 184 $ .
BBC — 3 668 657 $ .
CNN — 3 600 000 $ .
KCET — 3 520 703 $ .
Population Communications International (population.org) — 3 500 000 $ .
Le Daily Telegraph — 3 446 801 $ .
Chalkbeat – 2 672 491 $ .
The Education Post — 2 639 193 $ .
Rockhopper Productions (Royaume-Uni) — 2 480 392 $ .
Société de radiodiffusion publique — 2 430 949 $ .
Upworthy – 2 339 023 $ .
Financial Times — 2 309 845 $ .
Les 74 médias — 2 275 344 $ .
Texas Tribune — 2 317 163 $ .
Punch (Nigéria) — 2 175 675 $ .
Nouvelles profondément – 1 612 122 $ .
L’Atlantique – – 1 403 453 $ .
Radio publique du Minnesota — 1 290 898 $ .
YR Media — 1 125 000 $ .
Le nouvel humanitaire — 1 046 457 $ .
Sheger FM (Éthiopie) – 1 004 600 $ .
Al-Jazeera — 1 000 000 $ .
ProPublica — 1 000 000 $ .
Médias publics croisés — 810 000 $ .
Magazine Grist — 750 000 $ .
Kurzgesagt — 570 000 $ .
Educational Broadcasting Corp — 506 504 $.
Classique 98,1 — 500 000 $.
PBS – 499 997 $ .
Gannett – 499 651 $.
Mail and Guardian (Afrique du Sud) — 492 974 $ .
À l’intérieur de l’enseignement supérieur. — 439 910 $.
Jour ouvrable (Nigéria) — 416 900 $ .
Medium.com — 412 000 $ .
Nutopia — 350 000 $.
Independent Television Broadcasting Inc. — 300 000 $ .
Service de télévision indépendant, Inc. — 300 000 $ .
Caixin Media (Chine) — 250 000 $ .
Service d’information du Pacifique — 225 000 $ .
Journal national — 220 638 $.
Chronique de l’enseignement supérieur — 149 994 $.
Belle et Wissell, Co. — 100 000 $.
Fiducie des médias — 100 000 $.
Radio publique de New York — 77 290 $.
KUOW – Radio publique Puget Sound – 5 310 $.
Ensemble, ces dons totalisent 166 216 526 $. L’argent est généralement dirigé vers des problèmes qui tiennent à cœur aux Gates.
Par exemple, la subvention de 3,6 millions de dollars de CNN a été consacrée à « un reportage sur l’égalité des sexes avec un accent particulier sur les pays les moins avancés, en produisant du journalisme sur les inégalités quotidiennes subies par les femmes et les filles à travers le monde », tandis que le Texas Tribune a reçu des millions pour « accroître la sensibilisation et l’engagement du public sur les questions de réforme de l’éducation au Texas. »
Le mouvement "One Nation" envisage de s'installer dans le Lot. L'organisation a jeté son dévolu sur un domaine de 200 hectares à Sénaillac-Lauzès dans le parc naturel régional des Causses du Quercy.
Une perspective que les habitants de la commune voient d'un très mauvais œil.
Vincent Nicolet
Publié dimanche 11 octobre 2020 à 17:42
Pointée du doigt pour ses propos conspirationnistes, l’enseignante genevoise Chloé Frammery ravive le débat sur la liberté d’expression des maîtres
A peine les braises du «t-shirt de la honte» éteintes qu’un nouveau feu couve au sein de l’enseignement secondaire genevois. Depuis quelques semaines, on s’agite sur la Toile à grands coups d’invectives ou de louanges pour donner son avis sur une constellation de conspirationnistes romands. Médiatisé par Le Temps en mai, le groupe a récemment refait surface à la faveur d’une infiltration menée par un journaliste de Heidi. news.
Structurés bénévolement, ces militants embrassant des thèses complotistes s’activent à diffuser leur message dans l’espace public et virtuel ou bien vivant. En atteste la tenue de la manifestation anti-masque à Genève du 12 septembre organisée par le Mouvement suisse pour la liberté citoyenne, au cours de laquelle ils ont pris la parole. «Il faut boycotter le port du masque, nous sommes manipulés par les profiteurs de la crise, la fondation Bill & Melinda Gates, l’OMS et l’industrie pharmaceutique veulent nous surveiller en nous inoculant des puces électroniques sous le prétexte d’une future vaccination au Covid-19», voilà leur credo. Sur le plan politique, ces activistes ont lancé un référendum contre l’application SwissCovid. Il n’a pas abouti. L’histoire aurait peut-être pu s’arrêter là si leur figure de proue, Chloé Frammery, n’était pas employée du Département de l’instruction publique genevois.
L'article en pdf:
https://martouf.ch/wp-content/uploads/2020/10/Chloe-enseigne-liberte-expression-12.10.2020.pdf
Notre financement
Heidi.news est édité par l’entreprise Heidi Media SA, dont le siège social est au 50 rue de Malatrex, 1201 Genève. L’entreprise est inscrite au Registre du commerce
La société Heidi Media SA et ses actionnaires
Le financement de la société a été assuré par ses actionnaires depuis sa création à fin 2017. Le site Heidi.news a été lancé le 2 mai 2019.
Le capital social de Heidi Media SA est de CHF 184’269, entièrement libéré. Il est décomposé en 150’000 actions nominatives liées (actions ordinaires) et 34’269 actions nominatives liées A (actions privilégiées). Les actions privilégiées le sont conformément à l’article 34 des Statuts de Heidi Media SA.
Les actionnaires de la société ne sont pas légalement tenus de dévoiler leur identité, mais ils y ont été invités par la société. Nous respectons le souhait de certains d’entre eux de rester anonymes. La majorité du capital social est détenue par les cofondateurs et les salariés du média. Au dernier état (31.8.2020), la liste des actionnaires de Heidi.news.
La FIDI (Fondation pour l’innovation et la diversité dans l’information)
Afin de favoriser et faciliter la recherche de dons en faveur de projets liés aux médias, Serge Michel et Tibère Adler (cofondateurs de Heidi.news) ont encouragé et suscité la création d’une nouvelle fondation en décembre 2019: la FIDI, ou Fondation pour l’innovation et la diversité dans l’information. La FIDI est inscrite au Registre du commerce et ses Statuts sont disponibles en ligne. Elle est reconnue d’utilité publique par le canton de Genève. Le conseil de fondation de la FIDI est présidé par Joëlle Kuntz et composé par ailleurs de Caroline Miller, Me Marc Balavoine (secrétaire de la fondation), Tibère Adler et Serge Michel. La FIDI a déjà prouvé son efficacité en contribuant, pour des donateurs qui le souhaitaient, à plusieurs projets développés par Heidi.news. Selon ses statuts, elle est aussi en mesure, dans la limite de ses moyens et de la volonté des donateurs, d'apporter du soutien à d'autres médias.
Les revenus opérationnels de Heidi.news
En 2020, les revenus de Heidi Media SA proviennent de cinq sources:
Les abonnements
Les ventes
Les partenariats
Les donations
Les projets spéciaux et prestations de fourniture de contenus
Heidi.news ne vend pas de publicité sur son site internet. Les newsletters de Heidi.news véhiculent régulièrement un bloc intitulé «Contenu partenaire» qui n’émane pas de la rédaction.
Les abonnements sont la principale source de revenus de Heidi.news (> 50%). Des personnes privées, des entreprises et institutions y ont souscrit. Voir nos offres d’abonnement.
Les ventes incluent principalement les revues imprimées des Explorations de Heidi.news, à l’unité en librairie, en kiosque ou sur notre boutique en ligne. Les revues adressées aux abonnés (formules «Explorateur» ou «Soutien») sont comptabilisées dans les abonnements.
Les partenariats comprennent les revenus payés par des entreprises pour des contre-prestations commerciales. En 2020, les revenus tirés des partenariats restent modestes. Ils consistent principalement en paiements pour la diffusion d'un "contenu partenaire" dans les newsletters de Heidi.news ou en relation avec une manifestation (Event). La création d’un «club corporate» de soutien a été freinée par la pandémie du Covid-19.
Les donations sont des paiements (contributions à fonds perdus) faits à la société par des mécènes et philanthropes, sans contre-prestation en retour. Certaines donations sont faites de manière générale et non affectées en faveur du développement de Heidi.news; d’autres, selon la volonté du donateur, sont affectées à un projet spécifique.
Pour 2020, la liste des donations supérieures à CHF 10'000 reçues par Heidi.news s’établit comme suit (état au 31.8.2020):
Fondation Leenaards, Lausanne CHF 50’000 (donation générale, affectée au développement des flux sciences et santé de Heidi.news)
Fondation H. Dudley Wright, Genève CHF 50’000 (donation générale, non affectée)
Ferring International Center SA, St-Prex, CHF 250’000 (donation générale, non affectée)
Monsieur Guy Demole, via la Fondation FIDI, CHF 50’000 (donation générale, non affectée)
Fondation Yves et Inez Oltramare, Genève, CHF 20’000 (donation spécifique, projet vidéo “The virus that is changing the world”, en partenariat avec le Graduate Institute).
Fondation du domaine de Villette, CHF 100’000 (donation spécifique, projet «Abonnements jeunes à prix libre»)
Fondation Gebert Rüf (CHF 100’000), fondation Volkart (CHF 20’000), fondation Ernst Göhner (CHF 15’000), agissant en consortium via la fondation FIDI (donation spécifique, projet Pop Science)
Au surplus, Heidi.news a reçu de nombreuses donations de la part d’abonnés ayant arrondi généreusement «vers le haut» le montant de leur abonnement, afin de soutenir le média. Pour 2020, au dernier état (31.8.2020), ceci correspondait à 323 donateurs et donatrices pour un montant global de 19’438 francs.
Les projets spéciaux et fourniture de contenus pour des tiers constituent une catégorie à part dans les revenus de Heidi.news. Il s’agit à chaque fois d’activités spécifiques, ayant un objectif et un public particulier, mais restant en lien avec l’activité principale de Heidi.news. Mentionnons les projets principaux:
Pop Science propose des vidéos de familiarisation avec la science et les concepts scientifiques pour les jeunes. Les vidéos sont réalisées par Heidi.news. Le projet est financé par les fondations Gebert Rüf, Ernst Göhner et Volkart, agissant ensemble via la fondation FIDI (le financement de premier niveau est attribué à la FIDI, qui finance ensuite Heidi.news pour la réalisation).
Geneva Solutions est une plateforme journalistique reflétant l’actualité de la Genève internationale. Le projet a remporté un appel à projets (décembre 2019) organisé conjointement par la Confédération, le canton de Genève et la ville de Genève. Les trois collectivités publiques assument le financement de base de Geneva Solutions (CHF 292’000 au total, dont 150’000 par la Confédération, 102’000 par le canton de Genève et 40’000 par la ville de Genève), qui sera étendu par d’autres apports, notamment philanthropiques. La plateforme est portée par la fondation FIDI, qui récolte en premier niveau le financement des collectivités publiques et des donateurs. La FIDI dote ensuite Heidi.news des moyens financiers nécessaires à la réalisation du projet. Geneva Solutions est dotée d’une équipe dédiée.
Plus d'informations
Heidi.news produit et réalise le contenu du magazine du Grand Théâtre de Genève depuis l’automne 2019 (voir les éditions du magazine).
À l’exception très spécifique du projet Geneva Solutions, Heidi.news ne reçoit aucun argent public pour soutenir ses propres activités. Pourtant, nous considérons que les médias font partie de la culture au sens large et sont nécessaires au fonctionnement démocratique. Le plus souvent, les grandes activités culturelles (festivals, musées, théâtres) reposent sur trois sources de financement, à savoir de l’argent privé (billetterie, sponsoring), de l’argent philanthropique (mécénat, donations) et de l’argent public (subventions).
Heidi.news, pour l’instant, a deux sources de financement: privées (abonnements, ventes, partenariats) et philanthropiques (donations). Si la Confédération ou les cantons devaient mettre en place une aide financière publique pour les médias en ligne (le Parlement fédéral est appelé à décider sur ce point en automne 2020), Heidi.news serait capable d’enrichir son offre éditoriale avec une troisième source de financement, cohérente avec les deux premières.
Alexis Favre Merci déjà f'avoir ouvert la brèche médiatique et de parler du sujet des milliards de la BNS. Si le format du débat ne convient pas, alors pouvez vous informer vos collègues d'autres émissions pour aborder le sujet ?
En mai 2018, lors d'un passage au palais fédéral pour voir quelques parlementaires et discuter du sujet de la redistribution du bénéfice de la BNS, j'ai déjà discuté du sujet avec Pietro Bugnon... mais depuis toujours rien dans les médias jusqu'à vous.
Lors de la dernière AG de la BNS j'ai posé une question simple:
- Il y a 2 types de réserve. Une pour la politique monétaire... et une pour la redistribution futures. La BNS éponge les dette avec la redistribution future !!! Pourquoi elle n'utilise pas la réserve pour la politique monétaire pour faire de la politique monétaire ?
→ réponse à côté de la plaque de Jean Studer, alors président du conseil de banque... il n'a pas compris la question. Où plutôt il a tenté de faire une réponse avant que je pose la question avec les mots clés qu'on doit écrire avant de poser publiquement la question.
→ J'ai reposé ma question lors du buffet à Thomas Jordan. Réponse plus claire. La réserve pour la politique monétaire n'a pas le droit de diminuer !!!! ... mais alors à quoi sert une réserve dans laquelle on a pas le droit de piocher dedans !!!????
Une des explications que j'ai à ça, c'est le fait que la réserve correspond à une règle de 8% du PIB... donc si le PIB ne baisse pas.. la réserve ne baisse pas.....
Avec les AAA+ Assemblée des Actionnaires Actifs Positifs ça fait depuis 2015 que nous tentons de comprendre ce qui cloche avec la BNS et sa gestion.
Nous sommes déjà très heureux d'avoir pu faire revivre l'AG qui n'était plus qu'un Buffet.... en 2016 le site web du Matin avait déjà publié le compte rendu de l'AG à 10h01... alors que celle-ci commence à 10h !! .. le soir dans l'émission Forum sur la RTS Blaise Rossellat membre de notre collectif s'est retrouvé dans un débat surréaliste avec un journaliste qui n'avait connaissance que du communiqué de presse de la BNS ne reflétant absolument pas les faits de la journée....
Depuis là nous sommes heureux d'avoir pu susciter l'intérêt des médias. En 2017, nous avons eu à nouveau les médias présent à l'AG. :) Merci.
Les questions des placements non éthiques et non écologiques ont pu être abordée. C'est la partie simple.
Mais il reste encore la question de la création monétaire qui est totalement incomprise de la majorité de la population et des médias. (heureusement l'initiative monnaie pleine à fait avancer les choses)
Mais il reste aussi la question de la redistribution du "bénéfice NET" de la BNS. (selon la constitution)... qui est bafoué dans la loi.... sous forme de 2/3 d'un bénéfice convenu entre le DFF et la BNS... ainsi une convention est plus forte que la constitution !!
Notre collectif AAA+ a interpellé le conseil fédéral via des parlementaires et via des lettres directes... la langue de bois règne... et même les fake news... Alain Berset rencontré après une conférence sur les fakes news a dit n'avoir jamais vu la lettre qu'il a signée...
L'explication détaillée de cette histoire est sur cette page. Il y a aussi l'explication de Jean Studer qui explique qu'en Suisse une loi (et du coup une convention mentionnée dans la loi) est plus forte que la constitution si elle n'a pas été remise en question dans le délai référendaire... Vraiment ?
https://aaapositifs.ch/alain-berset-cree-des-fake-news-a-propos-du-benefice-de-la-banque-nationale-suisse/
Ainsi, le sujet est certes compliqué et technique au premier abord. Mais surtout politique:
Est-ce que le peuple suisse à le droit de choisir sa politique monétaire ?? ... → on dirait pas ! C'est la doctrine des banque centrales indépendantes qui règne... renforcée en 2004 par Kaspar Villiger avant qu'il passe du conseil fédéral au conseil d'Administration d'UBS..
La BNS a bien agit en situation d'urgence avec une politique monétaire pour sauver l'industrie d'exportation. Mais au bout de 11 ans de politique non-conventionnelle, est-ce que l'on ne devrait pas avoir un vrai débat de fond ?
Le système est virtuellement mort. Suivre l'€ et le $ en masse monétaire infinie est absurde... Planifier une transition de système fera moins mal que de la subir avec une crise majeure.
C'est là que seuls les médias peuvent vraiment avoir le poids de lancer le débat et informer le public de la réalité. C'est là que nous comptons sur vous.
Je vous remercie déjà énormément d'oser aborder le sujet. Et j'espère que ce long commentaire vous inspirera pour la suite.
Mon souhait est que l'on puisse rediscuter de la convention entre la BNS et le DFF sur la redistribution du bénéfice car cette convention doit être refaite en 2020.
Mon souhait c'est que le peuple suisse puisse ne pas se faire arnaquer dans l'urgence quand des banques systémiques font faillite... Il est hallucinant que l'on ai de quoi sauver les banques mais pas de quoi faire des politiques environnementales et sociale...
Pourquoi sauver les banques et leur permettre de tout recommencer comme avant..... ne faudrait il pas cesser le chantage au too big to fail... et laisser les banques assumer leur politique irresponsable ?
Pourquoi on évoque aussi rarement le fait que crédit suisse à fait faillite en 2008 et s'est "prêté" à lui même CHF 10 milliards.... ??
Si ça ne pose aucun soucis... alors pourquoi ne pas faire pareil pour d'autres projets ??
Voici le genre de débat de fond sur la politique monétaire que j'aimerai voir dans les médias.
https://aaapositifs.ch/qui-se-souvient-de-la-faillite-du-credit-suisse-en-2008/
Merci de m'avoir lu. Bonne journée
Alexis Favre · c’est vrai. Et dans un monde parfait, nous aurions dû l’aborder. Pourquoi les provisions pour réserves monétaires (70 milliards) n’épongent pas les pertes? La question mérite vraiment d’être posée. Mais nous sommes là dans une discussion d’architecture comptable difficilement compatible avec le format du débat.