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Le cerveau humain est un organe extraordinairement complexe, responsable de tous les aspects de la cognition et du contrôle.
Des milliards de neurones établissent des connexions avec des milliers d'autres neurones, ce qui donne lieu à des trillions de synapses qui créent un réseau vaste et complexe.
Ce réseau est soumis à un remodelage continu qui s'adapte aux changements environnementaux et développementaux. La neuroplasticité qui en résulte est cruciale tant pour les états de santé que pour de nombreuses formes de maladies mentales et de neurodégénérescence.
Cette étude narrative examine en détail la N,N-diméthyltryptamine (DMT), un hallucinogène naturel et un composé psychédélique, en se concentrant sur ses implications dans la promotion de la neuroplasticité par le biais de la neuritogenèse. Nous examinons la pharmacologie du DMT, y compris son interaction avec les récepteurs sérotoninergiques, sigma-1 et les récepteurs associés aux amines traces, ainsi que les voies de signalisation qui leur sont associées.
Le potentiel thérapeutique du DMT dans les modèles animaux et les essais cliniques est discuté avec des impacts sur la perception, la cognition, l'émotion et la conscience. Nous nous concentrons particulièrement sur les orientations actuelles visant à dévoiler les mécanismes directs des effets thérapeutiques du DMT qui démontrent des effets transformateurs sur le bien-être mental, en particulier pour des conditions telles que la dépression, l'anxiété et le syndrome de stress post-traumatique.
Nous discutons du lien entre le DMT et la neuroplasticité, qui offre la possibilité de former de nouvelles connexions neuronales, d'améliorer l'apprentissage et la mémoire, et de faciliter le rétablissement après des lésions cérébrales, y compris la neuroréhabilitation et la neurorégénération.
Le potentiel ultime de l'efficacité thérapeutique du DMT pour améliorer la neurogenèse, en particulier pour les conditions neurodégénératives, est également discuté.
Protecteur neurologique
Au cours d’une expérimentation menée en février 2019, des souris mâles reçoivent des extraits bruts d'Hericium erinaceus à 60 mg/kg et 120 mg/kg. Il en découle une amélioration de la survie neuronale. Ces résultats indiqueraient une possible application de l’hydne hérisson dans la prévention de la mort neuronale après une crise d'épilepsie.1
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30781501/
Plusieurs études précliniques montrent que le mycélium d’Hericium erinaceus enrichi en Erinacine A, un diterpène, peut présenter des bénéfices face à l'AVC ischémique, la maladie de Parkinson, la maladie d'Alzheimer et la dépression.2
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29951133/
Ce mycélium et ses extraits d'éthanol mettent en évidence un potentiel médicament thérapeutique contre la maladie d'Alzheimer.3
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27350344/
En octobre 2016, une équipe de chercheurs malaisiens démontre que le champignon "crinière de lion" favorise la régénération des nerfs périphériques après une blessure. C'est le cas lors d'un écrasement.4
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25159861/
Protecteur gastrique
Les polysaccharides d'Hericium erinaceus, possèdent une activité gastro-protectrice. D’après une étude chinoise publiée en avril 2018 et menée sur le rat, leur action serait liée à la régulation des sécrétions gastriques, à l'amélioration du statut anti-inflammatoire et antioxydant, ainsi qu'à une augmentation des facteurs de défense.
Toujours chez l'animal, des canetons de Barbarie infectés par rétrovirus aviaire et traités à l’aide de ces polysaccharides, ont vu leurs lésions s’améliorer. C'était également le cas de la fonction immunitaire de la muqueuse.5
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/28951299/
Il s’agit du 24e item c’est-à-dire du 24e roi de France (Pharamond étant le premier) ; l’image possède une légende : « un oiseau sur un miroir poursuivi par un grand chat ». Grand chat en italique signifie Charlemagne.
La 2e phrase « l’oiseau a volé un code beau » permet de trouver la date, chaque consonne de « code beau » correspondant à un chiffre : C=7, D=6, B=8, expliqué en début d’ouvrage.
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Quant aux italiques de la 3e phrase, elles rappellent par similitude phonétique d’autres termes : vite : Witikind, sac : Saxons, long : Lombards, halle : Allemagne, est-ce : Espagne, l’occit : Occident et capitule : capitulaires !
Ainsi l’image du chat et de l’oiseau est censé rappeler que Charlemagne a commencé son règne en 768 ainsi que les grands faits de son règne.
Cette méthode ne s’applique pas qu’aux Mérovingiens ou aux Carolingiens mais peut se poursuivre jusqu’à Napoléon III et s’applique également pour les rois et reines anglais ou pour l’histoire sainte.
ALLEVYTECHNIE.
MOYEN d’apprendre vite et de retenir toujours,
APPLICABLE A TOUTES LES SCIENCES.
PAR ALLEVY
seul Professeur de cette Méthode.
(Apprendre n’est rien,\ ( Apprendre vite. )
V Retenir c’est tout. ) (Retenir toujoursJ
(Instruire en amusant.)
L’apparence en est puérile, je le confesse,
mais ces puérilités servent d’enveloppe a
des vérités importantes.
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Depuis ce temps plusieurs degrés ont été mesurés en différens/ pays j Lacaille au cap de Bonne-Espérance; Boscpwich, dans les états du Pape, Beecafia^ dans le Piémoritf Liesganig, en Autriche et eh Hongrie, suivirent avec.plus ou moins de succès, les exemples donnés én France; 5 enfin, Mason et Dixon. mesurèrent un degré en Pensilvahie, sans employer aucun triangle, et en portant la toise actuellement sur l'arc .terrestre tout entier. Loin de fixer l'incertitude qui restoit sur la quantité 'de l'àpplatissement, la comparaison de tous ces degrés étoit plus propre à faire douter de la similitude des méridiens ou de la régularité dé leur courbure. Ces soupçons ont acquis de nouvelles forces par les dernières opérations. On finira peut-être' par recbnhoîtrè que les parallèles ne, s'éloignent pas moins que les méridiens de là figuré circulaire, et quftla terre n'est pas exactement un solide de révolution j mais si l'on acquiert la preuve que toutes les parties de ïa terre sont irrégùlières on saura dû moins, à fort peu après, dans quelles limites ces irrégularités seront renfermées, et l'on resserrera de plus en' plus ces limites déjà même il est démontré que si l'on peut commettre quelqû'errèur en donnant à la terre la figure d'un sphéroïde elliptique, cette erreur est du moins absolument indifférente pour la pratique. Ces mesures de degrés et celles du pendule faites avec des soins non moins scrupuleux, en différens climats, avoient donné l'idée d'une mesure universelle et' invariable, dont l'original, seroit pris dans la nature. Picard, qui avoit lié entre elles les deux opérations afin qu'on
put en tout temps retrouver là valeur, de sâ 'toiser proposoit Ma- longueur -du pendule pour, cette mesure universelle, et lui vHonnoit le nom de rayon astrono- inique } il prbmettoit: que cette longueur et sa toise seroient scrupuleusement conservées dans le magnifique observatoire qui vénoit d'être terminé. On eut depuis à se repentir d'avoir néglige une précaution si sage et siifàcile.
•' Cassini dans le livre De la grandeur, et de la jtgure de la terre pages i58 et i5p, proposoi't un)pied géométrique qui seroit là six-millième partie de la -minuté du 'grand cercle, ou bien une brasse de deux de ces pieds et qui seroit là dix-millionième partie dû demi-diâmëtre de la terre, ou' enfin' une toise.de six de ces: mêmes piérïs^ ensorte que le degré eût été de .60^060 toises. Cette idée différôit peu de celle de. Mouton, qui, dans .un ouvragé imprimé à Lyon en 1670, proposait dé prendre. pour unité la minute du degré qu'il appeloit mille} les. divi- sions et sous divisions de cette grande unité étoient toutes décimales, et il leur dônnoit les noms de ee«decurici) ijirga^ virgule décima 'y oentèsima et Ijirgay'virgula^ digitus, gmnuni, puncttini. {Obsefvàtioriès didmetrorurîiy-p. 427-) ï • ̃̃̃•' Cette idée d'une mesure universelle, prise dans la na- ture ,futrapplaudie et souvent reproduite, mais sans aucun succès, si ce n'est celui d'avoir été: jugée assez bonne pour qu'on ait cru devoir en faire honneur aux anciens. Paucton à la page 102 de sa; Métrologie y dit ex-
pressémentique \e prototype naturel auquel les anciens avaient rapporté- leurs mesures est la mesure de, la terre et un peu plus haut l'Egypte conservoit ce module au-;et page le côté de la grande pyramide pris cinq cents fois\ est précisément la mesure du degré déterminé par les modernes. Dans eetté hypothèse, tout s'explique avèc'une merveilleuse facilité;, mais c'est en donnant 684 i pieds au côté de la base. Or, suivant les mesures faites par les astronomes et ingénieurs français en Egypte, ce côté est de 716- et cette longueur donne au degré. 2700 toises de plus qu'il ne doit avoir selon nos mesures..
Bailli, en présentant à son lecteur une idée assez semblable à celle de Paucton, ne l'offre du moins que comme une conjecture vraisemblable ( Histoire de l'astronomie, moderne^ t. pag.. dit-il, ont eu comme, nous l'idée de rendre leurs mesures invariables en les prenant dans la nature^ et cette idéer enco-re sans exécution chez nous,) semble avoir été remplie par eux. Gomme Paucton, il prend pour base$-de¡ son système le côté de là pyramide et la coudée, qu'il, suppose de pouces; mais, suivant nos ingénieurs, la coudée nilométrique. est de 19,992 pouces j tandis que le côté de la pyramide est de 716 ̃- au lieu, de Nous ne; ferons aucune: réflexion sur tousj ces systèmes bâtis sur desiondeinens si ruineux j maison regrette que. tant d'auteurs qui se sont' exercés. à retrouver dans les ouvrages des anciens tout ce-: que les modernes ont. de mieux, ne se soient, pas attachés plutôt à démêler les
découvertes futures que -ces Ouvrages, recèlent aussi, sans doute, et à nous apprendre ce que nous ignorons encore. Quoi qu'il en soit, au reste, de toutes ces conjectures; .,que les mesures usitées chez les peuples; anciens y dont nous connbissons l'histoire aient, eu pour origine les travaux d'un peuple inconnu dont la mémoire n'étoit pas même parvenue aux Grecs ni aux Romains que Pidée d'une mesure universelle et prise dans-la nature soit due aux modernes, ou qu'elle ait, été réalisée bien avant les temps historiques nous la voyons enfin heureusement exécutée c'est de tous -les bons effets, qui resteront de la révolution française celui. que nous aurons payé moins cher, et si ce grand changement a éprouvé quelques contradictions, elles tenoient uniquement à cet esprit d'inertie et de paresse qui commence toujours par repousser les noùveautés les plus utiles. Depuis long-temps, l'étonnante et scandaleuse di.v.ersité de nos. mesures avoit excité les réclamations. des bons esprits; plus d'une fois .on avoit présenté des projets de réforme -au gouvernement qui les avoit fait examiner: mais, malgré les rapports les plus favorables, malgré la bonne Volonté des ministres, et particulièrement du contrôleur général des finances Orry, ces projets avoient toujours été repoussés ou mis en oubli. En le, vœu d'une mesure uniforme fut consigné dans' les cahiers-de quelques bailliages 5 quelques savans fuirent entendre leur voix. Les, esprits étoient alors disposés à recevoir, avec enthousiasme toutes les réformes utiles,-
Le système incohérent de nos mesures, outre ses incori- vériiens réels, ayoit un vice origine qui en fit hâter l'abolition la confusion qui y régnoit étoit en grande partie l'ouvragé de cette féodalité que personne n'osoit plus défendre et dont on trâvailloit à faire disparoitre jusqu'aux moindres vestiges. Ce concours unique de circonstances valut. un accueil favorable à la proposition faite en l'assemblée constituante par M. dé Tal.Ieyrahd aujourd'hui ministre des 'relations extérieures. Le 6 mai, M. de Borinai fit son rapport et le. 8 du même mois l'assemblée rendit un décret pax lequel le toi étoit supplié d'écrire à M Britannique et de la prier d'engager le parlementa" Angleterre à concourir avec l'assemblée nationale la fixation de l'unité naturelle dès mesures et iles poids, àjîri que, sous les auspices 'des deux nations des commissaires dè P Académie des sciences pussent se réunir en nombre égal avec des mentbrés choisis de Za Société royale de Londres, dans le lieu 'qui seroit jugé respectivement le plus convenable, pour déterminer à la latitude de 45 degrés, du toute autre latitude qui pourroit être préférée 7 la longueur du pendule, et en dédrüre un modèle invariable pour toutes les mesures et pour les poids Ce décret fut sanctionné le 22 août.* L'Académie ioomma une commission composée de MM. Borda y Lagrange, Lapiace, Monge et Condorcet. Leur rapport, imprimé dans lés Mémoires de l'Académie des sciences pour 1788, p. 7, est du mars 179t. Ori- y voit les raisons qui peuvent être àlléguées en faveur des
Mémoire sur le système métrique des anciens égyptiens:
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