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Taux de mortalité 'COVID-19' en Suisse
Selon les statistiques tirées du site www.covid19.admin.ch, parmi les cas, hospitalisations et décès confirmés en laboratoire, le taux de mortalité* par tranche d’âge est :
*du 20 février 2020 au 5 janvier 2021 : période pré-vaccination
0-9 ans = 0.042 %
10-19 ans = 0.000 %
20-29 ans = 0.004 %
30-39 ans = 0.01 %
40-49 ans = 0.03 %
50-59 ans = 0.16 %
60-69 ans = 1.03 %
70-79 ans = 5.21 %
80+ ans = 16.12 %
À noter que l’espérance de vie en Suisse est de 83 ans.
La France a recensé provisoirement 667 000 décès en 2020, soit 53 900 de plus qu'en 2019. Cet accroissement de 9 % doit être pondéré par la prise en compte de l'augmentation régulière des décès liée au vieillissement des Français, augmentation qui frôle les 2 % par an. Cependant, même après ajustement sur l'âge moyen, il existe, en 2020, une nette surmortalité concomitante à l'épidémie de COVID-19, de l'ordre de 7 %.
Les déclarations de décès électroniques, plus rapides à traiter que les manuscrites (mais ne représentant que 40 % des déclarations), nous apprennent que la mortalité française attribuée à la COVID-19, en 2020, a surtout concerné des sujets âgés : 93 % des victimes ont plus de 65 ans et leur âge moyen est de 82 ans. Près de 80 % des décès surviennent chez les plus de 75 ans, contre 5 % chez les moins de 55 ans. Cependant, ces chiffres sont issus de données partielles et la consolidation, réalisée annuellement par l'Inserm, prendra encore de nombreux mois.
Autre source, le site dédié aux statistiques du covid-19 de l’OFSP. Au 31 décembre 2020, ce site faisait état de 7’082 décès attribués au covid-19. Ce chiffre est assez conservateur : il ne tient pas encore compte des décès qui vont être attribués au covid-19 par suite d’analyses encore en cours, les statistiques cantonales aboutissant d’ailleurs à un nombre de décès plus élevé d’environ 10%. Ce qui est intéressant ici est le constat que le nombre de décès attribués au covid-19 est presque exactement identique, à 150 unités près, à la surmortalité totale enregistrée en 2020. C’est dire que le covid-19 n’a pratiquement pas emporté de personnes qui seraient décédées en 2020 en son absence : les victimes du covid-19 en Suisse auraient dans leur immense majorité vu le jour de l’an 2021 si le virus n’avait pas écourté leur vie.
Il faudra toutefois confirmer cette hypothèse en 2021 une fois l’épidémie terminée: il reste possible qu’on enregistre à l’été et à l’automne une forte sous-mortalité, ce qui conforterait alors l’hypothèse voulant que les décès covid-19 soient avant tout le fait de personnes en toute fin de vie. Pour rappel, la médiane d’âge des décédés du covid-19 s’établit à environ 85 ans, ce qui à première vue confirme l’idée de personnes en fin de vie – et qui n’est pas exactement vrai: en effet, une personne de cet âge a en moyenne encore six ans de vie devant elle.
Selon le nouveau rapport (qui n'avait pas été mis à jour depuis juillet) de l'Institut supérieur de santé italien (ISS) sur la mortalité du Covid, le virus qui a mis le monde à genoux aurait tué bien moins qu'une simple grippe !
Selon l'échantillon statistique de dossiers médicaux collectés par l'institut, seuls 2,9% des décès enregistrés depuis fin février 2020 seraient dus au Covid 19. Ainsi sur les 130 468 décès enregistrés par les statistiques officielles au moment de la préparation du nouveau rapport, seuls 3 783 seraient dus au virus lui-même.
Car tous les autres Italiens qui ont perdu la vie avaient de une à cinq maladies qui, selon l'ISS, leur laissaient donc déjà peu d'espoir. Même 67, 7% auraient eu plus de trois maladies en même temps et 18% au moins deux ensemble.
Parmi les pathologies croisées, 65,8% des Italiens qui ne sont plus là après avoir été infectés par le Covid étaient atteints d'hypertension artérielle, 23,5 % souffraient également de démence, 29,3 % ajoutaient du diabète à leurs maux, 24,8 % étaient également atteints de fibrillation auriculaire. Et cela ne suffit pas : 17,4 % avaient déjà des poumons malades, 16,3 % avaient eu un cancer au cours des 5 dernières années, 15,7% souffraient d'insuffisance cardiaque.
Mais en payant plus cher, médecins et hôpitaux pour déclarer des morts Covid, cela a suffit à faire le reste n'est-ce pas ?
Franco Bechis 21 octobre 2021
Selon le nouveau rapport (qui n'a pas été mis à jour depuis juillet) de l'Istituto Superiore di Sanità sur la mortalité due au Covid, le virus qui a mis le monde à genoux a tué beaucoup moins de personnes qu'une grippe ordinaire. Cela ressemble à une affirmation farfelue, sans vaccin, mais selon l'échantillon statistique de dossiers médicaux collectés par l'institut, seuls 2,9 % des décès enregistrés depuis fin février 2020 étaient dus au Covid 19. Ainsi, sur les 130 468 décès enregistrés par les statistiques officielles au moment de la préparation du nouveau rapport, seuls 3 783 étaient dus à la puissance du virus lui-même. Parce que tous les autres Italiens qui ont perdu la vie avaient entre une et cinq maladies qui, selon l'Institut national italien de la santé, leur laissaient déjà peu d'espoir. Pas moins de 67,7% auraient eu plus de trois maladies ensemble, et 18% au moins deux ensemble. Maintenant, je connais personnellement beaucoup de gens, mais aucun qui a le malheur d'avoir cinq maladies graves en même temps. Je voudrais faire confiance à nos scientifiques, mais ensuite je lis les maladies énumérées, qui ne seraient pas la moindre raison de la perte de tant d'Italiens, et en tant que profane, je commence à avoir quelques doutes. Selon l'Institut national italien de la santé, 65,8 % des Italiens qui ne sont plus de ce monde après avoir été infectés par Covid souffraient d'hypertension. 23,5% étaient également atteints de démence, 29,3% de diabète et 24,8% de fibrillation auriculaire. Et ce n'est pas tout : 17,4 % avaient déjà des poumons malades, 16,3 % avaient eu un cancer au cours des cinq dernières années ; 15,7 % souffraient d'une insuffisance cardiaque, 28 % d'une cardiopathie ischémique, 24,8 % d'une fibrillation auriculaire, plus d'un sur dix était également obèse, plus d'un sur dix avait eu un accident vasculaire cérébral, et d'autres encore, bien que dans un plus faible pourcentage, avaient de graves problèmes de foie, de dialyse et de maladies auto-immunes.
Tout cela est peut-être vrai, je ne doute pas de nos scientifiques. Mais si ce n'est pas le virus qui tue les Italiens, alors expliquez-moi pourquoi la science a imposé tout ce que nous avons vu en un an et demi ? Des masques, à l'espacement, au verrouillage et ainsi de suite ? Et comment se fait-il que près de 126 000 Italiens aient été réduits à cet état avec 3, 4 ou 5 maladies graves, destinés à partir de toute façon si le coronavirus n'avait jamais existé en peu de temps ? Ces chiffres constitueraient une mise en accusation retentissante du système de santé italien dont ils sont issus. J'utilise le conditionnel car j'ai des doutes sur ce qui a été écrit dans ce rapport depuis le premier jour. Comme toute communication de l'IST ou du CTC, elle est affectée par les directives gouvernementales fournies au fil des mois, qui ont été le véritable et seul phare de ce que nous continuons à appeler les "scientifiques".
Au début, le gouvernement alors en place, celui de Giuseppe Conte, alors que l'Italie se montrait comme le pays le moins préparé au monde et également incapable de faire face à la pandémie, demandait des données pour rassurer les Italiens. Et je me souviens bien des conférences de presse hebdomadaires de l'Institut national italien de la santé et de la protection civile, au cours desquelles ces décès étaient toujours minimisés, l'accent étant mis sur les nombreuses pathologies constatées chez ceux qui n'avaient pas survécu. Il faut dire que ce virus ne tue pas en soi, mais associé à d'autres maladies chez des personnes fragiles, il peut précipiter une fin pourtant proche. Puis, lors de la campagne de vaccination, le besoin du gouvernement est devenu diamétralement opposé : dramatiser et pousser tout le monde vers le salut des flacons mis à disposition. Mais ils ont oublié de mettre à jour les instructions sur le rapport de mortalité, qui a suivi dans sa publication de plus en plus aminci dans le temps et jamais tambouriné, le cadre donné au début. Une grande confusion donc, qui alimente aussi les peurs et raidit la résistance encore de quelques millions d'Italiens qui ont choisi d'éviter la vaccination. Peut-être qu'avec un peu moins de propagande, moins de rigidité et plus d'informations correctes, tout cela ne serait pas si...
Pascal Rendu 3/4 des morts de ou avec le covid sont plus âgé que l'espérance de vie. Donc on ne peut pas dire que ce soit anormal !
Voici la répartition des tranches d'âge pour les 10733 morts du COVID en Suisse entre le 24.2.2020 et le 14.10.21
0-9 → 2 (mai 2020 et noel 2020)
10-19 → 1 (22-28 mars 2021)
20-29 → 4 (3 en décembre 2020, septembre 2021 )
30-39 → 15 (jamais plus d'un par semaine)
40-49 → 41 (pic en décembre 2020 et janvier 2021)
50-59 → 233 (44 1ère vague avant juillet 2020 + 5 durant l'été 2020 + 105 3ème vague pic en décembre + 48 jusqu'en juillet + 31)
Pour les tranche d'âge au suivantes, beaucoup trop pour les compter à la main. (plus de 10 400...)
Donc pour mettre en évidence:
7 morts de moins de 30 ans, sur 107333 → C'est le public des écoles et universités.
22 morts de moins de 40 ans.
63 morts de moins de 50 ans.
296 morts de moins de 60 ans,
97% des morts ont plus de 60 ans !
Le covid est une maladie qui est dangereuses pour les vieux, surtout par ce que plus on prend d'âge, plus on a de co-morbidité, des petits soucis de santé qui s'accumulent.
C'est pour ça qu'en afrique, il y a nettement moins de morts de covid. L'espérance de vie est plus basse. (~60 ans en afrique sub-saharienne) donc si en suisse 97% des morts sont au dessus de cette tranche d'âge... et bien en afrique on peut avoir 97% de décès en moins...
Du coup je ne suis pas certain que ce soit par ce que les africains utilisent de l'artémisia comme on le lit souvent...
Unisanté "interpellé" par les chiffres de l'OFS
"En début d'année, nous avons été interpellés par ce premier bilan de l'OFS qui faisait état d'une augmentation de 11% du nombre de décès survenu en 2020, par rapport au nombre prévu", a expliqué l'une des chercheuses d'Unisanté dans le 12h30 de la RTS. Certains médias avaient en effet conclu que la mortalité avait atteint en 2020 des niveaux inédits depuis cent ans.
"Nous nous sommes penchés sur les chiffres", a précisé Isabella Locatelli. "Quand on veut comparer la mortalité entre deux années, on ne peut pas se baser sur le nombre absolu de décès, parce qu'au fil du temps la population change, elle augmente et elle vieillit. C'est ce qui a un impact très important sur le nombre de décès."
Une surmortalité globale de 8,8%
Unisanté a donc utilisé des méthodes de calcul différentes de celles de l'OFS, en pondérant certains facteurs. Résultat: le centre a observé une surmortalité de 8,8%, toutes causes confondues. "Il est clair que cette surmortalité est liée à la pandémie", a souligné la chercheuse. Mais "nous avons estimé ce retour en arrière à environ 5-6 ans et non de cent ans comme cela a été suggéré en début d'année".
L’analyse d'Unisanté par classe d’âge et par sexe montre que la surmortalité observée en 2020 en Suisse a davantage touché les hommes que les femmes, et presque exclusivement les personnes âgées. La surmortalité est significative à partir de 70 ans chez les hommes et de 75 ans chez les femmes. Au-dessous de ces âges, aucune surmortalité significative n’est constatée.
en juillet, l’armée communiquait les résultats des tests de ses 11'828 recrues: 38 cas positifs, soit 0.3%. Ce test généralisé était le premier de type aléatoire en Suisse et nous a donné l’opportunité — passée pourtant inaperçue — de connaître le nombre total réel de personnes positives en Suisse. Ces recrues provenaient en effet de toutes les régions de Suisse, de tous les milieux sociaux et professionnels. Il était dès lors également possible de quantifier le biais des tests usuels: lors du mois précédent l’annonce des résultats du test de l’armée sur les recrues, le pourcentage de tests positifs journaliers selon les chiffres fournis par l’OFSP oscillait entre 0.25 et 1.63%, avec une moyenne de 0.756%. Mis en relation avec le 0.3% de l’armée, cela indique que le taux donné par l’OFSP était en moyenne 2.5 fois plus élevé que la réalité.
Ramené à l’ensemble de la population, ces 0.3% indiquent que pas moins de 26'000 personnes étaient en fait positives à ce moment-là en Suisse. Si nous avions la possibilité de tester en un jour l’ensemble de la population suisse, nous ne trouverions pas 100, 200 ou 400 nouveaux cas en un jour, mais au moins 26'000. De quoi effrayer plus d’un et pourtant, comme nous le verrons plus loin, ce chiffre, couplé à la mortalité, nous donne une indication rassurante par rapport à la dangerosité actuelle du virus.
Actuellement, les chiffres des décès annoncés sont dans les limites des valeurs statistiquement attendues. Du 16 mars (semaine 12) au 19 avril (semaine 16), une surmortalité statistiquement significative a été observée en Suisse en raison de la pandémie de SARS-CoV-2. Au cours de la semaine 14, entre le 30 mars et le 5 avril, 39 % de plus de personnes sont décédées que ce qui était attendu. La tendance de la surmortalité n'a pas été la même dans toutes les régions de Suisse